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Zairfly

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Messages posté(e)s par Zairfly

  1. Bien le bonjour !

     

    Tout d'abord, oui, je suis en vie. De plus, malgré les quelques 3h qui nous séparent de l'évent, je souhaiterai m'inscrire dans le camp des pirates, si bien sûr les inscriptions ne sont pas closes :P -Pour un équilibre des équipes, je peux passer guerrier si besoin est.-

     

    Normalement je serai présent, sauf éventuel contre-temps de dernière minute.

    A plus !

    -Z-

  2. [insérer ici entrée fracassante]

     

    De ma plus belle plume, gorgée d’encre et de paresse (chacun sait le fléau que sont les longues heures de cours, les yeux rivés sur le cadran accroché au mur de la salle) je vais ici m’essayer à une pratique de plus en plus répandue, semble-t-il, dans le fabuleux monde des octopus, à savoir les studieux plussoiements longs comme le traité de Maastricht. Considérons donc cet écrit comme un plagiat pur et dur de mon confrère P02pk , à la manière dont les Bretons se sont alliés pour nous voler tout un tas d’idées, notamment le cidre et la joie de vivre (car, comme beaucoup le savent, les premiers mots que prononce un bébé breton sont ‘parapluie’ et ‘dépression’.)

     

    En parlant de Bretons, justement, ce mot ne mérite même pas de majuscule. Je vais tenter d’étayer mon propos. Au cours de l’une des heures de cours ennuyantes mentionnées plus haut, je m’assoupis un moment. J’ai le souvenir d’avoir fait un rêve plus vrai que nature. Ce rêve avait un goût étrange, un goût de pèche au thon, ou encore de pizza au caramel. Dans ce court mais néanmoins riche moment d’égarement, une situation cocasse m’arriva -à la suite de ma sortie de prison, ndlr- et je ne puis m’empêcher d’en parler ici.

    En effet, les faits que je m’apprête à racuspoter ne sont pas des moindres. Alors que je me dormais, le sang plein de haine communiste, de chants de l’armée rouge et de vodka, et que mes camarades débattaient sur le vaste sujet qu’est le chlorure de sodium, je fus réveillé par des bruits de trompettes et de sabots. Ni une ni deux, je bondis de mon lit (lui aussi à l’aspect bétonneux, comme les quais de Freiwald) , enfilai mes slaches, et me mis en route vers ma cuisine. Comme si la situation n’était pas déjà assez malheureuse, en entrant dans la pièce susnommée, je glissais, aussi majestueux que la langue allemande, sur une frite que mon compère belgeophone avait du laisser traîner. Malgré ma cheville enflée comme celles d’un breton qui clame la paternité du Mont St Michel, je réussis à me relever pour ensuite courir jusqu’à mon Flacard à pharmacie pour saisir ma solution médicamenteuse. Une fois mon cachet verveine-gingembre Anti-Nationaliste avalé (bien que celui-ci ait visiblement eu peu d’effet), je sortis d’un pas décidé pour aller écorcher au tesson de bouteille celui qui avait osé me tirer de mon sommeil. A force d’écouter des grands classiques de la musique classique russe (comment puis-je en parler sans citer les grands noms que sont Père-Castor, la Panthère rose, ou encore l’Inspecteur Gadget), mon oreille développée parvint sans difficulté à retrouver la direction du tintamarre. Au coin d’une rue, alors que le président de notre contrée préparait déjà ses canons pour, je cite ‘régler le problème à l’ancienne’, je vis au loin la loque qui m’avait sorti d’un sommeil de poupon. Quelle ne fut pas ma surprise de tomber sur un soldat en uniforme bleu à cheval, complètement torché (le cheval aussi, d’après mes souvenirs), brandissant le drapeau de la Bretagne, et braillant son hymne. A ses côtés, un petit homme affamé, barbu mais gentil, soufflait tous ses poumons dans une trompette de fortune. Ce devait probablement être le seul de nous à être sobre, même si à force de souffler ainsi il ne devait plus être très net. Vous vous en doutez probablement, la première question qui me vint à l’esprit fût ‘Comment est-ce possible qu’une contrée si minuscule et médiocre puisse avoir une hymne ?’. Voilà l’allégorie même de l’absurdité humaine, de l’inconscience, et de l’indignité. Tout au plus, ce pochetron était un paysan désespéré qui avait volé l’uniforme d’un soldat de la Garde Volontaire ainsi que les galons d’un général. A la suite une chute abracadabrantesque pour descendre de son canasson, un fabuleux cumulet raté finissant dans une flaque de boue moins sale que lui, l’ivrogne se mit à clamer son grade de général et à brandir ses papiers, me prouvant ainsi qui il était réellement. Nul ne l’aurait pris au sérieux, ni même l’aurait reconnu dans cet accoutrement. J’avais entendu dire que ce tchiniss avait rédigé une tentative d’essai d’ébauche de commencement de candidature citoyenne. Au vu de son état, évidemment, il allait être recalé par les soins de la Sainte-Modération.

