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[Accepté]Candidature Citoyen : BuKm0r


Buky
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Hello Minefield !

 

Je viens postuler aujourd’hui au rang de citoyen, alors on va y aller dans l’ordre :

 

Mettre un lien vers votre candidature paysan.

 

Candid Paysan :

http://www.minefield.fr/forum/candidatures-serveur-minecraft/demande-candidature-bukm0r-t10491.html

 

Candid voyageur :

http://www.minefield.fr/forum/candidatures-serveur-minecraft/candidature-voyageur-bukm0r-t18129.html

 

 

- Refaire une présentation IRL.

Je m’appelle Victor, j’ai 26 ans, je vis à Paris.

 

Je vais commencer par une photo de moa en exclusivité sur minefield :P

 

photodemoi2.th.png

 

Je m’intéresse à pas mal de trucs geeks, comme les jeux vidéo, la SF, les mangas ou la fantasy, et plus particulièrement l’univers de warhammer 40000.

Je joue à Minecraft depuis environ 1 an. J’ai également pas mal joué à CS, WOW, SC2… Mon jeu préféré de tous les temps reste UFO : Enemy Unknown.

 

Sinon dans la vie je suis ingénieur d’affaires dans une société de Services à Suresnes. PM pour plus d’infos.

 

- Montrer ce que vous avez fait sur le serveur depuis votre arrivée en tant que paysan (des screens sont bienvenues mais pas obligatoires).

 

 

Helwyr :

candidatures-projets/helwyr-village-des-chasseurs-t17453.html

candidatures-projets/agrandissement-helwyr-t24601.html

 

Dominion :

Je suis un des constructeurs principaux de la citadelle du dominion

archives-f269/partie-t23934.html?hilit=Dominion

De plus, j’ai aidé à mettre en place le réseau crash intradominien.

 

Guilde de minuit :

post185931.html?hilit=b%C3%A2timent%20commun%20du%20dominion#p185931

 

Nevah :

Participation à l’érection des murailles de Nevah

Nombreux travaux de terrassement autour de la cité

Construction du bastion

Terraforming + début de construction de Minerah, la zone minière

Arene de Nevah v1.2

Construction de quelques maisons dans la zone prolétaire

Refonte de la façade du château ducal

Aménagement de la zone agricole

Mise en place de la zone industrielle et de sa scierie

Construction du pont vers le saint trident

Refonte de la gare avant l’ouverture du crash

Construction des fondations, puis d’une aile « énigme » dans le donjon perdu de Nevah : le fort kass’ pied

 

Les tréfonds :

20110523134126.th.png

 

La façade de ma maison :

20110523134045.th.png

 

L’intérieur de la maison :

20110523134100.th.png

 

Amaterasu :

Terraforming de la zone + creusage des canaux

Réalisation des montagnes

Construction d’une maison :P

 

Un petit projet perso sur Nimps

projetperso.th.jpg

 

Néfar :

Terraformings massifs

Mise en place des frontières.

 

 

- Exposer vos motivations à devenir citoyen.

 

Aujourd’hui je pense qu’il est temps pour moi de passer un cap : J’erre sur Minefield depuis maintenant 10 mois, et je suis toujours resté voyageur. Depuis la sortie de Stendel, qui est magnifique, je me suis dit qu’il était temps de changer la couleur de mon pseudo et qu’une parcelle à Stendel serait la bienvenue :P

 

- Expliquer ce que vous comptez faire en n’oubliant pas d’inclure votre désir de vous installer à Stendel.

 

J’ai monté un projet sur Stendel : Le refuge de Pan.

 

Vous trouverez le post associé ici :

http://www.minefield.fr/forum/valides-f592/refuge-pan-t40750.html

 

Ceci implique plusieurs aspects :

Le premier est que pour moi, l’idéal serait de proposer une antenne du projet dans la capitale. De plus, il est toujours plus pratique d’avoir un pied à terre centralisé au spawn. C’est pour toutes ces raisons, ainsi que celles exposées plus haut, que je souhaite aujourd’hui postuler au rang de citoyen.

 

- Faire un RP plus élaboré que celui figurant sur la candidature paysan.

