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[Accepté]Postuler au rang de Voyageur : Horneback


Horneback
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YAAAAAAAAAAAAAAR

C'était pour l'intro :)

 

Présentation HRP :

 

Sur le serveur, je conçois l'idée que je ne sois pas très connu, ce qui est en majeure partie dû au fait que je passe mon temps caché pour le projet TorCuba ( Je tiens d'ailleurs, en tant que co-fondateur, et je pense que mes collègues me suivront, à m'excuser du comportement récent de deux des membres qui se sont fait bannir. C'était de jeunes joueurs qui nous ont rejoins réçamment et on a surement manqué de contrôle sur eux. C'est totalement notre faute et j'en suis encore désolé. J'espère juste que ça n'affectera pas votre vision de notre projet )

 

Cependant je passe beaucoup ( trop ? ) de temps à bosser IG afin de produire quelque chose qui fasse envie aux joueurs de se taper tout le chemin vers chez nous.

Nous sommes actuellement 5 créateurs du projet, rejoins peu après par trois nouveaux membres

Les fondateurs sont : Moi, Sael(QuelKin), paketcado, axool et Léo_rattus ( qui dessine très très mal, mais c'est le seul à le faire :D )

 

Donc bon, je m'éternise un peu là ^^' Allez, envoyez le pavé !

 

Le Role Play qui suit n'a pas de lien direct avec ma candidature Paysan, C'était une vaste blague qui prennait trop de référence, impossible à continuer, désolé si c'est un critère :?

 

RP

 

 

" Aujourd'hui est un grand jour, et je pense qu'il est nécessaire que je le note; pour mes descendants, pour l'Histoire.

 

A vrai dire, tout commence hier : Alors que je passais la nuit dans une auberge simple mais confortable, un groupe de marin me réveilla en sursaut. Leurs cris écrasaient mes tympans, leurs pieds faisaient vibrer toute l'auberge, à cet instant, comment pouvais-je savoir qu'ils allaient changer ma vie ?

 

Le sommeil ne revenant pas, je me pris à écouter plus attentivement ces hommes. Leurs discussions n'était pas des plus passionnante : véritable ode vulgaire dédiée au vice, accompagnée de chanteurs, tous plus ivres, les un que les autres. Un élément m'intrigua cependant, ils parlaient d'une terre lointaine; accessible par la mer, qui recellait tellement de richesses qu'une vie ne suffirait pas à entamer. Après quelques minutes de fantasmes sur une existence remplie d'argent et de pouvoir, je pris mon courage à deux blocs, descendis les grinçants escaliers de l'auberge pour arriver dans la pièce principale.

 

Quelle chance ! Ce groupe devait partir à l'aube pour retourner explorer ces terres inconnues, je les ai prié de m'intégrer à l'équipage, vantant mes mérites d'ingénieur et de fabriquant de piège à usage domestique. Le capitaine, visiblement aussi saoul que ses hommes prit mon cas en pitié et m'invita à me rendre à l'aube sur l'embarcadère du port. Sous l'euphorie de ma nouvelle adoption, je dilapidais mon maigre pécule d'or en boissons pour l'équipage qui m'acceuillait, la nuit se termina pleine d'espoirs d'une nouvelle vie, d'un nouveau départ.... Quel idiot je fus...

 

Ce matin, alors que le soleil venait à peine de se lever, je marchais fièrement dans les rues de cette ville inconnue, tout parraissait plus beau, plus vivant, comme si le monde me souriait enfin.

Alors qu'un énorme sourire, apparaissait sur ma bouche, il disparut en quelques secondes. Le bateau était partit plus tôt que prévu; me laissant seul, pauvre, et sans aucun espoir.

dessinhorneback.gif

 

Errant comme une âme, à la recherche d'un bar, d'une bouteille ou même d'un échaffaud, je regardais avec envie les marins s'affairer sur leurs bateaux... si seulement...

Puis mon regard s'arrèta sur un groupe plutôt sympatique de pirates, un peu perdus, ils sortaient de l'ordinaire, et surtout de nul part ! Leur capitaine, un homme borgne ( et bourru ) parlait avec charisme à son équipage et à un groupe de pêcheur qui passait par là. Je ne sais toujours pas ce qui lui a pris, mais sans cet homme, je ne serais pas là pour prendre cette plume. Il recrutait des marins pour son équipage ! Et en plus, ils partaient le soir même.

De nouveau gonflé par l'espoir que me procurait cette occasion, je m'engagea comme marin sur l'imposant gallion nommé "La Dent d'or". Je ne sais encore ce que l'avenir me réserve, mais maintenant, je l'attends avec impatience."

 

"[i}Cela fait maintenant 10 jours que je suis parti sur les flots. Je prends aujourd'hui ma plume pour rendre compte de mon aventure..[/i]

 

Les journées sont longues et dures, l'ancien équipage semble nous dénigrer, nous, les "mousses". Je vais leur prouver que je suis le meilleur de ce bateau !

Le premier jour était plutôt calme cela dit. Les marins étaient détendus par leur escalle, les nouveaux arrivants étaient, comme moi, enthousiastes à l'idée de partir en mer. Je dois dire que le paysage que nous offre la vigie est merveilleux, les nuages semblaient nous éviter pour l'instant, ce qui permet de voir toute la beauté de la mer et de ses vagues. Le vent emporte notre navire dans une direction inconnue de la plupart des marins, pourtant, personne ne semblait d'humeur à poser de questions.

