[RP] Aeonis, le Ulfsark

[TheAeonis]

Introduction

 

Oyez oyez ! Chers Vikings ! Je suis Aeonis, Ulfsark Royal.

Je vais ici conté mon Histoire à Stonecross en tant que Ulfsark, je vous conterais tout depuis le début de ma carrière jusqu'à sa fin, jusqu'au moment ou je quitterais l'armée pour m'installé en ville ou mieux encore !

 

Je souhaiterais de votre part une chose: Vos avis ! Je ne suis pas expert en RP et j'espère comme cela m'améliorer en qualité !

Ce RP à pour but:

- Faire partagé mon histoire aux autres membres du Projet

- M'améliorer dans le domaine du Rôle-Play

 

Bien évidement je souhaiterais une certaine retenu aux (probable) fautes MONSTRUEUSE que je pourrais faire, je ne suis que en 4ème ! D: (14ans le 24 mars )

 

Finissons tout ce blabla d'introduction et place au RP !

 

Lexique:

 

Chapitre Zéro: Mort ou Vif -Histoire Pré-Stonecross de Aeonis-

Chapitre Premier: Stonecross -Arrivé à Stonecross, Début de carrière

Chapitre Deuxième: Ebuthon -Bataille d'Ebuthon

Chapitre Troisième: Le Deuil -Mort de Tastérix-

Chapitre Quatrième: L'Exile -L'Exile de Aeonis, le Deuil Prolongé-

Chapitre Cinquième: Le Nouveau Stonecross -Retour à Stonecross-

Chapitre Sixième: À venir

 

Chapitre Zéro: Mort ou vif

 

Je marchais dans les rues de Stendel, Seul et sans eau ni nourriture depuis plus de deux jours, les gens me bousculaient jusqu'à me faire tombé au sol, et ne masquait point leur dégoût envers moi. Je n'en avais cure, en faite, je me fichais depuis un bon moment de se que pensaient les gens de moi. J'arrivais sur la place principale de Stendel, là ou trônait le magnifique portail vers New Stendel, ce même portail qui, deux mois auparavant m'avais mené ici. Je marchais au milieu d'une foule, je lançais des regards lasse sur les étals de marchands ici et là, admettant et sachant tant bien que mal que je n'avais pas un sous en poche et que je ne pourrais donc jamais m'offrir de tel luxe.

La Nuit tomba, je m'étais installé sur une botte de foin, dans une ruelle, je mis du temps à m'endormir, mais fini par fermer les yeux. Ma pause fut de courte durée, je fus réveiller par des bruits de pas et d'épée qui sonnait dans son fourreau à proximité, j'avais un mauvais pressentiment. La ville de Stendel était bien gardé par les Impériaux, mais les voleurs et les assassins se croisait à tout les coins de rues. Par curiosité, je lançais un regard furtif dans la rue. Un groupe de 3 hommes armées était présent, un d'entre-eux, le chef surement, portait une armure en Obsidienne, les deux autres, de simple armure en cuir. Me sentant menacé par tout cette arsenal, je mis ma capuche et ramassa les quelques objets que j'avais. Fin prêt à partir, je mis mon sac sur le dos, mais dans la rue, j'entendis le cris d'un homme.

- Ahh ! Non ! S'il vous plait ! Criait la voix.

Je me mis dans l'ombre et observa la scène, le groupe armée avait blessé un homme en haillons -un pauvre, surement- et l'avait mit au sol, l'homme barbue saigné un flot et le tortillait dans tout les sens pour tenté de s'enfuir, mais un des assassins en armure de cuir le ramenais toujours à son point d'origine.

Le pauvre homme haletant et sanglotant demanda à ses agresseurs:

- Pourquoi faites-vous ça ?! Je n'ai rien fa-

Sa voix se cassa et il tomba en larme, la douleur trop importante pour la supporté. De la où j'étais, je ne pouvais point voir ou il était blessé, mais sa devait être sérieux.

Un des agresseur pris son épée en fer et l'enfonça dans le torse du pauvre homme, dans un dernier hurlement, l'homme en haillons ne bougea plus, sa voix résonant encore, comme pour lui prolongé ne serais-ce que de quelque seconde la vie du pauvre homme.

L'homme à l'armure d'obsidienne cracha sur le corps désormais inerte de l'homme en haillons.

