Aller au contenu

Skin évolutif Ctrofun


Ctrofun
 Partager

Messages recommandés

Bonjour,

Me voilà lancé dans un projet de skin évoluant tel un vrai personnage de RP.

Je commence en tant que paysan pauvre, à une limite de pa j'améliore mon skin, une deuxième limite j'améliore, etc.

Si par exemple j'adhère à une communauté dite magique mon skin se transforme en loup-garou ou que sais-je en X jours de plus en plus.

J'en profite en bas de page pour poster mon RP qui va également s'étoffer au gré de mes aventures car le skin et le RP sont bien sûr étroitement liés.

 

Pour le moment, puisque je suis plutôt nouveau, la galerie est pour le moins ridicule mais elle ne tardera pas à s'étoffer.

 

Skin évo.

 

Paysan 1:

12622632460515_capture_dacran_20110517__183245.png20638918621728_capture_dacran_20110517__183259.png

 

 

Paysan 2:

21411960609798_capture_dacran_20110517__183143.png 8425234462293_capture_dacran_20110517__183126.png

 

 

Paysan 3:

13605600983832_capture_dacran_20110517__182820.png 1705910571882_capture_dacran_20110517__182840.png

 

 

Mutation :

capturedcran20110520225.png capturedcran20110520225.png

 

 

Souflottien:

2587991864931_capture_dacran_20110516__223401.png9662658597504_capture_dacran_20110516__223426.png

 

 

Autres

 

Skin Souflottien pour un ami:

capturedcran20110518222.png capturedcran20110518222.png

 

 

Place au RP !

 

 

 

Chapitre 1

 

Je suis Jehan Fromentin, ma vie est rude ; je suis un enfant des champs. Je suis né dans cette petite ferme miteuse, d’un village encore plus pauvre que ma propre famille. Mon père est important au sein du village, il jouit d’un salaire satisfaisant par rapport au niveau de vie par ici. Satisfaisant mais insuffisant. Mon frère, ma mère et moi travaillions d’arrache pied dans les rares champs familiaux. Cependant, nous étions heureux tous les trois. Tous les trois… Je ne porte pas mon père très haut dans mon estime. Il ne prête que très peu d’importance à nous, ma mère travaille pour deux, elle se tue au travail. Ma mère…

 

Ma famille est effondrée en ce jour. Enfin, « ma famille », mon frère, Maurin, est assis à mes côtés, il pleure. Nous sommes de front à ma mère, j’ai l’étrange impression qu’elle nous guète de son regard bienveillant. Mon père est en retard, ce n’est guère étonnant. Les quelques personnes présentent dans l’église me voient stoïque, ce n’est que façade, les larmes coulent à l’intérieur de mon être, je pleure ma mère déchue.

Nous marchons en silence vers le cimetière de fortune installé derrière le presbytère.

Mon père arrive, cela déclenche une telle fureur en moi que rester de marbre devient impossible, je fonds en larmes. Il nous expliquera plus tard la raison de son retard, une histoire de charrettes à peser que je n’ai écouté que d’une oreille.

Je pense à ma mère qui nous regarde de là-haut.

 

Son père la nomma Tiphaine. Sa mère étant morte lors de l’accouchement, celui-ci céda ce nom que la vieille femme aimait tant. Elle n’était pas amoureuse de mon père, étant âgés tous les deux il était bienséant qu’ils se marient rapidement. Après ce mariage à contrecœur, elle travailla à rythme modéré pendant deux ans, dont 9 mois de grossesse. Je naquis, précédant mon frère de trois années. Les besoins de la famille s’accrurent, étant trop jeune pour travailler, ma mère mit les bouchées doubles pour y subvenir. Nous l’aidions à présent, mais son corps fut usé et elle ne tarda pas à mourir d’épuisement, abandonnée par mon père pour lequel le travail au sein de la communauté passait avant les besoins de la famille. J’espère qu’elle voit cet homme qu’elle a détesté secrètement toutes ces années et qu’elle en pense pareil que moi.

 

Après être resté sur place quelques dizaines de minutes, il est temps de rentrer à la maison. Eudes, notre père nous accompagne, ferait-il attention à nous pour une fois ? Peu importe, je marche devant, je ne veux pas le voir. Nous longeons le champ où ma mère est morte. Il est grand, excessivement grand, pour pallier à l’aridité des terres. Dans les alentours, les maisons sont délabrées, notre village est en ruine. Fût un temps où Ménardier, notre village, était prospère. Un partenariat était alors en place avec la ville voisine, le seigneur garantissait protection et achetait nos récoltes, faisant ainsi tourner l’économie de Ménardier malgré de pauvres sols. Jusqu’au jour où ce seigneur en demanda plus, plus de ressources moins chères, garantissant ainsi le maintien du bourg au détriment des villages avoisinants. Le conseil du village, dont mon père fait partie, prit alors la décision de séparer notre village des faubourgs. Je reste agnostique concernant le bienfait de cette décision, sur ce point, je ne peux pas en vouloir à mon père.

