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[Accepté]Candidature-Citoyen-Yanniches


yanniches
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Bonjour à vous tous peuple de Minefield.

Le moment est maintenant venu pour moi, de faire ma demande de candidature au grade de Citoyen, et ainsi jouir de tous ses avantages.

Je vais donc vous compter mon périple et ainsi vous dire pourquoi je veux ce grade.

 

Présentation:

Je m'appelle Yann, j'ai 17 ans, je vis dans un petit village, Neuilly l'évêque, situé en Haute-Marne.

J'ai acheté Minecraft, il y a de cela maintenant 1 an, et j'ai donc commencé en 1.7.3.

J'ai commencé sur un petit serveur de 14 slots, qui a maintenant fermé malheureusement, il y a de cela 8 mois et je cherchais désespérément un serveur où m’intégrer.

Dans ma quête d'un nouveau serveur j'ai découvert Minefield. En le visitant, j'ai vu une communauté soudée et fort sympathique, j'ai donc décidé de m'y inscrire et faire ma candidature et ce n'est qu'au bout de la 3e candidature que je fus accepté (oui je sais, je suis nul).

 

Mes candidatures Paysan:

 

Ma première:

paysans/candidature-yanniches-t44766.html

Refusé

 

Ma seconde:

paysans/candidature-yanniches-t49382.html

Refusé

 

Ma troisième:

paysans/candidature-yanniches-t50123.html

Accepté (enfin)

 

Ma candidature Citoyen de Namnis:

Pour laquelle j'ai fait mes preuves pour mériter mon admission.

projets-candidatures-f891/yanniches-t51601.html

 

Mon périple en tant que Paysan:

Mes débuts sur Minefield n'ont pas été simples : étant un pauvre petit Paysan je ne savais que faire, n'y où aller, n'y même où habiter.

J'ai donc décidé de m'installer en solo sur New Stendel, mais je me suis vite rendu compte qu'il fallait que j'intègre une communauté.

Parcourant sur le forum et visitant les différentes villes, j'ai fait la rencontre de Cackie, qui m'a invité à venir voir la ville. Je suis tombé tout de suite sous le charme et j'ai décidé que m'y installer.

Il m'a fait découvrir une très bonne communauté et une ville splendide.

J'ai donc soumis ma candidature et j'ai participé aux différents projets. Voici donc ceux-ci :

 

Voici donc ma maison que je viens de terminer (sauf l'intérieur):

 

1345909728-maison.png

 

 

Le moulin que j'ai aidé à construire qui est maintenant fini:

 

1345909737-moulin.png

 

 

La muraille toujours en construction que j'aide à construire:

 

1345909736-muraille.png

 

 

Et enfin, la pépinière qui est sur 3 étages que j'ai aidé à creuser:

 

1345909726-pepiniere.png

 

 

Ainsi donc, se termine mon périple en tant que Paysan.

 

Mais pourquoi devenir Citoyen ??

Paysan est un grade très bien, mais insuffisant si l'on veut pousser l'univers des jeux sur Minefield.

J'aimerais devenir Citoyen, afin d'avoir accès à une spécialité, j’aimerais devenir joaillier et pouvoir contribuer à l'évolution de Namnis (encore plus), et pouvoir enfin avoir un cheval digne de ce nom.

Mais pourquoi devenir joaillier ??

Je trouve le maniement du diamant vraiment fascinant et pouvoir transformer cette matière en joyaux est pour moi magnifique.

J’aimerais également créer ma boutique sur Stendel une fois Citoyen.

 

 

Mes projets une fois Citoyen ??

Je compte m'installer dans la capitale, me faire ma petite maison en ville, bien tranquille et aussi, plus tard, devenir commerçant et donc y créer également ma boutique.

Et maintenant place au RP (enfin).

 

Mes aventures en tant que Paysan:

 

Prologue:

Après mon arrivée sur les terres Minefieldienne, je suis contraint de devoir quitter Stendel, partir à la recherche d'une nouvelle terre qui serait accueillante, et où je pourrais me construire une nouvelle vie, avoir un foyer. Un jour, je l'espère, je reviendrai à Stendel, en homme nouveau, pour y vivre.