    Encore sous l’effet d’une vodka un peu trop forte et barbouillé par les pirouettes linguistiques dont le chancelier faisait preuve dans ses rubriques journalistiques lues la veille, il me passa par la tête l’idée de me mettre à la rédaction de quelques mots doux, agilement placés, qui pourraient soutenir l’insoutenable. Depuis peu, sur un coup de tête, j’avais acheté au rayon bio du quartier herboriste de succulents steaks vegan. Ne sachant trop comment je pourrai finir ces immondes plats, j’invitai notre cher Ghideon à manger chez moi. Quelques tonneaux plus tard, nous nous assoupîmes, je me mis donc à rêver dans mon rêve, Inception is in da biz.

     

    Au délicat son d’un professeur hurlant de toutes les fibres de son corps sur un élève mijotant dans le fabuleux monde du sommeil (son d’ailleurs semblable à une fourchette grinçant sur une assiette, ou à une chanson bretonne), je me réveillai en sursaut, tentant tant bien que mal de me justifier, parce que quand même la fatigue tout ça, ça n’aide en rien. Pour couronner le tout, la cerise sur le gâteau, les éléments se sont liés contre moi pour me faire souffrir : à cause de la neige et de la sieste prolongée du chauffeur de bus, je restai coincé une bonne heure dans une salle de cours. Mon sommeil déjà rattrapé, je m’attaquai à l’écriture de l’essai que vous lisez désormais.

    Un rêve prémonitoire et, probablement, un personnage doté de huit bras m’ont forcé implicitement à rédiger ceci, tout en dégustant un bon verre d’un somptueux champagne, songeant aux bons moments passés aux côtés de l’indigne, de l’absurde Ghideon. On a fait les quatre-cents coups quatre ou cinq fois au moins, et tu vaux bien l’ami ces quelques paroles griffonnées sur une feuille de brouillon.


    C’est sur cette conclusion que je conclus (logique). Mon récit comporte un nombre de mots se comptant sur les tentacules d’un poulpe : 1071.

    Vous l’aurez compris, je plussoie de tout coeur GhideonZorn pour le grade de Paysan.

     

    Je dédie ce texte aux Min-Ya et, évidemment à mon ami Ghislain,

    Hasta la muerte hermano.

     

    -Z, русский-

     

  3. Pourquoi tu rigoles ?

     

    Plus sérieusement, bonsoir à toi, lecteur de ce torchon (like da Zeitung lol) qui va faire office de plussoiement pour mon bel ami nain.

    Un soir de débat et de rigolade sur Mumble -comme chaque soir, ndlr- Chopine me fit part de son projet de rédaction d’une...candidature. A cet instant, sous l’effet de la surprise, je fus pétrifié sur place. J’étais tétanisé jusqu’au bout de ma moustache. Quelques secondes de réflexion plus tard, il me vint une idée aussi idiote qu’ingénieuse. D’un coup d’un seul, j’étalai mon idée sur la table. Contre un « Jtm pol » et une première place dans ses remerciements, je rédigerais à Chopine un plussoiement digne des plus mieux des faibles.

    C’est donc sur des notes de Dean Martin que je me lance dans la rédaction dudit torchon, en vous souhaitant une lecture des plus agréables.

     

    Sans plus attendre, commençons.

     

    Comme un bon nombre de personnes ici, j’ai rencontré pour la première fois Chopine sur un banc. Ce fameux banc, qui a subis ses rires, ses pleurs, ses gueules de bois. En parlant de bois justement, c’est à l’époque où je n’avais pas de micro que j’ai parlé à Chopine pour la première fois sur Mumble. Nous avions discuté de tout et de rien, du métier de bûcheron, de bière, et de bière.

    Ensuite vint la période tant attendu où ma voix résonnait dans les casques pour la première fois. Le nain m’a paru quelqu’un de très amical, et avec un grand coeur caché sous son rire de Depardieu.

