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[Accepté] MrFalcar, Chevalier Urbain


MrFalcar
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MrFalcar, Chevalier Urbain

 

Cher amis minefieldiens, je suis très heureux de pouvoir vous présenter aujourd’hui mon humble candidature chevalière. Après ces presques 4 ans sur le serveur, je pense prétendre au titre de Chevalier. Je vous laisse vous faire votre propre avis à travers cette candidature.


 

Table des matières :

 

I Anciennes candidatures

II Présentation IRL

III Présentation In game + Mon parcours sur MF

IV Motivation 

V RP

VI Remerciements

 

I Anciennes candidatures

 

Présentation :

 

Villageoise :

 

Citoyenne :

 

II Présentation IRL

 

Le temps est donc venu pour moi de raconter ma vie une bonne fois pour toute, alors je ne vais pas y aller de main morte. Je suis un jeune adulte toujours prénommé Laurent qui s’approche doucement de la vingtaine. J’aimerai pouvoir dire que je viens d’une lointaine contrée peu connue mais non, je suis français avec quelques origines espagnoles, né dans la région Toulousaine et qui y vit toujours (Ouais un bon alcoolique en gros). Cela ne m'empêche pas d’aimer voyager pour découvrir de nouvelles choses, de nouvelles personnes. Les séries ou les animés ont une place de premier choix car ils occupent absolument tous mes repas, ainsi qu’un peu de lecture de temps à autre. Une autre de mes activités favorites reste le sport car j’ai pu exercer quelques années étant plus jeune comme de la natation ou des arts martiaux. Depuis je me suis essayé aux sports de glisses ou à la salle de sport. Quand le temps ne me manque pas, j’essaie de pratiquer chaque jour. Et évidemment le jeu vidéo sinon je ne serais pas ici. Pour faire un rapide résumé sur mon historique dans ce domaine : mon premier jeu vidéo sur lequel j’ai réellement passé du temps fut The Elder Scrolls 5 Skyrim sur PS3 puis PC ainsi que Minecraft en 1.0.0 à peu près au même moment. Et par la suite Guild Wars 2 où, depuis 2013, j’ai tranquillement passé 4000 heures à y jouer. On ne peut pas faire que s’amuser alors évidemment, côté école, le temps est passé depuis ma dernière candidature et j’ai terminé le lycée pour aller vers des études supérieures en IUT GMP… Bon là cela ne parle à personne mais on fait principalement des maths et de la physique. Je travaille également quelques soirées par mois comme barman. Que ce soit IRL ou in game j’apprécie également passer du temps avec mes amis.

 

 

 

III Présentation In game + Mon parcours Sur MF

 

Comme dit précédemment, j’ai connu Minecraft fin 2011 avec la 1.0.0 en même temps que Skyrim (autant dire que ma vie sociale de l’époque en a pris un coup). J’ai donc eu le temps de plutôt bien connaître le jeu avant de me lancer en août 2016 sur Minefield, où j’y ai rapidement trouvé mes marques. Après avoir fait ma maison que j’ai maintes fois présentée dans mes précédentes candidatures, j’ai rejoint le projet de Simurgh par le biais de SalemRollin et CouetteCouette où j’ai pu y faire mes preuves ainsi que rencontrer du beau monde. 

 

1/ Build

 

J’ai pu faire mes preuves en construisant le quartier des ambassades de Simurgh. 

 

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j’ai également eu des commandes de construction pour des projets de joueurs comme le “chat-noir” de Saguya, le château de Napo50 ou des maisons de joueurs en Capitale.

 

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Je possède également des propriétés sur d’autres projets

 

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J’ai également build de nombreux éléments sur le projet de Simurgh. Même si ce que je vais lister en dessous ne montre pas l'intégralité de mes builds sur le projet, en voiçi un petit aperçu.

 

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Rue principale :  

 

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Manoir de campagne de Simurgh :

 

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Pont entre la campagne et le monastère :

 

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Château

 

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Salle de banquet

 

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Salle du conseil :

 

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2/ Événement de la communauté 

 

Au cours de ces bientôt quatre ans sur le serveur, j’ai eu le temps de participer et même organiser des événements pour les joueurs. En particulier la semaine d'événements qui a eu lieu à Simurgh au mois de février, j’ai eu l’occasion de préparer des items pour le storage mais surtout l’organisation et l’aménagement de la ville en collaboration avec la guilde des explorateurs

 

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Event avec la guilde des explorateurs sur Simurgh

 

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J’ai pu participer à nombre d’events des tréfonds.

