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Ezdrincker

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Messages posté(e)s par Ezdrincker

  1. Salut salut ! 


     


    Comme vous devez vous en douter je ne suis pas venus ici pour jouer de l'accordéon sur la place de Stendel et ainsi gagner quelque PA, bien que ce soit une grave perte pour votre culture musicale , on ne voit pas pareille catastrophe tous les jours, sans rire, ça vaut le coup. 


     


    Mais là n'est pas vraiment la question, n'étant pas là pour jouer d'un quelconque instrument je ne suis pourtant pas venus pour rien, il me faut aujourd'hui soutenir la candidature commerçante de Junie_June, dit le distributeur de nourriture. Elle est l'unique raison de la survie de 90 % des ouvriers Névains, dont quelque grand nom comme Ryemash, consul de l'économie, célèbre pour ne jamais emporter de nourriture avec lui. Pour subvenir aux besoins, colossaux d'une main d'oeuvre affamé il faut être capable de tenir le rythme et ne pas avoir peur de farmer. Or tel est la capacité surnaturel de Junie, elle est capable de farmer pendant des heures, carottes, patates, blé, bois, stone... Une vraie usine à elle toute seule ! Et la plupart du temps elle n'attend rien en retour, parce que oui Junie en plus d'être quelqu'un avec qui il est très agréable de discuter est également une personne généreuse et souvent désintéressée. 


     


    On touche ici à un point important de mon soutien, en effet le métier de tavernier est un peu particulier, leur ressource la plus précieuse, la bière ne sert à rien. C'est un peu sec dit comme ça mais c'est vrai, la principale richesse de ce métier n'a aucune utilité, pour vendre de la bière il faut surtout avoir un bon rapport aux autres, un bon tavernier est quelqu'un de connu de reconnu et d'apprécier. Il me semble que c'est le cas de Junie, toujours présente sur Nevah mais aussi souvent en contact avec le reste de la communauté au travers, par exemple, des events organiser dans la cité, elle montrée à tout le monde à quel point elle pouvait être aimable et serviable. En effet depuis mon retour sur minefield Junie est l'une des personnes avec j'aime le plus discuter, de tout et de rien.


     


    Je pense donc que Junie est faite pour ce métier, elle saura parfaitement se constituer une clientèle fidèle et dépensière et qu'en conséquence la licence commerçante devrait lui être accordée. 


    J'espère seulement qu'on pourra toujours profiter des coffres de bouffes éparpillé sur Nevah, parce que si elle arrête de nous nourrir, ça va être la crise, les ouvriers mourraient de faim, la populace déserterait, bref ce serait la fin du projet. 


     


    PS : T'aurais pas quelques carottes ? Je n'ai plus à rien à manger moi...

  2. Voici la liste de course des objets "précieux" pour l’ambassade de Galianör : 

     

       Pierre incrustés "Petites" : 14 rubis, 4 jades, 2 saphirs, 2 citrines. 

     

       Bloc précieux : 8 bloc de rubis. 

     

       39 vases en marbres blanc, 10 vase marbres noir, 1 stack de marbre blanc, 4 stacks de marbre noir, 3 stacks de pierre taillé      lisse et 8 pierre taillée "fleures de Lys". 

     

       Restes les meubles en sapin, l'enderchest et les tonneaux. 

  3. Bonsoir à toutes et à tous !

     

    Je me présente aujourd'hui pour soutenir la demande de grade de Lugnasad. Du peu que je le connaisse c'est quelqu'un de sympathique, il est en outre très actif ce qui sera fort utile, les outilleurs étant des pokémons plutôt rare par les temps qui cour. 

     

    Il a un bon contact humain et fait partie d'une communauté très active, ainsi je ne doute pas qu'il parvienne à se constituer une clientèle fidèle qu'il saura satisfaire. 

     

    Bonne chance à toi Lug ! 

  4. Bonsoir, 

     

    petite mise à jour du sujet des Ambassades : 

     

    Le conseil Névain du 4/02/2017 à validé les deux ambassades, pour celle de Galianör la version choisis à été la version symétrique. L'ambassade de Kélaïre est d'ores et déjà terminé, elle à légèrement été modifiée depuis les screens d'origine. 

     

    Voici quelques visuels de l'Ambassade : 

     

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    L'Ambassade de Galianör suivra dès qu'on aura réunis les matériaux. 

  5. Salut ! Et bienvenu sur Minefield. 

     

    Si tu as besoin d'aide n'hésite pas à demander aux autres joueur, la plus part seront heureux de te donner un coup de main. Si tu veux que l'on t'accompagne pour ton intégration sur le serveur, visite, explication, présentation de la communauté et des projets je te conseil le système de parrainage (Un parrain est la personne qui sera chargé de te guider, de te fournir un lieu pour stocker t'es affaire, ce genre de chose). 

     

    Ezdrincker. 

     

    PS : Pour plus de lisibilité tu devrais harmoniser t'es pseudo forum et Minecraft, c'est plus simple pour la communauté de s'y retrouver comme ça. 

  6. Je suis assez neutre pour le moment, l'idée de pouvoir faire des galeries rapidement est sympa mais seulement si il y a un vrais désavantage, notamment l'idée de Warf avec le fait que ça ne loot que dans 50% des cas (c'est encore trop pour moi et quid de l'interaction avec fortune) et que la terre et autre bloc un peu inutile ne soit pas looté. 

     

    Par contre je soulève un petit problème Rp, par quel miracle comptez-vous creuser des galeries avec un marteau ? Même un gros marteau ça ne sert pas à faire des trous, pas seul en tout cas, avec une barre à mine je dis pas, mais allez mettre des coup de marteau dans le flan d'une montagne ou dans un tas de terre vous comprendrez vite le problème. 

     

    Pour moi cet item est "cheaté" et ne se justifie pas Rp parlant, il n'y a aucune raison qu'un coup de marteau détruise 3 m cube de pierre, c'est pas cohérent.

     

    Du coup c'est plutôt non pour moi. . 

  7. Bonjour, bonsoir à tous, suite à l'invitation de plusieurs projet à construire des ambassades à Nevah. Nevah doit elle aussi bâtir des ambassades à l'étranger. Ici il sera question des deux première, c'est à dire, Galianör et Kélaïr. 

