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[Acceptée] Postulance du grade „villageois” de MrGamwi


MrGamwi
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Salutations à vous tous ! Me voici céans à vous présentater ma candidature pour devenir villageois minefieldien.

 

Pour commencer, voici un résumé de ma présentation IRL –que vous pouvez tous visionner ici si vous le souhaitez :

 

Je me nomme William, j'ai vingt-deux ans. Je suis étudiant en chimie à Versailles et également éleveur de chevaux en Eure-et-Loir. J'aime l'équitation, la natation, l'escrime et autres loisirs sportifs; la littérature, la poésie : j'aime lire et écrire; j'aime m'instruire et accroître ma culture générale; j'affectionne l'histoire. J'aime les débats, les joutes verbales. J'aime et la cuisine, la gastronomie; j'aime la musique, le cinéma, le théatre, &c. Tout cela avec des goûts assez variés.

 

Je suis paysan depuis le 14 octobre, et officiellement minefieldien depuis le 23 octobre.

 

Ce que j'ai fait sur le serveur depuis que j'y joue :

 

 

:diamondblock: -J'ai rapidement intégré le projet Ultharik (grâce à un recrutement spontané de Polichaud) & comme pour tout nouveau, j'ai commencé par de petits travaux :

 

–J’ai coupé du bois afin de fournir à nos créateurs de montagne du charbon pour faire de la stone qui est le matériel du squelette de notre montagne, ou gros tas gris, ou cacahuète géante –j’ai débloqué l’achèvement „Woody Woodpicker en moins de dix jours”.

 

–Je suis allé cherché et j’ai cuit de la cobblestone pour la même raison que j’ai coupé du bois et fait du charbon.

 

–J’ai aidé à la construction des tours de guet aux frontières du territoire d’Ultharik (j’en ai construit une douzaine à plus de 97,7659992% je crois bien, le reste à au moins 20%) dont le mérite du modèle revient à notre chère Lilubell, et dont la participation de personnes investies telles que cette dernière, Phleoz, Alexas04, et Polichaud est à mettre en évidence.

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–J’ai commencé à construire ma petite chaumière au village paysan d’Ultharik avec ses cultures prévues derrière.

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–Je construis en ce moment, en partenariat et coopération avec Miclamenace, une auberge au sein même du village précédemment cité.

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–Actuellement nous entreprenons également le terraforming autour de la montagne afin de la rendre naturelle.

 

:diamondblock: –De mon côté, et donc hors du projet d'Ultharik, j'ai également :

 

–construit une villa cuboïdée en plein désert que j'aménage à mes heures perdues sur le jeu et dont la petite colline sur laquelle elle repose est un terraforming de mon fait, car avant tout était au niveau le plus bas;

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–fait les quêtes accessoires Halloween.

 

-été danser, m'éclater, m'extasier au concert de l'évènement „Atebits - From within the crypts”, dont certaines musiques et l'ambiance générale peuvent redonner le goût du clubbing IRL à un vétéran !

 

–essayé d'aider autant que je le pouvais toute personne qui me demandait de l'aide, ou à qui je proposais par moi-même mon aide –j'aime rendre service.

 

-fini troisième aux joutes PVP à Nevah le 03.10.2012, ayant perdu en demi-finale face à Ptitmonstre et gagné en petite finale face à Maiitoni. Je remercie au passage tous mes adversaires et les organisateurs de cet évènement qui était, pour moi, un plaisant moment de distraction.

 

 

:lave: J'ai également fait mon vilain méchant hors la loi dans le tréfonds (hein? Quoi? On dit „Nether”? Qu'à cela ne tienne ! Il n'y a aucune loi? Ah... bon bah je vais seulement m'amuser de temps en temps dans le „NeZÈre” alors... Quoique certains disent „Never” ! :diamondblock::diamondblock: )

 

 

Ce qui me motive à faire cette candidature et bien je pourrais en faire une liste de raisons sans ordre de priorité, mais je vous les cites en quelques lignes :

 

Je l'intention de devenir fermier, afin qu'Ultharik puisse avoir ses cultures et donc sa propre production de houblon, pour de la bière estampillée 100% nain. Je pense que ce métier est nécessaire pour le projet, et qu'une personne au moins devrait s'y spécialiser. Le grade de villageois est un grade nécessaire pour devenir citoyen, et j'ai l'ambition de le devenir un jour, quand je serai digne de prétendre à une candidature. De plus le villageois paye une taxe de temps de jeu ce qui est bon pour le serveur et le fait vivre, ce qui me rend quelque part utile à son évolution positive. En outre mes motivations sont l'envie d'évoluer dans le serveur et lui être utile autant que je le puis.

