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  1. Bibliothèque Symienne Vieux manuscrits exposés dans la bibliothèque. Des copies sont accessibles à la lecture. Galerie des Portraits par Lordmick Géographie Arts Contes et légendes économie industrie technique Journaux de bord Section Marine Proverbes Fables Comptines Romans Alchimie Recettes Magie Poèmes Classification et thèmes de la bibliothèque par @Squirkiz Si vous voulez donner des livres à la bibliothèque n'hésitez pas à prendre contact. Symia est intéressé par une grande variété de livre Il existe plusieurs entrées ainsi que des salles différentes n'hésitez pas non plus à demander une visite en jeu.
  2. J'ai hésité à poster ce topic dans la catégorie suggestion mais après moulte réflexion (non) il convient mieux ici je pense. Alors voila c'est assez simple, la bibliothèque de stendel et celles des projets du serveur de manière plus générale sont énormément vides. Non pas car il existe un désintérêt pour la chose, car les histoires où role-play de joueurs ce n'est pas ça qui manque, pas plus que les bibliothèques en fait. Non moi ce qui me gêne c'est l'utilisation extrêmement dure du livre éditable.. Peut-être suis-je le seul hein.. d'où ce topic Après encore des semaines de réflexion (non) je me suis rendu compte qu'il était possible via les blocs de commandes d'avoir directement de beau livres complets, sans se fatiguer.. Du coup ne serait-ce pas intéressant de permettre au joueur d'accéder à la chose? Via par exemple un formulaire à remplir avec le texte complet sur le forum ? Où en ne rendant pas la choses accessible à tous mais en remplissant la bibliothèque de Stendel avec des histoires RP choisie sur le forum? Voilà, je retourne farmer du bois en attendant des réactions
  3. Hrp : Sans plus attendre et grace à ma fièvre du Rp, je lance une les premières lignes de l'histoire de mon Narrateur. (Bien sur si vous êtes jamais passé par la Traverne'Ciel vous devez pas masse savoir qui sait, au besoin je ferais un encadrer ^^) Cette histoire peut se passer n'importe ou dans ma ligne temporelle de Rp (toute fois quand même après la création de la Traverne'Ciel) Bref c'est cour, épisodique, et je devrais théoriquement devoir sortir une suite plus souvent qu'un WTC ou un Gorafield *fuis* Bref sans plus attendre, le premier épisode de votre téléfilm ! Voyage au cœur d'un songe Comment commencer à narrer l'histoire de celui qui n'en avais pas il y a peu. Je Commencerais par vous parler du personnage principale de cette histoire : Le Narrateur. Pendant une seconde je suis sur que vous avez cru que c'était lui qui narrait encore cette fois. Non, il ne peut pas narrer son histoire, quoi qu'il la fait ? tout ceci reste confus même après des années à le côtoyer, ou alors était-ce une minute ? Quoi qu'il en soit le Narrateur est une être complexe, Immortel, Intemporelle et c'est lui qui narre les histoire, rien que ça. La première fois que je l'ai vu je vous raconte pas les questions que je me suis posé, peut être une autre fois. Il en reste que je vais vous raconter un lundi, il déteste le lundi, peut être pour çà qu'aujourd'hui ce sera moi qui vous raconterais cette histoire, bref un lundi. Un lundi banal en apparence, nous étions dans ma Glacerie, et pour une fois j'avais quittez mon bureau pour allez en bas discutez de choses et d'autres avec mes clients préférés, entre autre le Dragonnier, un élémentaliste, Pencroff et quelques uns des membres de sa gardes, il y avait aussi un musicien rôdeur tout vêtu de brun un dragon et un chaton. Ce lundi banal ne l'était qu'en apparence pour un non initié ou non-habitué de mon établissement, en effet aucun soucis, tables renversés, nez cassés, pingouin géant et autre colonnes de terres de cinquante mètres de haut. Ce n'était pas pour me déplaire, à force de rixe et d'incidents, la glacerie souffrait d'une réputations que je n'avais pas prévu en mettant l'enseigne. Nous rigolions en discutant autour de bonnes glaces et rafraichissement, mais ce n'était pas çà qui m’embêtait, ce qui me dérangeait c'était mon ami le Narrateur qui souffrait depuis quelques jours de mélancolie. Il passait ses journées à envoyer son plateau courir après une commande, et le reste de son temps il le passait à regarder un