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[AVComme mission : RP]


Tybalt
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Z'OMG Rp posté /!\ cf spoiler plus bas

 

 

Tout d'abord je tiens à signaler en guise d'introduction que toute personne qui ne souhaite pas participer de près ou de loin à cette écriture devrait se tenir éloignée de la bordure [barrer]des quais[/barrer] du topic si elle ne veut pas se faire spoiler une histoire qui est en court de rédaction.

 

Et afin de doubler mon effet, je mettrai mon premier jet sous spoiler. Vous voilà prévenu.

 

Ensuite, j'aimerais m'excuser auprès de la commission Minefieldienne du Comique pour mon jeu de mots pourri. Il était tard. Concernant mon humour, je l'ai retrouvé entre-temps, il semble hors de danger pour le moment, vous pourrez lui adresser vos meilleurs voeux de rétablissement sous peu.

 

Par ailleurs, je suis ouvert à toute proposition, et ceci n'est d'ailleurs qu'une proposition parmi d'autres que je vois venir gros comme des maisons.

 

Enfin (et heureusement, car j'était à court de mots de liaisons) , ceci n'est que le tout début de ce qui sort de mon imagination fonctionnant au diesel. Vue l'heure tardive et mon manque de créativité pour le moment, je remets la suite à demain.

 

 

 

 

Chapitre 1 : Génèse

 

Le brouhaha grondait. De mémoire de fourmi, jamais l’on avait vu telle assemblée. La salle du conseil de la Fourmillière de Bel-O-Kube, jadis vide de toute chose si ce n’est de lointains échos, était enfin proche de son but premier : faire grouiller.

 

Et ça grouillait bien. Peut être trop à en juger par les quelques tremblements des murs porteurs à l’origine de regards inquiets. Mais l’aptitude des fourmis à la construction était sans égale. D'ailleurs, la reine Arthur ne pouvait s’empêcher de ressentir une certaine fierté. Malgré l’étiquette, elle allait même jusqu’à fanfaronner à qui voulait l’entendre que tout avait été bâti de ses propres pattes. Cependant, tout le monde ne l’entendait pas. A vrai dire, si le brouhaha était à ce point élevé, c’est avant tout parce que tout le monde hurlait sans se comprendre.

Car cette assemblée était composée de vieux. Oui, de vieux. Et pas le genre papy gâteau à se prélasser au soleil un gin tonic dans une main, un numéro du Vagabond enchainé (spécial nostalgie) dans l’autre. Non. L’on vous parle ici d’une autre race de vieux. L’Ancêtre. Et les Ancêtres sont acariâtres, têtus comme des mules et sourds comme des pots. Je vous laisse imaginer les débats entre deux de ces énergumènes. Alors imaginez avec des dizaines et des dizaines d’entre eux. Vous avez l’image ? Maintenant rajoutez y des grognements animaux de tout genre. Eh oui, la plupart d’entre eux n’étaient même pas humains. Et autant vous dire qu’un ours jeune, ça fait déjà pas mal de bruit et pas mal de dégats. Un ours vieux, eh bien, un ours vieux (ou un vieil ours, on peut dire les deux) ça vous détraque un intérieur avant que vous n’ayez eu le temps de dire “tarte à la myrtille”. En fait, l’intérieur sera sans dessus dessous et vous à moitié digéré avant même la fin de “tarte”. Non pas que ce soit un animal très véloce. Plutôt très féroce. Mais je m’égare.

 

Les dialogues de sourd fusaient. Les insultes aussi. On faillit en venir aux mains. Mais finalement un accord fut trouvé sur un point vital et O combien important. Après trois heures de débat houleux, la conclusion tomba comme un coup de hache. L’audience avait enfin tranché: il n’y a effectivement plus de saison ma bonne dame, et tout va à vaux l’eau.