     

     

    Galianör d'abord, l'ambassade se trouve dans la salle des piliers, tout près de l'entrée de la galerie qui mène à l'académie et à la salle du trône entre autre. Elle est est donc plutôt bien situé, cependant la parcelle n'est pas très grande, on part donc sur de l'architecture de poche. Pour compenser ça on utilise des matériaux prestigieux, histoire que l'ambassade soit bien différentiable au sein de la ville, tout en respectant les codes architecturaux nains. L'idée générale à déjà été validé par Dionysos il n'y aura donc pas de problème de ce côté là. 

     

    Il y a deux possibilité proposé ici : 

     

    Une version asymétrique : 

     

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    Et une version symétrique : 

     

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    Personnellement j'ai une préférence pour la version symétrique, c'est bien dans l'ambiance général du quartier, les construction naine sont souvent assez symétrique. 

     

     

    Kélaïre maintenant, l'ambassade est assez original, elle se trouve à l'intérieur de la bibliothèque, il s'agit en quelque sorte d'un "open space", pas de mur et donc pas de façade à décoré. Pour faire  quelque chose de beau on a donc misé sur une décoration à base de feuillage colorée. Pour ce qui est des screen il va falloir se référer à une petite légende pour les comprendre : Le feuillage de chêne symbolise un feuillage rouge, le feuille de sapin un blanc et les deux laine colorée (rouge et blanche) une bannière Névaine. Les feuillage rouge et blanc renvois bien entendus aux couleurs de Nevah. On pourrais peut être mettre un PNJ ambassadeur pour occuper le bureau. 

     

    Voici une vue un peu générale de l'ambassade : 

     

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    Et voici une vue plus rapprochée : 

     

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    L'aménagement du bureau n'est pas vraiment fixé, c'est surtout pour donner une idée. 

     

    Qu'est ce que vous en dites ? 

  8. Keuf, keuf, je suis ici aujourd'hui pour soutenir l'accession de Lordrey à la citoyenneté Névaine. Lord (tu permet que je t'appel Lord ?), est un homme assez discret mais investit, il a montré ses talents et sa bonne volonté lors de l'aménagement de l'intérieur de la future citadelle de Nevah, qui fera, j'en suis sûr la fierté de notre belle cité. 

     

    Même si il est plus discret que son turbulent compère Kipik je pense que sa volonté de nous rejoindre et que son dévouement envers la cité n'ont à rien à envier à celles de son camarade. C'est quelqu'un de sympathique, polis  et efficace. Très sincèrement je ne vois pas ce qui pourrait l'empêcher de s'intégrer à notre communauté, de s'y épanouir et de l'enrichir. 

     

    Ainsi j'engage ma modeste réputation auprès des autorité de Nevah pour qu'elles permettent à cette âme de rejoindre nos rang, je souhaite de tout cœur de le voir bientôt purifier, gloire à Nevah et vive la Tundrah.

     

    Ezdrincker. 

  9. Spécialisation : Souffleur de verre.

    Nom de l’échoppe : Le Tombeau des lucioles.

    Localisation : Nevah, Stendel.

     

     

    Présentation IRL :

     

     

    Je ne donne toujours pas mon nom, même si en soit il n’est pas bien difficile à retrouver. En dehors de ça je suis un étudiant en histoire, j’aurai bientôt 20 ans (je les aurai avant d’être commerçant du coup je me permets de prendre de l’avance). Je suis passionné d’histoire, de jeu vidéo et d’animation, mes goûts en la matière ont pas mal évolué depuis ma dernière candidature (Il y a presque 4 ans jour pour jour maintenant) et je suis devenu assez difficile (Lpu8er confirmera, mais il n’a aucun goût de toute façon). Du point de vue des jeux, je suis toujours fan de jeu de stratégie et de grande stratégie, de minecraft bien sûr et enfin de RPG (ainsi que de jeu de rôle papier et plus largement d’écriture).

    Je pense avoir fait le tour de ce qui avait un minimum d’intérêt sur ma personne IRL, passons à mon personnage In Game.

     

     

    Présentation IG :

     

     

    Ici je peux donner mon nom, enfin celui que j’utilise depuis mon retour, je suis donc Ezdrincker, un mage voyageur qui à posé ses valises à Nevah après un long périple loin des terres de Stendel. En parlant de voyage j’en ai fait quelques-uns dans l’empire, arrivé il y a bien longtemps j’avais à l’époque rejoint Ultharik, la cité naine, l’alcool coulait à flot c’était plutôt sympa et les nains étaient des types bien, quand ils étaient à peu près sobre et moins d’un mois après leur bain annuel. C’était la meilleure période pour les fréquenter, surtout quand on a le nez fin. Après ça je suis passé par Namnis la ville portuaire, où j’ai ouvert pour la première fois un magasin de souffleur de verre justement. Mais le mal des voyages m’a repris et je suis repartis loin, très loin pendant quelques années. A mon retour les choses avaient pas mal changé, je n’avais pas envie de retourner là où j’avais vécue jadis, d’où mon installation à Nevah. Mais je continus de me promener, l’empire est vaste et il y a beaucoup de personnes intéressantes à rencontrer. Je ne vais pas faire la liste de toutes les constructions que j’ai pu aider à réaliser, déjà parce que j’aurais du mal à me souvenir de ce que j’ai pu faire à Namnis à l’époque et ensuite parce que ça fait un peu salle des trophées avec tête de bestiaux empaillés à la gloire de la chasse et que la taxidermie c’est pas mon truc. Je peux comprendre qu’on aime ça, mais franchement je trouve ça un peu glauque, mais je m’égare.

     

     

    Mes Motivations :

     

    Pourquoi devenir commerçant ? Pour l’argent ? Oui un peu, mais ce n’est pas l’objectif principal, de l’argent je peux déjà en gagner sans licence, je suis un gros farmeur et il y aura toujours des commerçants pour m’acheter mes ressources, donc non je n’ai pas grand besoin d’une licence pour avoir des Pa. Par contre l’intérêt majeur de la licence c’est de pouvoir acheter des ressources à n’importe qui, notamment aux nouveaux joueurs. Voyez-vous après mon retour DarkHoshin a eu la gentillesse de m’acheter quelques trucs et de me fournir un travail rémunéré et ça il a pu le faire grâce à sa licence. La licence commerçante pour moi c’est surtout la possibilité d’utiliser mes Pa comme bon me semble et de donner aux nouveaux la même chance que celle que l’on m’a donné quand je suis revenu.