 

Et voici pour finir mon RP : (désolé pour la qualité faible je n'ai pas eu beaucoup d'inspiration)

 

Prologue (Je ne pense pas qu'il soit pour tout public, je préfère prévenir) :

 

 

Nous sommes un soir, à peine un printemps avant la naissance de nôtre héro, dans une cité portuaire connue pour sa race unique de lions domestiqués et utilisés pour les jeux et la chasse que l’on appelait à travers le monde „lions bâtards” : la cité d’Houmagueau. Alors que la bataille entre les deux royaumes des lumières et des ombres faisait encore rage, empourprant le ciel, et rafraîchissant l’atmosphère, deux amants nouvellement fiancés se juraient amour éternel et fidélité. L’homme se nommait Gautherault Aymé Céleste Eowanev Idornir, petit fils issu d’une branche cadette du dernier roi de la cité d’Houmagueau, et instaurateur et premier dirigeant de ce qu’il appelait „la chose du peuple”, politique qui se montrait plus ou moins avantageuse par rapport à l’ancien régime selon les saisons. Dès son plus jeune âge, Gautherault apprit à manier les armes et reçu une éducation dans la haine des elfes. À l’aube de son âge adulte, il ne pouvait déjà plus compter le nombre d’elfes qu’il avait tués lors de batailles, ou de lynchages en période de paix entre les hommes et les elfes. Et pourtant la cité qu’il avait toujours connue et dont ses ancêtres étaient piliers était une communauté faite autant d‘elfes que d‘humains; lui-même avait un soixante-quatrième de sang elfique, qu’il reniait avec dégoût.

 

Un jour, alors qu’il se promenait sur un marché, ses yeux vagabondèrent et s’arrêtèrent sur une silhouette aux courbes féminines. Subjugué par ce qu’il considérait comme la seule et unique merveille qu’il n’eut jamais mirée, il se figea lorsque son regard croisa celui de cette femme. Cette dernière lui lâcha un sourire, avant de s’en aller terminer ses affaires. À cet instant Gautherault su qu’elle était celle qu’il voudrait, celle qu’il voulait : celle qu’il lui fallait. Il serait plus intéressant de laisser nos esprits imaginer tout ce que cet homme fit et mit en place afin de s’approcher de cette femme, et de la courtiser. Cette femme se nommait Lisamandra Álfursdöttir, et bien que son nom pouvait porter confusion, elle était et se disait, tout au moins, humaine. Gautherault mis du temps à la croire. À vrai dire : il ne la crut que le jour où il put voir et examiner, tout en discrétion –cela va de soit, ses oreilles. Ce jour même, il la demanda en mariage, et ce fut dans les jours suivants que leurs fiançailles furent célébrées.

 