 

Semblant satisfaits de leur cheminement, l’ensemble des ancêtres se congratula à coup de « Keskildi?? ». D’ailleurs, passé ce point, la tension redescendit d’un cran, les sonotones également. Le silence se fit et la réunion pouvait enfin commencer !

 

« Mais enfin mais quelle est donc cette assemblée de vieux fous ?! Et pourquoi diable y en a t il autant ? tonna une voix dans l’arrière salle. »

 

Tybalt, la mine groggy et les cheveux en bataille (enfin, ses trois poils sur le cailloux) venait d’arriver. En retard comme à son habitude (et encore il pensait que la réunion se tenait la veille avouera-t-il par la suite).

 

« Que signifie tout ce charabia ? beugla-t-il en agitant une missive d’apparence officielle. Vous pensez réellement que j’ai le temps pour ça ?! Je suis bien trop vieux pour ces co**ries ! »

 

Un murmure sourd traversa la salle. Tous se regardaient, n’osant s’avancer. Une autre voix grave et tonitruante se fit entendre en guise de réponse.

 

« Tybalt, vieux brigand, bienvenue mon ami ! »

 

Un lapin sortit de la foule, le poil assaisonné et le museau terne mais l’oeil toujours vif. Les deux compères tombèrent dans les bras l’un de l’autre. Oui, ils tombèrent, premier degré. Ils ne s’étaient certes pas revus depuis un paquet d’années, mais ils avaient surtout trébuché sur leurs jambes vacillantes et n’avaient pas trouvé mieux que d’attraper l’autre pour éviter la fracture de hanche.

Devant ce moment O combien embarrassant, la foule eut une réaction étrangement bien coordonnée en toussotant poliment dans un même élan.

 

« Mais enfin, vas tu m’expliquer ce que tout cela signifie mon Lapin ? s’exprima l’aieul creeper.

 

— Parfaitement mon creeper, midi moins le quart, tu n’as que 4 heures de retard, lui répondit le lagomorphe.

 

— Hmm ? Ah non, j’aurais dis plus à l’ouest, c’est toujours plus à l’ouest ! »

 

[...]

 

Afin d’éviter les dialogues de sourds pouvant réapparaître en tout point du récit et interrompant de manière intempestive la continuité de la narration, l’ensemble de la maison d’édition vous propose un document amputé de ces passages. En vous remerciant de votre compréhension.

 

[...]

 

« Mais tu sais, cher Lapin, cette idée que j’avais lancé dans nos derniers échanges, était à prendre au second degré. Un regroupement de vieux, non mais c'est pas sérieux. C'est parfaitement grotesque. A ce sujet, j’ai ouie dire que l’ancêtre parmi les ancêtre Wiagra (qu’il repose en paix), s’était retourné dans sa tombe à l'évocation de ce projet…

 

— Certes, Tybalt, certes. Je vois que tu n'as rien perdu de ton optimisme. Cependant, nous ne pouvons cacher l’ampleur de la mobilisation que cette idée génère. Tu devrais rester, cela va te plaire. »

 

Après ce petit aparté, le Super Lapin (car c’était bien lui), monta sur l’estrade érigée pour l’occasion, et se lança dans un discours qui se voulait rassembleur.

 

« Chers amis. Je ne puis cacher mon émotion devant une assemblée aussi hétéroclite. Il y a parmi nous ce soir la crème des crèmes. Nous avons ici les meilleures des fourmis, un koala, le seul ours quasi domestique à des lieux à la ronde, un vieux singe (à qui personne n’apprendra à faire la grimace, pour sûr !). Mais aussi, de vieux humains, des seigneurs de châteaux, des bâtisseurs de cités, des nordiques et mêmes quelques schizophrènes. Sans compter les écureuils tordus ou les cordes tressées. Il y a même un vieux creeper planqué dans un coin à bouder ! »

 

Ragaillardie par la reprise des débats, la foule se fit euphorique, pendue aux lèvres de l'orateur qui finissait son énumération.

