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Candidature au grade de Voyageur - Alexthi94


Alexthi94
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Bonjour,

Je suis ici pour déposer ma candidature au rang de voyageur, afin de pouvoir crafter des items spéciaux et d'avoir mon pseudo en bleu sur le chat :P .

 

Donc je m'appelle toujour Alexis, j'ai 14 ans, et cela fait un peu plus de 7 mois que je suis paysan sur ce serveur.

 

J'ai apposé ma pierre sur plusieurs projets tels que Oxissor ou Dark Symia, Winteria... J'ai une maison non loin de la Principauté de l'Octarine:

 

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Je fais aussi partie de la Confrérie des Chevaliers du Ciel dont voici le post de projet. Voici une image de mon vaisseau, avec en prime le Capitaine Creeper à la proue:

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Passons au RP, qui est une suite directe de celui de ma candidature paysan, mais que j'ai remis ici pour plus de clarté.

 

RP paysan

 

Mon père avait un don particulier, il pouvait influencer les élements afin d'en faire d'autres choses : sa première création fut d'assembler quatre planches de bois, pour en faire un cube qu'il nomma Craftbox. Il pouvait disposer dessuss des élements qui s'assemblaient ensuite pour former des outils, des cubes... J'ai hérité de son don que je croyais exclusif. Mais un ami m'a parlé d'un univers nommé Minecraft. J'espérai trouver d'autres personnes semblables à mon père et moi.

Lors de mes excursion d'exploration dans ce monde, je crus découvrir que seuls les Mobs pouvaient penser et bouger par eux-même. Un soir, après une longue journée de recherche, je rentrai chez moi pour retrouver mon père, lorsque je vis quelque chose s'approcher de la maison... J'en avais déjà vu dans les livres de mon père... Un Mob... Vert...

"-Père, un Creeper!"

Trop tard.

"-Psssssssss...BANG!"

Je fermai les yeux et plaquai les mains dessus lors de l'explosion.

Lorsque je les rouvris, il ne restait plus de la maison qu'un cratère. Je pleurai pendant quelques instants la mort de mon père, contemplant les dégats générés par le Creeper. Mais... Au fond du trou se trouvait un coffre dont je ne connaisais pas l'existence. Je descendis prudemment en créant un escalier de dirt afin de pouvoir remonter. J'ouvris le coffre : à l'intérieur se trouvait une lettre de mon père.

"Alex, si tu vois ceci, c'est qu'un creeper a ravagé notre maison, et que je ne suis probablement plus. Ne perds pas courage. Dans ce coffre se trouve une carte (je la pris) indiquant l'emplacement d'un monde que j'ai découvert par hasard, nommé Minefield. Ses habitants t'acceuilleront, je l'espère, aussi bien qu'ils l'ont fait pour moi. Ils ont le Talent. Ils ont même réussi à créer des recettes qu'il m'est impossible de faire. J'espère que tu te plairas là-bas, dans ta nouvelle communauté. Ne me regrette pas.

Ton père"

Je versai encore quelques larmes sur la lettre, la rendant illisible. Puis je me repris. Dans le coffre se trouvaient aussi des flèches, un arc et une épée, brillant de mille feux, dont la lame était en diamant. Il s'y trouvait aussi des Items bizarres : un stick de fer, des outils en obsidienne... Je compris que les Minefieldiens étaient si créatifs qu'ils inventaient des items et des blocs qui n'existaient pas dans Minecraft : j'avais eu beau essayer de crafter des objets en suivant mon instinct, cela n'avait rien donné, mais je sus que cela fonctionnerait dans ce monde. Plein d'espoir, je pris aussi la boussole qui se trouvait tout au fond du coffre et me mis en route. Je ne trouvai rien d'intéressant, à part quelques maisons inoccupées. La nuit tombante ne m'empêchait pas de continuer à avancer obstinément. Soudain, une araignée jaillit de nulle part! J'essayai de lui échapper, de la frapper mais j'avais laissé mon épée au fond de mon inventaire! Ouille! Aïe! Je sombrai dans le noir sans savoir ce qui m'arrivait.

Lorsque je me réveillai, j'étais dans un pièce circulaire, exiguë, dont les murs étaient en bois. Un vieil homme était penché sur moi. Voyant que j'ouvrais les yeux, il s'écria :

-Ah! Tu es vivant! Je n'avais presque plus d'espoir!

