Aller au contenu

[Accepté] Demande de Citoyenneté, Cailbur


Cailbur
 Partager

Messages recommandés

Bonjour à tous,

Aujourd'hui, je suis ici ( Quelle originalité ! ) pour me proposer à la Citoyenneté Stendelienne. Alors, oui, je suis déjà Marchand, oui, j'ai déjà des magasins. Mais non, je ne peux construire sur Stendel, et c'est cela qui m'amène. Je ne suis pas forcément ici pour devenir Citoyen, mais plus un Commerçant ( Celui qui peut construire une échoppe sur Stendel ).

 

IRL

 

Je suppose qu'une paire me connaisse maintenant, j'ai fait assez de candidature, mais passons.

Je m'appelle Cailb- Théo, on me surnomme même Totor, alors libre à vous de choisir (^_^), j'ai 15 ans, j'ai fait mon année de 3è, mais je redouble, donc, c'est pas très important.

J'aime le rock, la basse, blablabli, blablabla...

 

Rôle Play

 

Je précise, avant que vous ne lisiez, que j'ai utilisé mon RP pour les doubloutils pour commencer. Donc j'ai copié ce RP, parce que ça en fait un peu parti. Bref, pour la Citoyenneté, il y a, principalement, que la fin qui la concerne.

 

Sur ce, bonne lecture.

 

 

Cailbur se leva violemment de son lit, et se frappa la tête contre la poutre, situé à quelques centimètres de son lit. Sous le choc, il se recoucha et laissa la douleur passer.

Il essuya, d'un revers de manche, la sueur dégoulinante de son front, avant de se redresser. Il s'extirpa de sous sa couverture, et mit un pied à terre, puis un deuxième.

Il se releva, et attrapa un morceau de pain, qui traînait ici d'il y a déjà plusieurs semaines. Mais la nourriture manquait sur Nimps, et les cochons se faisaient maintenant extrêmement rares.

 

« Aloooors... voyons voir ce que j'ai à faire aujourd'hui »

Cailbur fit un petit check rapide de sa liste, sur laquelle il écrivait, chaque soir, les choses à faire le lendemain. Du plus important, au moins important.

 

« Donc, remettre des stocks dans le magasin ! » s'exclama-t-il, s'empressant d'attraper le dessus d'un coffre, et de l'ouvrir si violemment que ce dernier frappa le mur en bois, qui manqua de s'effondrer.

A l'intérieur de ce-même coffre, le marchand saisi d'une main de fer une dizaine de pierre bleutées si luisantes, qu'il du se protéger les yeux en passant son bras devant ces derniers.

 

« Mes chers diamants... Mes chers douze derniers diamants. Il va falloir que je mine ou que j'embauche des larbins, dis donc ! J'ai assez pour refaire mes stocks de la journée ! »

Puis, après avoir achevé d'un cul-sec sa pinte de bière ( matinale, disait-il ), il s'attela à une table, sur laquelle il y déposa avec tant de délicatesse ses pierres précieuses. Il attrapa aussi, d'une main agile, deux ridicules bâtonnets de bois. Et s'en suivi un martèlement intensif. Chaque coup était important, et c'est au bout d'un quart d'heure que Cailbur leva fièrement sa pioche, surmontée par trois magnifiques diamants qu'il avait pris dans son coffre auparavant.

 

« Allez, plus qu'une hache, une pelle, et j'ai fini ceci ! » soupira le pseudo-forgeron.

Et c'est en se servant d'une deuxième pinte de bière, matinale, que Cailbur entama à nouveau le dur travaille d'outilleur.

Derrière lui, et pendant qu'en portant de coup agile sur son établi, chauffaient cinq ou six fours, alimentés par du charbon et du bois. Les trois premiers comportaient des blocs de fer tout autour, et à l'intérieur aussi. Dans le quatrième, on pouvait apercevoir plusieurs blocs d'or, aussi luisants que le diamant, mais tout aussi fade que le bois. Même si les pioches dorées ne se vendaient pas aussi bien que celle bleutées, l'outilleur revendait son or aux joailliers du coin, ou encore au paysan, qui pensait mieux faire en achetant de l'or !

A la lueur du cinquième, et dernier four, on pouvait, en plissant les yeux, voir quelques blocs violets profond. Un violet extrêmement noir. Le temps de fonde de ce bloc était dix fois plus long que les deux autres, mais pourtant, il n'était pas forcément plus utile. Il s'agissait bien entendu de l'obsidienne. Même si la vente d'outils en obsidienne n'était, pour le moment, pas très bien vu des Empereurs de New Stendel, Cailbur les faisait déjà fondre, prêt à vendre de ses outils noircis !