C’est ainsi que nous nous retrouvions à ce fameux soir où nos jeunes fiancés, heureux, euphoriques, noyés dans l’amour, s’aimèrent pour toute la nuit : s’aimèrent pour toute la vie. Quelques lunes plus tard, nos amants étaient mariés, et la belle Lisamandra portait déjà le fruit de leur amour en elle. Et ce fut lors d’une nuit où la lune n’était presque plus présente que ce fruit vint à maturité, et que l’être décida de se présenter au monde. Gautherault était des plus angoissé, et Lisamandra était des plus souffrantes De longues heures passèrent sans que l’enfant ne vienne au monde. Et c’est un jour après, en pleine nuit de la nouvelle lune, que de nouveaux cris vinrent faire vibrer l’air de la demeure : l’enfant était enfin né. À l’annonce de la naissance, Gautherault courut jusqu’à la chambre où se déroulait l‘accouchement. Il tomba, dans sa course, face à la porte, qui était le dernier obstacle entre lui et sa famille. Il se releva, et prit le temps de se ressaisir, ne voulant point se montrer trop ému. Il entra, sourit à celle qu’il a toujours aimée, et alla la voir, s’accroupissant à ses côtés, l’embrassant. On leurs annonça qu’il s’agissait d’un garçon. L’euphorie gagna Gautherault, qui submergeait sa femme des plus beaux mots, que son vocabulaire lui permettait d’avoir. Puis il demanda à voir l’enfant, se leva pour aller le prendre. Ses yeux, jusqu’alors remplis d’étoiles d’émerveillement se changèrent et son regard devint noir. Son visage tout entier changea et prit celui de la haine. On pouvait également lire l’incompréhension, mais aussi la peur. Sans mot, il recouvra entièrement l’enfant de son linge, le confia à une serve, se retourna lentement, et regarda sa femme froidement. C’est alors que, déjà fébrile, Lisamandra laissa paraître la peur l’envahir à tel point que Gautherot n’eut à poser la question qui lui brûlait les lèvres. Cet enfant, qui ne pouvait être que le sien, avait une particularité physique : il possédait les oreilles d’un elfe. Un silence se fit maître durant un moment, et l’homme envahit de haine le brisa.

 

-Emmenez l’enfant, dit-il d’un ton sec et énervé. Il ne laissa aucun instant à personne avant de reprendre la parole, cette foi-ci, en criant : Emmenez-moi cet enfant !

 

-Mais maître– eut à peine le temps de dire la serve qui tenait le petit être.

 

-Faites ce que je vous dis ! Disparaissez ! Répliqua Gautherault, sans plus rien ajouter.

 

Le médecin, ainsi que tout le personnel présent sortirent de la pièce avec l’enfant. Gautherault regarda longuement celle qu’il avait toujours aimée, comme il regardait ceux qu’il avait toujours détestés.

 

-C’est un elfe… Comme vous ! Lança-t-il.

 

-Semi-elfe… Rétorqua la jeune femme affaiblie. Je connaissais tant votre haine contre notre peuple que je ne pouvais vous avouer mes origines. Mon amour pour vous–

 

-Votre amour pour moi? Cria l’homme, déjà énervé. Vous m’avez trahi, vous m’avez menti dès le premier jour; et vous avez l’audace de parler d’un quelconque amour que vous auriez pour moi? Moi je vous aimais ! Je vous ai toujours aimée ! Mais vous êtes bien une elfe ! Ils sont vils, perfides : méprisables ! Je ne veux plus vous voir !

 

Gautherault partit. Il laissa le monde entrer dans la chambre, les femmes de chambre allèrent soutenir et consoler leur maitresse de maison, tandis que le médecin auscultait le bébé dans une autre pièce. Notre homme monta un étage, et s’enferma dans son bureau.

 

La nuit était toujours présente, et quelqu’un vint toquer à la porte. Gautherault ordonna d’entrer sèchement. Quand il se retourna, il vit le médecin, l’air dépité : désemparé. Gautherault fut pris d’une angoisse sans en connaitre l’origine et se leva, et s’approcha du spécialiste.

 

-L’enfant est en parfaite santé… Mais votre femme souffre de fièvre puerpérale. Annonça ce dernier.

 

-Je vois. Répondit laconiquement notre homme. Un petit instant plus tard, alors qu’il avait fait le tour de la pièce de ses yeux, le médecin reprit la parole :

 

-Il y a encore de l’espoir pour elle.

 

-Non ! Trancha sèchement Gautherault.

 

-Mais seigneur…

 

-J’ai dit. Laissez cette créature mourir : elle le mérite. Je vais m’occuper personnellement de son engeance.