 

Chapitre 1: Le départ

Près de deux semaines s’étaient écoulées depuis que je suis arrivé à Stendel. J'avais été recueilli par les stendelien et logé dans une petite chambre, le temps de pouvoir reprendre des forces. Je savais que je ne pourrais pas rester bien longtemps, car seuls les citoyens de Stendel pouvaient rester, et je n'étais apparemment pas prêt à être admis comme citoyen. On m'avait appris dès mon arrivée que j'étais trop jeune, et qu'il me fallait acquérir une expérience. Je ne comprends pas encore de quoi il s'agit, mais ce dont je suis certain, c'est que je dois partir pour pouvoir revenir un jour à Stendel.

Alors, un matin, j'ai rapidement préparé mon baluchon, puisque je n'avais que quelques affaires, et j'ai fait mes adieux à tous ceux qui avaient été généreux avec moi. Ils m'ont donné un peu de nourriture ainsi qu'une couverture, et m'ont souhaité bonne chance. Je suis parti en direction de l'ouest, les montagnes au loin m'attirant inexplicablement. Je me suis promis en les quittant que je reviendrais un jour vivre parmi eux.

Mon périple commençait et je n'étais pas très rassuré des aventures qui m'attendaient sur le chemin.

 

Chapitre 2: Le périple

Parti à l'aube de Stendel, le soleil se levait sur la capitale, et je ne pouvais m'empêcher de regarder derrière moi ce spectacle magnifique. Plus j'avançais, plus la ville diminuait à l'horizon, et ma solitude apparaissait encore plus importante. J'ai marché longuement, et je suis arrivé au pied de la première montagne quand le soleil se couchait. Cette première nuit, seul, me terrifiait car à Stendel, les histoires de créatures maléfiques habitant cette région étaient nombreuses, et n'effrayaient pas seulement les petits enfants. Tous les habitants craignaient de sortir de la ville à la nuit tombée, et à cet instant, je comprenais pourquoi...

J'ai trouvé une rivière dont l'eau limpide me paraissait buvable, et j'en ai profité pour faire ma toilette. L'eau était délicieuse et les poissons étaient nombreux. Après avoir cherché l'endroit idéal pour y passer ma première nuit à la belle étoile, j'ai pêché plusieurs poissons pour mon repas avec le filet que j'avais dans mon baluchon, et qui me servirait de hamac. J'ai ramassé du bois pour faire un feu qui éloignerait les éventuelles bêtes ou créatures, et me réchaufferait, car la nuit était glacée en cette fin d'été. Mon hamac installé entre deux arbres centenaires, je me suis endormi rapidement, fatigué.

Ma deuxième journée commença comme la première, à l'aube, et j'ai repris mon chemin vers le sommet de la montagne. Plusieurs heures après mon départ, un village apparut à l'horizon, et j'étais heureux de pouvoir rencontrer des gens, et discuter avec eux. La solitude me pesait... Malheureusement, le village était vide. Personne ! Pas un habitant en vue, ni en vie d'ailleurs. Le village était ravagé, certaines habitations avaient brûlé, d'autres, étaient saccagées. La seule présence dans ce village était un chien, qui gisait au milieu de la rue, blessé, mais encore vivant. Je suis entré dans une maison, ou plutôt ce qu'il en restait, en le portant pour le mettre à l'abri du soleil. Je l'ai soigné comme j'ai pu, et ai essayé de le faire boire. Le chien repris peu à peu conscience, et je me suis aperçu que ses yeux étaient d'un bleu magnifique. Il me lécha la main, comme s'il voulait me remercier. J'ai décidé de le garder avec moi : j'avais enfin un nouveau compagnon. Il ne parlerait pas mais me suivrait partout, et peut-être me protégerait. Je suis resté quelques jours dans le village, le temps que le chien que j'avais appelé Féline (puisque c'était une femelle) soit guéri. J'ai essayé de comprendre ce qui était arrivé aux habitants. C’était très étrange: il y avait beaucoup de traces bizarres et apparemment non humaines sur le sol, mais je n'ai pas réussi à les identifier, ni à voir la direction d'où elles venaient.

Je suis enfin reparti, Féline à mes côtés, comme un compagnon fidèle. Plus tard dans la journée, alors que nous escaladions la montagne, il s'est mis à pleuvoir, et nous nous sommes réfugiés dans une grotte.