 

 

Je me suis assis sur une souche pour reprendre mon souffle. Mes genoux me faisaient souffrir. L’air frais du matin venait caresser mon visage couvert de sueur. L’obscurité de la nuit était progressivement repoussée par les rayons du soleil levant. L’air charriait une légère odeur de pin et de rosée. Le vent agitait doucement les arbres de la pinède clairsemée dans laquelle j’avais décidé de faire une pause. Une hirondelle pris son envol dans un bruissement d’ailes.

 

L’aube était rouge. Je me suis rappelé un adage qui provenait d’un peuple lointain d’humains aux oreilles pointues, les Elfes, qui disait que ce phénomène météorologique indiquait que beaucoup de sang avait dû couler dans la nuit. Laissez-moi rire ! En ce monde, il n’est pas un jour sans que le sang de nos congénères se soit versé, et je ne suis pas sûr qu’il en soit différent pour nos amis les Elfes. De ce que je sais, ils sont retords et agissent dans l’ombre, et règlent leurs problèmes par la fourberie et le poison. Vous aurez compris l’idée que je me fais de ce peuple.

 

Quoi qu’il en soit, la chasse avait été bonne. De nombreux Enderman et autres nuisibles avaient été mis hors course, et nous n’avions à déplorer que quelques blessures légères. J’étais fier de mes chasseurs. Je leurs avais appris mes techniques, je les avais formés à l’art de la traque et au maniement de l’arc. Je leurs avais appris les différences entre les différents types de monstres dans le combat au corps à corps… Mais je ne pouvais plus les suivre toute la nuit. Mon corps commençait à accuser l’âge. J’en avais pris conscience quelques mois auparavant, alors que je transportais des poutres de bois pour terminer de construire les habitations de la façade est. Le tour de rein que je me suis fait m’a cloué une bonne semaine au lit. Aussi loin que je me souvienne, je crois que je n’avais jamais passé toute une semaine allongé.

La décision que j’ai redoutée toute ma vie allait bientôt s’imposer : je n’avais plus l’énergie pour cavaler dans la forêt pendant des semaines entières. J’étais plus utile pour expliquer les choses que pour les mettre en pratique. Fatalement, ma carrière d’aventurier avait pris fin sans que je m’en rende compte, et cette semaine passée dans l’inactivité m’a permis de beaucoup réfléchir. Je m’étais pris la réalité en pleine face : je me faisais vieux et j’allais devoir l’accepter.

 

Cela faisait maintenant quelques lunes que notre communauté évoluait, et de nouveaux aventuriers égarés, chasseurs traqués et autres paysans affolés arrivaient sans cesse. Nous les accueillions tous mais je ne pouvais m’empêcher de penser à tous ceux qui par malheur ne connaissaient pas notre refuge et ne cessaient d’errer ou de fuir jusqu’à ce que mort s'ensuive.

 

La communauté était active. Chaque matin, chacun vaquait à ses occupations avec entrain. Une ambiance joyeuse s'était installée dans le refuge, une joie du survivant, une joie peu commune et que seuls ceux qui ont survécu à de nombreux dangers connaissent. Je souriais, en pensant à ces débutants se croyant déjà vétérans.

 

En parlant de véritables vétérans, j’avais fait parvenir un message à mes anciens compagnons de la guilde de minuit. Saigozorus alias « le fléau », Iweedooz alias « le calme » et Oxnerol dit « la fourmi de minuit » nous avaient rejoint et avaient pris leurs responsabilités dans la gestion de notre village. Il était plaisant de nous voir tous à nouveaux réunis. Chacun était parti de son côté il y a bien longtemps, mais tous avaient répondu à mon appel, et ils m’ont rappelé les moments de joie et les tranches de rigolade que nous avions partagé lors de nos nuits d’aventures en tous genres.

 

Le village tournait bien. Je n’avais plus qu’à superviser le boulot, mais la grosse partie du travail était à mettre à leur profit.

 

J’ai réfléchis aux options qui se présentaient à moi, et j’ai convié mes amis de la guilde de minuit à m’accompagner pour une petite partie de Tonk, au sommet de la montagne qui nous hébergeait, à l’abris des oreilles indiscrètes, et accessoirement pour leur faire part de mes doutes. Il était plaisant de rejouer au tonk avec des personnes expérimentées, mais ils maitrisaient parfaitement le fait que la triche était inhérente à ce jeu, et il était difficile de les percer à jour.