 

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Ainsi que les jeux minefieldiens. 

 

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IV Motivation

 

J’ai toujours vu le grade de chevalier comme un accomplissement et une reconnaissance donnés à des joueurs qui le méritent pour avoir participé à la vie du serveur. Chevalier est un grade de prestige et si la communauté de Minefield me juge méritant de ce grade, j’espère pouvoir arborer ce magnifique bleu clair à l’issu de cette candidature. Ce grade donne également accès à une chambre dans le château de la chevalerie qui me motive énormément à devenir chevalier tout comme le palefroi pour avoir une classe incroyable et une rapidité à toute épreuve. Évidemment, avoir un deuxième “home” me permettra de faciliter mes déplacements. Porter l’armure de chevalier pendant les events organisés par la guilde des explorateurs est somme toute assez clinquant. Pour terminer, pouvoir prouver au Falcar de 2016 qu’il s'était trompé en pensant que ce grade lui était inaccessible.

 

 

V RP

 

Prologue : 

 

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Notre histoire débute alors qu’un jeune adulte du nom de Falcar menait une vie tranquille de bûcheron dans un village calme. Mais les jeux politiques bouleversent bien des vies innocentes et après avoir mené une guerre qu’il ne voulait pas, il survécut miraculeusement en se cachant parmi les corps des combattants tombés au combat. Après avoir découvert son village rasé, il décida de se venger du royaume nain qui avait déclaré la guerre à son peuple.

 

Un noble d’une quarantaine d’années du nom de Vendis décrivit à Falcar sa situation, la perte de sa ville et l’occupation ennemie de sa propre demeure. Il lui expliqua qu’en échange d’une pierre magique se trouvant dans cette dernière, il pourrait l’aider dans sa quête. Après une infiltration laborieuse, le jeune homme n’étant pas familier à la maîtrise du vol, il réussit à dérober la gemme et rejoignit le duc Vendis au point de rendez-vous. Celui-ci fit rentrer Falcar dans une maison où se trouvait une vieil homme fort aimable qui, après quelques mots, lui tendit un parchemin où se trouvait un acte de propriété pour être en mesure de vivre non loin de là dans l’attente de la suite du plan.

 

 

Partie 1 : Sans nouvelle...

 

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Sans nouvelle… Trois semaines étaient passées depuis la réunion improvisée post-mission qui m’avait condamnée à attendre des nouvelles de Duc. Une certaine routine s'était installée. Visite de la ville que je connaissais maintenant mieux que ma poche ainsi que quelques coins calmes et boisés qui me rappelaient mon village natal. En particulier un endroit paisible se trouvant non loin de la verrière de Stendel, proche d’une petite maison au toit rouge. Le vent marin provenant du port m’aidait dans l’attente insupportable de la situation. L’agitation du port, ces craquements des coques de navires, le mouvement de ballottement des navires rythmait la vie de ce coin tranquille au milieu d’une ville bien agitée. Une ambiance propre à ce lieu auquel je pourrais même finir par m’habituer. Je dévisageais les rares passants qui n’étaient pas des marins et qui apportaient du remue-ménage à cette nature immobile. Parfois quelques patrouilles qui, de leurs regards inquisiteurs m’examinaient de loin à la recherche d’un quelconque geste suspect. Par moment un arboriculteur sortant de la verrière qui me faisait fasse examinant les plantations extérieures comme s’il ne s'arrêtait jamais de travailler. Éventuellement un visiteur plus perdu que moi lors de ma première visite regardait naïvement les alentours.

Un piéton étrangement familier apparut dans mon champ de vision. Il sortait d’une petite arche faite de laiton et d’acier qui menait pourtant rapidement vers une impasse. Étrange… Après quelques pas il jeta un regard vers moi et un sourire se dessina sur son visage buriné par le temps. Il leva sa main droite dans ma direction et me salua d’un air chaleureux. 

 

    - Falcar ?!? C’est bien toi ? 

 

    - Oui … Mais c’est toi mon ami ! Cela faisait des semaines que l’on ne s’était pas vu ! Que deviens-tu ?

    - Et bien les affaires tournent plutôt bien. J’ai de plus en plus de demandes venant des hautes sphères de l’Empire et j’ai même la chance d’être convié à certains repas de la cour Impériale. Et        toi mon ami ? 

    - Et bien, profitons de la petite taverne dans le quartier pêcheur pour discuter autour d’une bonne chope.