C’était une petite caverne sombre. Il n’y faisait pas froid et l’endroit paraissait assez accueillant.

J’ai allumé un feu avec des broussailles sèches qui étaient à l’entrée de la grotte, je me suis installé dans un coin de la caverne. La féline est venu se blottir près de moi et je me suis endormi.

Mais dans la nuit j’ai été réveillé par les gémissements de la petite chienne. Elle avait peur, et devait sentir un danger. Je me suis levé et j’ai regardé autour de nous. Les braises du feu éclairaient peu le fond de la grotte, mais je pouvais voir quelques ombres bouger. J’ai appelé : qui est là ? Un grognement lugubre m’a répondu. J’étais terrorisé et la chienne s’est mise à aboyer. Tout à coup, la bête surgit des profondeurs de la grotte. Elle était noire, avait 8 pattes et ressemblait à une énorme araignée. Ses yeux rouges jetaient sur moi un regard de gourmandise. J’étais pétrifié de terreur. Je ne pouvais détacher mon regard de cette créature horrible, cette erreur de la nature. Quand elle s’est mise à avancer vers moi, je n’avais aucune sortie de secours. Seules quelques pierres à ma portée. Je les ai lancés dans sa direction, mais elles rebondissaient sur sa cuirasse, sans lui faire le moindre mal. J’étais perdu, et persuadé que ma dernière heure était venue.

C’est alors que sur ma droite j’ai vu une petite brèche dans laquelle je pouvais me glisser. J’ai demandé à Féline de me suivre, et nous nous sommes engouffrés dans ce petit orifice qui pouvait me donner un peu de répit pour trouver un plan. Cette brèche était comme un labyrinthe, et par endroit était vraiment très étroite. J’ai senti un petit vent frais sur mon visage et j’ai compris qu’une sortie était possible. J’ai encouragé Féline à la chercher, et nous sommes enfin parvenus à l’air libre. J’ai tout de suite imaginé comment je pouvais piéger la bête : un éboulement à l’entrée de la grotte pouvait la tuer, ou l’emprisonner, et elle ne ferait plus jamais de mal à quiconque. En levant la tête au-dessus de la grotte, j’ai remarqué un amas de pierres en équilibre instable, et en retirant une petite pierre à sa base, tous les rochers sont descendus, et ont obstrué l’entrée unique de cette grotte de malheur. J’ai remercié Féline car, grâce à son flair, elle a pu me prévenir à temps de la présence du monstre.

L’aube s’était levée depuis peu, et nous ne nous sommes pas attardés dans cet endroit si terrifiant. D’autres créatures pouvaient encore vivre dans les parages, et je ne tenais pas à les rencontrer.

Nous avons continué notre route, passant la montagne, nous sommes allés vers la mer, au sud. Plusieurs semaines se sont passées sans que nous ne rencontrions âme qui vive. La complicité entre Féline et moi est devenue très forte, et la chienne comprenait désormais, sans même que je lui dise, ce que j’attendais d’elle.

 

Chapitre 3 : La rencontre

Un matin, alors que je dormais encore, Féline s’est levée subitement, les oreilles dressées. J’ai bondi sur mes pieds, pensant que nous étions en danger, mais j’ai entendu quelqu’un siffloter tout près de nous. Un petit homme était en train de se promener à l’orée de la forêt où nous étions installés pour la nuit.

Tout d’abord, je me suis caché derrière un buisson pour l’épier. Il était en train de cueillir des champignons, certainement pour la soupe du soir.

Soudain Féline est sorti du buisson et elle a sauté sur l’homme, et lui a léché le visage. Stupéfait de cette scène, et je suis sorti de ma cachette. De toute évidence, ma chienne connaissait cet homme. J’ai vu ses larmes couler lorsqu’il l’a pris dans ses bras en la serrant fort contre lui. J’ai compris que c’était l’ancien maître de Féline. Un sentiment mêlé de joie et de tristesse m’a alors envahi. J’étais heureux que Féline retrouve son maître, mais je comprenais qu’elle ne me suivrait pas lorsque je partirais.

