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[Acceptée] Candidature Villageois - Minho


Minho
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Bonjour/Bonsoir

 

 

Nous ne vivons pas sur le même continent. Cependant, étrangement, en admirant ce splendide couché de soleil, juste devant mes yeux, je ne puis m'empêcher de penser que vous le partager avec moi.

Aujourd'hui, j'ajoute une étape à mon parcours mineflieldien. J'aimerais, en effet, devenir Villageois pour plusieurs raisons que je compte bien évidemment évoquer.

 

Voicì deux liens ;

 

Ma présentation paysanne : -->http://www.minefield.fr/forum/presentation-f923/minho-t61846.html#_thread

Ma candidature citoyenne de Lifdālinn : -->http://www.minefield.fr/forum/post435034.html#p435034

 

Je me prénomme Minho. J'ai 16 ans et je vis dans l'Indiana, aux Etats-Unis. J'adore ce pays. J'en suis tombé amoureux. La nourriture, les villes, les gens, les malls (immenses centres commerciaux), les écoles, (les filles), pratiquement tout. J'aime beaucoup partager ma culture européenne aux Américains, et inversement raconter comment les jeunes sont ici, comment le système américain fonctionne.

1aqd.jpg

Oui, je sais, j'habite l'état juste à gauche de l'Ohio, mais le panneau de l'Indiana craint, alors voilà.

 

 

Je rêve très souvent. Entre le monde réel et cet univers parfait que j'essaie de créer, dans lequel je suis moi-même, sans uniforme, règles stupides ou devoirs incessants. Je suis un bosseur, mais seulement pour les choses que j'entreprends par mes propres moyens.

 

J'aime les couleurs (j'espère que c'est pas trop gênant, d'ailleurs ^^), je colore absolument tout. Des fois d'une manière logique, des fois je me laisse aller, vaches bleues, ciel orange, nuages verts. Il faut s'y habituer.

 

 

Je suis arrivé sur le serveur il y a, un peu plus d'une semaine… Je n'ai pas eu le temps de construire grand choses. J'ai tenté une sortie sur Nimps. J'ai vu qu'ils font du gruyère j'ai vite abandonné ^^. Alors je me balade sans répit à la recherche de mon bonheur. Je fais quelques quêtes, je suis libre. J'adore ce serveur c'est si beau.

Après ma présentation paysanne, j'ai reçu quelques messages plutôt sympathiques,. Alors j'ai découvert que ces mondes sont gigantesques ; je croirais presque à l'existence de Dieu devant les cités que j'ai eu le privilège de traverser en homme libre. Mon attention s'est portée sur Lifdālinn, que j'ai trouvée, d'une beauté incalculable. J'ai tout de suite sympathisé avec Shqnks, le directeur du projet. Je suis impatient de faire mes preuves et commencer quelque chose que les futures Minefieldiens pourront voir, toucher, admirer… J'espère que ça vous plaira également :)

 

 

J'ai quelques raisons de soupirer après ce grade. Mis à part ce besoin que j'ai en moi de changer le gris de mon pseudo pour une véritable couleur, les voicì ;

 

:air:- Pouvoir entrer dans la vie active d'une façon plus poussée, à savoir choisir un métier (que je me réjouis d'expérimenter). Je pourrais ainsi aider d'une façon plus adéquate. Je compte prendre Mineur en choix Villageois, et, avec un peu de chance, (je vous laisse deviner le métier) le restant de ma vie.

 

:air:- Écrire et développer une histoire autour de moi, idée que je trouve juste exceptionnelle. Je parle bien sûr du RP que je compte développer encore et encore au fil de mon aventure sur le serveur. Les idées n'arrêtent pas de filer…

 

:air:- Avoir le privilège de soutenir le serveur en profitant de la merveilleuse expérience de jeu qu'offre ce serveur, à savoir les RPs, la communauté, les plugins, les crafts uniques au serveur, et beaucoup d'autres choses.