    - En voilà une très bonne idée ! 

 

Nous nous dirigeâmes vers la taverne, nous nous installions autour d’une table, et je repris mon histoire après avoir commandé une bonne bière à une des jolies serveuses qui attirent les ivrognes de toute la Capitale. 

 

 

 

De la bière avait coulé sous les ponts et de simples discussions où nous racontions des banalités sur les environs, nous en étions venus à nous raconter comment nos histoires nous avaient amené là. 

 

 

Je pus découvrir qu’il était un artisan prospère, et il mentionna également qu’il eût une lourde dette à éponger. Mais juste après avoir lâché ces mots, dans un soubresaut il me lança un regard et changea rapidement de sujet. Son comportement avait radicalement changé et il était maintenant très hésitant, comme s’il était réticent à faire quelque chose. Sans une explication et non sans risquer de trébucher dû à l'excès d’alcool, il se leva d’un trait et sans même me regarder, me dit de le retrouver dans sa cave le soir venu, une fois les rues plus calmes. D’un pas hâtif, il quitta la taverne et repartit en direction de sa maison. J’étais resté seul sur cette terrasse à me demander quelle mouche l’avait piqué pour partir sans crier gare. 

Après quelques instants perdus dans mes pensés, je me rendis compte que le soleil n’allait pas tarder à se coucher. L’air chaud de la Capitale et les odeurs parfumées des tavernes me changèrent les idées pendant que j’errais dans les rues, tout en me questionnant au sujet de ce que me voulait le vieil homme. Mais l’attente était trop grande et à peine la luminosité commençait à décroître que je me dirigeai vers la maison du vieil homme rencontré plus tôt. Comme si le soleil régissait la vie urbaine, un calme commençait à naître dans la cité, au même rythme que l’apparition de la pénombre. L’agitation commerciale laissait place peu à peu au bruit du vent par dessus les toits et aux miaulements des chats des ruelles sombres avoisinantes. Les patrouilles se faisaient également beaucoup plus rares et laissaient place pour la nuit à une autre caste de personnes armées avec certainement moins de principes.

Après quelques minutes de marche, je faisais face à la demeure de l’artisan. Un filet de lumière sortait d’une porte légèrement entrouverte. Il s'agissait de la même porte où j’étais entré il y a quelques semaines. Pourtant, un étrange sentiment me poussa à me méfier. Je jetai un coup d’oeil par l’ouverture mais aucun signe de vie n’était visible depuis mon point de vue. Je pouvais entendre distinctement deux voix à l'intérieur ainsi que quelque chose de lourd glisser sur le plancher. Tandis que j’approchais ma main de la porte pour signaler ma présence à l’occupant, je vis qu’elle tremblait. Une tension s'était installée en moi sans que je ne m’en rende compte comme pour m’avertir d’un danger insoupçonné. Je serrai mon poing et patientai quelques instants avant de frapper trois fois sur le bois de la porte déformée par le temps. Juste après mes quelques coups, les voix ainsi que les quelques bruits se turent, rendant l’ambiance encore plus oppressante. Attendant une réponse qui n’arriva pas, je finis par pousser la vieille porte pour me faire dans un premier temps éblouir par la lanterne posée en face de celle-ci. Puis, une fois mes yeux habitués, je pus découvrir Vendis, la personne que j’avais aidé il n’y a pas si longtemps. Un sourire chaleureux commença à se dessiner sur mon visage, heureux de revoir un visage familier. Jusqu’à se que mon regard descendit à ses pieds pour découvrir le corps sans vie et mutilé de la personne avec qui j’avais rendez vous en ce moment même. Une forme d’incompréhension se dessina sur mon visage. Pourquoi était-il calmement au dessus du corps sans vie de celui avec qui il était pourtant ami? Je m'apprêtais à le questionner sur la situation mais avant que le moindre son ne sorte de ma bouche, un coup de massue porté dans mon dos me coupa la respiration et me fit tomber. Un homme en armure légère et au visage fermé s’était dissimulé dans l’ouverture de la porte pour me porter ce coup en traître. Son armure était sensiblement plus pratique qu'esthétique. La pièce d’armure attachée sur son épaule droite n’était pas la même que son homologue de gauche. En partie décousue et éraflée de toute part, son embaucheur n’avait sans doute rien de noble ou alors est-ce là sa propre armure personnelle? En tout cas il avait à la main un arme contondante proche d’une morgenstern à ailettes où glissait un filet de sang encore frais. A la vue du liquide rougeâtre, je pâlis mais finissant par me rendre compte de l’absence de douleur dans mon dos, je me retournai péniblement vers le vieil homme étendu au sol. 