- Pathétique, allez au suivant.

Ils laissèrent le corps recouvert de sang dans la rue et continuèrent leur recherche dans les ruelles.

Je commençais à avoir peur, ces hommes n'était pas des Impériaux, mais, pour que le gouvernement de Stendel laisse passé ça il faut qu'il soit complice de tel acte. Stendel venait surement de sonné la chasse au clochard, pour se débarrassé des quelques déchets publique qui vivait dans les rues de Stendel et ternissait son image.

Je soufflais donc un bon coup et sorti de ma ruelle en courant, je me mis à courir vers le port de Stendel.

- Eh ! Il y en a un qui s'échappe ! Cria une voix derrière moi.

Plusieurs bruit de botte ferré se firent entendre dans la rue, j’accélérais ma course, le sens martelais mes oreilles, la peur et l'angoisse me submergeant, je couru dans une ruelle pour reprendre mon souffle, mais au bout de quelque minute, un casque d'obsidienne apparu dans mon champ de vision, une épée en Fer se souleva, j'hurlais et mis mes mains devant moi pour le repoussé, je fermais les yeux et attendit.

La fin ne venant pas, je rouvris mes yeux et vu avec stupeur que le corps de l'homme gisait au sol, fumant. Ses deux subalterne n'en croyant pas leur yeux tombèrent à la renverse en arrière.

Profitant de la confusion, je pris mes jambes à mon cou et continua vers le port, réfléchissant toujours à ce miracle. Étais-ce moi qui avait tué cette homme ? Comment aurais-je fais ? Je n'ai pas d'arme.. De la magie ?

Ma question resta en suspend, des bruits de botte ferré étaient réapparu, ils avaient repris leurs esprits et s'étaient remit à ma poursuite.

Arrivant au port, je sautais sur le premier bateau et arracha la corde, je pris les rames en main et me mis à ramé de tout mes forces.

Les assassins venait d'arrivé sur le quais, ils me regardèrent donc partir. Prenant le large.

Je restais quand même proche des côtes essayant de ne pas trop aller en haute mer, ce bateau n'étant pas fait pour, soudain, au loin, l'eau se gelais en glace, j'accostais et continua à pied, marchant dans une terre froide et recouverte de neige, la fatigue me gagnait, je m'effondrais...

 

Chapitre Premier: Stonecross

 

Reprenant peu à peu mes esprits, je commençais à comprendre ce qui venait de m'arrivé. Je m'étais évanouis de fatigue.

Je me redressais, lançant des regards perdu autour de moi. Je me mis à marché, perdu et grelottant, je fus même surpris que je ne fus point tué par le froid. Continuant de marché, je finis par tombé sur une patrouille Impérial, sachant se qu'il m'arriverait si je retournais à Stendel, je m'approchais d'eux pour demandé mon chemin vers le hameau le plus proche.

Mais à une fois à porté, leur seul réponse fut un coup d'épée qui me frôla de quelque centimètre coupant un petit morceau de ma tunique. Effrayé, je me mis à courir, les esquivant, et tentant de les semés. J'arrivais à un sorte de campement, prenant peur, croyant que le campement était Stendelien, je m'arrêtais net, puis voyant la bannière qui flottait, je fus rassuré et couru vers ce campement. La bannière qui flottait n'était pas rouge sang comme celui de Stendel, mais bleu comme l'océan.

- A l'aide ! Aidez moi ! Hurlais-je à l'attention des soldats du campement.

Plusieurs tête se redressèrent, deux soldats en bleu ciel, l'un armée d'une hache de guerre, l'autre d'une épée longue se présentèrent devant moi. Celui à l'épée me saisit par la manche et me poussa en arrière, il reprit son épée à deux mains et se prépara au combat, le premier Stendelien se jeta tête baissé sur la hache aiguisé du Soldat.

Planté dans le crâne de ce dernier, il mourra sur le coup.

Un second arriva, ne voyant pas la raclé que son compagnon venait de recevoir, il se jeta sur le soldat à l'épée longue, il leva son épée pour lui asséné un coup, le soldat para l'attaque et repoussa l'épée de l'assaillant sur le coté, il lui enfonça ensuite l'épée dans le torse puis retira l'épée, l'Impérial émit un râle et tomba à genoux avant de s'effondré.

