Aller au contenu

[Acceptée]Wulkos Nipurabi


Wulkos
 Partager

Messages recommandés

Présentation : Eh bien, mon parcourt minefildien... Le néant, je ne me suis inscrit que récemment et ma candidature paysan n'as pas encore été lue par un admin. Je désir commencer par intégrer votre belle ville, ma fois fort a mon gout.

 

Motivations, ambitions: Pourquoi veut-je rejoindre Sähbia? Le style de la ville correspond exactement a mes gouts et a mon RP lui même oriental. Pourquoi pas, un jour peut être bâtir un temple ou quelque chose du genre, dans le style qui est le votre, donc plutôt un genre de mosquée païenne.

 

Rollplay:

 

avant propos: RP de paysannerie:

http://www.youtube.com/watch?feature=fv ... nrKJc&NR=1

L'histoire du très pieux et Chevalreux Wulkos Lharr'Nipurabi Lharr'Lupomorthos débute véritablement dans la grande et puissante citée de Lupomorthos, tres sainte et tres indépendante, en la MDCCXXIVeme année de l'empire Shuramide dont elle est le joyau, deuxième ville après Shuram, la capitale au bord de la mer de Kuch Al-Mamakouchi, horizon de jaspe bleu dont le fleuve Epydor se jetant dans cette dernière fait le lien entre les deux foyers de population, traversant le grand désert sablonneux d'Etarnenlil, glacial a sa source du nord ouest et brulant a son embouchure de la capitale au sud est, le changant par ses confluents en un vaste pays fertile, immenses pleines verdoyantes de leur nature et dorées du blé qu'y cultivent les gens du pays; et collines sur lesquelles sont bâties de belles villes de pierres entre crème et beige, un peu plus claire que le gres.

 

C'est donc en un beau et ensoleillé jour de début d'été, le 85eme jour de l'année Shuramite(le calendrier de leur religion commençant le 1er jour du printemps) dans la grande Ziggurat de l'Ehenkéhaal, merveille parmi merveilles, premier des temples du dieu Enkéhaal, protecteur de Lupomorthos et deuxième déité de l'empire apres son père An-Ual'khébir, père des dieux et des hommes et protecteur de Shuram et de son Empereur(que les barbares du pays des hautes collines boisées de vieux cedres prient sous le nom de Nötssh) que se rendit le très respecté baron Wulkos De Nipurabi, alors agé de 36 ans, capitaine d’infanterie réputé et cousin germain du roi de Lupomortos et par la même porteur d'un peu du sang de l'empereur même, envoyé par le glorieux fils du frère de sa mère a la rencontre du suprême prêtre d'Enkéhaal pour discuter de l'organisation de la fête la plus importante de la cité, l'Oktha Ul-Enkéal, 108eme jour de l'année et jour dédié au dieu que vous avez bien sur comprit. Celle de cette année était spéciale, car c'est le jour qu'as évidemment et avec tact choisis l'empereur Haarnashabopuli III Lharr-Shuram pour rendre une pompeuse et officielle visite a son parent et premier allié politique et militaire, le roi Ullrajhkas VII Lharr-Lupomorthos.

 

