Aller au contenu

[Candidature] Skyriad [Accepté]


Skyriad
 Partager

Messages recommandés

Candidature villageoise: https://www.minefield.fr/forum/topic/58592-re-candidature-villageois-de-skyriad-r/

 

Présentation IRL :

Dans la vraie vie, je m’appelle Samuel et j’ai 15 ans bientôt 16 je suis un fan de Minecraft depuis sa sortie en beta il y a fort longtemps.
Je ne joue pas qu'à Minecraft, je joue aussi à d’autres jeux comme WOW (World Of Warcraft), je joue aussi à starbound, terraria et GuildWars2 (merci Louvinette de m’avoir fait découvrir ce jeu).

Présentation InGame :

Mon personnage s’appelle Skyriad, c'est un lutin qui vient d’un territoire lointain des terres de Minefield. Il a parcouru de nombreux kiloCubes (Kilomètres) pour arriver sur ces lieux magiques, il a parcouru des forêts enchantées, des volcans, des montagnes et des glaciers pour arriver sur la ville volante (NewStendel) et découvrir ce monde fantastique.

RolePlay :

C’est au plus beau moment de la matinée qu'il naquit… Lorsque la faible lumière de la lune se joignait à celle du soleil émergeant… La nature était calme, encore endormi, et rien ne la troubla. Skyriad était né sans un cri, mais les yeux grands ouverts, dévorant déjà la beauté du monde de ses yeux nus.

Il provient d’une famille d’artisans qui habitaient dans un petit village lointain des contrées minefildiennes. Son grand-père maternel était forgeron, alors que son grand-père paternel et son père étaient menuisier.

La maison et la boutique familiale étaient légèrement à l’écart du village, plus proche de la forêt. Néanmoins, les contacts avec les autres habitants étaient nombreux. La famille étant très appréciée, de par leur talent dans leur profession respective, mais surtout pour leur fibre artistique. Chaque membre de la famille jouait d’un instrument de musique, et lors des nombreuses fêtes du petit Bourg, ou des réunions avec les villages voisins, c’était eux qui animaient les festivités.

C’est dans ce cadre que le jeune enfant fut élevé. Les hommes de la maison s’occupant en grande partie de son éducation, ainsi que d’occuper ses journées. Il commença à aider son père et ses grands-pères dès l’âge de 14 ans, et ce, avec grand intérêt, car il les admirait tous pour leurs qualités et le savoir qu’ils ont accumulés au cours des années.

De sa grand-père maternel, Il apprit à reconnaitre un bon nombre de matériaux et développa son corps en maniant les outils. De son grand-père paternel, il apprit à sculpter le bois et à transformer sa matière en un objet utile, ou même artistique. Mais de tous, c’est de son père qu’il a le plus appris. Ce dernier était le passionné de la famille en musique et histoires… Passions qui ont vite gagné le cœur de Skyriad.

Le lien fort qui les unit remonte bien avant les premiers travaux du jeune homme. Son père l’emmenait souvent dans la forêt, pour lui faire écouter le chant des oiseaux à travers la cime des arbres. Il l’emmenait également parfois en voyage, lorsqu’il fallait se rendre dans un autre village. Skyriad passa ainsi ses premières nuits à la belle étoile, où autour du feu, son père lui racontait des histoires, des contes ou des mythes. En prose comme en chanson, c’est ainsi qu’il débuta l’apprentissage de son instrument, la guitare.

Lorsqu’il commença à travailler, son père lui apprit à sculpter des instruments dans la veine du bois, et c’était ce qu’il préférait faire dans les tâches du quotidien.

A l’âge de 16 ans, il commença à se joindre aux fêtes en tant que musicien, et cette tâche faisait de lui l’homme le plus heureux du monde. Voir les gens vibrer au son de son instrument l’emplissait d’une énergie et d’une joie indescriptible. Il aimait partager son art à ceux qui voulait bien l’entendre… Et rapidement, il ressentit un appel… Un murmure porté par le vent, qui gagne le cœur, qui effraie et fascine à la fois : l’appel du voyage. Il aimait tellement la musique qu’il voulait y dédier sa vie, et son père y est pour quelque chose… En effet, lors d’une énième sortie, il lui avait raconté une histoire, qui restera à jamais gravé dans sa mémoire…


« Dans un temps qui n’est pas le nôtre, il y eu bon nombre de guerres… Beaucoup étaient comme les autres, les guerres que nous retrouvons dans les livres d’archives… Mais d’autres sortaient du lot… Notamment une. Le contenu sur laquelle elle se déroulait, personne ne le sait, le fait est qu’une armée d’hommes devait affronter une autre, galvanisée par des forces sombres et maléfiques. L’espoir des lutins était absent : l’ennemi était supérieur en nombre comme en force… Et pourtant, ils reçurent une aide inattendue, et extraordinaire ! Il était là, le cœur léger et joyeux, absent de toute peur… Ce qu’il faisait là, personne n’en avait aucune idée, que diable pouvait faire un musicien errant dans une plaine, à l’aube d’une bataille sans espoir ? Et pourtant, sans rien ne dire à personne, il commença à chanter, et à jouer … Pas un chant comme le tien ou le mien, c’était une musique extraordinaire (ou alors cela venait-il de lui ?). Ce chant était rassurant pour les lutins, et déstabilisant pour leurs ennemis. En quelque dizaines de secondes, la musique leur redonna espoir, et une force nouvelle. Grâce à lui, c’est le cœur apaisé et l’âme guerrière que les lutins s’élancèrent sans peur dans la bataille, et leur rage de vaincre et de vivre fut tellement époustouflante qu’ils dépassèrent l’armée sombre en force. Ils s’en sortirent victorieux, et avec bien moins de perte que l’on pourrait penser. Leur victoire, ils la devaient à ce barde, qui disparu dans la bataille comme il est apparu, laissant pour seul souvenir son chant envoûtant et galvanisant. Car vois-tu, mon fils, la musique est l’une des plus belles choses qui soit, et ce barde, par quelconque moyen magique (voir divin, qui sait) en a fait l’une des plus impressionnantes armes, car elle touchait au cœur ! »

Cette histoire lui fit aimer encore plus la musique, et lui inspira un rêve. Son ‘ rêve innocent ‘ comme il aime l’appeler, car improbable… Celui ou lui aussi, un jour, aurait une musique tellement spéciale qu’elle aurait des effets bénéfiques, sur le corps comme l’âme.

A sa majorité, il partit donc du petit village qui l’a vu naître, et il devint musicien errant. Il voyagea pendant plusieurs années à travers les pays avant d’arriver récemment sur la contrée Minefieldiene.

Merci d'avoir lu ma candidature.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
 Partager

×
×
  • Créer...