    S’en suivit le mariage. Les plus haut placés savent de quel mariage je parle (scooter bato tmtc). Habillé en grand costume tricoté par nono, la barbe cette fois bien taillée et lavée, notre petit bûcheron s’était fait beau pour l’occasion. Après une soirée arrosée, ces quelques mots sortirent de ma bouche : « Chopine, joue nous du Chopin. » C’est alors que je découvrit les qualités musicales de Barbebière, qui me mirent les larmes aux yeux. Après ce court passage d’émotion, et avec un sang composé à 99 % d’alcool, nous partîmes en mer. Le reste j’ai oublié, trop bourré.

    M’enfin, je m’égare.

    Plus récemment, le soldat Barbebière fit son apparition. Qualités de conduite exemplaires, voitures dérapant plus que son rire, freins cassés, arbre. La routine. Après avoir séché le très réputé Heroes&Generals, Chopine était devenu un vrai petit soldat dont l’adjudant que j’ai l’honneur d’être pourrait être fier. Depuis, je le côtoie régulièrement et l’apprécie (merci Poupek pour cette astuce).

     

    Omg. Je me suis perdu. Je serai tenté de tout effacer tellement ce récit est agaçant à lire, mais mon café m’attend, et le moteur de mon tank tourne dans le vide, en plus d’être garé en double file. C’est sur ses quelques phrases que je tire ma conclusion : un joueur, et même plus, un ami en or. Le bleu lui ira si bien.

    Et pour finir, comme il me reste quelques secondes.

     

    20+22 = +1.

    *mic drop*

     

    Good luck Boubou.

    -Z-

  4. Ma foi, je serai tenté de répondre par un pavé tout aussi grandiose que celui du polypous ci-dessus, mais comme il le dit si bien, j'en suis absolument incapable.

    C'est donc sur les quelques notes délicates d'un des plus grands classiques de la musique que je vais simplement me contenter d'effectuer le même le travail complexe étant décomposé en tâches élémentaires et hiérarchisées qui s'exécutent de manière successive et répétitive que mes camarades.

     

    Poupek est une personne que j’ai rencontré il y a maintenant quelques temps sur Minefield. Depuis, je le côtoie régulièrement et l’apprécie.

    Il s’est montré très travailleur/motivé dans le projet de Freiwald. Il est sérieux/drôle, impliqué et fidèle au projet. Il est devenu un membre essentiel/utile avec qui c’est un plaisir de jouer !!!

    Que rajouter de plus ?? Je soutiens à (10)0%  Poupek !!

    Cordialement, El Zayhr.

     

    -by PopeyK Industries-

     

    Bien. Après m'être fait lacérer publiquement par PulkoBakInDaBiz, il est temps pour moi de visser mon bob sur mon crâne et de partir la tête haute, le cran d'arrêt accroché à ma ceinture. Et pour finir je vous mettrai en garde, cher poulpe, les représailles sont si vite arrivées. Comme dirait mon proche ami Obvious, 'Caution, the fire is burning.'

     

    Au plaisir, chapeau bas.

    -El Zayhr Ruskov младший первый -

     

     

  5. Bonsoir, Guter Abend, добрый вечер.

     

    Voici ce soir le second numéro du nouveau journal, plus travaillé que l'ancien. Ici les gros titres sont importants, et les pages grouillent d’anecdotes et d'interview menées jusque sur le front.

    Sans plus attendre, bonne lecture !

     

    > FREIWALD ZEITUNG NO2 <

     

    PS : Ce numéro est beaucoup plus court que ceux qui vont suivre dorénavant, mais quelques informations de haute importance étaient à transmettre au plus vite. Comme toujours, avis et conseils sont les bienvenus.

    -Zayhr, votre ministre-

  6. BONJOUR A TOUS.

     

    Comme vous vous en doutiez, je viens ici bas pour moinssoyer Darkalne.

    Plus sérieusement, c'est un joueur que j'ai rencontré il y a peu et que je côtoie désormais quasi quotidiennement.

    C'est un jour très agréable, avec qui il est toujours bon de passer du temps. De plus, il est actif et motivé.

     

    C'est tout pour moi, et c'est un énorme PLUSSAIN pour Dark-Udu.

    -Z-

  7.  

    SURPRISE.

     

    Bonsoir. Je viens ici aujourd’hui accompagné de ma plume la plus majestueuse pour vous faire part de ma candidature citoyenne. Pour le suspens, je n’ai rien dit à personne durant la rédaction de celle-ci, parce que voilà, « J'suis Zayhr le taré, j'déboule furieux t'étais pas préparé » (petite ref’)

     

    Présentation paysanne :https://www.minefield.fr/forum/topic/60712-présentation-très-en-retard-du-zayhr-zairfly/

    Candidature Villageoise : https://www.minefield.fr/forum/topic/60723-accepté-candidature-villageoise-dun-zayhr-zairfly/

     

    Présentation IRL

     

    Contrairement à d’autres, ça a pas mal changé ma foi. Je me prénomme donc Paul (comme la boulangerie), et je suis un combo Normand/Russe. Je me passionne surtout pour la musique (telle que Stupeflip, le rock, les vieilles chansons françaises, enfin tu vois), les jeux vidéos, et l’écriture. Gare à ceux qui oseront défier la musique soviétique que j’écoute en boucle à n’importe quelle heure n’importe où, je suis armé jusqu’aux chaussettes. Je suis également photographe amateur, dessinateur du dimanche, et musicien du lundi. Ah, aussi, je n’aime pas le sport et le papier peint antérieur à 894.