Je lui demandais où j'étais.

-Eh bien, tu es perdu? Tu es à New stendel! Quoi? Plus précisément? Dans le Phare Phare Away de Torcuba!

Il me fit signe de le suivre alors qu'il montait des escaliers. Arrivé en haut, il me désigna une porte :

-Voilà le meilleur panorama de la région!

J'ouvris la porte et avancai dehors. Une brise légère me fit voler les cheveux vers la droite. Je me penchai par- dessus la balustrade et découvris la mer à l'horizon et les rocher en contrebas. Sur ma droite flottait un navire, ammaré à un fin ponton. Ses voiles blanches se gonflaient au vent. Sous mes pieds, un drapeau à tête de mort regardait la mer. Sur ma gauche, Un kraken échoué transpercait une muraille avec ses longues tentacules. Le bnheur devait se lire sur mon visage, car le vieux me dit:

-Moi aussi, j'adore ce panorama.

C'est ainsi que je sus que c'était dans ce monde que je voulais habiter.

 

 

***

 

RP Voyageur

 


  • [*:z596yz59] Chapitre I : A Nevah
     
Je regardai ma boussole : j'allais bien vers le Sud, là où se trouvait Nevah selon le vieillard. Depuis quelques jours déjà, je marchais sur la route-passerelle reliant Nevah au Dominion, car mon but était de visiter les terres New-Stendeliennes, afin de trouver une communauté qui me plairait.
Le jour était déjà bien avancé et depuis midi la brume avait commencé à tomber, sans pour autant me décourager car la route était rectiligne et bien marquée.
Bien que le monde autour de moi s'obscurcît lentement (c'est du subjonctif) , je décidai de continuer ma route : je n'étais pas fatigué et n'avais aucun risque de sortir de la route.
Je marchai, marchai dans l'air frais de la nuit et au loin, la brume disparaissait, dévoilant de chaudes lueurs me montrant que j'étais près du but et me poussant en avant. Dans mon élan, je ne remarquais pas que le temps passait, et étonnamment vite vis-je sur ma gauche l'aurore rose soulever le voile étoiler de la nuit et découvrir à mes yeux un spectacle grandiose. La grande, la fortifiée, la cité était enfin là!
Emu, je me mis à courir, et en bien peu de temps - dans mon excitation je ne saurais dire si ce fut une minute ou une heure - j'arrivai aux murailles. Un garde était en train de lever la herse, qui était fermée la nuit. Je le saluai.
Lorsque le cliquetis métallique s'arrêta, j'entrai, et me dirigeai vers l'avenue commercante. J'achetai une cape de voyage, et un Guide du Voyageur Minefieldien , accompagné d'une carte inédite Ultimap™.
 

***


 
Après une visite approfondie de Nevah tout au long de cette journée, guidé par mon "GdVM", je me dirigeai, alors que la nuit tombait et que le ciel assombri se tachetait d'étoiles, vers une taverne réputée, afin de goûter aux spécialités Nevaines en matière de boissons.
Je poussai la porte, qui grinça. La pièce, éclairée par une torche dont la lueur changeante faisait vaciller les ombres des clients, était remplie d'hommes, la plupart mal rasés, et je fus frappé par la forte odeur animale du lieu. Je mis un pied dans la taverne ; le brouaha se stoppa. Les "clients" me regardaient, un air hostile sur leur visage. moi qui m'attendais à de l'hospitalité!
J'entrai, fermant la porte doucement dans un grincement faible et prolongé, et avancai d'un pas mal assuré vers le comptoir, sur lequel je posai quelques piécettes en commandant une bière. Lorsque le tavernier posa la chope violemment devant moi, le claquement sec résonna dans le silence tendu et méfiant des habitués. Je la soulevai, et vis qu'un homme, à une table, avait repoussé une chaise libre et m'invitait. Je m'y assis, et, tremblant, portai la chope à mes lèvres sous le regard inquisiteur des occupants de la taverne. Je pris une gorgée, et manquai de la recracher tant le liquide était infect. Mais je fis l'effort d'avaler, et reposai ma chope sur la table. Les discussion bruyantes reprirent aussitôt.
Je contemplai la chaise sur laquelle j'étais assis. Elle représentait un arbre, taillée, semblait-il, d'une seule pièce, elle avait dû être très longue et difficile à fabriquer, et la finesse du travail me remplit de fierté et de gratitude pour son créateur. Les pieds irréguliers, évoquant des racines, soutenaiet un tronc courbé surplombé d'une voûte de branches, aménageant un siège, nombreuse mais si fines qu'il semblait que le premier qui tenterait de s'asseoir les briserait. Le dossier, de rameaux entrelacés, se terminait par un feuillage dense mais composé de minuscules feuilles, innombrables. J'eus l'impression que ces feuilles dansaient, poussées par une brise légère qui me rafraîchit le visage malgré l'atmosphère immobile et étouffante qui régnait là.
La finesse du travail de cette chaise faisait du menuisier plus qu'un ébéniste : un orfèvre.
 