     

     

    Mes précédentes candidatures :

     

     

    Cette partie est censé allez plutôt vite mais disons que je suis un cas un peu particulier, j’ai en effet perdu l’accès à mon ancien compte minecraft, par la même occasion donc à mon compte minefield. En conséquence ce compte forum que j’utilise actuellement n’a que trois mois d’ancienneté et je n’ai pas posté de candidature avec (juste une pour Nevah mais ça ne compte pas, désolé). J’ai tout de même récupéré mon grade de citoyen après avoir prouvé que j’étais bien moi, mais sans candidature, en tout cas pas sous ce pseudo. Il est important de noter que je n’assume aucune des candidatures précédentes, que ce soit au niveau de l’orthographe ou des Rp qui sont aux mieux pathétiques et au pire illisible. Mais bon la loi, c’est la loi et je vais donc poster à la suite toutes mes candidatures, classé en deux groupes, celle qui sont canon dans mon Rp actuel et celle qui ne le sont plus.

     

    Vielle et honteuse candidature, toute personnes n’ouvrant pas ces liens maudits recevra un cookie renommé, « Cookie du Gentleman » voilà qui est dit.

     

    Présentation Paysanne.

     

    Candidature Citoyenne.

     

    Candidature Namnète.

     

    Candidature commerçante.

     

     

    Candidature Assumée, toute personne lisant ces candidatures ne recevra rien, mais au moins je n’aurais pas la honte.

     

    Présentation paysanne.

     

    Candidature Névaine.

     

    Equivalant Rp d’une candidature Villageoise :

     

     

     

     

    Voyons voir, que vais-je bien pouvoir vous raconter aujourd’hui, la traque d’un dragon des marais dans les terres gelée d’Angfang ? Non, une prochaine fois peut être, c’est une histoire intéressante, mais mon rôle n’est pas particulièrement glorieux et au fond je ne vous connais pas encore si bien que ça. Ma jeunesse dans la cage dorée du palais d’Embrume ? Pourquoi pas, mais cela risque d’être assez long et puis c’est une histoire triste, je n’aime pas les histoires tristes. Peut-être mon arrivé sur les terres de Stendel ? Oui, c’est une bonne idée de commencer par le début, disons l’un des débuts, car tout n’est pour moi qu’un long cycle, il y a plusieurs fins et plusieurs commencements. Pardonnez-moi, je sens que je commence à vous perdre, je vais tenter de me recentrer un peu. Il est tout d’abord important de savoir que je suis venu deux fois sur vos terres, la première fois commence à remonter à loin, plus de 300 ans en fait. Comment ai-je survécu tout ce temps ? Excellente question, mais cette histoire je la garde pour plus tard, on ne peut pas tout faire en même temps.

     

    Je vous aurais bien raconté un voyage épique entre les dimensions se terminant par un atterrissage en catastrophe devant l’un des portails de téléportation de l’empire mais la vérité est bien moins glorieuse. Je suis arrivé à pied, un jour de pluie en suivant un chemin boueux, j’ai attendu pendant des heures à un poste frontière impérial et j’ai attrapé un rhume, rien de plus banal. Mais il faut reconnaitre qu’à partir de là les choses ont un peu dégénéré, en effet devant le poste frontière il y avait une auberge, qui pratiquait d’ailleurs des prix absolument exorbitant, une vraie honte, ces monstres profitaient de la détresse des voyageurs affamés pour leur voler leur argent. Quelques années après ça j’ai mené une petite expédition avec des camarades nains afin de leur expliciter la différence entre commerce et vol, la discussion à vite dérapé et l’établissement à dut fermer pour de très longue réparation. Quelque jour plus tard un orage magnétique inexplicable a détruit entièrement la zone, le hasard fait parfois bien les choses. Mais nous n’en sommes pas encore là, non, ce qu’il s’est passé ce jour-là relève d’un domaine beaucoup plus trivial.

    Une caravane naine de retour d’une expédition commerciale faisait une pause dans ladite auberge en attendant le laissé-passé de la garde. L’alcool, le tempérament quelque peu chaud des nains ainsi que les prix pratiqués par l’établissement, tous ces facteurs se sont combiné pour donner lieu à un incident regrettable. Les nains ivre mort ont pris d’assaut la cave à vin de l’auberge, le tenancier à riposter en saisissant une partie de la cargaison des nains en guise de dédommagement. Malheureusement pour lui et de façon fort prévisible les nains n’ont pas apprécié l’initiative, ils ont pris les armes et ravagé l’auberge à la recherche de leur bien « Honteusement dérobé par le gros grand sur patte » (Note de l’auteur : J’ai ici la gentillesse de vous retranscrire une version intelligible de l’expression, prononcer ce jour-là en hurlant par une horde de nain fou de rage et fortement éméché, je vous laisse imaginer). Je vous passe les détails de l’altercation, mais au final la garde est intervenue, ils ont essayé sans grand succès d’arrêter les nains. Moi, j’étais tranquillement assis à une table occupée à siroter ma bière chèrement acquise et à éviter les projectiles qui volaient en tous sens. C’est là que j’ai eu une idée, utiliser un sortilège d’apaisement pour pouvoir profiter en paix de la soirée. Sauf que le sortilège n’a pas vraiment eu l’effet escompté. Le sol c’est couvert de Jonquille, le tenancier a été changé en cochon et la moitié de la garde bêlaient en broutant le parquet devenus pelouse. Pour une raison que j’ignore toujours ce petit incident m’a valu quelque problème avec le reste de la garde, je m’en suis sortis de justesse avec l’aide des nains qui avaient miraculeusement dessoulé et retrouvé leur trésor, nous avons forcé le passage à travers le poste frontière et je les ais suivis jusqu’à leur cité d’Ultharik où l’on entreprit de se faire oublier un moment. Je vous l’avais dit, rien de plus banal.

    Chronique d’un voyageur.