 

A la fin de la dernière partie, gagnée par cette ordure de Saigo, je me décidais enfin à partager avec eux les pensées qui me tourmentaient depuis plusieurs nuits déjà.

 

"C'est une belle nuit n'est-ce pas ?" dis-je pour entamer la conversation.

 

Ils me regardèrent tous comme si j’étais toqué.

 

"Oui, un peu froide peut-être, mais nous avons beaucoup de bois pour nous chauffer" me répondit Racine d’un ton convenu, tout en observant les ombres des montagnes avoisinantes que l'on pouvait distinguer dans la clarté lunaire.

 

Je me lançais alors :

"Les gars, quelque chose me tracasse depuis quelques temps déjà. Notre communauté est un refuge propice pour beaucoup, mais il y en a toujours qui ne le connaisse pas. Je me sens obligé de faire quelque chose pour ces vagabond égarés, ces paysans en fuites, ces chasseurs chassés ..."

 

Saigo éclata de rire, ce qui provoqua en moi le sentiment d’être idiot. J’allais répliquer quand il me coupa :

 

"Tu te ramollis Buk, où veux-tu en venir exactement ?"

 

"La Capitale a ouvert il y a peu, je pourrais m'y rendre pour informer les voyageurs de notre existence, je pourrais aussi en informer les autorités pour qu'on ait un caractère un peu plus officiel, histoire de se faire connaitre et de pouvoir créer une vraie ville…"

 

Iweedooz avait fini de rouler son cigarillo d’herbes de sa culture spéciale. Il l’alluma en tirant de grandes bouffées d’une fumée tirant sur le gris-bleu, puis pris la parole d’une voix teintée :

 

"Je t’avoue que je ne comprends pas vraiment ce que tu cherches."

 

Nous y voilà…

 

"En fait, pour parler franchement, j’ai besoin de me reposer. Je n’ai plus la même énergie qu’il y a quelques années quand nous jouions les maraudeurs et les constructeurs fous à Nevah."

 

Un moment de silence d’abattit sur le groupe, uniquement perturbé par le crépitement du feu de camp qui nous éclairait et par le doux sifflement du vent qui balayait le plateau. Parler de cette période était un mélange de nostalgie et de ressentiment. Mais je ne m’épancherais pas sur cette histoire. Vous la trouverez dans le volume de mes mémoires, dédié à la création de la guilde. Je chassais ces pensée et repris la parole.

 

"Bon, on va continuer à se regarder dans les yeux pendant longtemps ?"

 

"Qu’est-ce que tu veux qu’on te dise ?" me tança Saigo. "De toute façon quoi qu’on dise tu le feras quand même alors tire-toi et tu reviendras quand tu seras motivé ! "

 

"Bon ! Je ne partirais qu'à l'aube, inutile de réveiller nos gens : j'ai déjà préparé pratiquement tout ce qu'il faut. Je voulais simplement vous en parler avant. On se retrouve à l’entrée Ouest au lever du jour. Je laisserais mes instructions pour vous aider à tenir la baraque pendant mon absence…"

 

Quelques heures plus tard, je retrouvais mes compagnons au point prévu. Saigo avait son sac et son armure, et il était emmitouflé dans son grand manteau de voyage.

 

"Je t’accompagne et tu la fermes. Un vieux comme toi va avoir besoin de compagnie pour boire sur la route, et tu risquerais de te faire voler ton porte-monnaie. Iweedooz et Racine vont gérer sans nous, même si on ne sait pas trop ce qu’ils sont capables de faire… En plus je me suis installé à la capitale depuis peu, je te ferais visiter certains bars que j’ai découverts... Tu m’en diras des nouvelles !"

 

Inutile de discuter. Je partageais donc avec eux quelques mots pour l’avenir du Refuge. Après une accolade guerrière avec chacun d’eux, nous nous élançâmes avec les premiers rayons solaires en direction de la Capitale.

 

Nous n'avions pas fait quelques kilomètres que déjà les ennuis se présentaient : un récent orage avait fait monter le niveau de l’eau dans les marais entourant Le Refuge, et emporté les fragiles passerelles de bois qui serpentaient entre les arbres crochus et les mares nauséabondes. Nous avions le choix entre trouver un autre passage, et patauger pendant des heures, voir des jours dans différentes étendues d’eau croupies, bourbiers et autres chausse-trappes naturels nous promettant une mort lente et douloureuse par noyade dans la boue. Le tout sans compter les risques d’empoisonnement, de gangrène ou de prédateurs affamés.