L’homme s’est tourné vers moi. Il se prénommait Cackie. Il m’a confirmé qu’il était l’ancien maître de cette chienne, qui se nommait en réalité Réglisse. Il m’a raconté son histoire en me menant jusqu’à sa petite maison. Il menait une vie heureuse à Bahat, entouré de sa femme, ses enfants, et sa chienne, lorsque le village fut attaqué par d’horribles créatures. Il a mis à l’abri sa famille dans une cachette, et sorti pour combattre. Il a été rapidement mis à terre par l’une d’elle et allait être tué quand Réglisse-Féline avait sauté sur le monstre et l’avait mordu au cou. Le monstre s’est enfui, mais la chienne fut blessée. La croyant morte, il est parti rejoindre les siens pour fuir rapidement le village à feu et à sang. Dans l’urgence, il attacha une charrette à son cheval, et ils partirent, accompagné des quelques villageois encore vivants. Il était persuadé que sa chienne était morte en lui sauvant la vie, et il ne pensait plus qu’à protéger sa famille.

En cours de route, je lui ai raconté mon périple et comment j’avais sauvé sa chienne. Il était impressionné et très reconnaissant.

Nous avons marché ensemble pendant près d’une heure quand nous sommes arrivés en haut d’une colline.

 

Chapitre 4:La découverte

J’ai vu, tout en bas, un petit village au bord de la mer. Je suis tombé immédiatement sous son charme. Entouré de palissades, le village était charmant : La fumée sortait des cheminées, les enfants jouaient dans les rues, et la vie y avait l’air calme et simple.

J’ai regardé Cackie avec interrogation. Avec un sourire, il m’a souhaité la bienvenue à Namnis et m’a demandé de le suivre.

J’étais très heureux à l’idée de visiter le village, et je l’ai donc suivi jusqu’à la grande porte.

Deux gardes surveillaient les allées et venues. Ils m’ont regardé mais comme Cackie était avec moi, ils m’ont laissé passer.

Une fois à l’intérieur des remparts, je découvris la rue principale qui était bordée de maisons coquettes mais simples. Des rideaux aux fenêtres, des fleurs dans des jardinières… Les habitants paraissaient étonnés de me voir, et nous ont suivi Cackie et moi jusqu’à l’entrée d’une bâtisse un peu plus grande que les autres. C’était là le cœur du village, le lieu où toutes les décisions importantes pour la vie ou l’avenir des citoyens étaient prises.

Le grand conseil s’est aussitôt réuni, et Cackie leur a expliqué qui j’étais et pourquoi j’étais là. Ils m’ont alors autorisé à rester quelques jours avec eux, sous la responsabilité de Cackie.

Après m’avoir fait visiter l’ensemble du village, Cackie m’emmena dans une petite auberge, et m’installa dans une chambre, en me disant que si je voulais rester, c’était possible, mais qu’auparavant je devais faire mes preuves et démontrer à toute la population que je pouvais être un habitant modèle. J’avais vraiment envie de rester avec eux quelques temps, et j’ai demandé à Cackie de m’aider à trouver un travail qui me permettrait de m’intégrer à la communauté.

 

Chapitre 5: Le travail

Le travail ne manquait pas. Cackie m’a demandé de participer aux travaux de consolidation du rempart : Une magnifique et fière palissade de bois qui entourait la ville et la protégeait des attaques extérieures. Cette tâche n’était pas simple. En effet, chaque jour il fallait aller dans la forêt, y couper du bois, le ramener pour qu’il soit taillé, et ensuite grimper le long de la palissade pour installer ces renforts.

Puis, je leur ai proposé la construction d’un moulin. Le village n’en possédait pas, mais une rivière passait à proximité et je me suis rappelé du moulin qui était dans la ville dont j’avais été banni. Il avait été construit à côté de la rivière et ils se servaient de l’eau afin de faire le fonctionner, mais aussi pour irriguer les plantations. J’ai donc décidé de reprendre cette idée et de construire un moulin encore plus grand que celui que j’avais connu autrefois.

Une fois terminé, je me suis aperçu que l’hiver arrivait, et que le bois allait manquer cruellement dans le village. La construction de la muraille avait utilisé une bonne partie des arbres de la forêt, qui n’était maintenant plus qu’un petit bois. Il fallait créer une pépinière, pour pouvoir faire pousser des plants, et contribuer au renouvellement des richesses que nous prélevions.

