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[Accepté] Demande de citoyenneté Choppernaz


Choppernaz
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Voila ma demande pour devenir citoyen.

Je me représente pour ceux qui me connaisse pas

Pseudonyme :Choppernaz

Prénom : Max

Age : 16 ans

Département : 06 (les alpes cotes d azure)

Passions : Ordinateur, musique.

Ce que je pense apporter: J'espere apporte de l'aide a la communauté du serveur

Comment j'ai connu le serveur : par une liste des meilleurs serveur

Mes projets : Devenir marchand pour aider la communauté naine de galianor.

Voila mon rp de nain.

 

Chapitre 1: La mine

 

Choppernaz vit le jour dans un camp de mineur ses parents avaient rejoins Tordrek Maindefer qui à la tête d'une centaine de nains avait découvert un nouveau gisement d'or, dans une vallée à 4 semaines de marche de la capitale. Sous le commandement de Tordrek ils s'étaient appropriés les lieux.

 

Durant son enfance Choppernaz travailla souvent à la mine, au début l'ambiance y été bonne, chacun travaillait, buvait et riait. Avec le temps et surtout avec les quantités d'or amassées de plus en plus importantes, les tensions se firent sentir, des conflits éclatairent. On se disputait chaque pépites que l'on trouvais, personnes ne faisaient plus confiance à personnes, les gens se regroupaient en petit comité pour se " protéger" des autres.

 

Lorsque que le premier accident arriva, la communauté était plus que jamais divisée, les poutres du second tunnel auxiliaire cédairent en emportant la vie de trois mineurs; des rumeurs circuler accusants certains groupes de mineurs particuliérement béliqueux d'avoir délibérément éliminé des concurants.

 

Chapitre 2: Le Marteau

 

La fin était proche, Choppernaz le resentit, il était alors agé de quelques décénnies ce qui faisait de lui un jeune adulte, il savait manier la pioche comme tout les autres mais excellait dans l'art du marteau.

Pour beaucoup de gens pulvériser des pierres pour en faire du gravier n'est pas un vecteur d'épanouissement, mais Choppernaz n'était pas comme les autres, à chaque frappe de son maule sur la pierre il étudiait les fissures et les impacte.

En quelques années il apprit seul, au beau milieu des carriéres de pierres,

comment manier son arme. Pour accentuer sa puissance de frappe il tournait légerement son poignet au moment de l'impacte, pour plus de rapidité il faisait décrire à sa masse des arcs compliqués et parfois sans réel utilité. il gagnait en force et en vivacité.

 

Sa famille ne se souciait pas vraiment de lui, ils étaient trop occupés à extraire le plus d'or possible de la mine...la mine...étant jeune Choppernaz aimait y dépenser un peu de son temps, aider sa famille dans leur quéte perpétuelle. Mais depuis peu il tenter de l'éviter, peut être parce que les accidents se multipliaient ou bien es que les tensions entre groupes rivaux devenaient insoutenable, en tout cas Choppernaz avait un léger sentiment de peur lorsque qu'il s'approchait de cette mine.

Malgrés que la moitié des tunnels creusés s'éfondraient, aucun mineur abandonna son poste, la célébre tenacité des nains y était pour quelque chose mais c'est surtout que les mineurs rapportaient chaque jours le double d'or que la veille, les filons ne semblaient ne jamais tarrire; des montagnes d'or s'accumulées dans chaque foyers.

 

Chapitre 3: La fin

La fin arriva un jour pluvieux d'automne, sur la centaine de nains qui avait découvert le filon d'or, il n'en restait qu'une trentaine au bout de ces quarante années, tout les autres étaient mort au fond de la mine. Mais la petite comunauté avait acumulé assez d'or pour s'acheter une forteresse bien fortifiée avec plusieurs canons orgues tout neuf, mais les nains en voulaient toujours plus, jamais ils n'auraient abandonné leur mine, jamais tant qu'elle renfermerait encore un gramme d'or, seul les kikoups orque allaient séparer les nains de leurs richesses....

