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SL Chronicles


SL
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Bon, il paraît que tu vas avoir grand besoin de l'aide de ta lame, qu'il ne faut pas que tu l'oublies (selon la dernière ligne du chapitre précédent) mais ça fait 4 mois que rien ne s'est encore passé.

On aurait même presque oublié l'existence de ce sujet si Fata ne l'avait pas magnifiquement uppé. Tout ça pour dire?

On veut la suite!

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Yop !

 

J'allais de toute façon faire un up aujourd'hui :).

Donc je vous invite à harceler Opéramundi par MP afin qu'il fasse le RP qu'il doit me donner pour que je puisse poster la suite de l'histoire.

En attendant vous allez très prochainement (vraiment très prochainement pas dans 3 mois) avoir un RP "hors histoire" en lien avec.... avec quelque chose :D !

 

Coming soon ;).

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Monde de Stendel - Stendel, capitale.

 

Un épais brouillard recouvrait la magnifique cité Impériale en cette paisible soirée de printemps et seuls les lueurs vacillantes de quelques torches animaient les rues désertes. Les gardes des portes de la cité scrutaient l'obscurité grandissante à l'affut du moindre danger, prets à défendre au péril de leur vie la magnifique capitale de Stendel.

Un bruit de pas se fit entendre et les coeurs des soldats affectés à la porte Sud firent un bond dans leurs poitrines. Quelque chose approchait. Discrètement ils se mirent en position de défense, exécutant avec un automatisme sans faille les gestes qu'ils avaient maintes fois répétés tout au long de leurs exercices. Un geste de la main du capitaine et les archers postés au sommet des murailles bandèrent leurs arcs, prêts à décocher leurs flèches mortelles sur toute forme hostile qui émergerait de la brume.

Soudain une ombre apparut dans le champ de vision des gardes. Les lances se pointèrent en direction de l'obscure silouhette et le frottement des épées sortant de leurs fourreau couvrit quelques secondes le son des pas de l'ombre. Les gardes étaient confiants, attendant le signal d'attaque du sergent. La silouhette se rapprochait tranquillement et ils purent mieux la distinguer. La créature faisait la taille d'un homme mais parraissait posséder deux épaisses cornes menaçant le ciel au sommet de son crâne. Elle était désormais à portée de flèche et un seul tir aurait suffit à lui ôter la vie. Mais le signal ne vint pas. Les hommes se tournèrent subrepticement vers le sergent et ils quitèrent leur position de défense; le gradé souriait. Puis l'ombre se fit plus distincte et un murmure parcourut la garde :

"- C'est lui ?"

La voix posée du sergent confirma :

"- Oui, il est de retour..."

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