    Motivations :

     

    Voilà donc un passage important, sur lequel je vais essayer d’être sérieux. *rire au fond de la salle*

    Tout d’abord, je suis déjà villageois depuis un petit bout de temps, et la couleur verte sonne maintenant trop banal. Le grade citoyen est une étape importante sur le serveur, qui porte les valeurs de quelqu’un d’intégré et qui a su évoluer. Aussi, le cheval citoyen est tout de même mieux que celui avec lequel je vagabonde actuellement (puis je suis toujours à la traîne, tout le monde en a un ;-;) Enfin, le métier d’ingénieur tant espéré serait maintenant disponible, et c’est celui que je souhaite exercer. La maison en capitale quant à elle n’est pas dans mes priorités, nous verrons plus tard.

     

    Travail accompli :

     

    Cette section sera aussi vide que ma bouteille à deux heures du matin. Hum, trêve de plaisanterie, je vais suivre la démarche de mon camarade StrangerP, question de propagande. Je m’explique, je ne vais pas ici mettre de screen, car les travaux auxquels j’ai participé ne sont pas nécessairement physiquement présents. Par exemple, vous pouvez aller voir mes Zeitung, fruit d’un travail...acharné. (Note à mes lecteurs, ça arrive, calmez vous) Mumble étant l’endroit où je passe le plus de temps, c’est là bas que j’apporte sûrement le plus à la communauté dans laquelle je suis. Aussi, étant à Freiwald depuis un bout de temps, j’ai abattu -un peu- de travail là bas. Pour ce qui est de ma jeunesse, j’ai bossé pas mal à FH, du temps où celui-ci était encore en bois (t’as vu, old school). De fait, passons à mon RP.

    Révélation

    So, EDIT : Je vais finalement placer des screens suite à de nombreux conseils. Comme je l'ai précisé, mon travail n'est essentiellement pas IG. Pour contribuer tout de même à ce principe, voilà quelques uns de mes travaux.

     

    Tout d'abord, les liens de mes Freiwald Zeitung :

    https://www.minefield.fr/forum/topic/62134-freiwald-zeitung-incident-diplomatique-a-freiwald/

    https://www.minefield.fr/forum/topic/62141-【freiwald-zeitung】deuxième-numéro-splash-guerre-évitée/

    https://www.minefield.fr/forum/topic/62190-【freiwald-zeitung】troisieme-numéro-golems-mer-cedes-khel/

    https://www.minefield.fr/forum/topic/62679-freiwald-zeitung-le-nouveau-journal/

    Enfin, 2-3 screens :

    1504706640-2017-09-04-17-09-55.png

    L'ampithéatre d'Hallbard, que je suis en train de rénover avec l'aide de mes compatriotes

     

    1504707443-2017-02-21-17-54-07.png

    Ici, la place d'Hallbard et ses alentours, que nous avons remis au goût du jour (je vous invite à faire un tour héhé, c'est trobo)

     

     

    RP :

    Révélation

    Fichtre. La sangle de cuir qui faisait office de lacets sur mes chaussures délabrées venait de sauter. J'avais maintenant l'habitude, après des années de vagabondage, une corde suffirait largement à réparer tout cela.


     

    Je ne sais trop quel jour nous sommes, ni quelle année d'ailleurs. Mes origines me poursuivent toujours, les mêmes images me hantent chaque nuit : mon père, ma mère, morts, le camp dévasté par les flammes, livré à moi même dans cette grande nature. Jadis, j'avais réussi à trouver une faible source de revenus. J'étais bûcheron, il me semble. Puis, tout s'est passé très vite. En seulement quelques temps, je me suis retrouvé dans le même état qu'il y a une dizaine d'années, vagabondant sur les routes de l'Ouest. Maintenant, qui suis-je vraiment après tout ? Plus personne?

    Ma barbe noircie par la poussière et la suie me rappelle les nombreuses nuits passées dehors, dans le froid ou dans la chaleur cuisante des déserts. Savais-je encore parler, après tout ce temps passé à me taire et à observer, isolé de tout ?