Je pousse la barrière délimitant notre propriété et même si le soleil se couche à peine, je vais me coucher. Bien sûr je sais que je ne fermerai pas les yeux de la nuit.

 

Je me réveille ce matin tout en sachant que la journée sera chargée. Les disputes de la veille rendront rapidement l’ambiance explosive à la maison. Je me suis levé bien avant Maurin, je l’évite. Voilà quatre heures que je suis dans les champs, il me rejoint mais s’éloigne de moi au possible.

Voilà une dizaine de jours que ma mère est partie. Maurin le vit très mal, il faut qu’il tourne la page. Du jour au lendemain notre vie a basculé, elle doit à présent reprendre son cours. Il veut quitter cette maison, partir loin de ce lieu maudit. Mon père a toujours eu ce désir d’oisiveté, vivre au grand air tel un explorateur, voilà la vie dont il rêve. Le destin en a fait autrement.

Ce jour est celui qui changera véritablement notre vie. Mon père rentre tôt à la maison, vient nous chercher dans les champs. « On s’en va ! », crie-t-il. Il nous réunit à l’intérieur et nous expose son projet. Il souhaite abandonner le village, nos amis, « notre famille » en quelques sortes. Partir pour New-Stendel où nous achèterions une maisonnette pour mon frère et moi avec l’argent qu’il a mis de côté. Il s’engagerait comme explorateur, rejoindrait un groupe et partirait à l’aventure pendant que nous vivrions une vie paisible dans les enceintes de la capitale. Pour moi, il est hors de question de quitter le village, basé sur l’entraide dont mon père défendait jusqu’ici vaillamment les valeurs. Partir en traître ainsi m’est inimaginable. Une dispute éclate, je décide de rester et de survivre seul tant que possible. Mon frère suit mon père qui, d’après lui, veut nous offrir une vie meilleure. Notre famille se déchire.

 

Les jours se succédèrent, je ne subviendrai bientôt plus à mes besoins ; le travail est harassant et rapporte peu.

Mon frère me manque. Je vais aller à New-Stendel, et il reviendra raisonné avec moi. Je reverrai sans doute mon père, cela ne me réjouit guère. Je suis remonté contre lui, tout comme l’entièreté de mon village. Il avait au moins le mérite de bien faire son travail, son jeune remplaçant se trompe sans arrêt dans les comptes mettant ainsi les paysans en colère.

La nuit tombe, voyager seul est dangereux, les bandits guettent. Peu importe, ma décision est prise, je m’en vais, et ce, tout de suite. Je prépare mon baluchon, je fais un détour par le champ où ma mère est morte, en sortant du domaine, je contemple la ferme une dernière fois. Un saut rapide au cimetière et c’est parti, je dois rejoindre l’auberge de la Tranquillité avant que la nuit soit trop profonde.

Je pars comme un voleur, tel que mon père l’a fait avant moi. Ne laissant le moindre mot à mes amis, ceux qui sont à présent ma famille.

J’arrive Maurin.

 

 

Chapitre 2

 

Marcher… Toujours marcher. L’espoir de revoir mon frère m’a quitté, j’erre.

 

Voilà deux semaines que j’ai quitté Stendel, là, aucun signe de Maurin. Le désespoir m’a poussé à chercher mon père, un deuxième tour de la ville m’a rapidement fait comprendre que ma famille avait quitté la capitale. J’ai passé la banlieue au peigne fin, rien. Je suis retourné à Ménardier, ils me haïssent à présent, j’ai compris sans mal que je n’étais pas le bien venu. J’eus quand même réponse à ma question ; mon frère n’était pas passez par là. Sans doute mort, me dis-je. Imaginez ma tristesse, lorsque j’arrive sur mes terres ; ma maison n’était plus, brûlée.

Je quittai le village sur le champ, ne sachant où aller.

 

Ma bourse est vide, j’ai faim, je suis malade. Et pour cause, voilà bien longtemps que je n’ai plus goûté d’eau de source. Il fait nuit noire, je trouve un abri de fortune, une maison en ruine, il me semble. Il fait froid, les nuits sont rudes en hiver.

 

Il est rare que je me réveille après le levé du soleil mais il semblerait que je n’ai pas si mal dormi que ça. La maison est spacieuse et en plutôt bon état bien que manifestement abandonnée. Je sors de la maison et quelle stupeur ! Un village s’étendait devant moi et au loin, on pouvait distinguer la célèbre cité de Nouvell-Azur.