     

     

     

    Equivalent Rp d’une candidature citoyenne :

     

     

     

     

    J’ai pas mal réfléchis, je crois qu’il est temps pour moi de vous expliquer un peu qui je suis. Si vous avez déjà parcouru ces pages vous devez savoir que j’ai eu beaucoup de nom au cours de ma vie, vie qui est d’ailleurs anormalement longue. Je ne suis pas du genre à m’étaler sur ma vie privée, c’est une sorte de principe, mais je dois reconnaitre que sur certain point les questions que vous pouvez vous posez sont plutôt légitime.

    Vous savez surement déjà que je ne suis pas né sur les terres de vôtres empire, mais dans une lointaine cité, Embrume. Pour un certain nombre de raison, lié à une situation familiale des plus complexe j’ai dut quitter ma ville natale à l’âge de dix-sept ans pour ne jamais y retourner. J’ai pensé plus d’une fois à rentrer chez moi, mais je me suis rapidement aperçus que cette appellation n’avait pas grand sens. Quelqu’un m’a un jour dit que chez soi c’était l’endroit où l’on se sentait bien et où l’on voulait retourner. Or je n’ai pas particulièrement envie de rentrer à Embrume, je pourrais pourtant, mes ennuis sont morts depuis longtemps, il ne reste plus personne dans la cité pour se souvenir de mon nom et encore moins de mon visage. Sauf que voilà, au fil du temps j’ai beaucoup voyagé, j’ai découvert de nombreux endroit merveilleux et si la bibliothèque de mon enfance reste l’un de mes lieux favoris je pense que je ne suis chez moi que dans l’exploration. Et puis, si je la revoyais cette belle cité, cette grande bibliothèque chargée de souvenir j’ai peur qu’elle ne perde de sa magie, j’ai peur de ne pas retrouver entre ses murs les merveilles que je percevais jadis. En bref si je chéris le souvenir de ma ville natal je ne souhaite pas le corrompre en y retournant, je resterais loin afin que la magie demeure.

     

    Dans mon enfance j'ai reçus une formation magique rigoureuse, doublé d'une solide base de connaissance dans tous les domaines possibles. J'ai toujours aimé accumuler la connaissance et ce même si parfois il aurait été mieux pour moi de m'abstenir. J'étais un bon étudiant et je n'avais aucun mal à retenir formules et rituel, seulement voilà le don je ne l'avais pas et je n'aurais jamais été l'un des grands mages de ce monde. Ce constat je le fis assez tôt dans ma vie, vers quinze ans je compris que l'excellence n'était pas à ma portée, ça m'a fait mal je dois dire. C'est donc pour cela que j'ai pris une décision idiote. Il existait dans la bibliothèque d'Embrume, comme dans toutes bibliothèque magique qui se respecte, un étage interdit, plein de livre qui ne devaient être ouvert sous aucun prétexte. Vous vous doutez probablement de ce qu'il s’est passé, j'ai mis le nez dans un bouquin que j'aurais mieux fait de ne pas ouvrir. J'avais confondu, livre ne devant être ouvert sous aucun prétexte avec livre pouvant être ouvert avec un bon prétexte et encore que le miens n'étais pas excellent il s'agissait seulement de renforcer mon pouvoir pour accomplir mes rêves de grandeurs. Enfin bref, j'ai réussis non sans mal à m'introduire dans la bibliothèque secrète, j'ai fouillé les étagères à la recherche du livre qui me paraissais le plus correspondre à mon besoin. J'ai choisi un bel ouvrage, avec une couverture en cuir et une reliure en métal. Il était cadenassé comme la plupart des ouvrages de ce lieu et on pouvait lire dessus écris en lettre dorée : Les seize sortilèges du très grand magicien Archibald Schmuphtz. Ce nom me disait quelque chose et pour cause, Archibald Schmuphtz était l'un des plus grand archimage du royaume, mort il y a bien longtemps. Ca légende voudrait qu'il n'était qu'un mage ordinaire sans grand talent jusqu'à ce qu'il découvre un secret, un secret qui lui avait permis de créer ses seize sortilèges légendaires. Le parallèle avec mon propre cas me frappa immédiatement, ce livre contenait peut-être le secret du vieil archimage, le secret qui permettait de passer outre le talent. J'ai donc embarqué le livre, je suis remonté dans ma chambre et évitant la garde et le vieil Erborn qui m'aurait à coup sûr donné une punition à la hauteur de ma bêtise. Une fois entré dans ma chambre je refermais la porte à clef et me cachait dans un coin, comme un enfant ayant volé une boite de chocolat aux cuisines. J'hésitais longtemps à ouvrir le livre, après tout je savais pertinemment que cela pouvait être dangereux, un grimoire est par nature instable. Mais, alors que le matin pointait à l'horizon et que mon larcin serait bientôt découvert je me décidais enfin ouvrir le livre. A partir de là mes souvenirs sont flous, je ne sais pas exactement ce qu'il s’est passé et ce que je vais vous dire m'a été raconté par un témoins de l'évènement. Il y eu une formidable éruption de magie qui me toucha de plein fouet et qui fit voler en éclat toutes les vitres du château, Erborn s’est précipité vers ma chambre et est parvenus à refermer le grimoire. J'étais inconscient, les yeux vitreux et complètement paralysé, raide comme un bout de bois.

    Ca a fait un sacré scandale vous pouvez me croire, mais ce n'était pas le pire, mes actes avaient eu deux conséquences. Erborn avait été durablement affecté après sa lutte pour refermer le grimoire, je me suis toujours dis que ça mort, deux ans plus tard était de ma faute. Deuxièmement et ce fut gardé secret, seul Erborn et moi étions au courant, un sortilège c'était échappé du grimoire et c'était logé dans mon esprit. Malgré de nombreuse tentative pour le chasser le sort refusait de bouger, sa présence avait rendu ma magie hautement instable, j'avais le plus grand mal à maintenir les sorts les plus simple et ceux-ci avait parfois d'étonnant effet secondaire. Erborn qui sembla me pardonner assez vite mon erreur entreprit de m'apprendre à assumer le sortilège, je parvins petit à petit à mieux maîtriser mes pouvoirs mais j'étais toujours loin de ce que je pouvais faire avant l'accident.