     

    Tant de pensées envahissaient mon esprit pendant que je sortais de mon sac en cuir une fine cordelette, puis la passait dans les anneaux métalliques de mes bottes, volées sur un cadavre trouvé pendu au milieu de la forêt. En relevant la tête, j’aperçus au loin un marchand ambulant, endormi sur le bord de la route. A côté de lui, deux chevaux attachés à une barrière. Était-ce ma chance de retourner en capitale après tout ce temps d'absence ? Quel regard les gens allaient-ils avoir sur moi ? Je chassais ces questions de ma tête, pour me concentrer à présent sur mon seul objectif, voler l'un de ces destriers.

    Lentement, je m'avançais dans les broussailles, de plus en plus prêt de mon but. A présent, un magnifique palefroi blanc était devant moi et me regardait l'air interloqué. La lame de mon couteau glissa doucement sur les épaisseurs de corde, les faisant sauter une par une, pour qu'enfin le cheval ne soit plus retenu par aucun lien. Un pied sur l'étrier, je m'élançai sur l'animal, avant de donner un vif coup de talon sur ses flancs. Ce dernier partit de plus belle, dans un hennissement qui fit se réveiller son propriétaire, qui sortit de son sac un mousquet, en me traitant de tous les noms. Diantre, je n'avais pas prit en compte cette éventualité. Avant que j'ai eu le temps de changer de direction, le bruit d'un coup de feu vrombit dans mon oreille et une balle vint se loger dans mon épaule. Sans faire attention à la douleur, je filait dans le vent vers la capitale, et réussit à semer mon adversaire.

     

    Le brouhaha de la civilisation parvint jusqu'à mes oreilles, alors que je franchissait la grande grille de l'entrée Ouest Stendelienne. Étonnamment, aucun regard ne se jetaient sur moi, je pus donc continuer ma route jusqu'à la taverne la plus proche. Une fois arrivé devant la bâtisse, je laissais mon cheval repartir seul dans les rues tandis que j'entrais dans le très réputé Galo de Ouro.

    A peine mon sac posé sur le sol et mon coude sur le bord du bar, je sentis une main se poser sur mon épaule :

     

    "Salut vieil ami !"
     

    Cette voix me disait quelque chose, mais je n'arrivais pas à mettre un nom dessus. C'est en me retournant que je compris qu'il s'agissait de mon premier compagnon de route, alors que je n'étais âgé que d'une quinzaine d'années. Il avait mal vieilli, sa barbe jadis rousse était devenue blanche. Lorsqu'il toussait, il crachait une substance noire, tant il avait du travailler dans les mines.

     

     

    Je me souviens, nos fous rires, nos baignades dans la rivière, nos balade interminables sous le coucher de soleil. Qu'étais tu devenu, vieil homme, le seul ami que j'avais ? Probablement, tu dois être resté un homme au grand cœur, avoir fondé une famille, et moi ? Moi, j'erre depuis tant d'années, passant à coté d'une vie peut être si prometteuse. Je ne pus retenir une larme, qui perlais maintenant au coin de mon œil.

     

    "Salut, Marius."

     

    De fil en aiguille, autour de la petite table ronde sur laquelle nous étions installés, les conversations se firent de plus en plus présentes. Il me racontait qu'il avait travaillé dans les mines, pendant trente années. Il était en fin de vie, sa silicose n'allait pas lui laisser beaucoup de chances. Pendant tout son récit, les larmes coulaient, tant il était ravi de revoir le pauvre homme que je suis devenu. Je revins soudain à la réalité, le coupant dans sa phrase :
     

    "-Quel âge as-tu ?

    -Je devrais prendre mes 49 ans dans une semaine."

     

    Des frissons me firent sursauter. J'avais deux ans de plus que lui...51 ans. Vingt ans à vagabonder sans relâche. Deux décennies, le quart d'un centenaire. Avais-je vraiment perdu tout ce temps ? Au bout de quelques minutes de silence, comblé par le brouhaha de la salle, je me mis à compter mon récit. Mon ami ne détacha pas son regard du mien, riait quand je riais, pleurait quand je pleurais moi aussi. Mon récit touchait à présent à sa fin. Mon vécu, depuis des années, j'avais vidé mon sac. Je fis signe à mon correspondant que je devais m'en aller, j'avais décidé de me prendre en main dès aujourd'hui. Il approuva en silence, les yeux baignant encore de larmes.