 

Choppernaz était dans la carrière de pierres a l'est du camp, lorsque à travers le rideau de pluie il entre-vu des ombres s'agiter, des ombres menaçantes, des ombres qui dégager une odeur de sueur et de sang. Des cris de souffrances s'élevérent du camp, puis de longues plaintes résonnèrent vers le nord depuis la mine, ses mains tremblantes se resserreraient autour du manche de son maule, son soufle était faible, son estomac se noué tandis que son coeur battait au bout de ses lèvres....que fallait il faire... comment lutter lui qui ne savait que casser des pierres...

 

Chapitre 4: Premier combat

La pluie jouait dans la forêt une inquiétante mélodie, sombre et grave, Choppernaz était en transe.

Au milieu d'un champ de pierres, son marteau pour seul compagnon, il ne savais quoi faire. De nouveaux cries s'élevèrent, hurlements de femmes et d'enfants, Choppernaz cru reconnaître celui de sa mère....il était pétrifié de terreur....Toute sa vie il avait attendu un événement qui bouleverserai son existence morne de mineur, il s'était imaginé de nombreuses fois des batailles dont il était le héros, où il avait la reconnaissance des siens, où il terrassait ses adversaires par de simples revers.... maintenant il se sentait coupable de l'avoir désiré, le souffle de ses compagnons s'éteignait les uns aprés les autres et lui n'arrivait pas a surmonter sa terreur.

 

Choppernaz puisa en lui tout le sang froid que la longue ligné de sa famille lui avait transmit, il reprit peu à peu ses esprits quittant les abîmes de son imagination.

Un pied aprés l'autre il avança lentement sur le sol boueux, il écarta les méches de cheveux mouillés qui collaient à ses yeux, il se dirigea d'un pas de plus en plus ferme vers le campement. Il ne savait pas quelle tactique adoptée, il ne savais pas se battre contre des adversaires réel, il ne savait pas qui étaient ses ennemis, mais il savait une chose...il allait leur faire payer à coups de marteau leurs crimes.

 

A cinq cents mètres du campement une odeur de viscères emplit les narines de Choppernaz, de la fumée s'élevait au dessus des maisons en feu, des cadavres gisaient face contre terre.... Choppernaz comprit qui les asseyants étaient des Orques et sûrement accompagnés de gobelins, il savait pertinemment que cette race était cruel et brutal, aucuns de ses compagnons ne sera fait prisonniers, ils avaient tous rejoins les ancêtres.

De peur d'être à découvert, Choppernaz n'entra pas dans le campement, il resta un peu à l'écart, pour observer et traquer sa premiére victime.

Les orques avaient pillé le campement et volé tout l'or que les nains mirent quarante années à sortir de la mine, en une demie heure ils avaient réduis à néant le travail d'une vie, il ne les avaient pas seulement tué mais ils avaient détrui leur rêve, anéanti leurs espoirs.

Ils étaient au plus une dizaine d'orques et quelques gobelins qui servaient de serviteurs, ils avaient attaqué les nains de nuits, ils ont commencé par éliminer les chefs de famille dans leur lit, puis il n'y avait eu aucune résistance de la part des mineurs exsangue de travail.

 

Caché dans la forêt Choppernaz vit arriver un orque de grande taille, à sa ceinture pendaient plusieurs barbes fraîchement arrachées, son teint était sombre tandis que de sa large mâchoire glissait un filet de bave....son armure était sale et ses deux kikoups mal entretenus, Choppernaz en déduisit qu'il s'agissait d'un simple mercenaire.

Contre un arbre, il observait les déplacements de l'orque, ce dernier ce dirigeait un peu plus a l'Ouest de sa position. Sa vitesse était faible ce qui permit à Choppernaz de se rapprocher discrétement, le marteau fermement serré dans la mains droite.

Choppernaz était a moitié terrifié et excité, il aller se battre contre un monstre de muscle et de fer, il allait venger sa famille et prouver sa valeur....Choppernaz attenda quelques minutes trouvant toujours un prétexte pour repousser le moment de l'assaut, au bout d'un certain temps il trouva le courage de s'élancer face a son adversaire en hurlant d'une voie rauque la devise des champs de batailles de sa famille :

Je combat pour venger, je combat pour protéger, je combat pour tuer

L'adréaline parcourut tout le corps du nain, chaque muscles et chaque tendons furent stimulés, Choppernaz se sentait emplie d'une énergie infini, une impression de puissance sans limites que lui donner sa rage de vengeance, sa haine et son désespoir.

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