 

Face au regard fou de l’homme, le médecin s’inclina, et partit rejoindre la jeune mère mourante. Gautherault, lui, alla prendre le couffin dans lequel dormait l’être. Il parcourut des rues et ruelles dans la ville avant d’atteindre une falaise contre laquelle les vagues de la mer frappaient sans relâche. Gautherault prit le linge pour l’ouvrir. Et c’est à ce même moment qu’une petite main prit ce qu’elle pouvait de la sienne. Troublé, Gautherault regarda l’être. Il dormait paisiblement, la main de son père contre son minuscule corps. Lorsque notre homme voulut retirer sa main, toujours troublé, l’être ouvrit doucement les yeux : ils se regardèrent. C’était son fils, son sang : il ne pouvait se résigner à s’en débarrasser. Pris de remords, il protégea le couffin, et courut jusqu’à chez lui tandis que l’aube se préparait à faire irruption dans le monde de la nuit. Lorsqu’il arriva chez lui, il prit son enfant avec lui, hors du couffin, et courut jusqu’à la chambre de la mère. Cette dernière était toujours allongée dans le lit, le médecin à ses côtés, mais le corps sans vie. Sans mot, Gautherault sortit, son enfant contre lui, et alla dans une autre pièce. À l’aurore le médecin vint de nouveau toquer à sa porte.

 

-Annoncer la mort de la mère… Et celle de l’enfant, dit le veuf père, anéanti.

 

-De l’enfant? Demanda le médecin.

 

-Je ne saurai le regarder, je ne saurai l’éduquer, je ne saurai oublier ce que j’ai fait. Il restera ici le temps que l’on s’occupe de ses oreilles. Je veux qu’il ait des oreilles d’humain. Après cela, trouvez-lui un foyer. Je subviendrai toujours à ses besoins : mais je ne veux et ne peux faire partie de sa vie. Il ne doit jamais connaître mon existence, ni celle de sa mère.

 

-Bien seigneur. Le médecin n’insista pas, et s’en alla. C’est ainsi que naquit Gautherault Aarearon Manarquen Wouateðefeuc Idornir.

 

Quelques temps plus tard, les médecins avaient fait de cet enfant semi-elfe un être humain d’apparence. Son père, quant à lui, sombra rapidement dans la tristesse. Un jour, une servante vint à un monastère présenter l’enfant. Lorsqu’elle donna un papier sur lequel était marqué son identité, le prêtre qui était chargé à ce jour d‘accueillir les visiteurs, alors tout juste sorti de sa sieste faite après un bon et riche repas, durant lequel les bouteilles de vin et de bière remplaçait le moindre verre de quelconque autre nectar, nota sur le registre les seules lettres qu’il avait réussi à lire : les initiales de chaque prénom et du nom qui étaient en majuscules et parfaitement calligraphiées.

 

-Bien ! Ce Gaaaaaaaaam…véhoui ne restera pas longtemps ici ! Affirma le prêtre.

 

-Que voulez-vous dire mon père? S’inquiéta la servante.

 

-Un couple d’elfes est venu il est quelques jours à la recherche d’un enfant à prendre et éduquer. Il semblerait qu’ils préfèreraient s’occuper de nécessiteux que de procréer… Grand bien leurs face ! Il sera heureux, ils n’ont pas l’air de manquer de ressources. Le prêtre prit le couffin et invita la servante à moitié rassurée à partir avec les pièces qu’il lui donna.

 

Durant toute son enfance Gamwi vécut avec ses parents adoptifs, qui lui apportèrent tout l’amour dont il avait besoin nonobstant leurs différences physiques évidentes et son origine à lui non-connue. Cependant ses parents lui dirent dès son plus jeune âge qu’ils n’étaient pas ses vrais parents. Ils disaient, par ailleurs, souvent, que, pour un humain, Gamwi avait quelque chose de plus que ses semblables, sans jamais savoir quoi ni même le comprendre; mais qu‘il avait comme une part d‘elfe en lui. Ainsi Gamwi vécut dans la „vérité” et l’amour. Il n’eut pas une des meilleures croissances : il fut toujours plus petit que les autres, à tel point que son grand-père disait à chaque visite : „les nains sont hauts comme trois pommes, et lui est seulement haut comme une pomme”. Phrase, qui par le temps finit par lui donner le surnom dans la famille de „la pomme”. Néanmoins la pomme de la famille était aimée et heureuse, et son éducation semblait être une réussite.