 

Mon RP ;

 

:air: Il commençait à pleuvoir. Il ne pleut presque jamais pourtant. Je soupirai. Au moins les gens ne remarqueraient pas les larmes sur mes joues. J'étais downtownn Indianapolis, sur un banc du parc. Avachi sur ce haut-fond, j'admirais la vue de la place des vétérans.

:air:Pourquoi fallait-il qu'il pleuve à ce moment précis ? le hasard ? la déveine ? le destin ? Je n'en savais absolument rien. J'ai toujours détesté l'idée que ma vie soit écrite par quelqu'un d'autre que moi, et que je ne puisse rien faire pour changer ce qu'il va m'arriver. J'ai toujours été partisan du hasard, à une seule exception, celle…

:air: - Excusez - moi.

:air: Je ne voulais pas tourner la tête pour répondre à cette femme. Je ne pouvais pas. J'avais trop de poids sur les épaules.

:air: - Vous ne devriez pas restez sous la pluie comme ça.

:air:- Il y a bien des choses que j'aurai dû faire, alors une de plus.

:air: - Vous pensez que se lamenter arrangera tout.

:air: - Je donnerais tout pour ça. Malheureusement, il n'y a rien à faire.

:air: - Il y a toujours une solution.

:air: - Une solution ? Qu'entendez-vous par là ?

:air: Elle n'a pas répondu. Elle s'est assise à côté de moi.

:air:- Vous aimez la pluie ?

:air: - Pas aujourd'hui.

:air: - Dans chaque goutte de pluie se cache un peu d'espoir.

:air: - J'ai déjà lue cette phrase.

:air: - Mais connaissez-vous la réelle signification ?

:air: Je n'avais rien à répondre.

:air: - C'est une image. Chaque goutte est comme la promesse d'un regain de vitalité. Chacune a son utilité, même si aucune n'en a réellement conscience. De temps en temps, il nous arrive de l'oublier. De croire que nous n'avons pas beaucoup d'utilité.

:air: - J'ai lu cette phrase des centaines de fois. Je l'ai entendue aux infos ; on peut l'écouter sur la radio.

:air: - La différence, c'est qu'elle vous est directement adressée.

:air: J'ai hésité à lui répondre.

:air:- Merci.

:air: Elle m'a glissé sa carte dans une de mes mains, je ne sais plus laquelle.

:air: - N'hésitez pas à m'appeler. Et mettez vous à couvert.

:air: Malgré cette énorme sensation de malaise au fond de moi, qui me rappelait chaque instant ce qui me faisait souffrir, je me sentais mieux. Il fallait que je me lève.

:air: J'avais du mal à me tenir debout, mais je suis parvenu à la station de métro la plus proche. Je devais rentrer chez moi. Je savais que j'aurais du mal, je rentrerais seul, cette fois.

:air: Je n'arrêtais pas de penser à ma princesse. J'avais déjà perdu des personnes plus ou moins chères dans ma vie, mais jamais quelqu'un que j'aime, jamais comme ça, jamais pour toujours.

:air: Je me tenais sur la rame. Il n'y a jamais personne à cette heure, par ce temps, en downtown. La seule raison d'être de cette ligne, c'était son automatisation. Le métro approchait. 2 minutes.

:air: Pourquoi me l'avait-on prise ? Pourquoi m'avait-on pris la fille que j'aime ?

:air: J'ai eu une envie soudaine de faire quelque chose de mal. Encore 1 minute 30.

:air: J'avais mis tellement de temps à la trouver. Elle était parfaite.

:air: Je regardais les rails, j'entendais le train. Seulement 1 minute.

:air: Comment faire. Elle était ma raison d'être. Ma vie tout entière.

:air: Je me suis demandé à quel moment il convenait mieux de sauter. Plus que 30 secondes.

:air: Je, j'y arrivais plus. STOP

:air: Après tout, on finit tous par mourir…

 

:air:Trop tard. Il était là. J'ai soupiré. Je devais surmonter cette épreuve. Des gens comptaient sur moi, j'en avais la preuve. Je me trainais péniblement dans le compartiment vide, quand quelqu'un m'a ordonné ;

:air:- Ton porte-feuille, tout de suite.