    Il y avait en outre des effets secondaire un peu plus plaisant, déjà il semblait que le sortilège ne mette jamais ma propre vie en danger, quand je ratais un sort il ne m'arrivait jamais rien, contrairement à tout ce qui m'entourait. Je découvris également lors d'une tentative d'assassinat que le sortilège me protégeait des dangers extérieurs, après plusieurs expériences il s'avéra claire qu'il me sauvait toujours la vie. Le dernier effet que j'ai pu constater est que le sortilège semble m'avoir rendu parfaitement immortel, à l’âge de 25 ans je cessais de vieillir. C'est pourquoi j'ai pu visiter votre empire deux fois, la première était il y a maintenant plus de 315 ans et je suis en train de vivre mon second voyage parmi vous. Quant à moi je fêterais bientôt mes 512 années sur cette terre. Quelque part le sortilège m'a effectivement rendu plus puissant, le temps n'a plus d'emprise sur moi et il semblerait que rien ne puisse me tuer, en tout cas jusqu'ici. Ainsi et malgré une magie toujours instable je suis devenus l'un des mages les plus puissant qui soit, dommage que pour pouvoir être efficace je doive risquer ma vie, dommage également que je ne puisse pas décider de quelle façon je serais sauvé.

     

    Chroniques d'un voyageur.

     

     

     

     

    Information sur mes commerces :

     

     

    Mes prix :

     

    Verre colorée 0.1 Pa bloc, soit 6.4 Pa stack. 

    Verre à croisillon : 0.7 Pa bloc, soit 44, 8 Pa stack. 

    Lanterne de Glowstone pure : 4 Pa bloc, soit 256 Pa stack. 

     

    Mon objectif :

     

    Le shop de Nevah devrais proposer tous les items de la spé, celui en capital sera spécialisé dans les verres à croisillons, en plus des classiques Blanc et Gris, il s’agira de proposer des coloris un peu exotique, le tout pour faire en sorte que toute les couleurs soit trouvable en capital. Enfin dans les autres projets je vendrais ce qui paraitra nécessaire sur place.

     

    Visuel de mes commerces :

     

    Stendel, quartier souffleur de verre : 

     

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    Nevah, commerce type, quartier de la gare (Je ne sais pas vraiment ce que sera mon commerce à Nevah, c'est donc un screen du shop de Quentholmes). 

     

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    Mon Rp :

     

     

     

     

     

    En tant qu’érudit j’ai toujours beaucoup apprécie l’alchimie, l’herboristerie et la science des potions, jouer avec les ingrédients, les dosages, la température tout cela m’a toujours beaucoup plus. La moindre modification dans une recette peu altérer totalement les effets, il faut être précis, alors seulement on peut obtenir des résultats magnifiques. L’art des potions n’est pas la forme de magie la plus apprécié et pratiquée, elle peut cependant s’avérer très puissante, c’est grâce à cet art que l’on peut créer la plupart des phylactères, objet infiniment puissant s’il en est. J’ai beaucoup pratiqué cet art, mais il s’avérait dangereux pour quelqu’un comme moi, je ne risquais pas de mourir, non. Mais ma magie était très instable et l’art des potions tout comme l’alchimie demande d’infuser le pouvoir avec une précision et une régularité extrême. Alors même si ce domaine me passionnait particulièrement et que j’avais accumulé en la matière une grande expérience théorique, il était clair que je ne pourrais jamais produire quelque chose de véritablement extraordinaire, or comme vous devez déjà le savoir cher lecteur, je ne me contente jamais du passable et du correct, quoi que je fasse j’exige de moi-même le meilleur. Si je vous raconte ça c’est parce qu’il y a peu je me suis souvenu d’une chose que j’avais apprise il y a très longtemps, un domaine de recherche que j’avais délaissé et que je viens de redécouvrir.

     

    Lors de mon précédent séjour sur les terres de Stendel j’avais rencontré un vieil homme, il doit être mort aujourd’hui, paix à son âme. Ce vieux fou m’avait enseigné les rudiment d’un artisanat des plus intéressants. Il parvenait à faire naître du sable et de quelques pots de colorant des formes merveilleuse aux couleurs fascinante qui flottaient dans des objets en verre. Bien sûr nous sommes bien loin des créations magiques dont je parlais précédemment, mais il y a un certain nombre de point commun, l’importance du mélange et de la minutie, la beauté du résultat. A l’époque je n’étais honnêtement pas très bon, mes créations étaient correctes, mais malgré des dosages impeccables il me manquait quelque chose, quelque chose que je ne pouvais pas avoir en ce temps-là. La créativité, voilà qu’elle était l’élément essentiel qui m’avait échappé, j’avais assimilé sans mal tout l’aspect technique de la discipline mais jamais je n’avais pu concurrencer le vieil homme dans son domaine, je n’avais pas son talent. Je n’ai compris que récemment pourquoi ça n’avait pas marché, je traitais son art comme je traitais celui de la création de potion, je le voyais comme étant mathématique et régulier, je suivais ma recette sans m’en écarter, en bref mon travail était des plus impersonnel. C’est pourquoi je me suis relancer dans l’étude de cet art, en abordant tout cela sous un nouvel aspect, les gestes techniques je les avais déjà, maintenant il fallait laisser libre court à mon imagination.

     

    J’ai donc commencé à jouer à l’alchimiste, j’ai mélangé des dizaines de colorants, distillé des centaines de plantes. Je traitais chaque ingrédient de mon futur verre comme celui d’une potion, il fallait la meilleure qualité possible, oui, mais pas seulement. J’ai multiplié les expériences et mit au point une technique qui m’étais propre, avec un traitement préalable de chaque colorant pour faire ressortir ses qualités propres. Prenons le colorant rouge par exemple, on utilise traditionnellement une fleur rouge qui une foi pressé donne une épaisse pâte de la même couleur, la plupart des gens utilise la pâte tel qu’elle et c’est là qu’ils font une grossière erreur. Car en utilisant une pâte végétale pour colorer du verre on prend le risque de ternir la couleur lors de la cuisson, de la même manière le tenu du colorant est loin d’être parfaite. C’est pourquoi j’ai décidé de traiter cette pâte, de la saler, de la laisser reposer et également de la mélanger avec de petite dose de pigment minéraux. Le sous-sol de ma maison de Nevah c’était rapidement transformer en un atelier d’expérimentation, il régnait dans la pièce une perpétuelle odeur de brûlé, car toutes les expériences ne se finissaient pas bien. Il me fallut plusieurs années pour être satisfait de mon travail, pour dire la vérité je n’ai rien réalisé de sérieux avant d’avoir créé les meilleurs ingrédients.