 

Le jeune homme attrapa ses outils fraîchement assemblés, ainsi que sa liste de d'objectifs journaliers, et remonte dans son magasin. À cette heure-ci, il n'y avait aucun clients, et le Marchand en profita pour remettre ses outils dans son seul et unique rayon, juste avant de recevoir une visite d'un client, qui en profita pour dévaliser ses stocks. Cailbur compta minutieusement ses achats, et il pu compter une pioche en diamant, deux pelles en fer et une pioche en fer, ainsi que trois haches et une pelle en pierre.

L'acheteur s'approcha de la caisse du magasin, et posa tout ses achats en vrac sur le petit comptoir en bois.

 

« 30 pièces tout rond ! » fit le marchand, affichant un grand sourire commerciale.

« 30 PIECES ?! Mais je n'ai pas autant ! Vous avez du vous tromper, ce n'est pas possible ! » s'exclama le vieil homme, qui avait presque fait sourire Cailbur.

 

« Désolé mon vieux, mais trente pièces, c'est trente pièces. Sois vous emportez tout cela en me donnant ces foutus 30 pièces, soit vous remettez tout cela en rayon ! Je n'ai pas que ça à faire ! »

 

Et s'en suivi une longue discussion, qui commença par « Comment décorer sa salle de bain avec des plaques de pression achetées chez Nalaf » pour finir par « Colorer des moutons en vert pour tourner un clip de Pink Floyd » en passant par un petit scoop sur dokMixer et Neymir.

Mais à fin, et seulement au bout de une demi-heure, le client mit fin à cette éternelle discussion, pour emporter les outils avec lui.

 

« Oui, oui, j'ai retrouvé des pièces dans ma veste »

Cailbur émit un long soupir, et regarda l'horloge, posé par un véritable horloger, sur le mur à sa gauche. Il était déjà 12h00, et il s'empressa de fermer son échoppe, le temps d'une petite pause bien méritée !

 

Il était bien 13h40, quand Cailbur, fier d'avoir vendu la moitié de ses stocks, descendu dans sa cave, afin de jeter un œil sa check-list, écrite sur une feuille à base de bambou.

Cailbur y jeta un rapide regard, puis entreprit d'emporter sa liste avec lui, en l'enfonçant sans délicatesse, cette dernière dans sa poche.

 

« Faire craquer Kmairiaux... du gâteau ! Ah-ah ! »

Mais pourquoi voulait-il faire craquer son vieil ami ? Peu de personne le savait, mais le simple rêve de pouvoir vendre les fameux doubloutils de cet énergumène faisait briller ses yeux. Depuis qu'il avait eu sa licence de marchand, il y pensait, tout les jours, chaque nuit. Il n'en dormait plus, et ces temps-ci, le besoin se faisait de plus en plus oppressant. Malgré cette achat le matin même, les clients se faisaient de plus en plus rare, et la bourse amassait aussi bien la poussière qu'une lingette SwifCube.

 

Quand Cailbur arriva devant le magasin de Kmairiaux, celui-ci était entrain de placer en rayon ses si précieux doubloutils en fer. Le marchand avait pensé à tout : Il ne souhaitait pas obtenir le secret de ces outils en fer, non, il ne voulait pas faire de concurrence à son ami. Mais plutôt se partager les tâches, si celui-ci le voulait bien...

 

« Salut Kmai' ! Ça va ? » cria Cailbur, en s'appuyant contre une barrière, posée devant l'échoppe.

L’interpellé se retourna vivement, et afficha un grand sourire, à la vue de son coéquipier outilleur.

 

« Hey ! Cailbur, bien, et toi ? »

Puis la conversation banale s’enchaîna. On échange des rires, on raconte des blagues et on se tient au dernière actualité sur les Empereurs de New Stendel. On se frappe « amicalement » avant d'éclater de rire.

La discussion allait de bon train, quand Cailbur enchaîna sur un rapide.

 

« Alors, tu veux toujours rien de me dire sur tes fameux outils bénits ? », accompagné d'un clin d’œil appuyé.

« Désolé, mais je ne peux rien dire, j'ai promis de te rien raconter à Dok'. »

Dépité, notre homme leva les yeux au ciel.