Soudain un homme, puant l'alcool, fut plaqué sur ma table, face au sol, et ma chope tomba par terre. Un barbu patibulaire accourut, le retourna, et le frappa, le frappa. Sa victime gémissait ; je me levai, surpris.
Les ivrognes vociféraient, on entendait des bruits de coups, des bris de verre, la taverne entière était secouée par la bagarre. Je ne sus jamais les raisons de ce combat, mais je devinai que cet affrontement découlait d'un affront.
On saisit ma chaise, m'arrachant à ma seule admiration restante de la civilisation. Le tronc fut brisé sur le crâne d'un des buveurs, qui s'écroula devant moi. Je hurlai "Non!" mais la pauvre oeuvre était déjà dispersée dans toute la pièce, en morceaux. Je vis qu'une branche était près de mon pied, par terre ; je la ramassai et l'observai. L'évanoui se releva. Il me regarda, l'air intelligent et curieux. Il eut même l'air amical. Il regarda la branche, intéressé ; la prit, l'observa. La manière dont il la regardait me rappela mon père.
Mais il entendit derrière lui les fracas de la haine. Il se retourna, et son visage se transforma en un hideux masque grimaçant, inhumain. Il attrapa un homme qui passait par là et le frappa avec la branche ; l'autre tomba à terre, il lui donna des coups de pied dans les côtes, dans le ventre....
Horrifié, je m'enfuis, laissant derrière moi cette taverne qui se consumait dans la haine. Je fuis cette haine, la civilisation même, en larmes, je fuis, sortis de Nevah, traversant des lacs, parcourant des vallées, et je ne m'arrêtai que lorsque je ne vis plus que la lumière de la lune à travers mes yeux embués.
Et là, tremblant, je versai tout ce qui me restait de larmes sur les racines d'un arbre, qui, lui, ne serait jamais brisé par la bêtise humaine.

 
 
[*:z596yz59] Chapitre II : Solitude
 
 
Cet événement m'avait dégoûté de la civilisation. Je m'installai donc seul, en ermite, là où j'étais arrivé, il me semblait que j'étais le seul humain à des cubomètres à la ronde, ce qui s'avèrera faux.
Je bâtis ma maison sur un cap donnant sur un magnifique lac. Je pouvais entendre les oiseaux chanterdans les arbres, et me noyer dans un flot de mélodies alors que je travaillais. En quelques jours ma maison fut terminée et habitable, et ma vie devint alors oisive : je pouvais vivre longtemps d'une cueillette rapide, et je n'eux bientôt plus rien à faire que d'attendre, en tournant en rond dans ma maison.
Je m'ennuyais. Et ces oiseaux! dont les chants, si divertissants au début, me harcelaient les oreilles !
Je ne savais pas ce que j'attendais.
 
Mais cela arriva.
 

***


 
Un matin du mois d'octobre je me réveillai, sortis de ma maison, et trouvai un panneau:
 

Cette maison se trouve sur le territoire de la Principauté de l'Octarine. Merci de prendre contact avec son altesse QueenNounours. Le palais de l'Octarine se trouve de l'autre côté du lac.
 
Anxieux, je me rendis à cette audience, encore pensif à propos de mon contact précédent avec la civilisation.
 

***


 
Et je repris alors goût à la société;
L'horreur que j'avais vue, je le compris alors,
N'avait de fondement que dans la boisson d'or
Des Nevains assoiffés.

 
 
[*:z596yz59] Chapitre III : Aventure, voyage!
 
