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[Accepté][Candidature Voyageur] Peter Starship


Peter_Starship
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Hey hey hey!!! Bien le bonjour à toi lecteur!

Sache qu'en ces lieux tu trouvera toutes les informations utiles me concernant. Mais au préalable je me permet de te renvoyer, séance tenante, vers ces souvenirs d'intronisation au sein de la communauté Stendelienne lorsque j'ai découvert Cérule. Tu y trouveras aussi toutes les informations d'être irréel à mon propos (je dois expliciter le jeux de mot? IRL, irréel... tu saisis?).

 

 

Chapitre I - Elion

 

 

Elion? C'est moi. Ou plutôt c'était moi, aujourd'hui les gens de Stendel me connaissent sous le nom de Peter Starship. Mais je viens de loin, d'une contrée lointaine où les humains n'étaient pas la seule race civilisée, se côtoyaient humains, nains, elfes de différentes origines, de différentes ethnies. Une contrée où la population vivait majoritairement sur le littoral, hormis ces nains qui vivaient en montagne, enterrés. Les plaines centrales étant au moins aussi mal fréquentées que celles de Stendel...

Jusqu'à il y a peu j'étais marin, second lieutenant même, personnage à l'éloquence ampoulée et un peu pédante, et pourtant officier de premier ordre sur un navire de guerre privé; d'aucun appellent cela des pirates... Je préfère celle de marins de fortune. Malheureusement nos aventures en mer étaient de plus en plus difficiles, l'union des différents dirigeants des provinces et tout particulièrement de leurs forces navales pour mettre fin à nos forfaits nous étant préjudiciable. D'une flotte nombreuse nous passâmes à quelques navires. Il y a peu nous tombâmes dans un guet-apens où seul notre bâtiment parvint à s'enfuir, capitaine grièvement blessé, second également atteint et équipage partiellement mort ou disparu.

 

Face à cette cruelle fortune de mer qui nous laissait un unique navire et très peu de ressources les marins survivants s'accordèrent pour cesser cette activité de truanderie, de violence et de mensonges. Mais, plutôt que de recommencer une activité légale sur ces terres qu'ils avaient tour à tour pillées, brûlées ou saccagées ils cherchèrent un point de chute où nos méfaits n'étaient pas connus de tous.

Au détours de nos aventures nombreuses nous avions rencontré de grands voyageurs, qui parlaient de contrées exotiques, avec des habitants accueillants et sans intentions malignes, qui accueillaient les néo-arrivants le coeur sur la main dès lors qu'ils faisaient un effort d'intelligibilité et de sociabilisation, pays situé à l'extrême occident dont les habitants se faisaient appeler les Neyrhi.

Décision fut prise donc de quitter ce continent qui ne voulait plus de nous pour aller rebâtir une vie nouvelle dans ce pays exotique. Mais avant de partir notre navire était à réparer, presque à reconstruire tellement les dégâts étaient impressionnants.

Devant ce constat les marins survivants et en état de travailler décidèrent d'utiliser les espars et les différents éléments de notre navire pour en construire un nouveau, rapide et pouvant supporter les tempêtes océaniques que nous allions rencontrer au cours de ce périple.

 

Nous? oui, nous. La décision avait été prise par les survivants de l'équipage auquel j'appartenait. Un serment de solidarité indéfectible nous liait et il n'était pas question pour eux que d'abandonner leur capitaine mourant ou leurs officiers, quels qu'ils soient. J'avais la chance d'avoir, hors les combats, un bon caractère et d'être plutôt apprécié par l'équipage ce qui me valait ce titre de second.

C'est pourquoi, lorsqu'il devint évident que notre capitaine, seul maître à bord après Dieu ne survivrait pas à ses blessures, je fus parmi les candidats désignés d'office, bien qu'encore moi-même blessé et alité.

Les 'élections' pirates étant chaotiques et n'étant pas moi-même alors dans un état normal je ne dû mon élection qu'à une extraordinaire défection par décès des deux autres prétendants au titre de capitaine: le canonnier en chef et notre doc' s'étant entre-tués. N'ayant pas eu mon mot à dire sur mon élection, ni le projet de vie nouvelle dans une contrée exotique inconnue j'acceptais difficilement ce statut nouveau pour moi, qui m'étais toujours efforcé de rester caché derrière mon capitaine. Néanmoins ils avaient mis leur confiance en moi, et je ne pouvais les abandonner.

 

Dès lors, depuis mon lit, puis depuis n'importe quel endroit d'où je pouvais superviser 'mes' marins, je fis pleuvoir sur eux directives et contre-directives, épaulé par le charpentier Patte-Folle et le voilier dit La Méduse qui s'y connaissaient un peu mieux que moi dans la construction d'un navire. Vint un moment où je pu également participer aux travaux, suer avec ces hommes qui me faisaient confiance, chasser, couper du bois, récolter des ressources, des matières premières, revivre enfin!