 

« Je ne te demande pas de me raconter encore une fois tes innombrables péripéties, mais juste de me donner le secret de tes doubloutils. »

« Aaaaaaah ! Je ne parlerai qu'en présence de mon avocat... Non. Je ne peux pas te délivrer le secret. Je ne dois en parler à personne. »

 

« C'est étrange, dénia Cailbur, j 'ai comme qui dirait laissé tomber un diamant tout à l'heure, il doit être dans ton coffre, non ? »

Kmairiaux affirma que « non ». « Je n'ai pas pris de diamant ! »

 

« Mince, renchérit ce dernier, j'ai aussi fait tomber un BLOC de diamant derrière ta grille en fer, et je ne peux pas le récupérer... »

Kmairiaux semblait réfléchir. Un long silence s'imposa, et il finit par s'exclamer :

 

« J'ai une expérience à faire. Si jamais cela est positif... alors, je te chuchoterai volontiers le secret de mes outils ! Mais avant, j'ai besoin de ton fameux bloc de diamant !»

 

« Ah. Ah.. Ah-ah... m-mon bloc de diamant ? Hééé, j'ai jamais dis que c'était vrai, tu crois quoi ?! »

Les deux outilleurs se regardèrent un long moment, Kmairiaux poussa un long soupir, lorsque Cailbur enchaîna d'une « joyeuse » remarque.

 

« J'ai compris, je vais chercher ma bourse et quérir des larbins... »

 

Kmairiaux et Cailbur manquait cruellement de larbin, et n'eurent pas le choix de se livrer eux-même à l'activité si malfamé qu'était le minage. Mais leur peine ne furent pas veine, puisque les deux pseudo-mineurs remontèrent en surface les minecarts pleins de diamants, fer ou encore d'or et d'obsidienne ! Bref ! Le bonheur pour des outilleurs tels qu'eux ! Ils avaient miné pendant plus de 15h, et malgré la souplesse de leurs os, à présent, ils retournèrent ( à pied ! ) sur New Stendel, afin d'atteindre plus facilement l'Hypérion, ce fameux arbre où avait été enterrés les supertools.

 

« Dis moi Kmai', pourquoi veux-tu à tout prix aller à ton magasin à Hypérion ? » questionna Cailbur, qui savait aussi bien que lui la raison de ce long voyage.

 

« Cailbur, tu te rappelle quand je t'ai annoncé où j'avais trouvé mon secret sur les doubloutils ? » fit Kmairiaux, très inquiet, portant un bloc de diamant dans sa main. Il était lourd, mais la souffrance ne serait pas vaine, il le savait...

 

« Ouais, vaguement, pourquoi ? Où veux-tu en venir ? »

Mais le Dryadien ne répondit pas, et traça sa route, accélérant à chaque pas. Son ami Nivalien dû se fier à ce dernier, et le suivi de très prêt, fixant inlassablement le bloc de diamant qu'il portait toujours dans son dos.

 

Le jour s'était enfin levé, et Cailbur réveilla brutalement son camarade. Il vérifia d'abord si le bloc bleuté était toujours présent, et après s'être rassuré, ils, tout les deux, s'assied sur un banc au bord d'un lac.

« On est à l'entrée de la Baie Dryade, mon hameau, mon joyaux, mon- »

 

« Ouais, c'est bon, j'ai compris, ton village quoi. » l'interrompit Cailbur. Il était toujours de cette humeur le matin. Il a affirmé à Kmairiaux que c'était à cause de son manque de bière. Son taux d'alcool n'était pas assez élevé pour qu'il puisse discuter comme un homme normal.

Le Maire Dryadien soupira, et se leva pour aller chercher une de ses bières offertes par dokMixer, il y a de cela quelques semaines. En revenant, il lui la tendit.

 

« C'est bon ? Tu peux parler maintenant ?... »

Après avoir achevé d'un joli passer de langue sa ses lèvres sa pinte, l'outilleur l'a planqua dans son sac, pensant que son ami ne l'avait pas aperçu, et conclua sur un ton si joyeux :

 

« Je suis près à l'affronter ! Ton arbre de pacotille ! Ah-ah ! »

 

« Ouais, mais Cailbur, tu sais... il n'est pas question de le couper, hein... juste de grimper ( par des escaliers ), et d'aller dans ma noix... pas une mission de ScarCube, hein. »

 

« M'ouais, on y va ? »

 

Puis le groupe entama sa dernière ligne droite avant d'arriver nez-à-nez avec les racines de l'Hypérion. Cailbur affirma que ça, c'était un arbre de pacotille, et qu'il arriverait en premier en haut.