J’ai eu l’idée de faire cette pépinière sous terre, pour protéger les plants du froid et des animaux. Cette tâche ardue était presque impossible, mais avec ma détermination et avec l’aide des villageois je réussirais, j’en étais sûr. Et, effectivement, après un travail difficile et harassant, la pépinière a été terminée et les premiers petits arbres ont été plantés.

Déjà six mois c’étaient écoulés, et j’attendais avec impatience la décision fatidique du grand conseil, pour savoir s’ils acceptaient ou non que je fasse partie de leur communauté.

 

Chapitre 6: La fin ??

Un beau matin Cackie est venu me réveiller en me demandant de le suivre. Il m’a conduit dans un bâtiment où jamais je n’étais entré. Là, Cackie m’a demandé de m’assoir et d’attendre. Il est parti et je suis resté seul, à me demander ce qu’il se passait. Quand, après un long moment, trois hommes vêtus de noir sont apparus. C’était le grand conseil de Namnis. J’ai compris que le moment que j’attendais avec impatience était enfin venu. L’un des hommes m’a regardé et m’a annoncé que cette réunion avait pour but de déterminer si la communauté de Namnis allait m’accepter comme citoyen.

L’attente avait été presque insoutenable. Le stress et la peur m’ont envahi.

Les trois hommes m’ont dit qu’ils m’avaient observé depuis mon arrivée dans le village. Je leur avais prouvé mon implication au sein de la communauté en participant activement au développement de structures qui permettraient à ses habitants de mieux vivre et que, par conséquent, ils m’avaient jugé dine d’être un des leurs. Je pouvais me considérer comme citoyen de Namnis.

Je n’en revenais pas ! Je me suis retenu de ne pas sauter de joie, mais j’ai remercié chaleureusement les trois hommes, en les assurant que je ferais tout pour que cette décision ne soit pas regrettée.

Une fois dehors, j’ai laissé éclater ma joie. Tous les habitants étaient là pour me féliciter, et j’en ai eu les larmes aux yeux. J’étais un des leurs !

Une grande fête fut donnée en mon honneur le soir même.

Plus tard, j’ai reçu une parcelle de terrain pour y construire ma future maison.

Malgré toute cette joie, une petite voix dans mon cœur me disait que je ne serais jamais totalement heureux si je ne pouvais un jour retourner à Stendel. Je n’abandonnais pas le rêve de pouvoir y vivre et d’y devenir joaillier. Mais c’est une autre histoire.

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Bonjour,

Aujourd'hui j'ai l'honneur de plussoyer Yanniches.

Il fait maintenant partie intégrante de ma ville Namnis. C'est quelqu'un sur lequel on peut compter, il est toujours prêt à aider dans les chantiers et à farmer quand on a besoin de ressources. Il mérite selon moi amplement le grade de citoyen. Sa spécialité sera d'une grande aide au projet et je souhaite de tout coeur qu'il sera accepté.

 

+1

 

Bonne chance !

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Bonjour, aujourd'hui je viens plussoyer mon jeune ami yanniches, qui était en difficulté dans ses débuts, après l'avoir aidé on à fini par devenir ami, il est très sympathique, courtois, mature, bref il mérite amplement le titre de Citoyen.

 

Puisse mon plussoiement te guider vers la sortie du grade Paysan.

 

+1

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Bonjour,

 

Yanniches est l'un des membres les plus actifs de Namnis, toujours partant pour nous aider à construire, détruire (RIP temple :()! On peut vraiment compter sur cette personne généreuse, sympathique et très impliqué sur le serveur. Citoyen est un grade qui lui colle à la peau. Bonne chance l'ami.

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Hello hello,

 

Je viens ici pour laisser pour plussoiement pour ce joueur. Il est namnète, il est assez actif et aide pas mal à la construction d'une muraille. Je pense que ce joueur mérite de devenir un grand citoyen pour aider les autres namnètes :P

 

A bientôt IG et bien entendu, +1

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Yop,

J'ai rencontré yanniches il y a maintenant plus d'un mois. Dès les premiers mp échangé (et yen a eu un paquet), on s'est tout de suite bien entendu. Mais en plus d'être sympathique, il est un excellent travailleur, qui a fait preuve d'une activité sans faille à Namnis. Pour finir, il est important de sous ligner sa générosité qui en fait quelqu'un de très apprécié.

Yanniches fera un excellent citoyen digne de son grade !

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