J’appris que la maison où j’avais passé la nuit était à vendre. Je ne possédais malheureusement pas assez de pièces d’or. Le maire me fit alors une fleur, je pus m’installer mais j’avais une dette envers le village.

Durant les semaines qui suivirent, je fis de mes pieds et de mes mains pour obtenir les matériaux nécessaires à la rénovation de la maisonnette et je rendis toute sorte de services au village.

 

Très peu de temps après je rencontrai un aventurier pour le moins étrange. Sa quête n’avait ni queue ni tête, il s’était réveillé avec comme seul souvenir un mot, Sayz. Son nom : Lander Deniz.

Il était de passage car sa quête était loin d’être fini. Je n’en crus pas mes oreilles quand il me parla de mon frère, il avait rencontré Maurin et avait un rendez-vous avec dans deux jours.

Et voici que je quittai déjà la bordure d’Azur, j’y avais dépensé tout mon argent mais ce n’était rien, j’allais enfin retrouver mon frère.

 

Le Chien Hurlant était là, juste devant nous, nous entrâmes, mon frère n’était pas là. Les minutes passèrent, des heures entières semblaient s’écouler.

La porte s’ouvre, la cloche sonne, un homme portant une cape entre. Il était méconnaissable, mais je le reconnus, j’attendais ce moment depuis tellement longtemps, nos retrouvailles. Il avait tellement changé en ces quelques mois, le jeune homme frêle que je connaissais est devenu un homme fort. Bien que fort, quand il tourna la tête et me vit, il se précipita dans mes bras et se mit à pleurer toutes les larmes de son corps. Je ne pus m’empêcher de verser une larme.

J’étais fier de lui, il me raconta brièvement son épopée, j’appris ainsi la mort de mon père, cela m’attrista étonnamment.

 

Nous allâmes à la maison de Maurin, à Stendel. Lander Deniz devenait étrange, de plus en plus inquiétant. Apparemment son informateur était mort, je ne comprends pas biens sa quête, je ne l’ai jamais bien comprise à vrai dire, mais il semble vraiment troublé. La maison Stendelienne était trop petite pour nous trois, notre nouvel ami nous parla alors d’une citée idyllique, une ville sous-marine appelée Dôme Soulaflotte. Il était très convainquant, il fit l’apologie de ce lieu à tel point que ça en devint presque inquiétant. Néanmoins, nous acceptâmes d’aller jeter un coup d’œil.

 

Nous y arrivions, une ville pour le moins impressionnante ! Mais autant étrange que Lander Deniz en ce moment. Je me sentais bien ici, en harmonie avec les lieux, apaisé. Le plus bizarre était sans doute l’addiction que je développai pour cette cité. Nous rencontrâmes le peuple Souflottien, des gens à l’image de leur ville, apaisants, étranges. Je m’y installai et me mis à écrire un journal, les chroniques de mes aventures au Dôme.

 

 

Chapitre 3

 

Jour 3

 

Moi qui espérais écrire tous les jours, il semblerait que ce soit raté ! Quelle expérience ahurissante, la vie ici est formidable, tout est beau et les habitants sont tellement sympathiques ! Un monde de rêve, je ne remercierai jamais assez Lander de nous avoir mené ici. Je vais m’y installer, ainsi que Maurin et lui, nous vivrons heureux.

Tout est allé si vite, je n’ai pas dormi depuis deux lunes, guindaillant sans arrêt avec le peuple Souflottien.

Voici mes premiers mots, mes premières impressions. J’ai découvert un Dôme… Envoûtant. C’est le mot.

 

Jour 4

 

La journée a été longue. Une fois la fête estompée, les choses sérieuses commencent. Néanmoins, je reste dans un état d’euphorie. J’ai visité le Dôme dans ses moindres recoins, certaines pièces me sont inaccessibles et je me perds dans ces si grandes infrastructures, pourtant les lieux me sont déjà familiers. Étrangement je n’ai pas encore rencontré le dirigeant du Dôme, ça ne saurait tarder.

 

Jour 8

 

Je me réveille. De quoi me souvins-je ? Une nuit... Un rite. J’ai entendu sa voix. Je me rendrai dans la petite bibliothèque de la mairie ce soir, cherchant des informations concernant le maître des lieux. Cette nuit est trouble dans mon esprit, pourtant il était là, je m’en souviens. J’ai dormi depuis, me voilà réveillé, je me sens mal, mes mains, mes pieds et ma tête me démangent. Je vais encore dormir un peu.