 
Je continuai alors le voyage commencé plusieurs mois plus tôt, et m'impliquai dans la société.
Winteria avait un projet de donjon, et je donnai quelques ressources afin de les aider à le construire (j'appris plus tard que le projet avait été abandonné, j'espère au moins que les stacks de stone ne furent pas jetés sur un cactus.). J'aidai les assassins d'Oxissor à embellir un versant de leur plateau, et les singes de Dark Symia à ornementer les parois de leur grotte.
Mais j'étais en mal d'aventure. J'avais entendu parler du donjon de Nevah, sur Nubes. Un jour où je me réenfonçais dans mon oisiveté, je décidai de m'y rendre.
 

***


 
L'île fortifiée se dressait devant moi dans la lumière de la fin du jour. L'entrée, a moitié cachée par des lianes, me semblait être un piège énorme. Plein d'adrénaline, je me jetai dedans.
Les énigmes se succédaient, l'aventure m'emplissait de plaisir. J'avançais, parfois lentement, mais toujours sûrement, dans ce donjon... Mais à un moment, lors d'une réflexion qui s'éternisait, dans une des caves du château, je ressentis le besoin de me reposer après tous ces efforts, qui n'étaient sûrement pas terminés. Je cherchai un endroit où m'installer, pris ma cape en guise de couverture, et mes paupières tombèrent, me plongeant dans le néant.
 

***


 
Les rayons du soleil se cognèrent à mes paupières fermées.
Je me mis sur mon séant, et les levai, mais, ébloui, je clignai des yeux. Une fois habitué à la lumière ambiante, je remis ma cape et me levai, prêt à reprendre l'aventure. Je me tournai dos au soleil pour voir où j'en étais dans la résolution de l'énigme...
... Le soleil? Mais... J'étais dans une pièce fermée!
Désorienté, je regardai autour de moi: j'étais en fait sous l'île principale, sur un îlot d'à peine quelques cubes-carrés de surface! Le seul signe de vie aux alentours était un arbre. Et encore, ce n'était qu'une vieille souche qui pourrissait.
"Il y a donc bien quelqu'un dans ce donjon!", pensai-je.
Soudain je me mis à paniquer. Comment quitterais-je ce lieu? Bawi c'est pas RP de faire /spawn!
Je tournais en rond sur mon île flottante et le tas de rognures d'ongles s'agrandissait rapidement, lorsqu'au loin, je vis un navire... Qui volait dans les airs! La coque en bois était au milieu fendue pour accueillir une pierre jaunâtre, pleine d'alvéoles, qui m'intrigua.
Voyant dans ce vaisseau la seule possibilité de m'en sortir, je me mis à hurler à l'intention du pilote, sans aucune réaction de sa part. Désespéré, je coupai une partie du tronc de l'arbre (qui resta mystérieusement en l'air), et lançai la bûche sur le vaisseau.
Le choc, violent, fit lever la tête au capitaine, et il mit la barre sur mon îlot.
A peine avait-il accosté, je sautai sur le pont, et remerciai mon sauveur en lui demandant son nom.
- Flight Aeris, capitaine du Cevaucheur de Foudre, chercheur de trésors, et Chevalier du ciel, pour vous servir.
- Chevalier...?
- Chevalier du ciel, j'appartiens à la Confrérie des chevaliers du ciel. Vous ne savez pas ce que c'est?
-...Non.
- J'ai ici une explication de ce qu'est la confrérie, par Antot, un autre Chevalier.
Flight fouilla dans ses poches et en sortit un parchemin, qu'il me tendit. Je lus, et plus j'avançais, plus le rêve de voyage s'accentuait. Ils avaient bien de la chance, ces chevaliers...
- Où voulez-vous que je vous dépose ?, demanda-t-il.
- Au portail vers New-stendel, s'il vous plaît.
Durant le voyage, nous discutâmes de nos péripéties respectives, et mon rêve de voyage s'intensifia.
Mais trop vite, nous arrivâmes au portail. Flight accosta, et nous débarquâmes. Nous nous fîmes nos adieux.
Il remontait à bord, emportant mon rêve de voyage. Il allait partir, et avec lui partirait ma seule chance de voyager...
- Flight! Attendez!
Il se retourna.
- Oui?
- Y aurait-il... Un moyen... De rejoindre la confrérie?
Il sourit, et hocha la tête en signe d'approbation.
Je devins... Un voyageur!

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