tableau étrange. Même en le côtoyant depuis plusieurs mois je ne me rappelez pas avoir déjà vu se tableau. Il n'était pas grand ce tableau à peine la taille d'un livre classique. Il me semblait évident que c'était ce tableau qui le plongeait dans cette état. Je tentai par plusieurs fois d'observer ce qui se trouvait peint sur ce fameux tableau, mais aucune moyen de l'observer. Le Narrateur à pour habitude de ne rien laisser trainé, si bien que si vous ne le voyez pas à un endroit aucun moyen de savoir si il y est passé. Il ne laisse jamais un objet personnel sans surveillance, et c'est pour cela que j'ai cru pendant longtemps qu'il venait du néant, aucun passé connu, aucun présent à moins de se rappelez de lui, chose rendu ardue par son aspect passe-partout, il ressemble typiquement à l'homme auquel personne ne fait attention. Il garde ses rares effets personnel dans des poches prévue à cette effet dans sa veste, je n'ai donc eu comme autre solutions pour tenter de comprendre son état que de lui demander de me montrer se tableau. Encore aujourd'hui malgré notre raffuts il restait impassiblement triste en buvant sa tasse de thé et en regardant ce tableau. - Peux tu me montrer ce que c'est ? Il sembla hésité à me le montrer mais au final il me le tendit après quelque instant. Je fus surpris d'y trouver le portrait d'une jeune femme, au cheveux rose vetu d'une robe bleu et blanche, un léger nœud également bleu dans les cheveux et au regard triste. Je posa sans attendre la question évidente : - Qui est-ce ? Il soupira pendant quelque seconde avant de me répondre d'une manière douloureuse : - Mon Échec ... Bientôt la suite des Chroniques d'une rencontres inattendue, un autre de mes télé-crochet à sucés ! (laisser moi y croire)
  4. Hrp : Bonjour cher lecteur, aujourd'hui je dévoile l’inattendue Histoire que va mener mon Ciel pendant quelque temps. J'ai pas mal de manuscrits dans un coin de mon bureau, fallait que je les couches sur du papier ^^. Chronique d’une rencontre inattendu Toute histoire à un début, cette histoire à un commencement également, mais il a été oublié. Cette histoire parle d’une légende, une légende devenu un mythe. Et ce mythe que nous n’aurions pas du oublier fut perdu dans les limbes du passé. Les limbes aiment pourtant parfois faire ressortir de leurs entrailles ces histoires, et avec elle le destin du monde peut s'en retrouver modifier. Toute l’histoire partie d’une promesse fait à ma mère peu de temps avant sa mort. Elle me paraissait insensée et sans fondement comme déclamé par un fou, mais ma mère, même mourante n’aurait jamais sombré dans la folie. Cette promesse, je l’accomplissais tous les jours en attendant patiemment du zénith au coucher du soleil en restant assis en place public calme et alerte. Tel était la promesse fait à ma mère, une attente éternelle, mais en l’attente de quoi ? Tous les jours alors je quittais mes terres pour venir supporter les sarcasmes des passants, les moqueries habituelles et continuelles des nains. Peut-être attendais-je pour rien, peut être tentais-je désespérément d’atteindre une chimère. C’était tout fois mon lot quotidien, autant un fardeau qu’une envie d’attendre l’inattendu. Aujourd’hui c’était un jour calme, plus calme que le jour où on avait dû combattre un pingouin géant. Il faisait un temps clément aujourd’hui et le centre-ville de la capitale d’habitude si bourdonnante de vie était calme. Rien ne passait ici à part une petite unité de la garde toutes les demi-heures. Un souvenir pour seul compagnie, j'attendais. Peut être était-ce un rêve, une vision résultat d’un choc, une ombre disparaissant derrière un arbre durant l’attaque du pingouin. Inexplicable aperçu, j’étais allez vérifier la zone après la mort du géant bicolore et aucune empreinte ni trace ne s’y trouvait. La neige était rester légère, aucune personne n'avait pu passer dessus sans s'enfoncer jusqu'au genoux. Une ombre similaire se répétait elle, aujourd'hui encore, en disparaissant au premier coup d’œil au différent coin de rue ? Une ombre suivi d’un petit rire provocateur. J’aurai du rester à attendre mais mon sang froid ne fit qu'un tour et je me levai pour la suivre dans la dernière ruelle ou je l’aperçu. Elle s’y trouvait effectivement droite mais confuse, une