Jeu de gamin ? Pas tout à fait, car ingénieux, le marchand sprinta vers les escaliers, éclatant de rire avant de... grimper sur les racines.

 

« Cailbur, tu sais que...- » gémit Kmairiaux

 

« Je ne suis pas une lopette ! Je grimpe l'Hypérion ! Je ne suis pas une lopette ! Je grimpe l'Hypérion ! »

Le Dryadien renchérit par un léger sourire, avant d’emprunter plutôt facilement les escaliers qui entouraient magiquement l'arbre, qui était beaucoup plus imposant car un arbre millénaire !

 

Une fois arrivé en haut, Kmairiaux attrapa d'une poigne de fer le bloc de diamant, qui luisait maintenant, comme s'il réactivait au supertools. Mais il ne s'en soucia pas, et ouvrit vivement sa noix, alimentée par des racines bleues cyan, comme auparavant.

Le propriétaire de la noix pris son élan, son courage, et balança de toute ses forces la richesse même à l'intérieur de cette intérieur. Instantanément, la noix se referma, et une lueur bleue en éclata !

Un souffle projeta Kmairiaux en arrière, qui chuta de sa branche. Au passage, il frappa violemment son camarade, Cailbur, qui grimpait vaillamment l'arbre géant, avant de finir sa chute au fond d'un profond ravin d'eau.

Les deux se relevèrent, et malgré la douleur, le Dryadien remonta à la surface, tout en tirant le marchand en dehors avec lui. Il ne l'attendit pas, et le secoua brutalement.

 

« Ça ! C'est pour ce matin ! rigola Kmairiaux, tout en le traînant, encore sur l'herbe. Allez, vite, on doit grimper en haut avant que la noix ne se referme !»

 

« Oui ! Je suis là ! No-fear ! Je suis debout, je suis vivant ! Ah-ah ! » cria furieusement Cailbur, se voyant encore chuter des branches de l'Hypérion.

 

« Bon, c'est déjà une bonne chose que tu sois en vie. Tu m'as entendu juste avant, ou pas? »

 

« Heu... pas. » tentant de faire une blague.

 

« Bon, il faut qu'on grimpe en haut avant qu'un autre découvre ma noix, j'ai pas envie d'avoir fait tout cela pour rien, non d'un cube enragé ! »

 

« D'accord, je te suis, et cette fois, je prends les escaliers ! »

 

En moins de temps qu'il en faut pour le dire, Cailbur et Kmairiaux était déjà en haut des marches, et finissait de gravir la dernière. Ils étaient aussi impatient l'un que l'autre, et ils se questionnaient déjà sur ce qui était arrivé à leur bloc bleu. Était-il devenu une simple poussière de Lapis Lazuli ? Avait-il muté en une sorte de monstre affreusement hideux ? Ou ne s'était-il tout simple rien passé dans le magasin suspendu.

Mais lorsque les deux compères, d'une force quasi-inhumaine déchirèrent l'écorce de la noix, ils ne savaient plus quoi dire. Devant eux, était apparu une magnifique pioche bleutée. Aussi somptueuse que les Déesses de l'Olympe.

 

« Je rêve ou... »

 

« Cailbur, prend la, ou ce sera moi qui la prendrais... »

Un sourire se dessina sur les lèvres de Cailbur, qui brandit la fameuse pioche en diamant qu'il avait toujours rêvé...

 

A la suite de son rêve achevé, Cailbur décida qu'il en était temps de traîner dans les prairies, à vendre des outils qu'aux pauvres voyageurs en quête d'un abris en cobblestone.

C'est donc à la suite d'une nuit disons plutôt torride avec sa femme, qu'elle l'invita à venir emménager avec elle sur la glorieuse ville flottante de New Stendel. Il accepta, mais un obstacle s'imposait, pour le moment : La Citoyenneté.

 

L'outilleur ne voulait attendre, et se rendit donc directement chez son, maintenant, fier ami Kmairiaux, celui qui l'avait aidé à obtenir les outils sacrés en diamants.

