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  1. Retour aux sources La liberté, Un concept oublié ? Sur quoi Nevah est-elle basée, Le sang des camarades tombés ? N’êtes-vous pas d’honnêtes commerçants, Ou d’esclaves, de viles trafiquants ? Qu’en est-il de ces paysans, Sur vos chantiers, effacés par le vent ? Vous m’en voyez fatigué, Et de votre patrie, j’ai pitié. Le Cercle, aujourd’hui sera reformé, Et sur vous, son contenu dirigé. Lettow, un nouvel apprenant, Et déjà, les plus grands, talonnant. Un esprit conciliant, Et des vers saisissants, Sa voix, jusqu’aux étoiles montant, Ses strophes, un délice d’un autre temps, Un poète impressionnant, Inikik Kaskwe, un rang correspondant. C’est sous son influence, Et malgré sa clairvoyance Que, suite à ses imprudences, Le Cercle revient dans la danse, Les chaînes sont tombées, Le monde est délivré, L’affranchissement est arrivé, Les mots sont libérés. Plus d’entrave autour du cou, Plus peur du courroux, Pas même des Karibous, Nous resterons debouts. Inikik Kaskwe nous a montré la voie, A guidé nos pas, Nous ne le décevrons pas, Tant que résonneront nos voix. Les lois sont prohibées, Les genres, réinventés, Les écarts, encouragés, Nous avons tous une marque à laisser. Le Conseil de Nevah du Cercle des Poètes Disparus, Le CNCPD pour les nouveaux venus, Venez, vous serez entendus, Peu importe votre statut. Que de vos bouches coule un flot, Trépidant comme un ruisseau, Clair comme de l’eau, Un vrai torrent de mots, Que votre esprit s’anime, Dans un cri unanime, Que votre état légitime, Resurface avec des rimes, Que votre langue se délie, Des pensées établies, Quittez votre léthargie, Soyez enfin accomplis. Ce ne sont que des mots, De l’encre et un pinceau, Mais chaque petit morceau Nous rapproche de nos idéaux.
  2. Déception viscérale Je vois de grands mots, Il y en a tout un lot, Mais pour attaquer plus gros, Il faut du culot. Que sont ces beaux mots devenus, La diplomatie, disparue. Devant ce discours soutenu, Je ne vois que déconvenue. Les sombres menaces, La plèbe pugnace, N’ont pas leur place, Dans la populace. Car c’est sans peine, Que mes rimes s’enchaînent, Devant votre haine, La poétrie est souveraine. La Tundrah ? C’est presque rien, Je la vis au quotidien, Je suis le gardien Des glaciers opalins. Ne faites pas les malins, Ni les margoulins, Et nous seront moins enclins, À votre déclin. Ne vous raccrochez pas À d’autres cas, Dans l’immédiat, Ce n’est que Nevah. La mascarade est terminée, Arrêtez donc de parader, C’est le moment de vous assembler, Avec un nom à remplacer.
  3. Brise saisonale Par la fenêtre passant, Quelques rares rayons rougeoyants, Souffle glacé filant par l’entrebaillement, L’hiver, présent, sans empressement. Les vitres embuées, L’absence de cheminée, La simplicité du mobilier, Jean-Pierre peut aller se rhabiller. Entrant dans la maison, Se précipitant au salon, Virevoltant en tourbillon, Glissant sans aucun son, Parcourant toutes les pièces, Les coffres criant S.O.S. Bourrés de richesses, Volés par la noblesse. Partout dans la cité, Malgré la neige, empilée, Les parcelles sont achetées, Et son passage, remarqué. En ces jours sombres, C’est en surnombre, Que les sanctions tombent, Comme une ombre. Infiltré illégalement, Causant tout un incident, Il poursuit impatiemment Son oeuvre, tournoyant. Du sol au plafond, Retirant toute objection, Ne laissant que poussière par légions, N’attendant pas la sanction, Il repart, s’enfuit, Reprenant son circuit, Insensible à la pluie, Le brise disparaît dans la nuit. Le courant d’air est passé, La procrastination a encouragé, Sur le perron est resté, Les restes du mobilier.
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