:air: Je me suis retourné, l'air indifférent. Il m'a répété, plus fort cette fois ;

:air:- Déconne pas avec ça, j'en suis capable.

:air: Il avait un 9mm dans la main. Je n'ai pas bougé.

 

:air: Le coup. Il est parti. Je m'étale de tout mon long. C'en est fini pour moi. On m'a déjà pillé. Il ne me reste que quelques secondes avant la réponse à la grande question. J'ai vu ma courte vie défiler. Mon dernier effort aura été de prendre ma croix.

:air:- Pitié, pitié.

:air: Je sens la mort sortir du train. C'est assez ironique. Comme je ne me suis pas arrêté pour la mort, aimablement elle s'est arrêtée pour moi.

:air:- Pitié, je veux vivre.

:air: J'ai entendu sa voix. Sa voix quand elle me disait qu'elle m'aimait.

:air: Je me suis éteint, comme la flamme d'une bougie. Mon âme a été soufflée hors de mon corps transpercé. La lumière arrive. D'où, c'est toute la question. Elle m'englobe. J'ai sommeil. C'est doux et confortable. Je suis fatigué.

 

5cjz.jpg

Véritable nuage d'Indianapolis ! Là où mon âme s'est glissée...

 

:air: L'air est frais. Je sens la brise dans mes cheveux. Suis-je mort ?

:air:- Non, pas tout à fait…

:air: - Quoi ? AH, qui êtes-vous ?

:air: Je m'aperçus avoir un couteau dans la main. Je l'ai lâché.

:air: - Pourquoi est-ce-que j'avais un couteau, lui ai-je murmuré.

:air: - On arrive ici sous la forme que l'esprit nous donne. Dans ton cas, tu es quelqu'un qui avait besoin de protection. Tu devrais prendre ce couteau. Là où tu es, c'est une partie de toi…

:air: Je me suis penché sur ce couteau. C'était mon Opinel, n°5, mon préféré depuis mon plus jeune âge. Je l'avais quasiment tout le temps avec moi.

:air: - Qui êtes-vous ? Et qu'est-ce-que je fais ici ?

:air: - Je suis Jésus. Dieu parmi les Dieux, plus connu sous le nom de DokMixer. Tu es ici dans mon royaume. Suis moi.

:air: - Pourquoi suis-je ici ?

:air: - Arrête de poser des questions et viens.

:air:Il m'a forcé à monter sur une de ces créatures volantes. Je n'avais rien dans l'estomac, fort heureusement. Rien que la hauteur, c'était trop. Nous avons atterri sur une tour de pierre. J'ai vraiment cru que j'y resterais.

:air: - Regarde ça.

:air: Au loin, de belles bâtisses, à perte de vue. Pierres taillées, marbre poli, ardoise élaguée, bois poncé. C'était vraiment beau.

:air: - C'est la capitale. Stendel. Tu auras peut-être un jour le privilège d'y vivre.

:air: - Et pou…

:air: - Tu es ici, parce que tu voulais vivre. Malgré ce qu'il s'est passé, au fond de toi, tu voulais faire plus. Rare sont les étrangers qui ont vu cette ville.

:air: - Vous croyez au destin ?

:air: - Tu veux que je te dise la vérité, Minho ?

:air: J'ai réfléchis quelques secondes. J'ai lentement hoché la tête de gauche à droite. Il commençait à faire nuit. Cette nuit qui a rendu la ville tel un ciel étoilé. Les couleurs dansaient, les enfants jouaient, les rires se dispersaient. C'était un rêve. Je me sentais bien. Plus de pensées négatives, ni boule au ventre. Je pense toujours à elle, malgré tout, mais je ne vois plus que beauté, conceptualisme et légèreté.

:air: - C'est tout, ai-je demandé.

:air: - Presque. Ici, il te faudra oublier la technologie, tout n'est plus que mécanique. Le monde comme tu le connais, tu dois le laisser partir.