Vendis posa négligemment son pied sur le dos du pauvre homme avant de se reposer dessus avec son coude. Il me dévisageait toujours avec cette même expression narquoise et me lança sur un ton amusé et sadique.

 

    - Alors ? On ne tient plus debout ? 

 

 

Empli d'incompréhension, d’énervement et de tristesse, je ne réussis qu’à bafouiller quelques mots pour formuler ma question.

 

 

    - Mais… Pourquoi ? Il était notre allié non? Il vous faisait confiance !

 

Mes mots déclenchèrent un fou rire chez lui. Toujours entre sarcasme et rire, il surenchérit

 

    - Allié? Ne me dis pas que tu pensais encore que le château où tu étais allé est vraiment à moi? Non, il s’agissait juste d’un contrat où je n’avais pas envie de me salir les mains. Il m’a suffit de        trouver un bon larron… Toi...

 

 

Mon esprit était embrumé, je ne savais plus ce que je devais faire. Je m’étais fait embobiner en m’étant fait convaincre de voler quelque chose qui n’appartenait pas à mon commanditaire. L'incompréhension et la douleur étaient visibles sur mon visage alors que Vendis, toujours soutenu par le corps sans vie du vieil homme finit par se calmer et se pencha vers moi. Maintenant qu’il était plus proche de moi, je pus voir un emblème que je connaissais. Il se trouvait sur une broche qui tenait une sacoche à sa ceinture. J’avais pu apercevoir cet emblème pendant la bataille où je fus blessé. C’était celle de la famille naine que je pourchassais. La vue de ce symbole me fit enrager et j’essayai de me relever mais je fus rapidement maîtrisé par l’homme armé qui était toujours dans mon dos. Après ma réaction à la vue de cet emblème il me dit :

 

 

    - Tu m’as rendu un fier service en me ramenant cette pierre tu sais? En plus, avec tous ces avis de recherche qui circulent avec ta tête en couverture, je suis l’homme le moins inquiété du                  monde ! Non vraiment ! Un fier service je te dis ! Je suis certain que le seigneur nain saura me récompenser et me reconnaître à ma juste valeur quand je lui aurai remis cette pierre. Moi qui          pensais que cet acte de propriété que nous t’avions donné l’autre jour aurait suffit à t’occuper le temps que je termine mes petites affaires dans la région mais, visiblement, tu as été un peu          trop impatient et j’ai dû en venir aux mains avec toi. Mais ne t’inquiète pas, tu ne vas pas mourir aujourd’hui. Nous sommes des voleurs, pas des meurtriers! 

 

 

Son regard descendit vers l’artisan au sol et enchaîna d’un ton sarcastique :

 

 

    - Lui il en savait un peu trop mais tu devrais me remercier, j’ai débarrassé la ville d’un criminel après tout. 

 

 

Après ces quelques mots, je compris que j’étais désormais un criminel recherché. Son regard se dirigea vers l’homme armé et tout en le fixant, il me pointa du doigt. Pendant un instant et malgré les mots de Vendis, je crus ma dernière heure arrivée. Mes muscles se raidirent et dans un geste à la fois rapide mais aussi involontaire, je me retournai vers celui qui semblait être l’homme de main de l’usurpateur. Mon regard tremblant, la dernière chose que je vis fut le pommeau son arme. Le choc me fit vaciller et je terminai ma course étendu de tout mon long sur le plancher de la demeure. J’utilisai mes dernières forces pour garder les yeux entrouverts mais rien n’y fit. Mes membres ne répondaient plus et mon ouïe se brouilla. La dernière chose que je vis fut Vendis, enjambant mon corps inerte pour quitter la pièce. Un voile noir se posa sur mes yeux et je perdis conscience sous les assauts répétés de l’homme de main..

 

 

Partie 2 : L'étrange inconnu.