     

    Après toutes ces années de recherche je mis enfin au four ma première création, pour le moment je m’étais limité à une plaque de verre bleu roi. Une fois la cuisson terminée j’observais la plaque avec insistance, la couleur n’était pas parfaite, il devait manquer d’un peu de rouge, un tout petit peu de rouge pour souligner la profondeur du bleu. Je recommençais donc une nouvelle plaque, puis une autre et encore une autre. A chaque fois je lui trouvais un défaut, au bout du centième essai toujours aussi infructueux il me vint une idée et si j’essayais d’infuser mon verre avec de la magie ? Juste un petit peu, pour voir. Peut-être que cela lui donnerait ce petit quelque chose que je ne parvenais pas à définir mais qui manquait à mon travail. J’entrepris d’abord d’infuser les plaques déjà réalisées, mais elles se brisaient toutes dans l’opération. Ensuite j’eu l’idée d’infuser les ingrédients séparément avant la fusion, mais la magie, trop instable altérais mon difficile travail de sélection et de mise en valeur ce qui gâchait grandement le résultat. Il ne restait alors qu’un seul moment pour effectuer mon infusion, pendant la cuisson, quand le verre était encore en fusion. C’était la première solution que j’avais envisagé mais elle n’était pas pratique pour une raison simple, ma magie étant instable je risquais de perturber la température et la pression, perturbation qui pouvait altérer le verre mais surtout projeter des gerbes de verre en fusion. Inutile de vous faire un dessin, il valait mieux ne pas être trop près dans ces cas-là, malheureusement pour infuser il faut être très proche. Or si je risquais d’être sérieusement blessé le sortilège me sauverais, mais je ne pouvais pas savoir comment il le ferait, il pourrait me téléporter au loin, désintégré la sale ou simplement dévier les projections. Après expérience il s’avéra qu’il choisissait alternativement l’une ou l’autre des solutions. Autant se faire téléporter à 30 lieux de chez soi, trois fois par jour était pénible, autant désintégré la moitié de mon sous-sol de façon trop régulière commençait également à être fatigant. Sans compter les coups de rénovation, la municipalité n’appréciait guère les explosions et la disparition régulière de certains tuyaux d’évacuation des eaux qui passaient le long de mon laboratoire, en partie à cause des inondations nauséabonde qui s’en suivait. En dehors de ça le résultat était époustouflant, le verre prenait des teintes magnifiques et de subtil reflet irisé mettait parfaitement en valeur les couleurs, ils obtenaient en outre certaines caractéristiques magique intéressante.

     

    Ma position était donc compliquée, j’avais enfin réussit à trouver un protocole idéal pour mes créations mais je ne pouvais pas m’en servir sans risquer d’être exproprié et de dilapider ma fortune. J’avais déjà reçu une convocation de la part du consul de l’architecture afin de m’expliquer sur cette histoire de canalisation, ce serais déjà suffisamment difficile de le convaincre de ne pas me faire payer les réparations, je ne pouvais pas espérer obtenir le droit de continuer à pratiquer mes petites expériences. Sans compter qu’il valait mieux éviter d’attirer les autorités dans mon sous sol, car faire exploser du verre en fusion n’était que l’un de mes passetemps dangereux et probablement le plus moral.  Pour ce fameux rendez-vous chez le consul je pris la décision, un peu au dernier moment d’emmener avec moi un échantillon de mon travail, je sélectionnais un objet au hasard et l’embarquais. C’était une flamme d’une vingtaine de centimètres de haut, une belle réussite si je puis me permettre, l’imprégnation avait ici permis de faire ressortir certaine couleur, qui semblait varier légèrement d’intensité quand on les fixait. Je vous passe les détails du rendez-vous, sachez simplement que le montant des réparations exigé était exorbitant et que si j’ai encore les moyens de m’acheter à manger aujourd’hui c’est surement grâce à la flamme en verre. Elle a beaucoup plus au consul, un homme de goût si vous voulez mon avis, il m’a demandé de la lui laissé et m’a proposé un marché. Si je parvenais à honorer une commande pour la ville qui me parviendrais sous peu, avec la même précision mais sans engendrer plus de destruction il trouverait un arrangement pour effacer ma dette. J’acceptais, bien entendu, je n’avais pas le choix après tout.

     

    Quelques jours plus tard la commande est arrivée, un immense vitrail pour la façade de la future citadelle. Il n’y était pas allé de main morte avec sa commande, le motif était compliqué et la surface très importante, bien plus que tout ce que j’avais pu faire jusqu’ici. Un vrai défi, sans compter l’interdiction de faire exploser les sous-sols de la ville, effet secondaire que je n’avais toujours pas réussi à régler. Heureusement pour moi la solution me vint quelques jours plus tard, il suffisait d’infuser une solution chaude et de la verser chargée en magie dans le verre en fusion. La solution chaude avait moins tendance à exploser, car étant plus liquide elle relâchait en permanence la pression tout en restant stable, de plus la température plus basse ne constituait pas un danger important ce qui permettait de ne pas faire réagir le sortilège. Cette solution s’appelait un tombeau, elle était utilisée pour fixer la magie d’un objet, en plongeant un artefact dans un tombeau assez puissant il perdait son pouvoir et la potion l’absorbait. J’utilisais personnellement sa capacité de stockage de la magie et son aptitude à la libérer en douceur à haute température. Il me fallut près d’un mois pour compléter le vitrail, mais le travail avait porté ses fruits, il était parfait, la magie permettait de projeter des formes nettes quand les rayons du soleil traversaient le vitrail. J’eu donc un nouveau rendez-vous avec le consul, pour faire valider ma commande et faire annuler ma dette, il semblait très satisfait par mon travail et je ne pus m’empêcher de remarquer que ma flamme trônait sur son bureau, bien en évidence. Au terme de la réunion il effaça ma dette, alors que je sortais de son bureau, satisfait il m’arrêté et me tint à peu près ce discours.