 

« Je t'en supplie, Kmai', il faut que tu m'aide ! Tu es un fier gouverneur à présent, il faut que tu m'aide à contacté les Empereurs de New Stendel pour m'acquitter de la tâche qu'est être un Citoyen Stendelien ! »

 

« Hé, doucement ! Certes, je suis gouverneur, répondit Kmairiaux, un long sourire jusqu'aux oreilles, mais ce n'est pas une raison pour m'agresser ainsi. Si tu veux que je parle aux Empereurs de toi, il faudra que tu réalise bien plus qu'une statue en laine chez nous ! »

 

Et c'est à la suite de cette court décision que le concurrent au titre de Citoyen s'enferma, seul, dans sa cave, avec pour seul ami le silence et les rats. Il dessina moult plan, ne sachant toujours pas quoi faire. Sa femme pensait qu'il travaillait dur comme fer pour habiter avec elle, mais non, bien au contraire. Il y avait forcément une idée derrière tout ces efforts, mais il n'osait pas, il n'osait pas avouer à sa femme le pourquoi du comment.

 

« Un château de sable... mais c'est ridicule ! »

 

« Chérie, je ne souhaite pas construire n'importe quel château de sable ! Je ne souhaite pas construire un pâté de sable sur le bord de la plage ! » s'exclama Cailbur, voyant que sa femme ne le croyait pas.

Cette dernière baissa la tête, posant sa main sur son ventre. Puis, elle releva lentement ses yeux vers son mari, avant de lui avouer, la peur au ventre.

 

« Tu vas être père... »

L'intéressé tira une de ces têtes, les yeux globuleux, ne sachant pas quoi faire. Il fit tomber ses plans de son fameux château de sable, et une larme coula le long de sa joue. Un petit sourire se dessina sur ses lèvres, et finalement, s'approcha de sa bien-aimée, la serrant dans ses bras.

 

Après un long câlin émouvant, suivi de « Depuis quand ? On va le nommer comment ? », la mère questionna Cailbur.

 

« Tu veux toujours tenir ce projet de « Citadelle de Sable » ? »

 

« Comment pourrais-je être plus heureux ? Je ne sais pas... le château n'est pas une mauvaise idée, mais je n'ai plus envie, j'ai envie de rester à tes côtés, à vos côtés... »

 

Au bout de 9 mois intensif de grossesse, la bien-aimée mit au monde un petit garçon, qu'ils nommèrent « Jules ». Les moyens médicaux, n'étant pas aussi développé, la mère mourut seulement une semaine après la naissance, tout comme l'enfant, par ailleurs. L'outilleur vécu donc les deux dernières années en pleine tristesse, engloutissant des litres et des litres de vins, bières et autre plaisirs alcoolisés. Il vagabonda entre les rues de New Stendel, cherchant un abri pour la nuit. Mais personne ne voulait accueillir des SCF ( Sans Cube Fixe ) chez eux, et fermait la porte aux nez de ces derniers.

Cailbur erra donc dans la banlieue de Stendel, cherchant comme toujours un abri. C'est d'ailleurs à ce moment qu'il tomba nez à nez avec un des gérants de la Banlieue. Derrière lui, se trouvait un terrain vide, avec un panneau marqué :

 

« A vendre. »

 

Pas une ni deux, et fort heureusement, n'ayant plus trop de taux d'alcool par litre cube, Cailbur rattrapa le gérant, et lui proposa une bourse renfermant un peu plus que la somme demandé.

 

« Avez vous le droit de louer un terrain ici ? Êtes vous un citoyen de Stendel ? » questionna le « vendeur de terrain ».

 

« Non, mais je suis en passe de le devenir... »

 

C'est seulement le lendemain, après une heure de discussion, que Cailbur acheta le terrain, avec pour objectif d'y bâtir une échoppe avec un petit logis juste au dessus.

Malheureusement, la Citoyenneté devait toujours être obtenu pour pouvoir bâtir sur la zone même, et l'Outilleur s'empressa d'envoyer une lettre aux Gouverneurs, et notamment à Kmairiaux, afin d'obtenir cette-dit Citoyenneté Stendelienne !

 

 

En espérant que vous avez apprécier cet écrit.

Cubiquement votre, Cailbur.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Allez, pour relancer la candidature de ce cher Cailbur!

 

Je plussoie! Le blabla habituel...sympathique...blablabla...méritant.... Etc... :pumpkinon:

 

Mais non je plaisante! Cailbur se fout TOUT le temps de moi, et j'en ai marre, je la moinssoie :pumpkin:

 

Bon, bonne chance!

 

Yugaye

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonsoir.

 

je me permet de plussoyer Cailbur qui est une personne drôle et sympathique avec qui je me paye des bonnes tranches de rigolade sur mumble. Il a participé à de nombreux projets et s'investit beaucoup dans les villes où il réside.

 

Cordialement,

Dracorian.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 Partager

×
×
  • Créer...