 

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Une douleur sourde vint perturber mon sommeil. Après ma perte de connaissance, je m’attendais à ne pas me réveiller mais je m’aperçus vite que je me trouvais dans un centre hospitalier. Je pouvais entendre des discussions non loin de moi, sans doute provenant de la salle adjacente. Un rayon de soleil venait se poser sur mon oreiller, ce qui me fit dire que le jour était levé depuis longtemps. Je pouvais déjà entendre l'agitation diurne de la rue. Mais avec cette nuit qui venait de s’achever, tous mes espoirs ont fait de même. Je me laissais doucement emporter par mes pensées quand l’ouverture de la porte de ma chambre déclencha chez moi un rapide mouvement de tête vers cette dernière. Une femme svelte et au teint pâle venait de passer la porte en jetant un rapide regard vers moi pour vérifier si je dormais toujours. Un sourire furtif s’esquissa sur ses lèvres à la vue de mon regard éveillé. Elle se faufila par l’ouverture de la porte, jeta un coup d’oeil derrière elle et la referma doucement. Elle avait une tenue d’infirmière tout à fait classique mais des cicatrices sur ses avant bras trahissaient un passé sans doute bien différent. Elle s’assit sur le bord du lit et commença à me parler sur un ton amusé.

 

    - Enfin debout! Je commençais à croire que ce coup allait vous être fatal. Surtout au milieu de la mare de sang dans laquelle vous étiez. Ils ont presque hésité à directement vous amener à la morgue.

 

Même si son ton n’était pas enjoué, elle donnait pratiquement l’impression d’être heureuse de me voir, elle parlait tout de même à demi mots sans doute pour ne pas se faire entendre des autres pièces de la bâtisse. Mais dans son discours, quelque chose attira mon attention. Je posa mes mains sur mon lit de façon à prendre appui et tentai de m'adosser contre ce dernier, mais la douleur encore présente sur ma tempe me rendait de toute façon inconfortable. Après avoir repris ma respiration j'enchaînai:

 

    - Tu as l’air bien renseigné. Aux vues de toutes ces cicatrices sur tes bras, quelque chose me dis que tu n'as pas toujours été infirmière.

 

 

    - Perspicace. J'ai effectivement eu quelques déboires avec l'homme qui a causé ta venue ici.

 

 

Un sourire plus franc se dessina sur son visage. Elle plongea sa main droite dans sa poche et en sortit un objet métallique et le posa sur le lit. Il s'agissait du même emblème, le même qui était à la ceinture de Vendis. À sa vue, mon sang ne fit qu'un tour et mon regard se dirigea vers le sien. À la fois interrogatif mais également suspicieux, une pointe de défiance s'immisça dans mes traits. Mais avant que je ne puisse m'inventer une histoire, elle enchaîna :

 

 

    - Tu n'as pas d'inquiétude à avoir, nous sommes dans le même camp aujourd'hui. Et même plus que ça, nous avons peut être un but commun. Je faisais autrefois partie de cette équipe et je          peux même dire de la guilde des voleurs du royaume voisin. Mais j’ai dû faire un choix entre ma famille et la guilde. Quand j’ai finalement choisi la première option, les conséquences furent          lourdes.

 

 

Après avoir échangé quelques mots ainsi que lui avoir raconté mon histoire, elle me confirma que l’histoire de Vendis était vrai. La guilde des voleurs du pays voisin était allié aux nains. En échange de certains objets de valeur, la garde naine fermait les yeux sur leurs activités. Et par ce biais , il y avait une possibilité pour moi de les atteindre. Je resta méfiant avec elle pendant un moment. La trahison de Vendis me restait encore en travers de la gorge, mais pourquoi mentirait-elle puisqu’elle n’avait rien à y gagner? En plus de cela, je n’avais aucun plan de secours alors je ne pouvais qu'écouter son idée.

 

 

Son plan était en réalité plutôt simple : il fallait attirer Vendis en dehors des frontière de son pays natal pour le placer sous la juridiction de la garde de Stendel, et par la même occasion prouver sa culpabilité. Mais la question principale était restée entière : comment le forcer à sortir de son royaume natal où il y est en sécurité? Nous réfléchissions un moment à la question avant qu’un détail refit surface dans ma mémoire. Le voleur se faisant passer pour un noble avait mentionné le fait qu’il cherchait la reconnaissance de la famille dirigeant le pays des nains. Alors l’idée de se faire passer pour eux dans le but de l’attirer émergea dans la tête de la jeune femme. Elle me proposa de simuler une lettre naine pour le faire venir à l’endroit voulu. Mais comment gagner leur confiance et faire passer ce communiqué comme officiel? Une pointe de malice se profila dans son regard et dirigea sa main vers la fenêtre pour me désigner un bâtiment non loin de là. Elle me dit qu’il s'agissait d’un artisan qui avait l’habitude de faire des sceaux utilisés pour les lettres officielles des familles nobles. Elle proposa de le falsifier pour pouvoir falsifier une lettre officielle. 

