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[Acceptée] candidature (villageois) 4a444c


darksmil
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bonjour je vais vous présenter ma deuxième candidature villageois.

irl: j'ai 14 ans je suis sur minefield depuis le 28/02/2012.

J'ai très envie de devenir villageois pour après devenir outilleur en tant que villageois je vais faire bucheron pour aider la baronnie et quand je serai citoyen je compte me mettre outilleur.Et j'en ai un peu marre du vieux cheval fatigué ^^.

Au début quand j'étais sur minefield je me perdais tous le temps j'ai chercher un coin tranquille près de landy pour m'installer. Et 2-3 mois plus tard lettow ma contacté pour savoir si je pouvais l'aider dans la baronnie d'Alessis car j'étais sur le nouveau territoire d'Alessis.

J'ai accepter alors j'ai raser ma maison pour la refaire dans la ville elle même et non dans la campagne.

Alors nous avions coupé plein arbre en haut d'une montagne et nous avions terraformer pour y construire le château, avec principalement lettow moi et crunchy_0NE qui aujourd'hui ne viens plus.

 

ancienne candidature: paysans/candidature-4a444c-darksmil-eme-t42655.html

 

voici quelque photo d'alessis:

 

Ma maison

 

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Le château

 

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photos diverses.

 

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Une petite de l'ate bits

 

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Bon maintenant le RP:

 

Quand je fus arrivé à Stendel je vis des panneaux un peu partout indiquant un grand marché, sur une place que je ne connaissais pas, les gens m’indiquèrent le chemin mais la ville était tellement grande et labyrinthique que je me perdis beaucoup de fois (j’en profita pour visiter) ainsi je me retrouva dans la quartier des mages en haut d’une grande colline, en regardant leur étales je vis des grimoires divers, des sceptres , des autels d’enchantements,… ce qui me marqua fut le cout de tous ces objets ils étaient extrêmement chers, les mages étaient énigmatiques et mystérieux, ils avaient un regard troublant, ils n’étaient pas mauvais ou méchants, non, loin de là. Je me retrouvai aussi dans le quartier des Indigènes du Chaos, ils sont appelés « à la con », j’eus pitié de cette façon de se moquer d’eux avant de pénétrer dans leur quartier, on y trouve des fripouilles, de malfrats, des dealers, les commerçants sont limites aimables et brutaux. En regardant leurs étales je découvrit toutes sortes de choses qui m’étaient inconnues des sacs de poussières étranges des sceptres flamboyants, des briques d’un matériaux rouge comme du sang légèrement séché, rouge bordeaux, des espèces de gravats lumineux, un commerçant me dit en voyant que tout ceci me parraissait étrange que cela venait des enfers. En apprenant ça je le pris pour le Diable en personne et je m’enfuis le plus loin possible de ce quartier maudit. Je finis après avoir couru pendant longtemps à me retrouver encore plus perdu dans ce quartier insalubre. Au coin d’une rue une femme masquée me menaça de tout prendre ce que j’avais je lui dis, ce qui était vrai, que je n’avais rien mais elle ne me crut pas. Je dus me résoudre à lui assener un solide coup de poing à la tempe la laissant assommée sur le trottoir, craignant qu’elle n’était pas seule je courus un peu plus loin et trouva ce qu’on appelle le « métro », ce sont des wagonnets qui avancent seuls pas un système de redstone (on m’a dit que c’était un sorte de poudre aux propriétés étranges, elle aurait la faculté de dégager un sorte de courant électromagnétique lorsqu’elle est activée, on l’active par un système de bouton de leviers,… qui activent une sorte de transformateur qui transforme le mouvement physique que vous donnez en cette sorte de courant électromagnétique , c’est une science passionnante de nouvelles découvertes sont faites régulièrement permettant des systèmes automatisés facilitant la vie des gens). Ce système de rails automatisés me transporta jusqu’à la place où il y avait ce marché que j’ai eu tant de mal à atteindre. Sur ce marché, on trouvait de tout : des ingénieurs qui construisent des circuits de redstone, des herboristes qui font des potions étranges aux propriétés diverses (ce sont en fait des sortes d’apothicaires), un tisserand qui montrait ses lamions, ses rideaux et ses magnifiques capes. Il m’en donna une en me voyant loucher dessus. Je passai aussi devant un menuisier qui faisait des magnifiques meubles en bois, voyant mon jeune âge et l’absence de bouse à ma ceinture, il comprit que je n’étais pas là pour faire des commissions ni pour acheter, il me demanda ce que je faisais ici et je lui répondis que j’étais orphelin et que je n’avais pas de toit. Cet homme était très sympathique et généreux il me dit de revenir à la tombée de la nuit ici et qu’il m’hébergerait pour la nuit. Comme je tenais à revenir ici au moment prévu je demandai où je pouvais trouver une carte et où était le centre-ville. Il m’indiqua le centre-ville et me répondit qu’il n’avait pas de carte. Le centre-ville était beau mais défiguré par la sinistre potence au centre de la place. Je vis des annonces qui demandaient des services et qui étaient récompensées, ainsi pour tuer le temps et me faire de l’argent je dératisai les égouts et j’aidai à transporter des rondins de bois. J’eus assez d’argent pour acheter de quoi manger dans une taverne. Je mangeai une délicieuse soupe de poisson, des brochettes de calamar, une pinte de bière, du fromage et du porc sur un tranchoir de pain. Je suis donc allé revoir le menuisier qui me conduisis dans sa maison, il m’offrit un diner, et une paillasse ou dormir. Le lendemain je remerciai encore le menuisier et je sortis de la ville pour aller a la mythique New-Stendel, la vile flottante la citée offerte aux hommes par les dieux. Beaucoup de rumeurs tournent autour de cette ville, certains disent que dans les temps jadis un preux chevalier aurait tué le démon des enfers, un monstre incontrôlable invoqué par un nécromancien l’histoire ne raconte pas ce qui est arrivé à ce nécromancien, certains appellent ce monstre l’atrophié, un démon a trois têtes au corps squelettique ce monstre allait entrer dans notre monde quand le preux chevalier l’enflamma planta son épée dans une de ses têtes lui arrachant un cri terrible. En son cœur il y avait une étoile sombre que ce chevalier donna aux dieux, en récompense de cette acte de bravoure les dieux construirent une citée flottante aux hommes dont le chevalier aurait été le roi, mais cet homme trop modeste ne voulus de cette citée et la laissa à qui la voudrai on raconte aussi que ce chevalier recherchait le calme et la tranquillité c’est pourquoi il créa un petit village au bord d’une rivière qu’il nomma Azur. Par la suite les hommes se seraient partagé la ville divine ne laissant pas de chef. C’est en partie à cause de ce conte que je veux voir cette ville. Sur le chemin j’ai rencontré quelqu’un dont le visage m’était étrangement familier, cette jeune fille d’à peu près mon âge faisait partie de mon clan. On l’avait envoyé en même temps que moi pour l’adoubement.