 

 

Un jour, alors qu’il était dans les rues de son quartier à jouer avec ses amie, Gamwi, alors âgé d’un peu plus d’une dizaine d’années remarqua un homme installé dans le square en train de les regarder. L’observant toute en discrétion, il remarqua un visage usé par le temps, abimé par des cicatrices, et diamétralement opposé à quelque chose qui ressemble de près ou de loin à un visage soigné. Cet homme, qui devait très certainement vivre dans les rues, vagabonder de ville en ville, peina le jeune enfant. Et c’est comme apparut de nu part que ce dernier se retrouva derrière l’homme et le salua. Après un sursaut des deux, l’un pour la surprise, l’autre pour le sursaut du premier, un petit dialogue s’installa.

 

-Tu es qui? Demanda le garçon.

 

-Oh… Euh… Je ne suis qu’un vieil homme, lui répondit fébrilement l’inconnu.

 

-Tu n’es pas aussi vieux que mon grand-père ! Peut-être plus que mon papa… Et pourquoi tu nous regardes? Pourquoi tu es là? Pourquoi ton visage est comme ça? Tu t’appelles comment? Pourquoi tu sens bizarre? Tu sens quoi? Gamwi assiégea l’homme de questions qui ne savait pas quoi répondre et qui n’avait jamais le temps de répondre. Puis l’enfant se tut. Les deux se regardèrent durant un long silence. Et Gamwi de pencher légèrement la tête avant de reprendre la parole : Bon, tu réponds?

 

Désemparé, l’homme posa à son tour une question pour éviter d’avoir à répondre à toutes celles qu’il avait déjà oubliées :

 

-Et toi : comment t’appelles-tu?

 

-Moi? Gamwi ! Répondit fièrement l’enfant.

 

-Et d’où te vient ce nom là? Demanda l’homme, soudainement perplexe.

 

-Je ne sais pas ! Mes parents m’ont eu comme ça ! Dit tout simplement Gamwi.

 

-Ils t’ont eu comme ça? Comment ça? Interrogea l’inconnu.

 

-Baaaaaaaaaaaaah ! Ils m’ont adopté, et j’avais ce prénom ! Et ils l’ont gardé.

 

-Très bien… Gaut… Gamwi? Vas retrouver tes camarades, sinon tout le monde va s’inquiéter. L’homme lui sourit, lui fit un clin d’œil, et s’en alla.

 

Des années plus tard, alors qu’il approchait vers l’âge adulte, Gamwi fut chassé de chez lui. Cet épisode marqua sa vie : il ne comprenait pas pourquoi ces gens qui disaient l’aimer le renvoient sans explication si ce n’est cette dernière : „On ne nous paye plus pour toi”. Ne voulant pas se laisser abattre, notre héro fit tout pour demander des explications : de réelles explications. C’est ainsi que ses parents adoptifs l’emmenèrent à une veillée funèbre dans un quartier humain. Dans le cercueil reposait l’homme que Gamwi avait jadis vu et avec qui il avait discuté ce jour là. Il l’aurait reconnu entre tous : car jamais il n’avait oublié sa rencontre avec ce mystérieux inconnu. C’est alors qu’on lui présenta ce corps comme étant son vrai père, et qu’à présent, plus personne ne les payaient pour le garder. Cela en fut trop pour notre héro et en moins d’une demi-journée il prépara ses affaire et s’en alla de Houmagueau pour ne plus jamais y revenir.

 

Quant au couple qui l’avait élevé, lui, ne connu pas une des meilleures fin : en effet à la mort du vrai père de Gamwi, celui-ci devait hériter de toute sa fortune et de toutes ses possessions. Mais les deux elfes en décidèrent autrement et, alors qu’ils avaient la tutelle de celui qu’ils avaient promis d’élever comme leur enfant moyennant une rente hebdomadaire, ils prirent acquisition de la fortune du défunt homme. Et c’est alors qu’ils venaient de vendre le dernier bien et que leur fortune s’élevait à un très haut plafond, qu’un soir des bandits vinrent chez eux tout prendre : leur vie comprise.

 

Notre héro arriva après un long périple dans la région de Stendel.

 

 

Stendel, les débuts :

 

 

Il vagabonda des semaines, s’abritant dans les grottes, se nourrissant de racines et de champignons : parfois de pain lorsqu’il croisait la route de personnes charitables. C’est alors qu’il rentra, un jour de pluie, dans la ville même de Stendel, où il se présenta sous le nom „Monsieur Gamwi” –MrGamwi. Il réussit à s’offrir un vêtement fait à partir de la peau d’un creeper qu’il avait rencontré sur son chemin après quelques petits travaux effectués pour diverses personnes.