image trouble et lointaine. Plus je m’en approchais et plus la distance nous séparant augmenter. Le temps devint vite sombre pour venir éclipser le soleil. L’ombre avait disparu, la nuit venait de tomber, j’avais passé plusieurs heures à courir après un fantôme. Je regardais autour de moi, le soleil ne pouvait pas tomber sans que je ne m'en rende compte. Que se passait-il ? Je revins sur la place pour trouver une femme assisse sur le banc à coter du mien. Un silence impérial pesé sur ma marche lente pour m’asseoir à ma place habituelle. Aucun vent, aucun nuage, le soleil avait disparu et pourtant même si aucun lampadaire n’était allumé on y voyait parfaitement. En approchant je tentai de la jauger, ça venu n’était pas une coïncidence ; était-ce elle que j’attendais ? M’attendait-elle elle même ? Sinon que faisait-elle ici ? Elle portait une tenue de voyage d’un noir profond mêlé par endroit de gris. Un léger collier d’argent pendait à son cou et la qualité de couture de sa tenue m’apprenait qu’elle venait d’un milieu aisé, d’un autre coté je n’avais aucun moyen de distinguer si elle était armé. Elle lisait un livre avec un sourire non dissimulé et ses yeux étaient en parti caché par ses fin cheveux argenté qui lui pendait abondamment sur la nuque. Elle me mettait mal à l'aise mais je fis tout pour l'approcher avec un calme olympien et quand je fus assez près d’elle, j’entamai la conversation : - Que fait vous ici ? Elle ne détourna qu’à peine le regard pour me répondre - J’attends quelqu’un et ma question est : le trouverais-je un jour ? Ce pouvait-il que ce soit elle que ma mère m’avait demandé d’attendre ? Je rétorqua vite. - Et qui attendais vous ? - Cela ne vous dirais sans doute rien mais soit, j’attends le dénommé Ciel de l’antique famille Noir, Roi de son royaume et de ses sujets… Elle déterrait là un nom et un titre que je n’avais jamais revendiqué et jamais souhaité. Je demeurais impassible mais curieux de la potentiel suite des évènements. … Comme prévu je vois que ça ne vous dis rien, il aurait était difficile d’en être autrement il a dû changer de nom durant son exil. Si nous n’avons plus mots à nous dire je vous laisse. Elle se leva alors, rangea d’un mouvement agile son livre dans un plie de sa veste pour disparaître au coin de la rue avant que je n'ai eu le temps de bouger. Je me retournai pour revoir le soleil m’éblouir. J’étais dans la ruelle, étrange ruelle ou j’avais rêvé. Que venait-il de se passer ? Ça c’était réellement passé j’en étais certain mais pourtant … aucune trace ne demeurait désormais de cette femme au visage fin, aux cheveux d’argent et au rire si significatif. Tout c’était passé si vite et quand je reviens m'asseoir sur la place je ne pus m’empêcher de regarder là ou je cru l'avoir vu, en repensant à ce rêve ou c’était déroulé une rencontre inattendu. A suivre ...
  5. Le sang. Les morts. Toutes ces batailles, ces combats que j'avais mené. Pour en arriver là. Enfermé dans une prison de pavés ronds, que je ne pouvais même pas casser. Nous avions perdu. J'avais perdu. J'avais mené mon armée à la mort. C'est dur d'imaginer cela. Notre armée était la plus puissante du royaume. Une marine de centaines de voiliers, tous plus équipés les uns que les autres... Des dizaines de milliers de fantassins, entraînés chaque jour, à chaque heure. Tout. Perdu. Mon combat s'arrêterait là. Je serais pendu demain, moi, Yronusa. J'avais été trahis. Replaçons les dernières pages de mon histoire, si fournie, dans le contexte... "Tout se déroule dans des contrées cubiques éloignées de ce monde là. A l'époque, il était monnaie courante de faire guerre entre plusieurs clans entiers, où les morts ne se comptaient plus tellement ils étaient nombreux. Le but: La richesse, l'agrandissement de son territoire ainsi que devenir le plus puissant. Je dirigeais le bataillon n°13, le dernier mais plus puissant de notre armée. Nous avions pour projet d'envahir un concurrent qui commençait à faire parler de lui. Que nenni. Depuis le début, ils se tenaient dans l'ombre, cachés mais étant pourtant tout puissants. Ils nous ont cueillis comme des fleurs, à l'aide de pièges élaborés, nous emprisonnant ou nous tuant. Je pourrais dire que je suis le seul rescapé, mais ce ne serait pas vérité. Nous attendions