 

« Merci merci chers amis. Tout comme vous, j'ai vécu de nombreux printemps sur nos vertes contrées. Mais tous ces moments furent bien trop courts à passer en compagnie de si vaillants et si admirables ancêtres. Et je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais, mais j’aime moins la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »

 

Consternation dans la salle, certains osèrent un rire nerveux, feignant d’avoir compris la moitié de la phrase. Tybalt ne pu s’empêcher un rictus. C’était typique du Lapin d’exhiber son don innée de la maîtrise oratoire. Ce rictus n’échappa pas au lagomorphe qui cligna de l’oeil en direction de son vieil ami.

Soudain, notre héros à longues oreilles se mit à trifouiller sa poche de veston, sans trop savoir ce qu’il faisait. Mais ne trouvant pas ce qu’il cherchait, il reprit alors son discours, quelques peu décontenancé par une telle réaction.

 

« Camarades, voilà bien trop longtemps que ces jeunes nous délaissent, nous dénigrent et ne nous prennent pas au sérieux ! Pire encore, on nous a rapporté les premiers actes de maltraitance envers des vieux. Tout simplement intolérable. Je vous parle ici de déambulateurs brisés et de dentiers fracassés. Ainsi, nous pensons tous que nous avons le droit — que dis-je ! — que nous devons prendre une retraite bien méritée ! Nous en avons donc conclus que… »

 

Au milieu des hochements de tête approbateurs et des onomatopées d’incompréhension de l’assistance, une clameur lointaine et chevrotante s’éleva. La majorité de l’assistance continua de râler et beugler contre tout et rien, trop sourde pour déjà entendre le brouhaha lointain. Les autres, comme Tybalt et SL, s’étaient déjà retranchés derrière bureaux, bancs et camarades. Le vieux creeper, s’attendant au pire, tira avec un cliquetis métallique le chien de son tromblon.

Lorsque les battants de la porte s’ouvrirent et vinrent s’écraser contre le mur, plusieurs crissèrent des dents, et les autres rentrèrent la tête. Une tête blonde émergea de l’ouverture.

 

« Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?! Les vieux de tout le pays se réunissent et personne ne m’invite ? Je suis vexé !

 

— Dom ? s’écrièrent les deux amis. Mais que fais-tu là ? Et d’ailleurs, quel est ce vacarme derrière ?

 

— Eh bien, c’est une réunion de vieux non ? Donc je viens. Et pour les cris, c’est une petite troupe de retardataires qui font une course de déambulateurs pour essayer d’arriver le premier ici. Ils devraient être là d’ici un petit quart d’heure, il leur reste encore quelques mètres...

 

— Mais… Eh bien, comment dire… C’est une réunion pour les aïeuls uniquement quoi, bafouilla Tybalt, sosu les grommellements approbateurs de toute l’assemblée, dont la majorité souhaitaient le départ prompt de l'intrus.

 

— Tu viens donc douter de mon âge, mon vieil ami ? J’approche bientôt de mes 200 printemps, j’ai déjà de longues années derrière moi, même si je n’en ai pas l’air et que ma tête blonde parait toujours en avoir 25 ! »

 

SL et Tybalt se jetèrent un regard dubitatif, tandis que — si improbable que ce fut —, le silence s’installa dans la salle afin d’accueillir dignement l’annonce. Encore une fois, une moitié de la salle se regarda dans le blanc des yeux, l’air entendu.

Tous se jetèrent avec toute la vivacité disponible à un âge si honorable sur le jeune imposteur. Un éclair passa dans les yeux de Dom. D’un simple mouvement, l’esprit d’un puissant calme précédant une tempête, il envoya sa main droite au flanc et...

 

… pendant ce temps là, dans l’arrière pays, un tout jeune père de famille s’occupe tranquillement de ses champs, loin de toutes les agitations géo-politiques qui secouent le monde. Le paysage est grandiose et son regard croise celui de sa femme, toute en splendeur elle aussi. Ils s’aiment comme au premier jour et viennent d’avoir leur premier enfant. Béatrice, leur poule, picore gaiement son festin de graines qui repose sur le sol meuble et fertile de ce petit lieu de paradis.