     

    Mon sac sanglé sur mes épaules, je poussais la porte lorsqu'un bruit de chute retentit, suivit d'un long silence. Curieux, je me retournais lentement vers la salle. Marius était là, paisible, sur le sol en bois de la taverne, dont l'ambiance était devenu de suite macabre. Il avait l'air heureux, il m'avait revu, il avait revu son seul ami, il pouvait partir librement maintenant. Le barman se pencha sur le corps du barbu, et vit rapidement qu'il ne respirait plus, et n'avait plus de pouls. Ca y est, c'était fini. Un serveur me bouscula, courant à l'extérieur pour aller chercher de l'aide. Je tenais à peine sur mes deux jambes. Après une longue minute silencieuse à regarder mon ami gisant sur le sol, je sortis, sans dire un mot, me dirigeant je ne sais où, puis finalement tombant dans le caniveau, abattu par la fatigue et les émotions.

     

    Le lendemain, je partis déposer ma candidature à la citoyenneté aux bureau des gouverneurs. C'était fini, je ne partirais plus d'ici, pas pour souffrir une seconde fois. Déjà petit, l'électricité et la mécanique m’intéressaient beaucoup. Maintenant, je pourrais faire ce que je voudrais, accomplir mes rêves, je serai citoyen, je serai ingénieur, je serai existant, et de là-haut, Marius sera fier de moi.

     

    Remerciements :

     

    Révélation

     

    -Ewina_ : Pour être chaque jour une amie formidable, et pour les cure-dents avant tout (tmtc²)

    -StrangerP : Pour les musiques partagées, les débats politiques sur Mumble, et pour être un ami au quotidien,

    -nono333 : Pour être bleu, et avoir un humour un peu douteux, N’EST CE PAS.

    -Poupek : Parce que Nakamura, parce que WWE, parce que poulpe, et parce que Blblbl <3

    -Valkyrie : Pour ses substances correct, telles que le jus d’orange, car t’es un belge en or <3

    -Ghideon : Parce que tu es quelqu'un de super sympa, et tellement de bons moments passés ensembles <3

    -*****udu : Parce que c'est un guitariste et qu'il a une belle voix

    -Cauko : Parce qu’il rage des fois, c’est drôle, puis c’est lui le vampire

    -Paresseu : Pour les moults parties de Wizards et son humour qui me fait rire aux éclats, coeur

    -Darkalne : Pour les parties d’Heroes hilarantes passées en ta compagnie, puis t’es Oracle

    -Shrui : Pour son magnifique projet, et pour sa qualité de présentateur météo sur H&G

    -Jihair : Parce qu'il est gentil, il est stylé, et en plus il spawn à chail

    -Junie_June : Pour sa gentillesse, son accueil à mes débuts sur MF, et sa générosité

    -Lord_Mick : J’hésitais à le mettre, mais c’est quelqu’un qui m’a marqué, et que j’oublierai jamais

    -DarkHoshin : Parce que pour faire une greffe de coeur, faut de l’expérience.

    - Stalroc : Parce qu'il m'a menacé de mort pour mettre ça. Nan j'déconne, il est sympa, et en plus, il a plussain le Zeitung. ALORS BON

    -Le FH : Pour m’avoir accueilli pendant la plupart de mon parcours

    -Moi-même: Parce que quand même, je suis quelqu’un d’intelligent, de beau, et de modeste

     

     

    Bien sûr, j’ai oublié du monde, mais je remercie chacun d’entre vous, parce que c’est grâce à vous tous que Minefield continue à marcher, i love u.

     

    Cette candidature touche à sa fin, et pour plagier Poupek,

    THANKS YOU,

    /dab

    *mic drop*

     

    -Le Russe

  8. BONSOIR.

     

    Pour la énième fois omg, je viens ici pour faire un topic d'anniversaire.

    Aujourd'hui, c'est pour mon nain préf', celui avec la bière et le rire de ouf là tu sais, celui qui est la plus belle de toutes, j'ai nommé CHOPINE.

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    Je ne vais pas m'attarder davantage sur le sujet, en te souhaitant simplement le meilleur et un joyeux anniversaire o/ <3

    (bande de fourbes, personne n'y a pensé.)

     

    Russement,

    -Zayhr.

  9. « PERE CASTOR, RACONTE NOUS UUUUUNE HISTOIRE [...] »

    Telle est l’entrée non moins que connue et réputée que je me dois de faire chaque jour au channel.