 

 

Un espoir se dessina enfin sur mon visage après être tombé de si haut la veille. J’avais enfin un objectif clair et l’impression d’avancer. Une motivation nouvelle m'envahissait  et je me sentais capable de tout mais une réalité bien plus cruelle me rattrapa. À peine avais-je posé une main en appui sur le lit pour me relever qu’une douleur sourde se fit de nouveau sentir dans mon dos. Les séquelles du premier coup de la veille me faisait encore mal, mes muscles et mes os en avaient pris pour leurs grades. Une crispation se dessinait sur mes traits et je sentis que je ne pourrai pas encore vaquer à mes occupation avant quelques jours.

 

 

Je serrais les dents pour me redresser malgré la douleur mais une main vint se poser sur mon épaule pour m’adosser à mon lit et me dit d’un ton rassurant.

 

 

    - Je reste une ancienne voleuse. Laisse moi faire mon travail et on s’occupera de Vendis tous les deux quand tu iras mieux. Je te demande juste de pouvoir marcher d’ici quelques jours alors          repose toi.

 

 

Pour la première fois depuis longtemps quelqu’un prenait un risque pour m’aider. Et de ce fait, je ne savais pas comment réagir. Dans la confusion, je lançai simplement un “merci” sortir de ma bouche. Elle se dressa d’un pas en arrière et se faufila par le bâillement de la porte en me faisant un signe de la main. Et tandis que le porte se refermait, je restais là, seul avec moi-même à attendre que mon corps se répare. J'étais passif devant la situation, comme si je n'étais plus le héros principal de ma propre histoire…

 

 

Partie 3 : Les remous du passé.

 

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Tandis que je fermais derrière moi la porte de la chambre, je ne pouvais m'empêcher de penser à l’état dans lequel j’avais trouvé ce jeune homme évanoui au milieu d’une mare de sang. Je savais que ce lieu était un repaire pour la guilde et je pensais pouvoir écouter discrètement les dires mais seulement deux corps et une mare de sang étaient là pour m'accueillir. Je compris vite que la guilde avait fait le ménage ici car elle en avait terminé pour cette région, et en général ce sont les plus hauts de la hiérarchie qui s’en chargent. De ce fait, si je ne réagissais pas vite, je risquais fortement de ne plus jamais entendre parler d’eux. J’avais vite compris qu’il ne s’était pas retrouvé dans cette maison par hasard et qu’il allait sans doute pouvoir m’aider mais pas dans l’état dans lequel je l’avais retrouvé hier soir. Mais je fus rapidement tirée de mes pensées quand je remarquai nombre de regards du personnel de l'hôpital dans ma direction. Porter un blouse identique aux autres infirmières n’allait pas me permettre de me déplacer indéfiniment dans le bâtiment. Je déguerpis dans un couloir avant que mon imposture ne tombe. 

 

Une fois chez moi, je devais préparer un plan pour récupérer le sceau officiel des nains chez l'artisan, mais comment faire sans qu’il ne s’en rende compte? J’avais une petite idée en tête mais je devais d’abord être prête à m’infiltrer sur un lieu gardé. Je me dirigeas vers une malle disposée dans mon arrière-cuisine que je n’avais pas ouverte depuis un moment. À l'intérieur se trouvaient une armure légère faite de cuir et de tissus dans les teints sombres ainsi qu’une dague affûtée qui servait surtout à rappeler à mes interlocuteurs qui était en position de force. Tandis que je la sortais de son rangement, des sentiments se bousculaient en moi. Une sensation entre la boule au ventre et l'excitation. Cette tenue qui, à l’époque, me rendait si fière représentait aujourd’hui tout ce que je voulais voir disparaître. Même si le soir était loin d’arriver, je ne voulais pas manquer la chance de récupérer le sceau, alors je pris mon courage à deux mains et j'enfilai cette tenue. Même si elle était confortable, j’avais tout de même cette sensation de froid propre à cet uniforme. 