Un jour nous mîmes en terre notre bien aimé capitaine, dont l'état ne s'améliorait pas tandis que de nombreux autres guérissaient, la fin de son navire ayant été, semble-t-il, un coup psychologique trop fort pour lui. Et c'est tout chargés de tristesse que notre navire, baptisé Starship pour l'occasion, mit voile vers le pays des Neyrhi.

 

Malheureusement pour nous ce voyage n'aboutit jamais. Après quelques semaines de mer une tempête fit rage et le navire périt corps et âmes. Corps et âmes? Pas tout à fait, dans notre malheur je vis certains se rassembler sur un radeau de fortune autour de La Méduse, notre voilier. J'étais emmené à leur opposé par le vent, les vagues et le courant, ne devant mon salut qu'à un tonneau plein d'étoupe qui me maintint à flot de longues heures durant.

Je fut jeté au petit matin sur une côte inconnue, au loin apparaissaient des volutes de fumée, mais j'étais incapable d'aller y chercher mon salut, trop fatigué, déshydraté. Je me réveillais quelques heures plus tard une vache en face de moi, qui fut au moins aussi surprise que moi lorsque je remuais. Un peu reposé, mes quelques affaires séchées sous un beau soleil je pris quelques instants de réflexion.

Je ne savais pas où j'allais atterrir ni si mes compagnons étaient encore en vie, deux décisions fortes s'imposèrent alors à moi: il me fallait un nouveau nom, au cas où Elion soit connu ici et il fallait que je sache si mes compagnons étaient encore en vie. Ne connaissant rien de l'endroit vers lequel je m'apprêtais à me rendre je choisis un nom que mes marins pourraient facilement identifier s'ils venaient à entendre parler de moi: Starship, le nom de notre navire. Mes parents, morts de longues années plus tôt étaient membre de la guilde des tailleurs de pierres, véritables artisans qui m'avaient payé une excellente éducation, en hommage à eux je me prénommerais dorénavant Peter. Peter Starship donc. Ma décision prise, les poings dans mes poche crevées, mes pas me portèrent vers l'origine des fumées aperçues plus tôt, je ne le savais pas encore, mais je me dirigeais vers un village en devenir, encore en chantier: Cérule.

 

 

Chapitre II - Un marin échoué à la découverte de Cérule.

 

Débarqué à Cérule ma première rencontre fut avec un légume... légumanigo, qui m'offrit de quoi me sustenter. Après quelques échanges gestués je réussit progressivement à apprendre la langue parlée sur ce continent. Les échanges devinrent fréquents et j'appris à connaître les différentes personnes constituant la petite société céruléenne. J'avais le droit à de nombreuses attentions de la part des citoyens qui me firent découvrir plus avant ce continent et les diverses réalisations architecturales du continent. Voyageant beaucoup je sentais pourtant que mes attaches se devaient d'être là où je m'étais échoué.

Ce microcosme me convenait et je m'y était intégré. Je me suis alors pris à l'envie de devenir citoyen Céruléen. Par une belle nuit de fin d'hiver, prenant une courge à deux mains, j'allais trouver le conseiller qui m'avait accueillit alors que j'étais tout frais péché sur ce continent et lui déclamais une Ode à Cérule de ma composition, dont je vous livre une version allégée ce jour:

 

Ô Cérule, ô bourgade modeste et convoitée,

Malandrin que j'étais, fourbe et vil en mon âme,

En pleine débandade, sans personne à viser,

Un refuge j'espérais; devant toi je me pâme.

 

Quelle défaillance me prit, chancelant, virevoltant,

T'apercevant au loin, lessivé par les flots,

J'aspirais à la vie, d'en changer il était temps,

Transformé d'eau en vain? Je veux un renouveau!

 

Devenir citoyen en la ville de Cérule,

Repartir avec rien, mais sous une nouvelle férule,

C'est pourquoi en ce jour, je me tiens devant toi.

 

J'ai ce désir intense d'enfin y résider,

Laisse moi cette chance, prendre ta citoyenneté.

C'est pourquoi en ce jour, je veux être tout à toi.

 

Ma candidature désormais faite officiellement il me fallait attendre une réponse positive pour devenir céruléen. Prenant mon mal en patience je m'établis provisoirement dans une future boutique encore vacante. Je n'étais plus un vulgaire SDF, j'avais un nouvel objectif!

 

C'est à peu près à cette époque qu'avec un autre candidat à la citoyenneté l'idée de garde céruléenne naquit. Alors que nous étions tranquillement parti pêcher pendant une belle journée ensoleillée nous fûmes violemment attaqué par une armée de zombies et autres archers squelettes sur le chemin du retour. Devant la violence de l'attaque, pris au dépourvu, nous fuîmes, abandonnant derrière nous nombre d'objets que nous transportions.