 

Aucun citoyen n’accepte de me parler de leur chef, Stoobyte. Je l’ai lu dans un vieux livre. Par contre, j’ai appris que je n’avais dormi que trois jours, j’aurais dit des semaines. J’ai perdu mes amis de vue depuis la fin des festivités, je ne m’inquiète pas pour eux, nous sommes si bien ici.

 

Jour 9

 

Mes mains, mes pieds... Palmés !

Que m’arrive-t-il ?

Les habitants se réjouissent à la vue de cette transformation. Ce voyage vire au cauchemar, je m’en vais !

Non, je suis si bien ici. Mais… Il faut s’en aller. Rah je ne sais pas ! Je me tiens la tête et, à ma grande surprise j’y découvre de petites branchies atrophiées, s’en est trop !

Je pars chercher Maurin et Lander dans leurs demeures respectives.

 

Tout compte fait, je vais rester un encore un peu. Ils vont bien, alors moi aussi.

 

Jour 11

 

Hoho, des branchies… Comme c’est amusant.

 

Jour 56

 

Gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby, gloire à Stooby.

Louanges et chatouillis.

 

Jour 64

 

Plouf ! Mon corps est tout plein d’écailles. Je suis visqueux comme… Une tourterelle ! Des nageoires sur le dos et au bout du nez… Quoique. Gloire à Stooby, déférence et papouillis. Je me sens comme un poisson dans l’eau. Un homme-amphi… Bilibili. Amphibien, boarp.

Croaaaaark. Je peux voler et respirer en abysse. Ah non ne recommence pas, pas voler !

 

Gloire à Stooby, expextase et pyromanie.

 

Jour 80

 

Stoobyte…

 

Je suis un arnageur ! Ca fait bzibzi looooooooooongtemps que je ne sais peu, pas, plus ! Quel jour il était après le lendemain d’hier au soir. Jour 80 hihi !

Gloire à ! STOOBY

 

Jour 16

 

Bonheur ! Extase… Nirvana. Merci Stooby, flatulence et monokini.

 

Jour /

 

Je ne sais pas quel jour nous sommes, mais cette fois je suis bel et bien conscient.

Quelque chose de terrible est arrivé, provoquant un brutal retour à la réalité.

Pas le temps d’écrire, plus le temps d’écrire. C’est la fin de ce journal.

Lander, j’arrive !

 

Gloire à Stooby, sanctitude et salami.

 

 

EDIT: Vous pouvez dès à présent m'envoyer vos requête concernant vos skins. Rémunéré ou non, si oui donnez ce que bon vous semble; mais j'aimerais tout de même en tirer un minimum de profit.

Chose importante, les skins ne sont pas particulièrement une priorité pour moi. Je ne suis pas une machine et je continue bien sûr d'être actif sur le serveur.

 

Merci, salut !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Humm.

 

Interressant.

 

Tu as un talent , mais si tu veux être encore mieux est de faire de différent style.

 

Le plus dure dans l'art est de changer pour un autre style.

 

Mais cela est mon avis si tu veux pas écouter tu peux.

 

Je t'encourage.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je trouve moi aussi ton idée très originale, mais étant donné que les admins ne peuvent pas "imposer" un skin seul les personnes voulant jouer le jeu le pourront et cubidieu seul le sait qu'il y a de nombreux qui veulent garder leur skin.

 

Après je t'incite à continuer avec plus de skins plus originaux les uns que les autres tu sera un artiste en devenir dans la communauté Minefieldienne.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut,

c'est encore moi, XyosStyle, membre du conseil de la ville de la "Confédération des métiers" et je cherche un artiste pour faire des skins, ex : Boulanger, forgeron, bûcheron, ect... je t'invite à le devenir, tu es excellent. Si tu es intéressé, repond à ce message. merci.

 

-XyosStyle

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Edit important concernant ma fabrique de skin qui s'étend à présent à toute la communauté, n'hésitez pas à me contacter !

Nouveaux skins également, dont un plongeur pour mon cher voisin Hotcoon que j'aime particulièrement (le skin !).

 

PS: Bientôt le début de ma mutation et mon costume d'inauguration du Dôme SoulaFlotte!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut c'est fata j'ai une idée pour mon skin!!!

 

J'apprécierai un truc du type guerrier avec une armure et tout avec une sorte de heaume couronne et mon visage serait un visage un peu démoniaque ou poisson pour coller au RP du dôme .Si l'on veut toujour de moi ensuite les couloir choisit ce qui est le mieu.Pour le heaume si possible qu'on voit mes yeux genre séparé mon visage en deux.aprés comme symbole la tete de scream en trzin d'etre etoné dans ce genre la

 

111111111111

11 11111 11

111111111111

111111111111

1111 1111

1111 1111

111111111111

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 Partager

×
×
  • Créer...