     

    Vous savez, je pense que vous avez un vrai talent. Cette flamme, j’ai l’impression que vous avez enfermé une nuée de lucioles à l’intérieur. Ce n’est peut-être qu’une impression, mais votre travail à l’air vivant, il est en mouvement. Vous devriez réfléchir à vendre vos services, bien sûr ça demandera du travail et il vous faudra une licence, mais je suis sûr que ça marchera.

     

     

    J'y penserais, mais le travail manuel n'est pas mon fort, j'ouvrirais peut-être un atelier avec des apprentis. Je préfère créer mes couleurs et mes recette et laisser à d'autres le soin de passer des heures dans le sable et la sueur devant les fours. Je ne réserverais mon temps qu'a de précieux ouvrages, je n'ai ni l'envie ni le courage de m'enfermer dans un atelier pour les besoins du commun. 

     

    Je me doutais que vous diriez ça, vous réagissez parfois comme un grand seigneur, il vous faudra un jour mettre cela ua claire, monsieur le voyageur. Qui êtes-vous vraiment ? 

     

    Qui sait !

     

    Ces paroles en tête je rentrais chez moi, je n’avais jamais envisagé de faire partager mon art, ou plutôt ce n’était plus arrivé depuis plus d’un siècle. Mais pourquoi pas après tout, cette fois je pourrais être fier de mon travail. 

     

                                                                                                                                                  Chroniques d’un voyageur. 

     

     

  10. Le Voyage au bout du monde, ou la folle histoire d'Ozuom. 

     

     

    Note de l'auteur : Le livre que vous tenez entre les mains est une traduction, une mise à niveau dans un langage moderne et accessible pour tous d'une très vieil histoire. Cette histoire fut écrite en des temps immémoriaux par deux hommes, ils travaillèrent ensemble longtemps pour consigner les "faits" de cette étrange épopée, mais il semblerait que seul l'un des deux est participé à la fin de l'ouvrage, le nom de l'autre semble se perdre dans le temps.

     

     

    [hrP] Cette histoire je l'ai écrite il y a longtemps avec une autre personne et retravaillée récemment. Il se faisait appeler Papy Mouzo, il était un peu fou. La version actuel est la mienne, mais certains personnages et certaines situation ne sont pas de moi à l'origine. Il ne s'agit pas de plagiat ou de détournement, mais simplement du partage d'un travail commun. Je la ferais paraître en format épisodique, de la même façon qu'elle avait été pensée à l'époque. [hrP]

     

     

     

    Très loin, dans le sud lointain, lors d'une matinée brumeuse comme souvent en ces contrées, une étrange trainée de poussière se dessinait en bas des montagnes. Devant elle, un vieil homme maigrichon à la barbe grisonnante et au visage ridé et rubicond portant un lourd et encombrant paquet, courrait. Au premier coup d’œil, vous lui donneriez 70 ans. Après une observation plus attentive, au vue de sa course rapide, vous lui en retireriez 40 ans.

     

    En partie caché dans l'épais mur de poussière, une dizaine de bêtes à cornes aussi laineuse que massive, semblaient charger le drôle de personnage qui parvenait à maintenir la distance.

    " - Bigre de bougre de foutre dieu de toumons! *Pfff pfff* Tout ça pour un peu de *pfff pfff* laine. Plus jamais je *pfff pfff* ne les cherch... et mer...! ", lâcha-t-il avant de se ramasser sur le sol dans un plongeon parfait pour finir de dégringoler la pente en roulé-boulé. 

    Sa roulade s'arrêta cent mètres plus bas, contre un rocher fièrement dressé. Le paquet quant à lui continua sa route sur l'herbe humide pour terminer sa glissade dans un équilibre précaire au bord d'un ravin. Légèrement sonné, le vieillard se redressa lentement, courba son dos pour craquer quelques vertèbres qui avaient eu la mauvaise idée de se déplacer suite à l'impact. Il ramassa son bâton de marche en grattant distraitement son crâne chauve d'un doigt squelettique rongé par l’arthrite. Il se mit instinctivement à bougonner, réflexe classique à son âge avancé quand on est de mauvaise humeur, après une chute aussi douloureuse que ridicule par exemple. Mais bien vite il retrouva ses esprits et ni une, ni deux, se souvenant de quelque chose d'important, il sauta sur place à la recherche de ce qui lui manquait. Son regard ahuri tomba alors sur le paquet qui reposait en équilibre à une cinquantaine de mètre de là.
    Il parvint à rejoindre le colis en un temps étonnamment court pour un homme de son âge, il confondit cependant peut être vitesse et précipitation car sauter sur ce dernier pour le récupérer ne semblait pas être d'une extrême intelligence.

     

     

    A ce stade de l’histoire vous êtes en droit de vous demander comment en est-on arrivé là et bien sachez que c’est une question fort légitime à laquelle vous n’aurez pas de réponse avant quelques temps. Cependant la dites réponse est passionnante, vraiment dommage que je ne puisse pas encore vous en parler. Bref, où en étions-nous ? Ah ! Oui, notre brave vieil homme vient de sauter pour récupérer son paquet, malheureusement pour lui-même en ces contrés lointaines quand on percute un objet on le fait reculer. Si l’objet est au bord d’un ravin la gravité fait le reste, voyez-plutôt.

     

     

     

    Il suffit d'une légère poussée pour que le vieil homme et son paquet quitte tous deux le plancher des bisons (Bison qui d’ailleurs ne sont plus très loin) et se retrouvent à dégringoler dans le ravin, en direction de ce qui devait être un torrent en effervescence. Le vieil homme se contorsionna en essayant de viser entre deux pierres, ce fut une réussite, la seule jusqu’à présent. 
    Ce saut acrobatique suivi d'un plongeon plaqué aurait mérité une bonne note en présence de juges, malheureusement il n’y en avait pas. Il n’y avait au fond de ce ravin qu’un couple de truite, qui n’avait pas un grand sens de l’art du plongeon et qui ne pouvait apprécier la performance à sa juste valeur. Ce qu’elle savait apprécier par contre c’était le fait qu’une créature nauséabonde venait de piétiner leur œufs en essayant de remonter à la surface. 