Quand nos regards se croisèrent elle me reconnut et avant que je puisse dire quoi que ce soit elle me dit sur un ton froid : « le clan n’est plus, les brigands l’ont attaqué il ne reste plus rien » cette déclaration me laissa sans voix même si au fond de moi une voix disais « ils t’ont envoyé dans la forêt a une mort quasi certaine et ce sans le moindre remord tu ne leurs doit rien ». N’ayant rien d’autre en tête je lui répondis : « qui ? » Sa réponse fut décevante car elle n’en savait rien, mais qu’ils étaient encore au village. Je lui proposai ensuite de me suivre jusqu’à New-Stendel. En chemin elle me raconta tout ce qui c’était passé depuis qu’elle avait été envoyée dans la forêt. A quelques lieues de New-Stendel nous apercevimes la cité, elle volait au-dessus d’un grand lac, son unique accès était l’escalier central, facile à défendre, à verrouiller et pratique à monter ou à descendre, il était idéal, quiconque essaierait d’attaquer la citée divine serait réduit à néant et humilié. Une fois dans la citée notre principale préoccupation fut de trouver de quoi se faire de l’argent. Nous avons donc trouvé des petits métiers, services assez bien rémunérés qui nous permettaient de louer une chambre dans une auberge, acheter à manger et économiser pour s’acheter armes et armures car nous avions toujours en tête un folle envie de vengeance. Au bout de quelques semaines nous eûmes assez de sous pour acheter des armes et des armures. L’armurier nous demanda pourquoi des si jeunes gens voulaient des armes. Sentant qu’il fallait mieux esquiver cette question j’ai demandé à mon amie ce qu’elle voulait comme arc et au vendeur ce qu’il avait de mieux en terme de dagues et d’armures. Il me proposa des armures de cuir, de fourrure, des dagues de métal avec une loge à poison, des arcs elfiques, des flèches avec des pointes empoisonnées et si on préférait frapper fort sans se soucier d’être discret, il nous proposa des armures de plates, des hauberts, des espadons, des haches de combat naines. Personnellement j’ai choisi une épée de fer, une armure de cuir légère et des dagues avec loges a poison, mon amie pris une fourrure et arc elfique avec des flèches a pointe en hameçon. Cet armement fut couteux et en sortant de chez l’armurier nous n’avions plus la moindre pièce.

Le temps était venu de partir au combat, tuer les brigands, libérer notre peuple et reprendre le contrôle du village…

 

voila fini bye ;)

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