 

 

Après avoir refermé le coffre maintenant remplis de mes affaires de civil, je quittai mon arrière-cuisine pour me diriger vers la chambre où je comptais récupérer une lettre afin de préparer la mission qui m’attendait le soir-même. En entrant dans la chambre, je pouvais faire face à mon reflet dans un miroir. Je me vis à seize ans, enfilant cet accoutrement pour la première fois. La même coiffure, le même visage innocent ainsi que mes avant-bras vierges de toute cicatrice. Dans un moment d'égarement, je perdis mon équilibre en arrière pendant une fraction de seconde mais je réussis rapidement à retrouver mes esprits. Après un nouveau coup d’oeil dans le miroir, je me revoyais normalement. L’air enfantin avait disparu pour laisser place à des cicatrices légères mais visibles. Je reculai d’un pas et m’assis sur mon lit. Je pris de grandes inspirations successives pour me calmer, puis une fois ma tête posée dans mes mains je fermai les yeux et restai tranquille quelques instants.

 

 

Quelques instants se transformèrent en quelques dizaines de minutes, et quand je me décidai à enfin ouvrir les yeux, je compris que la lumière extérieure était déjà en train de décroître. Je bondis hors de ma chambre en direction de la sortie pour rejoindre l’atelier où se trouvait le sceau. À la tombée du jour, les ombres se font grandes et il est facile de glisser entre elles pour rester discrète. Mais malgré tout, au fur et à mesure que je me rapprochais de la boutique de l’artisan, je pouvais sentir mon coeur accélérer ainsi que mon champ de vision diminuer. Les symptômes de l'adrénaline pouvaient se faire ressentir bien que j’avais déjà pu faire de nombreuses missions de ce genre par le passé. Mais pour la première fois depuis très longtemps, je n’avais pas l’ombre de la guilde au dessus de la tête. Même si je me posais maintes questions, je devais rester concentrée sur la mission qui allait sans doute être ma dernière en temps que voleuse.

 

 

Une fois arrivée à la porte de l’arrière-boutique, je sortis mon kit de crochetage et entamai l'effraction de la porte. J’étais douée pour passer les serrures, c’était même ma spécialité, combinée à ma discrétion. Cela demandait simplement de la patience et un minimum de rigueur. La porte ne résista pas bien longtemps et l’oreille posée contre le bois, je pus m’assurer que personne ne se trouvait dans la pièce. Alors, j’entrouvris la porte et pus y jeter un coup d’oeil. La pénombre habitait les lieux où de simples bougies y faisaient danser les ombres. Une légère odeur de fumé embaumait la pièce mais elle était définitivement inhabitée. Du moins était-ce le cas de celle-ci, car la pièce se trouvant à l’étage supérieur, elle, ne l’était pas. Je pouvais entendre le plancher grincer sous les pas des occupants de la demeure. Très certainement l’artisan lui-même vivant à l'étage supérieur de la boutique. Je m'introduisis à pas de loup à travers l’ouverture de la porte et me déplaçai toujours à pas feutrés vers le fond de la pièce où se trouvait nombre de sceaux servant à faire des répliques sur commande, mais cela était bien évidemment réservé aux familles nobles détentrices de ce sceau. L’armoire dédiée était facile à repérer, mais il était trop risquer de les dérober : cela pourrait attirer l’attention de la guilde si l’artisan venait à ébruiter le vol. Les quelques années d’expérience m’ont apprises certaines choses, comme le fait de fausser la fermeture d’une lettre par un cachet de cire. Je n’avais pas le droit à l’erreur car j’allais essayer de tromper la guilde des voleurs elle-même. Je devais rester concentrée. 

 

 

Après avoir soigneusement suivi toutes les étapes, j’apposai le cachet nain sur la cire encore chaude. Le sceau nain était maintenant visible et il ne me restait plus qu’à m’évader du lieu du crime. Soudain, le silence fut rompu par un pas lourd dans l’escalier adjacent à la pièce où je me trouvais. Je restai figée pendant quelques instants avant de réagir quand je compris que les pas venaient dans ma direction. Je me dirigeai dans les ombres pour me dissimuler dans le coin le plus sombre de la pièce. J'essayais de me détendre pour faire baisser mon rythme cardiaque ainsi que de ne pas garder mes yeux grands ouverts pour éviter les reflets. Même si je ne m’y étais pas préparée, mes réflexes d'une ancienne voleuse étaient vite revenus. Juste au son de ses pas, je pouvais deviner un homme plutôt fort mais d’un âge avancé. Son pas lent me laisser penser qu’il n’était pas au courant de ma présence et que ma statégie de rester caché était une bonne option. Les craquements des planches m’indiquèrent qu’il se rapprochait, alors je restais soigneusement tapis dans l’ombre. 