L'échange des cadeaux étant une des traditions les plus anciennes, la discutions entre Wulkos et le pape d'Ehenkéhaal y vint rapidement. En plus d’être une basilique pouvant accueillir et accueillant chaque jour des milliers de fidèles, point central d'une religion (un genre de Vatican, quoi), l'Ehenkéhaal abritant une bibliothèque parmi les plus riches aux mondes et ou ne sont pas abrités que des livres, mais aussi une incroyable collection d'objets magiques, les plus vieux datant de la fondation de la ville 5000 ans plus tôt. Wulkos fut confié par le saint père a l'un des 16 moines de l'ordre isolé gardant l'étage des coffres, et dont la mission est de protéger et étudier leur contenus. Il fus par lui amené a la plus grande salle de l'étage de la bibliothèque, haute de 7 mètres. La tradition pour les chefs, de clan ou d'état, était d'offrir une arme. Le moine montrât au noble des présentoirs, des armoires remplies de sabres d'or, incrustés de pierre rares et même de diamant. Pris d'un désir ma fois naturel a chaque être non divin (et même divin qui sait, que savons nous des êtres supérieurs?) Le moine abandonnât Wulkos pour quelques minutes le temps de faire une prière au latrines. Continuant a chercher, le baron de Nipurabi arrêtât son choit sur une arme digne d'un empereur. Une lame noire d'adminium(bedrock) sertie de diamant et de pierre écarlate(redstone) et bien sur enchantée d'un sort foudroyant ses victimes et les changent en statues de marbre rouge. Contant de son choix, sur qu'il plairait a l'empereur, le cousin du roi s'assied sur une caisse, a coté d'une étrange sculpture rectangulaire. Prenant des herbes a fumer dans sa besace et en bourrant une pipe et l'allument, une étincelle atteignis ce qui se trouva être une des légendaires portes d’obsidiennes cités dans les légendes. Âpres la panique qu'endura l'aristocrate (Aaaaaaaaaah?!!? Mais Bordel de chèvre a queue de poisson, qu'est-ce que j'ai bien pu faire) la curiosité d'avoir un mythe sortis des vielles fables devant les yeux fut trop forte et il plongeât le doigt dans les "eaux" pourpres du portail. On ne le vit plus pendant deux mois. Un soir il fus de nouveau criant aux portes de la ville, rendus a moitié fou par son expérience, il eus une longue convalescence, ayant de temps en temps des éclaires de lucidité dans sa démence, puis enfin et encor actuellement des éclaires de démence dans sa nouvelle lucidité. Il se mit a la rédaction d'un livre de poésie, que certains membres du clergé virent d'un mauvais œil, y comprenant un testament hérésiarque. On tentât par trois fois de l’assassiner, des fanatiques jugant de lui une nature mécréante.

 

La première fois, alors qu'il donnait un petit banquet pour quelques amis dans le jardin de son manoir de Lupomorthos a l'occasion de la fete du Rashdoy Khoperr(l'équinox d'automne), l'un des Luudjahoukeldine du plat aux pâtisseries(un petit gâteau consistant a une garniture de figues et de dattes dans une enveloppe de pâte d'amande trempée dans du miel et saupoudré de cannelle, la présentation traditionnelle du plat a pâtisserie en comporte 4, cela rajouté au fait que cette friandise se trouve être la douceur favorite de Wulkos, il y avait peut de chances qu'il en réchappe)fus remplacé par une version de la recette comportant du venin de scorpion noir. Il en réchappa de justesse d'une manière qui parfois le réveille lors de ses nuits. En ayant déjas engloutit trois, il prit une gorgée de vin de figue en jetant un regard paillard a une jeune femme a son gout, fille de chef de clan nomade tres cultivée ayant grandie a la cour de Shuram, il décrochât le dernier Luudjahoukeldine du présentoir pour l'offrir a la belle, qui l’acceptât en y mordant tout en gloussant. la soirée finis aussitôt dans les râles d’agonie de la pauvresse.

 