tous, seuls dans des cellules minuscules aux dalles pourries notre exécution. Bien entendu, les généraux principaux étaient pendus en premier, pour limiter les rebellions dans les prisons ainsi que les plans destinés à nous faire échapper.." Non. Je ne me laisserai pas tuer. Ils n'auront pas l'honneur d'assister à ma pendaison! Je décidai donc de me suicider. Mais sans armes, avec une épaisse couche de poussière et de pourriture recouvrant les murs, sols, je n'avais aucun moyen de mourir. Et nous n'étions pas nourris, à quoi bon... Jour II / Ca y est, c'est à moi d'y passer. Ils ont éliminé les quatre stratèges et ingénieurs, les plus intelligent, ceux qui valent le plus, et c'est à moi de mourir. Fini la gloire. Fini les guerres. J'y passerai... Tout homme glorieux doit mourir un jour. VM, comme qui dirait. Non. NON! Ca ne sera pas mon jour! Je ne mourrais pas comme un rat, un PORC dans une cellule, ou pendu! Je suis un guerrier. Je suis parti de rien, d'une épée en bois, et je suis venu à la tête du plus puissant - jusque là - empire de mes régions. Je combattrai. Lorsque les gardes vinrent me chercher, un geôlier vêtu d'une tunique grise cendre ouvra la porte. Plus rapide que l'éclair, je glissa entre ces jambes robustes et j'abattis le plat de ma main contre son cou, avant de lui donner un énorme coup de pied à l'arrière du genou, le faisant s'effondrer. Les trois gardes, qui étaient là, et étaient expérimentés, n'hésitèrent pas: Ils se jetèrent sur moi, lance à la main. Grossière erreur. Règle numéro une: Ne jamais se jeter sur un homme plus grand et lourd que soit si l'on a une arme faite pour tuer à distance - telle une lance -. Il fut facile pour moi de reculer dans ma prison, qui fut plus un ange gardien ce jour là, atterrissant sur une des innombrables moisissures, qui amortissèrent ma chute. Me relevant le plus vite possible , je saisi la première lance, qu'un des gardes avait lâché en s'effondrant par terre, et tua un a un les gardes, en transperçant la colonne vertébrale ainsi que le coeur grâce à un angle bien précis. Je n'avais pas beaucoup de temps; déjà d'autres gardes commençaient à rappliquer à cause du bruit. Mourir et libérer mon armée, ou fuir? Pourquoi pas les deux? J'ouvrai une à une le plus rapidement possible les prisons, qu'elles contiennent ou pas des alliés. Le but: faire le plus d'émeutes possible, afin de m'évader en toute sécurité. Néanmoins, le fait est qu'ils avaient eu la possibilité de bâtir et rebâtir ce bâtiment des dizaines de fois, car ils en avaient eu le temps. Ils avaient glissé des pièges de partout. Les portes se condamnèrent à cause de fuites de lave, ainsi que de tonnes de graviers tombant. Je n'avais plus d'autre choix. La prison étant à l'air libre, la cour de pendaison était faite dans un mélange de terre, sable et de roches. Je m'enfouis tête la première deux pieds sous terre, comme ceux qui me fuyaient auparavant. Quelle ironie. J'attendis ainsi pendant très, très longtemps. Que faire? Je ne mesurais plus le temps. Je n'avais pas de montre ni même de boussole. Je pouvais rester ici longtemps, même sans manger et boire, j'avais connu pire (Courir dans la jungle pendant plusieurs jours, sous le soleil ardent et sans eau ni nourriture). Au bout de ce que j'estimais cinq jours, je ressortis à l'air libre, prudemment. Aucune âme qui vive à perte de vue. Ainsi donc, ils étaient tous morts. Si les 13è bataillon était décimé, alors nous étions forcément tous perdus. Nous sommes venus à cinq bataillons, si on espère qu'il reste un huitième de survivants, ça fait 0,6 bataillon seulement. En clair, il restait de mon armée seulement 8,6 bataillons, en étant optimiste. Aucun doute, nous avons perdu. Ils sont tous morts. A cause de mon ordre envoyé. Je décidai donc de m'en aller, récoltant des herbes par-ci, par là, et mangeant les animaux, crus, que je trouvais sur ma route. C'est ainsi que je tombais sur votre contrée. Sur la contrée Minefieldienne, aux odeurs des tavernes, aux indicons rackettant les nouveaux, aux ingénieurs créant des systèmes plus complexes les uns des autres. J'avais un nouveau but. Après tant d'années de service dans l'armée, je repartirais à zéro, ici, en construisant, sans tuer.
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