     

     

    L’observateur attentif aurait remarqué que ce vieux fou venait de détruire la dernière couvé des deux dernières truites bicéphales du monde, causant ainsi l’extinction définitive d’une espèce. Bien que celle-ci ne manquera probablement à personne l’extinction de cette truite est la première conséquence d’une longue liste, en lien avec ce voyage de fou.

     

     

     

    Bien entendu, ce n'était pas là la préoccupation première de notre protagoniste, qui mine de rien tentait de nager avec sous un bras son paquet, et dans l'autre main son bâton. La robe en tissus épais n'aidant pas, il se retrouva vite à essayer d'apprendre à respirer sous l'eau. Malgré une capacité de survie et d'adaptation qu’il savait hors norme notre homme doutait profondément de la réussite de cette dernière entreprise.
    Heureusement pour lui, ou malheureusement car tout n'est toujours qu'une question de point de vue, la cataracte qui terminait le torrent allait l'aider à sortir la tête de l'eau avant qu'il n'ait des branchies.
     

    Maintenant je vous invite à prendre un peu de recul pour admirer l'élégance avec laquelle ce personnage malchanceux est expulsé du cours d'eau, son visage s'illumine quand l'air envahit ses poumons, jusqu'a ce qu'il s'aperçoive pour la deuxième fois en moins de trente secondes que la gravité reprend toujours le dessus. Les quinze mètres de chute furent bien entendu amortis par l'eau en contrebas, mais bon, reste qu'une chute de quinze mètres se terminant par un glorieux plat sur le dos n’est jamais agréable, particulièrement quand on est sujet au mal de dos.

    C'est avec le plus grand mal que le vieillard parvint à s'extirper de l'eau salvatrice. Une fois au sec il entreprit de rassembler ses bien, rien ne semblait avoir été perdu, tout était trempé mais dans l'ensemble rien de grave. C'est en chassant une mèche de cheveux blancs de devant ses yeux et après une longue inspiration qu'il se fendit d'une petite phrase historique : 

    " - D'aaaccord. Elle débute merveilleusement bien cette quête. Mais foie de manticore, j'arriverai à mes fins ou alors c'est que j'm'appelle pas Ozuom ! Bon, où aller maintenant ? dit-il en scrutant le paysage forestier, Et bien... par là. T'en penses quoi le fardeau ?"

    Sur ces derniers mots, le vieux personnage s'approcha de la chose empaquetée qu'il c'était donné tant de mal à récupérer. Il desserra un cordon, libérant ainsi le visage d'un jeune homme livide, au regard perdu dans un autre monde. Le visage ridé s'approcha du jeune comme pour le scruter après quelque seconde il leva un sourcil interrogateur puis sembla se renfrogner visiblement déçu. 

  11. J'ai du rater une étape... Qu'est-ce que je viens de lire exactement ? Qu'est-ce que David et Junie ont fait ? Quel quantité d'éthanol pur était en jeu ? Pourquoi une réponse de Valeeryah à une candidature Névaine comme à une présentation de paysan ? Tant de question ! 

     

    Et ce Rp qui n'a aucun sens, c'est artistique à ce niveau ! 

     

    Plus sérieusement et malgré les apparences Kipik est un joueur sérieux, très investit à Nevah, bon architecte et toujours serviable (par contre il est nul en Rp). Je recommande donc son âme à Phos et soutiens sa demande de citoyenneté. 

     

    PS : Dans son cas plusieurs Tundrah successive me semble de mise, il va falloir purifier sévère pour effacer ce Rp de ma mémoire. 

     

    EDIT : Bon après une soirée avec Khantyer à aider Kipik sur le Rp, celui-ci est déjà plus présentable. Mais la version original c'était n'importe quoi. 

  12. Nous profitons de la clôture de la semaine d’event des 6 ans de Nevah ainsi que de cette fin d’année 2016 pour rendre publique l’un de nos plus gros projet, projet sur lequel nous avançons depuis plusieurs mois, projet qui eu pour nom de code “le gâteau et son accompagnement” ou encore “le menu”, projet qui n’est d’autre que : La rénovation totale de la citadelle de Nevah.
     
    En effet, la dernière rénovation de la citadelle de Nevah date de l’été 2011. Cette rénovation avait été opérée à l’époque par le consul de l’architecture Piedplat afin de donner plus de hauteur à la ville et à la mettre au niveau des constructions de l’époque.
     
    Passant de la 1ère citadelle réalisé selon les plans d’origine de Nairod88 (1er duc de Nevah) :

    Antheak-nevah-1024x602.png


    Aux plans suivant :

    306e265c-6f26-475c-bf0d-6d58403267a9.jpg


     
    Style architectural en avance sur son époque, la citadelle aura tenu de nombreuses années dans un style propre. Mais avec le temps, l’apparition de nouveaux blocs et l’évolution du style architectural Minefieldien, comme Nevain, le poids du temps s’est fait de plus en plus sentir.
     
    C’est ainsi que ce projet de rénovation fut évoqué pour la toute première fois par Choup, en mars 2015. A l’origine le projet avait pour objectif de rénover seulement l’aspect extérieur des murailles. Et petit à petit, de fil en aiguille, l’objectif du projet s’est vu grandir pour atteindre la rénovation complète de la citadelle. La longue période de gestation du projet, presque un an et demi, s’explique par ce changement d’échelle dans les rénovations et par l’ampleur du chantier, en effet la citadelle à été entièrement réalisé en amont, jusqu'à la moindre maison ou la plus petite fontaine (Oui on aime les détails).
     
    Ci-joint, un premier aperçu de projet :
     
    L’entrée de la citadelle extérieure :
    988409tempnev1.png
     
    Petite vue de l’intérieur :
    817424tempnev2.png
     
    La vue extérieure du château :
     
    583655tempnev3.png

  13. Pour t'as philatélie Névaine mon cher Sky voici " Si tu donne une carotte à un lapin c'est qu'elle est empoisonné". 

     

    En effet les lapins sont interdit sur le territoire Nevain, leur présence est passible de mort ou de renvois à la frontière, la mort étant souvent préféré par soucis de simplicité. 

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