Face à cette situation intolérable, devant la nécessité de réagir face à une telle situation, mon camarade revêtis la rutilante armure stendelienne légèrement modifiée pour répondre à nos attentes céruléenne et s'en fut patrouiller autour de la cité lorsque la nuit tombait.

 

 

Chapitre III - Céruléen!!

 

Mais au delà de la garde j'étais devenu céruléen, ma candidature avait été acceptée par le Conseil de Cérule après de longs (d)ébats entre les conseillers. J'avais le droit de posséder un terrain en propre. Ni une ni deux j'ai pioché dans mes bas de laine pour m'acheter une parcelle, à proximité de la nouvelle taverne de la ville, et j'ai entrepris d'y construire mon chez moi. Petite home un peu cosy et à l'architecture légèrement tordue. Mais cette envie de construire ne m'avais pas abandonné, et voici que je m'élançais pleinement dans les gros oeuvres de travaux publics.

Après avoir participé de l'élaboration d'un kiosque caché derrière l'hôtel de ville je senti mon égo s'enfler dans des proportions rares. Un jour un voyageur quelque peu perdu, vint se gausser de mon nom, me comparant à un mouton (sheep), après avoir disserté quelque peu sur mon nom nous allâmes unir nos compétences architecturales pour élaborer ce qui deviendra la monumentale banque des terres de Hallbard.

 

Du repos fut nécessaire après l'élaboration de ce projet. La vie céruléenne était joyeuse et fort bien égayée par les différents éléments de cette société. La ville grandit, attira de nombreux visiteurs, parfois volant. Ils admirèrent les différentes réalisations de la ville et parfois même s'y établirent. Un jour eu lieu "La Grande Invasion", ce n'était pas un, ni deux demi-dieux qui nous rendaient visite, mais une flopée d'entre eux, célèbre dans les contrées stendeliennes. Ces évènements connurent un dénouement heureux dans la taverne (encore en travaux), les quelques bières englouties contribuèrent à l'étourdissement de certains convives [les photos sont affichées sur les murs du défouloir de Cérule].

 

Malgré tout je ne suis pas satisfait. Il me manque quelque-chose. Mon passé ne m'abandonne pas et je souhaite aller de l'avant. Alors que je vois au quotidien chacun de mes concitoyen disposer de qualités reconnues et utiles à la vie de la cité je me trouve d'une utilité limitée, je ne suis bon qu'à poser les éléments qu'ils construisent. Et ce n'est pas l'élaboration du nouveau port de Cérule, avec la construction d'un pont-levis monumental qui me console. Je souhaite avancer, profiter de mes différents voyages à travers les contrées de ce continent pour acquérir une spécialisation, apprendre à utiliser mes connaissances maritimes, liées aux navires et aux voiles, tout particulièrement à leur réparation, pour faire avancer plus avant le bourg de Cérule dans cette ère d'épanouissement économique, commerciale et intellectuelle. C'est pourquoi aujourd'hui je sollicite cette possibilité d'évoluer socialement et de quitter ce statut de paysan qui restreint l'étendue de mon action sur la ville pour que ma qualité de voyageur soit reconnue.

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Tout frais sur le serveur, Peter n'en est pas moins un joueur émérite. Parfaitement ancré dans la vie Céruléenne, ce navigateur hors pair se révèle être un très bon compagnon de jeu et saura apporter toutes ses qualités grâce à ce rang, ici demandé, qui lui ouvrira les portes de l'évolution personnelle.

 

Tu as tout mon soutien l'ami.

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Peter Starship connais pas...........qui c'est? Il a fait quoi ?

Etant donné qu'il n'est pas possible de troll sur une candidature bien dommage d'ailleurs ^^

 

Enfin bon tout ça pour dire que je soutiens Peter ou starship ou c'est le meme ? xD

Bonne chance pour l'obtention de ton grade ^^.

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Passe plus de temps à jouer à Crusader Kinder© II qu'à bosser dans Cérule mais en espèrent que son grade voyageur le fasse voyager vers nos contrées Stendelienne plutôt que son royaume des feux de l'amour :mrgreen:

 

Bah quoi ? ça change des "+1" sans rien dire ! :P

unledavt.jpg

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Bonjour,

 

J'aimerais apporter ici une précision concernant ce que tu as écrit sur ta candidature paysan. Tu autorises les personnes à reprendre tout ou partie de tes textes avec ton autorisation. Soit, tu fais ce que tu veux bien sûr de tes créations. Par contre il me faut te signaler qu'ici nous n'acceptons pas les plagiats, donc si une personne se présente avec ton rp retravaillé, même si elle a ton autorisation pour cela, elle se fera refouler. Je te dis ceci afin qu'il n'y ait aucune ambiguïté possible.

 

Sur ce, revenons à nos moutons (non, je ne parle pas de Tomtoinou).

 

Félicitations pour ton nouveau rang de voyageur, sois-en un digne représentant.

 

A bientôt.

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