Le troisième jour, j'ai rencontré un personnage atypique, il n'avait pas embarqué avec moi mais était un réfugié d'une île dévastée par des cataclysmes et des pillards, ils étaient plusieurs dans cette situation, j'imagine que pour eux, ce voyage représente le même rêve que le mien. Cet homme portait des habits plutôt sales, on aurait dit qu'il sortait une mine de charbon ! Cela dit, il était plutôt comique, sa façon de se brusquer devant ceux qui n'approuvaient pas ses créations, les gratifiant d'un "Arrrr, vous comprenez vraiment rien à l'art vous.". Il se donnait autant que moi dans les diverses activitées du bateau, ce qui nous permit de rester à discuter plusieures fois pendant notre tour de garde. Bon, il est notable qu'il a une sacrée descente le saligaud.

 

Le sixième jour, une bagarre éclata. Je me précipita sur les lieux de l'affrontement : Il était question de repas, d'égalitée et de rame insérée dans un endroit particulier. Une scène de David contre Goliath se déroulait devant moi. On pouvait distinguer un énorme marin, de facilement 210 livres qui malmenait un type.

Je dois dire que ce fut plutôt divertissant, le plus imposant, emporté par son élan, finit à l'eau, qui sait quel prédateur s'est occupé de son sort ?

 

Aujourd'hui, je viens de connaître la sensation de la mort. Ces maudites vagues font tanguer le bateau comme un morceau de viande qu'on trimballe par charrue. J'ai longtemps pensé que lorsqu'on recrachait la totalité de nos possessions "internes", il était impossible de revomir à nouveau... Force est de constater que je me suis trompé. Le capitaine tient vaillament la barre sur le pont, depuis lequel il commande les derniers marins encore debout après l'effet du roulis.

Je n'ai pas grand chose à dire, j'espère que c'est un moment qui se calmera, sinon, j'espère que quelqu'un trouvera au moins ce journal."

 

 

 

"Et si finalement, c'était terminé ? Je prends aujourd'hui l'encre et le parchemin pour vous exprimer ma joie. Ma joie, et mais aussi mon soulagement.

 

La tempète fut terrible, les éléments nous prouvaient une fois de plus qu'ils étaient seuls maître de notre monde. J'ai bien cru que le bateau allait se renverser à un moment ! Néanmoins, dès que mon estomac fut habitué à ce sentiment de malaise, je participa au plan du capitaine pour nous faire sortir de cette tempète. Toutes les tâches qu'on nous confiaient étaient doublement plus difficiles à accomplir, la faute au tangage, au sol glissant et aux cordes trempées. Malgré tout, l'équipage fit un travail exceptionnel qui permit à la grandvoile de rester déployée durant toute la tempète.

C'est ainsi que, sans trop savoir comment, je fus catapulter au rang de marin d'honneur de l'équipage, pour ma vaillance durant la tempète. Je dois vous avouer que ceci est une fierté pour moi.

Je viens d'entendre notre observateur crier en apercevant la terre devant nous. C'est enfin terminé. Le capitaine vient de parler de s'installer sur ces terres. Je me sens excité à l'idée de découvrir enfin ce territoire dont je rêve depuis si longtemps, j'ai hâte qu'on débarque."

 

 

"Je retrouve aujourd'hui ce journal, j'y inscris ainsi ma dernière note. Symbole d'un but atteins, et d'une nouvelle vie.

 

En débarquant, le capitaine repéra une montagne, il proposa d'y faire un camp de base. Au fil des jours, nous avions besoin de plus de place pour installer nos marchandises, c'est pourquoi le capitaine a ordonné l'excavation quasi totale de la montagne et la construction d'une citée pirate à l'intérieur. Ce fut le dernier ordre qu'il prononça. Enfin, le dernier ordre qu'il prononça en son nom.

Cette ville, dédiée à la contrebande et aux péchés était mon paradis, notre assemblée est composée de tous les marins les plus actifs ou sages de notre bateau. J'en fais parti.

Je suis enfin arrivé à destination, je contrôle une cité composée des pires forbans que ce pays ait connu, et pourtant, l'ambiance qui y règne est fraternelle sans compter que tout le monde y est égal.

Cet endroit est un iddyle. Et il a un nom :

 

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TorCuba.

 

 

Journal de Horneback

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Un joueur qui a le don de mettre la bonne humeur dans une équipe, très impliqué, très sympathique. Je le côtoie depuis maintenant trois semaines et j'ai appris à l'apprécier. Et puis qui peut résister a son sourire colgate ;) . Méfiez-vous ceci dit, ne luis tournez pas le dos il a une fâcheuse tendance a faire des farces :lol: . Bref, ce serait dommage de se priver d'un tel joueur.

 

PS : après avoir lu et relu les règles, il me semble que soutenir quand on est paysan est interdit pour les candidatures paysans seulement vu qu'il est écrit "dans cette section", si je me suis trompé je m'en excuse, ne tenez pas compte de ce message.

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Grand bâtisseur des chantiers pharaoniques, jardinier-paysagiste à ses heures perdues.

 

Mais aussi chef disciplinaire à la poigne de fer il fait régner l'ordre là où c'est impossible et impose le respect d'un sourire aveuglant.

 

Eternel compagnon du bout de la nuit je te salue.

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