    Plus sérieusement, bonsoir, et j’ajouterai même :

     

    JOYEUX ANNIVERSAIRE EWINAAAAAAA :DD

     

    C’est pour cette occasion qu’en plagiant Valkyrie, je te laisse apprécier les paroles du non moins que reconnu Patrick Sébastien, en te couvrant de cadeaux o/

     

     

    Tu es quelqu’un d’exeptionnel, et tu pourras maintenant dire que tu n’as plus qu'un an d'écart avec la plupart des Freiwaldis (mais t’es toujours plus vieille que moi ;o;)

     

    Sur ces mots, profite bien de ta journée de vieille.
    Amicalement,

    -Ton russe préféré :P

  10. Bonsoir,

     

    Nouvelle candidature nouveau plusoiemment (mdr, go mettre ça en contrôle de philo)

    Plus sérieusement, je vais ici montrer mon dévouement pour nonoGirondeRpz en réécrivant entièrement ces lignes.

    Tout d’abord, comme mes compères ont stipulé plus haut, nono est quelqu’un d’un grand savoir faire, qui a su reprendre Freiwald quand il n’envahissait pas la Turquie, et depuis qui manœuvre le projet avec plus ou moins d’agilité (<3). Ce me semble que j’ai connu nono pour la première fois lors d’un event, et c’est un joueur que j’ai trouvé très drôle, débordant de bonne humeur et pouvant passer de clown à diplomate légendaire en une fraction de secondes. Ensuite est rapidement arrivé le jour où j’ai rejoins Freiwald, et où je me suis doucement rapproché de sa communauté. Il a su se montrer très patient/accueillant, ce qui est l’une des qualités prisées pour le grade aussi bleu que ses lunettes et son tapis de souris.

    Nous voilà maintenant arrivé à la partie que je préfère, émotif tmtc. nono est l’une des têtes auxquelles je tiens le plus ici bas, pour sa compréhension, son humour, les bons moments passés ensembles et les omelettes cuites.

     

    C’est pour tout cela qu’aujourd’hui je tiens à plussoyer de tout mon coeur le bleu à la parka rouge.

     

    Russement,

    Zayhr

     

     

     

     

  11. Bonsoir, Guter Abend, добрый вечер.

     

    Aujourd'hui après une longue absence (tmtc, les toiles d'araignées sur le plafond de l'imprimerie) le ministère revient avec un tout nouveau journal.

    La première version était absolument dégueulasse, travaillée sur Paint lui même par manque de sérieux. Aujourd'hui, nous passerons plus de temps à la conception de chacun des numéros.
    Aussi, en signe de renouveau, la numérotation des Zeitung's repart de zéro (enfin, de 1, chipotez pas nanméo :0)

     

    Enfin ceci étant chose faite, voici le premier numéro ====> NONOCLE+BO

     

    (Ui, j'utilise issu, lachez vos claviers y'a pas de "PLAGIAT GORAFIELD" qui tiennent :0)

     

    Sur ce, les avis sont toujours les bienvenus ;D

    Ruskovement, Zayhr

    Ministre de la communication et de la propagande Freiwaldie

     

  12. Je continuais de marcher, tout comme je le faisais depuis maintenant des semaines, des mois, que sais-je...

    Mes vêtements neufs au jour de l'accident étaient maintenant déchirés, ma peau noire et couverte de plaies, et la seule pauvre épée que je tenais en ma possession avait cédé depuis déjà quelques temps. L'espoir de revoir un jour une forme de vie humaine m'étais passé par la tête, mais cette pensée s'était vite évaporée tant je perdais confiance.

    Je me souviens...Mon SkyVodka, je me suis assoupi...la neige, qui recouvrait mon corps...Et puis plus rien, avant mon réveil dans ce couloir ravagé par la pénombre. Qui étais-je ? Comment étais-je arrivé là ? Je n'en avais pas la moindre idée, je continuais d'avancer sans savoir où.

     

    En me faufilant dans une petite galerie creusée dans la roche, je débouchai sur un autre couloir identique à tous les autres...à un détail près. Une faible source de lumière, suivie par l'odeur de vêtements propres que je connaissais autrefois. Par des mouvements précipités, je cherchais une allumette dans ma sacoche en cuir, et la craquais pour attirer l'attention de l'humain devant moi. Les mains vers le ciel, je marchais lentement vers lui...Il me faisait maintenant face, je n'étais plus qu'à quelques mètres de ce qui me semblait être...le tavernier ?

  13. Bonsoir bande de STI2D.

     

    Je vais être clair et simple. Nono est un joueur que j’ai malheureusement recontré, c’est quelqu’un qui n’a rien compris au fonctionnement du serveur. Il est mal intégré en plus, et il est bleu. -1.

     

    Hum. Plus sérieusement, nono3332k3333 est quelqu’un de super, avec qui on peut soit se bidonner pendant des heures durant, soit parler sérieusement. C’est l’une des plus belles rencontres que j’ai faite, il est très impliqué sur MF et c’est vraiment quelqu’un qui mérite le grade.