 

Nous avons donc pris la direction d’un autre chemin, en direction de la mer.

 

Après quelques heures de marche sans autres encombres, Nous sommes arrivés en vue de l'étendue turquoise. De là, il nous suffisait de longer la côte pour arriver au port de la cité en quelques heures tout au plus. Nous nous sommes donc mis en quête d'arbres susceptibles de remplir le rôle de canoë. L’affaire fut vite pliée car la forêt voisine présentait plusieurs arbres centenaires et largement suffisants pour notre embarcation. Une fois le radeau construit sous un soleil de plomb, nous primes un moment pour nous reposer. Construire un radeau demande pas mal d’efforts. Il faut choisir le bois avec soins, tailler les troncs selon certains schémas bien spécifiques, et mettre en œuvre toute une méthodologie déterminée par des années de constructions de radeaux.

 

Une fois en mer, nous nous sommes contentés de longer la cote, suivant les courants et en pagayant paresseusement. Nous nous m'offrîmes une légère sieste à tour de rôle pendant que l’autre dirigeait notre embarcation sommaire. Le voyage se déroula sans encombre, j'avais pris soin de me couvrir du Soleil pour éviter toutes brulures et c'est en pleine forme que nous arrivâmes en vue du phare de Stendel. Je fus tout de même impressionné par la fierté que dégageait cette cité. Je voyais les murailles se profiler aux sommets des montagnes entourant le port qui grouillait d'activités.

 

Sitôt passé à la capitainerie comme l'exigeait le règlement nous nous sommes mis en route pour la taverne du port. Après quelques pintes, nous avons filé bureau de vente de l'immobilier. J'avais déjà réfléchi depuis longtemps à l'emplacement que je désirais et je n'avais pas de temps à perdre. Le bureau atteint je fus surpris de découvrir que celui-ci était fermé pour la journée et ce pour une cause obscure de banlieue ou je ne sais autres.

 

Je choisis de laisser un parchemin avec les modalités de mon désirata et Saigo proposa alors qu’on aille « poser nos derches au chaud » Dixit l’intéressé. Nous avons établi quelques plans avant que je puisse me lancer dans la construction de la bâtisse tant espérée.

 

Le bâtiment construit, je pourrais osciller entre la capitale et le Refuge pour continuer à apporter mon aide dans cette fabuleuse aventure.

 

 

- Obtenir des plussoiements, gage de la reconnaissance de vos pairs.

 

Balancez la sauce les coupaings !

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Je plussoie ce constructeur hors norme qui m'a accompagné sur de nombreux projets et qui continuera je l'espère à m'émerveiller par la diversité de ces projets.

Le rang de citoyen lu était prédisposé depuis longtemps et je m'étonne qu'il n'aie pas déjà franchis le pas.

Cordialement.

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Bien le bonjour (ou le bonsoir),

 

Bukm0r n'a plus rien a prouver, c'est un joueur de grande qualité et un véritable moteur pour le serveur.

Joueur acharné, il ne cesse d’œuvrer à travers des projets diverses pour que le serveur soit doté de magnifiques réalisations.

Son statut de citoyen serait une juste récompense pour sa dure labeur et lui permettrait de poursuivre ses efforts au sein de la légendaire Guilde de Minuit.

 

Merci

 

Bestialement

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Buk, c'est une personne incroyable! Malgré que je ne le connaissais pas, il m'a inclus comme travailleur dans son projet et il est agréable, sympathique et fulminant de bonnes idées. Pour toutes ces raisons, je plussoie cette candidature! :D

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Bonjour,

 

Je me suis arrêtée à ça sur ta candidature :

 

Saigozorus alias « le fléau »

 

Je ne suis pas allée plus loin, félicitations pour ton nouveau rang de citoyen !

 

Bon spa vrai hein, j'ai tout lu, j'ai même vu que tu n'avais pas changé ta photo de Mister Aimable >.

 

Bonne installation sur la capitale.

 

A bientôt.

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