La seconde eus lieu 2 décades et la moitié d'une après ce premier incident, soit 25 jours plus tard. Alors qu'il était avec son fidèle compagnon d'arme, son Lieutenant de campagne et ami d’enfance Eruk Abdgal'Uyuk il se rendirent a la grande caserne et ministère de la guerre de Lupomorthos, l'Agha Di'ib, pour faire quelques passes d'armes de manière a ne se point rouiller, habitude régulière chez notre homme, qui ne le faisait pas tant pour s’entrainer a tuer, mais pour passer un bon moment de rigolage avec de bons gars, d'autant que généralement, la séance finie lui et Eruk suivaient les soldats a la taverne ou parfois (environ 1 fois sur 4) au bordel. Mais cette fois point d'esclaffade pochtronne (enfin, si. Au début. Mais pas de picole ni de bordel en tout cas). Le tueur avais apparemment pris la place d'un des cadets ayant la tache de faire le service, et profité pour donner un sabre d’entrainement enduit de poison foudroyant a Eruk. Ces armes d’entrainement ne sont pas faites pour tuer mais laissent toujours quelques bleus et des écorchures minimes, l'infection était donc quasis sur, d'autant que l'on disait d'Eruk qu'il était fort comme dix taureaux en rut. par un de ces étranges aléas qui font la vie, il souffrait d'une fièvre attrapée dans le bordel cité plus haut. Rien de grave, mais il fus assez mou et ne fit pas une touche en 2 heures. Alors qu'ils retournaient au vestiaire Wulkos fis une plaisanterie insinuant que la mollesse était totalement étendus a toutes les parties du corps, ce a quoi Eruk qui allait rendre l'arme répondit d'un rageur coup de taille que l'aristocrate évita d'un mouvement habile et qui finit sur le bras du serviteur qui voulait juste avant reprendre l'arme pour la ranger. Il se trouva que c'était toujours l'assassin, et qui en voyant une mince goute de sang a l'endroit résonnant de l'impact comprit ce qui venait de se passer, devint blanc, lâchât un cris aigu et tomba les muscles raidis, ne restant en vie que quelques instant de convulsion. Les tatouages que l'ont vit sur son corps lors de l'inspection du corps confirmèrent sa sinistre qualité, et le danger des jours du philosophe.

 

Enfin, la troisième se déroulant un peu moins d'un mois et demis plus tard, 41 jours en fait, Wulkos se rendait a Shuram, la capitale, et, plutôt que de descendre l'Epydor en galère il lui était venus l'envie de rallonger un peu la durée du trajet en faisant un détours par la cité marchande d'Al-Malkalab, histoire de saluer un proche, le seigneur de la cité, le cheik Appad Ibn-Shorinno... Et surtout sa sœur en fait: dame Falwuaaya. Pour ce faire, lui et son équipage, une vingtaine de serviteurs d'amis et de gardes du corps se joignirent a une caravane devant faire le trajet Lupomorthos/Al-Malkalab/Shuram dans le but de faire de gros profits. Cette fois ci les assassins et leurs commendataires abandonnèrent la finesse silencieuse et invisible ainsi que l'acide douceur du poison et firent appel a un clan de pillards bédouin pour attaquer la caravane. La encore notre baron en réchappa de peu. Ayant pour la cause de la grande chaleur des terres sèches de l’orée du désert échangé ses élégants habits de cour pour une robe d'homme du désert il n'attiras pas l’entière attention des pillards chargés de trouver le cousin du roi. Ceux la dans le doute massacrèrent les quelques bourgeois et nobles présents. Wulkos et Eruk, après avoir tant qu'ils le pouvaient et avec vaillance résisté aux bédouins, en estoquant une quantité remarquable pour deux hommes, ils se rendirent a l'évidence qu'ils étaient trop peu nombreux face a une telle horde parfaitement organisé, connaissent parfaitement l'endroit et habituée a telle situation. Ils se rendirent a l'évidence que seule la fuite pouvait les sauver, réussirent en réchapper et a regagner Lupomorthos en piteux état après avoir erré six jours.

 

L'idée de l'exil s'imposa dans l'esprit du philosophe. C'est ainsi que sur les conseils de son cousin le roi, et alors âgé de 39 ans, après une longue odyssée sa galère Shuramiithe atteignis le port d'une cité-état située aux frontières du pays des 6 empereurs: la grande cité de Sähbia.

 

*Aux portes du palais du sultan de Säbia, en fin d’après midi, le début de l'été. Un homme monte les marches et s'adresse a un des gardes en faction. L'homme au regard fier et au maintien distingué témoignant de la qualité de son status porte un manteau de voyage a la bédouine ainsi qu'un foulard sur la tête ne permettant pas de juger de sa vêture, mais sa présence naturelle, le ton de sa voix et les bagues d'argent serties de pierres parmi les plus recherchés a ses doigt fit penser au garde qu'il avait peut être en face de lui une personne de marque, un riche marchand de passage, ou l’ambassadeur d'une lointaine cité.*

 

-Qui vas la?