Les deux survivants de la patrouille n'osèrent pas tenté le diable et rebroussèrent chemin en courant.

L'un des soldats, celui à la hache, se retourna et me regarda.

- Merci de m'avoir aidé, dis-je en tendant la main en signe de gratitude.

Le soldat m'attrapa par le col et dit:

- Qui es-tu, pourquoi te pourchassaient-ils ? Dit-il en me regardant avec un regard de défit.

Essayant de gardé mon calme je lui répondis:

- Je m'étais égaré, je me suis fais chassé de Stendel par des assassins.

Il me jaugea du regard, le second soldat qui s'était lancé à mon secours retira la main du premier.

- Calme toi, ce n'est pas nécessaire de l'agressé, il semble être perdu et sans foyer, Dit le second d'une voix qui se voulait rassurante.

J'hochais la tête en silence.

- Que se passe-t-il ici ? Dit une voix grave derrière nous.

Un homme en armure du Fer, grand et bien bâtie venait d'arrivé, il me regarda une première fois, mais ne trouvant rien de très intéressant détourna son regard sur ses deux subalterne, il attendait une réponse.

- Kaptein, il était pourchassé par des impériaux, il dit qu'il a été chassé de Stendel, dit le Soldat à l'épée.

Il hocha la tête Et s'approcha de moi, Le "Kaptein" avait toujours sa main posé sur son fourreau ou reposait une épée en Obsidienne.

M'étudiant du regard, il tourna deux fois autour de moi, cherchant l'arnaque qu'il ne trouva pas.

- As-tu un nom ? Dit le Kaptein.

Réfléchissant si c'était réellement prudent de discuté et surtout de divulgué mon nom à cet homme. Je pris ma décision.

- Je m'appelle Aeonis, dis-je d'un ton hésitant.

- Aeonis... Charmant, où vis-tu ? Continua-t-il.

D'abord mal à l'aise à la vue de cette question, je lui répondis après quelque minute d'hésitation.

- Je n'ai pas de maison, avant, je vivais dans les rues de Stendel. Répondis-je avec hésitation.

Il continua son étude sur ma personne et m'invita à le suivre.

 

Nous arrivâmes dans une tente de commandement, il me demanda de m'asseoir.

- Eh bien Aeonis.. Tu es sans abri, sans famille sans doute, dit-il.

J'hochais la tête.

- Je vois, tu n'as pas à t'inquiété, nous sommes tout sauf des partisans de l'Empire Stendelien, je m'appelle DrackHunter, je suis Hersir Kaptein du Royaume de Stonecross, m'annonça-t-il.

Perplexe, je lui posais des questions sur "Stonecross", il m'expliqua que c'était un grand royaume, dans les terres gelé au Nord de Stendel, de l'autre coté d'océan, il ajouta que Stonecross faisait parti du Nivem, une Alliance combattant l'Empire Stendelien.

Je fus ravis de l'entendre dire ça, mais il me dit quelque chose qui me mis dans une position assez étrange.

- Dis moi Aeonis, est-ce que sa t'intéresserais de nous rejoindre ? La Légion de Stonecross ? Sa paye bien et tu serais logé et nourris, me dit-il.

Émue d'une telle offre, je l'acceptais immédiatement, il m'emmena dehors et m'envoya avec un de ses hommes à Stonecross, je fis donc la connaissance de Patchnox, un Ulfsark de Stonecross.

 

La route fut assez longue, mais je vis enfin sur une colline, une grande forteresse.

- Je te présente Sharecity, la Capitale du Royaume de Stonecross, me dit-il avec de la joie dans sa voix.

Nous nous arrêtâmes à l'écurie d'un petit village au pied de la colline du nom de Inneria.

Le jeune Ulfsark m'emmena donc à pied jusqu'à la Capitale du Nivem, il me fit passé les murailles devants ses gardes intrépide et puissant. Il m'emmena aux portes de la Caserne ou siégeait le Einherjar, le Dirigeant de Stonecross.

Il était installé là bas car le Palais du Roi -Einherjar dans ce cas là- était encore en construction.

Ce dernier, était accompagné d'un Garde, un Huscarl, son nom était Bitroulix.

Le Einherjar, était le dirigeant de Stonecross, en Armure de fer il se dressait devant moi de sa taille cyclopéenne.