     

    +1 o/

     

    -Z-

  14. Bonsoir dames, sieurs, poulpes et castors.

     

    J’ai rêvé mielleusement de ce moment, toutes les nuits, tous les jours, à chaque fois que je voyais un putain de castor. La manigance a commencé, n’est ce pas, par le matin où j’ai vu ce pseudo pour la première fois. Le bouton connexion de mumble me criait « PAUL, AU SECOURS. » jusqu’à l’instant où je le pressais pour la nonante millième fois. Avec Cauko ce matin là s’amenait une nouvelle voix, plus douce cette fois que toutes celles que j’avais pu côtoyer auparavant. Tout d’abord, je me montrai simplement cordial et joyeux vis-à-vis d’une nouvelle rencontre dans le channel infréquentable de Freiwald. Après un petit temps (DEUX HEURES DE DÉCALAGE AVEC LA RÉUNION, TMTC²) j’acceptai de trouver ce petit bout de Dom-Tom perdu dans l’immensité du channel Freiwaldi chaque jour.

    Elle a vite su créer des liens forts avec certaines personnes, et devenir ami avec eux très vite. Au fil des génériques de Père Castor, des musiques qu’elle m’avait fait découvrir et que j’ai écouté durant des heures, assis sur un toit à regarder le coucher de soleil, on a partagé beaucoup de choses allant de nos rêves et des photos plus belles les unes que les autres jusqu’à nos moindres tracas (MMA, on c c koi les bails). Séquence émotion Tome 1 : Ewina/Léa (j’ai encore du mal avec l’emploi du prénom, ça va venir) est devenu pour moi quelqu’un à qui je tiens, avec qui j’ai des discussions plus intéressantes les unes que les autres, et qui est toujours là (sauf 2h de décalage mdr) dans les moments où on en a besoin. Je pourrais dire tout ce que j’en pense, mais le compteur des 1000 mots serait démoli à coup de T-90. [/séquence émotion]

     

    Voici donc où j’en suis rendu, à féliciter Ewina pour tout le travail abattu sur Freeway, pour sa splendide lampe à méduse, pour tous les moments partagés qu’on a eu (mdr fragile). C’est du bout de ma plume que je finis d’exploser le cadran de libre parler, et que je conclus par un « +1, j’dédicace au cure-dent »

     

    On est loin des 1000 mots, avec 386 à c’t’heure.

     

    « Ça tourne au vice, marteau, clé de 7, tournevis  Coup de masse, la menuiserie c't un sacrifice »

     

    -Zayhr-

  15. Bien le bonsoir gente damoiselle Stranger.

     

    Je viens en ces lieux pour plussoyer ledit Belge 1er, nonante. Son humour, bien que belge une fois, est l'un des meilleurs que je connaisse oualalaradime.

    On va passer à la partie sérieuse n'est ce pas, Quentin est un ami en or. C'est quelqu'un avec qui on peut parler aussi bien de politique (parce que c'est notre projet, btw) que de sujets WTF tels les cure-dents, comprendra qui pourra.

    C'est l'une des meilleurs têtes que j'ai pu rencontrer au long de mon périple, et c'est pour cela que je viens lui apporter une barquette de frites pleines de soutien ce soir.

     

    Bref, +1 m'dame, et bonne continuation.

    -Z-

     

    NB : Deupon

    NBB : La loi, c'est la loi

  16. Dames, sieurs, poulpes, amis, frères d'armes,

     

    Je viens en ces lieux, hamdoulilah n'est ce pas, pour soutenir le belge second du nom.

    Son humour noir comme les poumons d'un fumeur, veuillez agréer, est toujours bénéfique pour le moral des troupes.

    De PL(U)S, c'est un joueur v'là utile pour Freeway.

     

    Rien de plus à redire,

    +1 mon ami.

     

    -Z-

     

     

     

     

  17. Bonsoir.

     

    Je tiens à dire tout d'abord qu'on ne m'a absolument pas pris en otage dans le sous sol de Sul...*bruit de chargeur de fusil*...rien, bref, on ne m'a pas forcé.

    Suljii est un joueur beau, majestueux, et j'en passe. Il est très impliqué, et a un rire de coréen.

    Alors...Euh y'a une faute dans mon script *bruit de couteau* NAN RIEN.

    Bref, c'est un +1 *bruit de tir dans le plafond...UN +1000 POUR UN EXCELLENT JOUEUR.

     

    Zayhr, écrit sans script et avec l'aide de...personne.

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