-Quelqu'un ayant fait long chemin pour parler a ton maitre.

-Hum... *le garde se gratte la moustache* Tu n'as pas l'air d'un mendiant... Je t'emmène voire le chambellan.

*Après trois heures passés avec ce dernier, le voyageur est amené jusques devant le sultan Sähbian dans la salle du trône. Le chambellan annonçe*

 

-le cheik Wulkos Lharr-Nipurabi Lharr-Lupomortos, cousin du

puissent roi de Ullrajhkas VII Lharr-Lupomorthos, parent du tres noble calife Haarnashabopuli III Lharr-Shuram, venus du lointain empire de Shuram!

 

*Wulkos, ainsi présenté ôte sa robe et son foulard, dévoilant de raffinés effets: un pantalon de soie rouge entré dans des bottes très travaillés lui arrivant presque au genou et aux bout pointus remontant a la manière des babouches, une tunique également de soie jaune brodée de motifs complexe sur laquelle il porte un gilet noir aux bordures d'argent, il est également vétus en guise de ceinture d'une bande de tissus rouge dans laquelle reposait une dague d'argent recouverte de pierreries et portait au coté un cimeterre magnifiquement damasquiné. Sa peau est mate, ses yeux verts, sa barbe d'un châtain foncé. Il as sur lui de nombreux bijoux tous d'argent sertis de pierres bleu, jaune,et rouge, sa barbe taillé au quart de millimètre.Il s’avance vers le trône sur un geste du monarque, deux gardes a sa suite pour le surveiller. Fait une longue et pompeuse révérence, Prend ensuite la parole*

-Que les cieux bénissent votre règne, Ô puissent sultan de Sähbia. Celui qui se présente a vous souhaite a votre grandeur la force du lion et la prudence du serpent, qu'on lui voit la barbe grise et qu'elle puisse gouverner dans l'abondance et la prospérité jusques a ce que l'on prenne la lune avec les dents. Que le Soleil de ses divins rayons illumine le visage de votre grâce toujours au votre avantage, que des sources et torrents de vin et de miel, des lacs et fleuves de perles et de rubis, des mers et océans d'or liquide et de diamants vous attendent dans l'autre monde, gardés par 108 pays occupés par 108 villes abritant 108 palais de 108 pièces comportant 108 tables sur lesquels se tiendrons 108 belles jeunes filles et beaux jeunes hommes de vous les serviteurs éternels. Ô souverain juste et valeureux, soyez chéris des dieux et que le monde se prosterne a votre passage. Je ne suis que votre obligé, et l'adorateur du très saint Enkéhaal. Je dut, pour la continuité de ma vie quitter le lointain pays de Shuram, contré de merveilles et d'abondance. On y voulais la bas a mes jours. Par trois fois on attenta a mes jours, par trois fois je survécus, comme vous pouvez le voire. C'est mon cousin, le roi de Lupolorthos qui m'as conseillé de quitter le pays. Je vous servirrais avec la meme ardeur que je l'ai servi, je vous jure ma fidélité a votre nom. Votre ville est un joyaux de prospérité au milieux d'un désert hostile, mais c'est aussi un repère de brigands et de damné. Ô très sage père d'un peuple sans vous aveugle, je ne demande que quelques faveurs. Pouvoir m'acheter une maison, sans doute pas aussi fastueuse que mon manoir de Lupomorthos ou je conviait chaque soir cent personnes de haut lieux mais ce que vous avez de mieux a m'offrir pour y vivre et pratiquer mon culte.

 

 

Un petit mot pour conclure : Hu la ba ba la chou ba la ba ba la da.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
 Partager

×
×
  • Créer...