Cet écart bucolique n’a rien à voir avec la mayonnaise mais a permis de détourner votre attention d’une scène particulièrement riche en violences physiques et verbales…

 

SL frappa trois grands coups sur son pupitre, incitant malgré eux les plus ronchons au silence. Assis au premier rang, Dom n’avait que pour voisin Tybalt, et grignotait assidûment une pomme à la peau dorée. Un creux dans l’assistance s’était créé autour de lui, car tous le craignaient à présent, après les petits remous qu’avait causée son arrivée. Même si beaucoup n’étaient pas convaincus, la plupart acceptaient à présent plus ou moins son étonnant statut de « vieux ». Le petit museau rose du lapin se releva :

 

« Je disais donc, avant cette interruption… Nous avons donc conclu que nous devrions trouver un lieux où nous installer. La jeunesse nous ignore et ne nous prête que peu d’attention : je propose donc que nous nous enfuyions. Allons nous installer loin de tout, dans un lieu fait pour nous, par nous ! De plus, nous serons représentés par une ambassade au sein du monde civilisé, afin de rapatrier tous les vieux du pays. Notre projet se nommera donc l’Ambassade des Vieux Croulants, ou AVC !

 

— Oui justement mon bon lapin, marmonna un grand père au fond des la salle, puisqu’on en parle, où sont les WC ici ? Je ne vais pas attendre que vous fassiez ceux dont vous parlez j’espère ! »

 

Un silence gêné accueilli la méprise. Mais très vite, les discussions reprirent : il fallait planifier la fuite du troisième âge. La réunion s’éternisa toute la nuit, il est même raconté dans la légende que certains moururent de vieillesse avant que toute la compagnie ne se sépare sur un accord. Un temps passa.

 

 

Chapitre 2 : L’Exode.

 

La nuit étendait son vaste manteau sombre sur la capitale Minefieldienne. Seules quelques silhouettes titubant, une chopine à la main, se laissaient apercevoir en plus des quelques ombres grisées de chats sur les murs. Le temps était venu.

Un lointain ululement se fit entendre. Devant le manque de réactions de la part de ses compagnons d’infortune, SL réitéra le signal, plus fort ce coup ci, accompagné de son lot de jurons. L’ensemble des vieux réagirent et se mirent à longer les murs en direction de la sortie de la capitale.

Nous avions là une troupe pour le moins hétéroclite, les plus en jambes aidant les plus dépendants à se mouvoir prestement. SL était fier de ce spectacle, et malgré le burlesque de la situation, il était ravi d’amener d’aussi têtus ancêtres à se coordonner. Mais pour que leur entreprise soit une réussite, il fallait absolument réussir à réunir tout le monde au dehors le plus discrètement possible. En effet, d’après les plans qu’ils avaient mis en oeuvre des jours auparavant, cette retraite devait se faire dans le plus grand secret. Tous les ancêtres s’étaient accordés ainsi afin de garder pour eux l’emplacement de leurs rêves.

Autant vous dire que faire sortir une troupe de vieillards de cette façon n’était pas gagné d’avance. Heureusement c’était une nuit sans lune, et il n’y eut qu’un seul incident à déplorer. Un déambulateur s’était pris dans les pieds d’un ivrogne, le réveillant. Mais celui ci du croire aux effets de l’alcool lorsqu’il eut en face de lui cette troupe bancale. Il se rendormit aussitot dans un hauchement d’épaules.

Les temps étaient surs depuis l’époque des dernières batailles rangées, aussi, il ne croisèrent aucun garde sur leur chemin. Coup de chance ou volonté divine ? Nul ne le su jamais.