- Tu es Aeonis ? Mon Ulfsark ici présent me dit que tu es envoyé par le Hersir Kaptein DrackHunter pour rejoindre la Légion ? me dit-il.

Hésitant, je tentais de construire des phrases cohérente dans ma tête.

- Oui, je suis là pour vous rejoindre, dis-je.

- Je vois, le Huscarl ici présent va te transmettre un contrat, tu devras me l'envoyé demain, je te désignerais donc ta chambre.

J'hochais la tête, le Einherjar reparti et le Huscarl sorti d'un de ses sac une fiche, il me la donna et me dit que c'étai le contrat, je devrais le rendre au plus tard demain.

Je parti donc et pris un plume que j'emprunta à quelqu'un pour signé le contrat. Je parti dans la journée le rendre au Einherjar, il me montra donc ma chambre ainsi que tout se qu'il me fallait et me donna un papier avec toutes les règles de Stonecross, il me laissa ainsi et me dit de lire les ordres actuel sur le panneau. Travaillé dur signifiais avoir un toit d'ici peu. Je me mis donc au travail.

 

Quelque jour après mon engagement, moi et mon régiment d'Ulfsark Royaux allaient être réquisitionné dans la semaine pour la bataille sur les plaines d'Ebuthon. Le sang m'attirais et je voulais commencé à me battre et me vengé de l'Empire Stendelien qui m'avait fait tant souffrir. Je ne les laisserais pas me marché dessus sans rien dire ! J'ai hâte que le jour arrive !

 

Chapitre Deuxième: Ebuthon

 

Le 1er Régiments fut donc réquisitionné pour le combat, moi et mes camarades étions réunit sur les quais. L'étendard bleu et noir flottait dans l'air fièrement. Les dernières instructions furent donné et nos rôles également, étant dans l'escouade d'archer d'attaque, un arc et des flèches me furent donné ainsi qu'une épée courte en cas de combat rapproché.

Nous chargeâmes nos dernières provision et levèrent l'ancre.

Une fois en haute mer, je fus désigner pour m'occupé des cordages du bateau. Plus nous nous éloignons de la côte plus le vent soufflait et donc plus mon travail devenait dur.

Quelque heurs de passé, les cotes étaient enfin en vue. Je levais ma tête et vis une plage fortifié par plusieurs murets et Barricade en bois. Des balistes étaient aussi présentes.

Le Cors de guerre sonna une première fois et tout les archers se mirent en rang sur le supérieur, je ramassais mon arc et couru à ma place, je pris une flèche dans mes mains et attendit, tout le monde, un par un mirent en joug les défenses adverse. Du coté Stendelien, en dessous du drapeau rouge cramoisi qui flottait, des archers se mirent en place et nous mirent en joug, prêt à tout relâché une fois à porté.

Le cors de guerre hurla son cris strident une seconde fois, le feu vert était donné. Tout les flèches partirent vers les défenses adverse. les trois quarts des archers furent tué sur le coup, les survivants eurent le temps de relâché leurs flèches et arrivèrent vers nous, des hommes munit de bouclier se mirent devant nous et nous protégea de la pluie qui s'approchais, après tout cela, nous venions de perde 4 hommes, deux archers et deux porteur de bouclier.

Nos drakkars assez proche de la plage, le cors de guerre retentit encore une dernière fois et les hommes, guidé par leurs capitaine chargèrent la plage, hurlant de rage.

- All Glory to Stonecross ! Hurla un Capitaine sur un cheval lancé à tout vitesse.

Même les portes étendards se jetèrent à l'assaut sans hésitation.

Je me jetais également à l'assaut, les balistes de nos Drakkars tirèrent leurs carreaux de plusieurs kilo sur les forces adverse et furent de gros dégâts, seulement, les Stendelien avaient eux aussi des Balistes, ils tirèrent à leur tour et coulèrent un des Drakkars. Plusieurs morts à déplorer.

Je jetais un dernier coup d'oeil derrière moi puis couru en direction d'un muret assez proche, je regardais le combat, les forces de corps à corps enfoncèrent leur première ligne. Je pris mon arc puis chercha une cible, puis tira, le tire le toucha à la poitrine, il tomba à la renverse en arrière.