 

Cette mésaventure avec le creeper laissa des marques sur notre héro : alors qu’il tentait de survivre dans un désert après une blessure, un creeper en furie vint à lui. Bien qu’il tentait de fuir, le monstre le rattrapait rapidement. Alors, dans un geste de désespoir, et repensant à sa vie qui fut si belle et si vite détruite, notre héro se retourna, fit face à la bête, et s’avança vers elle. Puis il se réveilla sur la paroisse d’une crevasse avec le cadavre du creeper à côté de lui. Il ne se souvenait de rien : ni ce qui s’était passé, ni comment il avait pu atterrir ici. Sa jambe blessée, son corps affaibli, il resta plusieurs jours immobile, se nourrissant de ce qu’il y avait à porter de lui : le creeper. Presque rien n’était comestible, encore moins mangeable, mais c’était sa seule chance de survivre. Paradoxalement, lui qui était prêt à mourir se retrouvait avec l’envie de vivre et de prendre une revanche sur la vie. Une fois sorti, il décida de garder la peau du creeper en souvenir de cet épisode, et en garde intérieurement plusieurs leçons.

 

Une fois prêt à repartir à l’aventure, Gamwi quitta la ville de Stendel et reparti explorer sa province, plein de bonne volonté. Avec sa facilité à fabriquer quelques objets basiques, il put rapidement survivre dans ce qui lui avait semblé hostile avant. Il réussit à trouver divers ressources comme des minerais de fer dont il n’avait aucune idée de ce qu’il en ferait, mais qu’il gardait avec lui. Puis un soir, dans les pleines glacées du territoire d’Ultharik, alors qu’il faisait fondre son fer, se réchauffant au passage, bien que restant assis dans la neige, une silhouette au loin s’approcha de lui. Pris par la peur, Gamwi observa tout en étant prêt à s’enfuir. Et vint à lui un mouton bipède doué de parole, qui s’avérait être, dans les faits, un nain ensorcelé. Ce mouton se prénommait Polichaud, et il lui tendit la main. Depuis ce soir Gamwi réussit à se construire une nouvelle vie dans la province de Stendel. Et, pour la première fois de sa vie, sa petite taille lui fut d'une réelle grande aide.

 

 

édition : correction des énormes fautes dans le rp et ajout de la dernière phrase

 

Édition spéciale : C'est lors d'une course à l'oeuf et à l'expérience contre Ezio104 que j'ai porté le coup fatal à l'enderdragon, en présence de la plaisante Lliliee. Une semi-victoire : Je n'ai détruit qu'une tour de régénération mais j'ai décoché plus de flèches, dont la dernière.

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Je soutiens Gamwi dans sa quête pour la villageoisitude!

Un fier nain, une brute au Nether, un fer de lance pour le chantier, et chez les naines, un vrai tombeur!

Gamwi aime beaucoup faire des petites fritures avec son camarade tigrisou, et souvent ils rajoutent trop de vinaigre, mais l'important est qu'il sait être raisonable et stoper le feu quand il faut, sans raviver la braise, et il sait parfaitement panser les ulcères que peuvent causer les excès vinaigrés.

Sinon Gamwi apprècie le cubow, un jeu de Moi(avec une majuscule), qui se joue à l'arc mais cependant pas de la même manière que pour son cher PVP, un petit temps d'ajustement lui fut donc nécessaire.

De plus Gamwi est un dynamique nainticonformiste qui n'appŕecie point les trottoirs, il a d'ailleurs fondé le parti anti-trottoirs qui agit activement à Stendel pour zigouiller tous ces satanés trottoirs dans lesquels on se prend les pieds(c'est pour ça qu'il n'y en a plus dans le quartier fermier)

Mais Ultharik sans lui, ça ne serait plus Ultharik, j'espère qu'il saura vaincre les vampires ninjas et revenir sain et sauf pour nous refaire à la taverne sa si connue démonstration de cul-sec la bouche fermée!

 

Bonne chance preux MrGamwi!

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