 

SL, Tybalt et Dom menaient la troupe. Ils prirent le temps de s’arrêter pour jeter un dernier regard vers la capitale. Tous avaient dans l’idée que c’était la dernière fois qu’ils la voyaient. Ils se jetèrent un regard entendu, et reprirent leur marche en avant, aidant au passage ceux ayant le plus de difficultés. SL pensa en son for intérieur, que plus jamais il n’y aurait d’épisode de violence anti vieux. Il se permit même à voir l’avenir positivement. Pourtant, la route était encore longue avant leur terre promise.

 

Le trajet ne présentait cependant pas tant de difficultés. Ceci dit, il était loin de tout, et donc de tous moyens de transports. Ils mirent donc des mois à traverser déserts et toundras gelées. Ils perdirent en chemin nombre de vénérables ancêtres. Leur joyeuse troupe avait diminué de moitié à mi chemin et ils n’avaient plus le même allant. Ainsi, tous avaient grises mines. Ce teint étant certainement dut à la progression galopante de leurs pilosité respectives. Un bon vieil ancêtre est un ancêtre barbu, disait l’Ancien. Mais il y avait par ailleurs les marques d’un tel voyage, tous présentaient des joues creusées, là ou autrefois elles étaient bouffies, bien nourries par de la bonne pitance et de la non moins bonne vinasse. Cependant, les leaders n’avaient pas perdu espoir, le voyage continua, tant bien que mal.

 

 

 

Chapitre 3 : Nouveau départ

 

 

Le chantier était bien avancé et fourmillait d’activité. Jamais de mémoire d’ancêtre l’on avait vu tant d’entrain à la construction. Mais la joie d’aujourd’hui contrastait avec la galère d’hier. En effet, de nombreux amis et confrères avaient laissé leur vieille peau dans cet exode.

Tybalt toisait avec fierté le chantier qui avançait à train de sénateur. Il ne put s’empêcher de pouffer de rire en voyant deux ancêtres galérer à lever une malheureuse briquette. Il se réjouissait cependant de la créativité de la plupart d’entre eux. Certains avaient démonter les fauteuils roulants et autre déambulateurs pour les transformer en autant de crics et outils divers. Tout allait bien.

 

 

A l’autre bout du monde, la capitale était en émoi depuis déjà plusieurs moments. Passé la joie de voir partir tous ces ancêtres, considérés alors comme nuisibles, la population subissait de plein fouet leur absence. L’insomnie infantile avait progressé de 200 % étant donné qu’aucun grand père n’était là pour raconter d’histoires. Les industries médicales avaient mis la clé sous la porte tandis que les hopitaux organisaient des campagnes incroyables de blessures (la dernière en date : attirer un certains nombre de chalands sous une grue supportant 2 tonnes de petits gravas) afin d’augmenter la fréquentation dans leurs structures. Enfin, la population commençait à déprimer sérieusement de n’avoir aucun bouc émissaire à pourrir dans leur vie de tous les jours. La situation était bien catastrophique en capitale et bien malin celui qui devinerait ce qu’il adviendrait de cette pénurie de vieux...

 

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Tybalt, je vais te soutenir et botter les fesses à Zovsky, très très fort, parce que je rentre du taf et que je ne lirai ton RP que demain, ce qui te laisse tout plein de temps pour corriger tes vilaines fautes :twisted:

EDIT : topic made in Kubnigera, 1ère réponse, c'est déjà le boxon...

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Bleuarg ! Ouais, j'ai un chat dans la gorge...

 

J'ai beaucoup ri, n'en déplaise à Zovsky. :'3

Et d'ailleurs, ça me donne des idées pour écrire une partie du RP, je me pencherais dessus dès ce soir, si tant est que les grèves de la SNCF ne m'empêchent pas de rentrer !

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Nan, je t'ai dit que j'avais quelques idée. :P Quelques, pas un tas, nuance !

Dès que tu peux venir sur Mumboule on en parle, en faisant un peu quelques brainstorming on devrait avoir des idées de génies comme on ne peut en avoir qu'entre Kubnigériens !

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