Remettant mon arc en bandoulière, je couru vers la ligne de front, 4 Légionnaire Stendelien étaient placé 20 ou 30 mètres au dessus de moi, je pris mon arc puis visa, j'en touchais un à la tête, il s'effondra, les deux autres furent d'abord surpris, ils perdirent quelques secondes qui aurait pu les sauvés, je tirais deux flèches et deux hommes rejoignirent leur camarades en enfer, le dernier pris ses jambes à son cou et couru vers une couverture. Sa pause fut de courte duré, il fut fendu par les Ulfsarks au combat rapprocher.

 

Nous marchâmes sans trop de difficulté sur les défenses côtière de Stendel.

Nous nous enfonçâmes un peu dans les terres puis montâmes notre camp. Je fus de garde pendant la nuit. Observant les alentours et faisant quelque patrouille, je remarquais un feu de l'autre coté d'une rivière, caché par une colline depuis le camp, elle n'était dans notre champs de vision que ici. J'étais aux côtés d'une ruine.

M'approchant encore un peu, je vis l'étendard sanglant dans les airs, c'étaient des Stendeliens.

Je couru jusqu'au campement et fis mon rapport, d'après les ordres, nous attaquerions dans la matinée.

 

Tôt le matin, nous fûmes réveillé paré au combat, nous avions reçu comme instruction de tenir le pont en ruine ainsi que les Ruines de la tour d'Ebuthon.

Un cors de guerre sonna et tout les légions Nivemi se précipitèrent au combat. Je couru pour la première fois en tête, j'arrivais à quelque mètre de la tour, je tirais une flèche sur un homme qui tomba sur un de ses coéquipier. Continuant ma course, j'arrivais au niveau de la tour, les Stendeliens avaient déjà réagis, un homme se portait à moi, il m'agrippa et leva son épée courte pour m'empalé, je pris mon propre glaive et le repoussa d'un coup de pied, le souffle coupé, il me regarda se redressa reprenant le dessus et reparti à la charge, cette fois je para le coup et lui empala mon glaive dans le torse, voyant leur supériorité numérique je ne tenta pas ma chance et monta dans la tour en ruine. Une fois en haut, je pris mon arc et abattait deux hommes, les Stendeliens enfin conscient du dangers que représentait les archers Nivemi, ils se mirent comme objectif de nous abattre.

Plusieurs flèches déferlèrent vers moi et mes compagnons.

- A terre ! Hurla un homme derrière moi.

Je me cachais donc derrière les créneaux de la tour et attendit que sa se calme. Je relevais la tête et vis 3 des 5 hommes qui étaient avec moi mort. Leurs sang rouge coulant sur leur nuque ou leur torse.

Je me retournais et vit avec effroi que les Ulfsarks et les Légions Nivemi étaient submergé. Je pris donc une nouvelle flèche et abattait encore 3 hommes, Le Capitaine de la section chargé de tenir le pont demanda du renfort.

Mais ils furent submergé bien trop tôt.

Les Stendelien arrivâmes dans les escaliers, mes deux compagnons dans un excès de confiance et de courage se jetèrent sur les Stendelien dans l'escalier en colimaçon.

10 Stendeliens contre 2 Nivemi, une infimes chance de réussite était présente mais elle ne suffit pas, tuant 3 Stendelien, ils furent maîtrisé puis exécuté, seul face au 7 derniers Stendelien, je me mis tout en haut des escaliers et attendit avec mon arc.

J'en abattais deux par surprise. Les autres furent renvoyé au pied de la tour par les corps tombant comme des pierres de leurs camarades.

Sous le pont, je voyais des hommes, ils me faisaient signe.

- Les renforts, marmonnais-je.

Ils sautèrent sur le pont et le balayèrent avant de venir achevé les survivants dans la tour, elle était enfin à nous.

 

Après plus de 8 heures de combat, nous mîmes enfin les Légions Stendelienne en déroute, ils battirent en retraire, le Einherjar, se mit sur la tour, les Légions Nivemi devant lui, il hurla la victoire.

 

 

Les renforts arrivèrent en Drakkars empruntant notre chemin, ils nous remplacèrent pour continué la campagne vers le fort Marie-Nyancat.

Nous, nous rentrâmes au pays, avec la satisfaction de notre victoire.

Gloire à Stonecross ! Gloire au Nivem !

 

Chapitre Troisième: Le Deuil