:air: - Vraiment ? Plus de bruit incessant dans les rues, de programmes débiles à la télé ou de…

:air: - Oui, exactement. Ça te convient ?

:air: Je n'utiliserais pas une seule seconde de mon temps à développer quelque chose qui perfectionnerait ce qui est déjà parfait.

Il avait raison. Après tout, que serait devenue cette ville si la révolution industrielle l'avais frappée ? Je ne veux pas le savoir. Ce n'est pas mon domaine d'expertise.

:air: - Et finalement, partage ta personnalité, donne toi à fond, amuse toi, ne triche pas.

:air: - Je peux, être moi même ? Colorier tout et n'importe quoi, comme je le fais toujours pour donner du sens au monde trop souvent gris.

:air: - Oui, tu peux. Bienvenue sur Minefield. Attends, tu m'as colorié là. Remets moi comme avant, tout de suite. Non pas les cheveux roses ! Stop ça. Stop. Toi là-bas, oui toi, tu l'as maintenant sous ta charge. M**** du rose dans les cheveux. Ça m'apprendra à recruter !

:air: - Toi, là, tu me touches pas !

:air: - Dok a dit que je pouvais. Bon j'arrête pour l'instant ! Je m'appelle Minho.

:air: - Tu es très, spécial, tu sais. Ton prénom aussi es…

:air: - Je sais, différent, c'est comme ça, j'en fais ma force. Je suis juste surprenant, compris ?

:air: - Ok ok. Je t'aime bien toi. Moi c'est Shqnks.

:air: - Tu pouvais pas mettre une voyelle dedans ?

:air: - Comment tu sais qu'il y a pas de voyelle ? Je l'ai bien prononcé pourtant.

:air: - Ben, il flotte sur ta tête. C'est pas très furtif. Je préfèrerais l'autre là, en rouge.

:air: - Ok ok. Suis moi tu veux bien, on va prendre le SPLASH.

:air: - Oh non, j'aime pas ce nom !

:air: - Désolé, c'est trop loin sinon. Tu as déjà entendu parler de Lifdālinn ? Tu vas t'y plaire j'ai l'impression.

:air: - J'en suis persuadé.

 

:air: C'est tout ce que je peux t'offrir, m'a expliqué Shqnks à la fin du tour de la ville. C'est petit, mais c'est un luxe que peu ont la chance de se voir attribuer. Bienvenue sur les Terre de Lifdālinn. Si tu fais tes preuves, tu pourras bénéficier d'une vraie maison.

:air: Il m'avait présenté une chambre 6x6 dans l'auberge. Il ne s'était passé que quelques heures entre notre rencontre et maintenant, pourtant, étrangement, je me sentais déjà chez moi. La nuit approchait lentement. Après un aménagement simple et rapide de ma chambre, j'ai dormi comme une masse.

 

La suite, j'aurais tellement aimé vous la fournir, mais il ne s'est encore rien passé dans la ville pour moi, alors j'attendrais ma première petite construction pour poser quelques strophes au tout début de mon RP.

 

Chers modérateurs, je vous en prie, permettez moi de porter autre chose que ce gris terne, je vous en supplie ! Même une couleur fade, juste une couleur, s'il vous plaît :

 

7vi5.jpg

Non, j'en fait pas trop ! C'est une question existentielle pour moi...

 

Il est mal vu de souhaiter une bonne journée, pourquoi ? C'est toute la question. Alors je me contenterais d'écrire ;

J'espère vous revoir tout bientôt sur le serveur ;)

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Bonjour Minho!

 

Je viens apporter ma touche de soutien a ta candidature car elle est tout simplement géniale. J'ai bien aimé ton rp, ta façon de raconter, ta façon de présenter les choses.

De plus, tu es un joueur des plus volontaires et actifs que je connaisse sur minefield. À toi seul, tu ériges des quartiers entiers dans une cité qui a bien besoin de jeunes hyper-actifs comme toi :)

 

 

Un constructeur hors pair, un joueur actif et motivé, Minho a toutes les prérogatives pour faire un excellent villageois.

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