 

 

Après un mouvement de poignée, je vis la porte s'ouvrir et un homme d’une carrure certaine entrer dans la pièce. Il était en habit de civil, sa journée de travail étant terminée. Un pantalon plutôt large, un haut fait de laine un peu décousu et de chaussures adaptées à la maison. Même si sa tenue ne m'impressionnait pas énormément, il était plus grand que moi de deux têtes et ses larges mains démontraient un travail long et difficile. Il attrapa une lampe, commença à faire demi-tour mais un détail attira son attention. La porte qui était devant lui et qui donnait sur la rue était bien fermée mais pas à clé. L’homme resta immobile un instant puis scruta la pièce. Je vis même son regard dans ma direction mais sa mauvaise vue joua sans doute en ma faveur. Il se rapprocha finalement du mur adjacent à la porte et plongea sa main dans un interstice pour y sortir une clé qui se servit pour fermer la porte. Il prit soin de soigneusement reposer la clé là où il l’avait prise mais le détail le plus important était le fait que la clé était également accessible depuis l'extérieur. Cela pourrait me servir dans le futur, qui sait? La porte fermée, il ne resta pas bien longtemps dans la pièce et retourna à l’étage. Une fois certaine que je restais la seule à cet étage, je récupérai l'enveloppe et je quittai les lieux en prenant soin de refermer derrière moi.

 

 

Partie 4 : Attente éphémère.

 

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L’attente était longue dans ma chambre d'hôpital mais plus les heures passaient, plus je me sentais en forme. Le soleil était tombé depuis déjà longtemps et le bruit urbain avait laissé place aux hululements des chouettes. Une légère brise fraîche qui passait par la fenêtre ouverte de ma chambre était bien ma seule occupation. Ce courant d’air faisait danser le rideau au dessus d’une bougie qui ne manquait pas de faire un jeu de lumière des plus plaisant sur le plafond de la pièce. Le calme apparent des lieux tranchait tellement avec la situation dans laquelle j’étais que je n’arrivais pas réfléchir calmement. Entre l’inquiétude sur la réussite de mission de ma nouvelle alliée et mon échec passé, je ne savais plus où donner de la tête. Je n’étais capable que de rester dans l’attente de nouvelles. 

 

Alors que mon regard vagabondait dans la pièce, je vis une main agripper le rebord de la fenêtre puis une deuxième. Pendant un instant, je crus à une attaque mais quand le visage de la jeune femme apparut, je fus soulagé. Son entrée n’ayant rien de naturel n’avait pas l’air de la déranger. Elle sauta par dessus le rebord d’un mouvement agile et se redressa aussitôt sa réception terminée. Mon regard perdu entre la surprise et le questionnement la fixait. Un sourire bloquant un rire apparut sur son visage et elle me lança sur un trait d’humour :

 

 

    - Je t’ai demandé de te remettre en état, pas de fixer la fenêtre avec des yeux de merlan frit.

 

 

Je restais figé à la fixer pendant qu’elle refermait la fenêtre derrière elle. Même si la politesse aurait voulu que je la salue avant tout, la seule chose qui me passa par la tête à ce moment là fut une question :

 

 

    - Tu as réussi?

 

 

    - Bien évidement, tu me prends pour qui?

 

 

Elle reprit la même place que plus tôt dans la journée et sortit de sa poche la lettre portant le sceau royal nain et la posa dans ma main. Perturbé, je fixais la lettre maintenant en ma possession. Me voyant passif devant cette dernière, une expression amusée se dessina sur son visage et elle me lança.

 

 

    - Avec tout ça, tu ne m’as même pas demandé mon prénom. Je m’appelle Halryn mais tu peux m’appeler plus simplement Ryn.

 

 

    - Navré… Je m’appelle …

 

 

    - Falcar ! Je le sais.

 

 

    - Comment tu peux le savoir?

 

 

    - On a tous nos petits secrets

 

 

Elle connaissait déjà mon prénom et cela m’étonnait car je n’en avais jamais fait mention mais je n’y prêtais pas longtemps attention. Mon esprit encore embrumé était plutôt envahi de remords.

 

 

    - Pardonne moi, jusqu’à peu, je ne savais pas si je pouvais te faire confiance. La trahison de Vendis m’a marqué mais je viens de comprendre que tu ne cherches pas à te servir de moi comme        il l’avait fait. Enfin… tout ça pour te dire merci...

 

 

Et tandis que je levais mon regard vers elle, une expression rassurante s’était dessinée sur son visage. 

 

 

    - Tu me remercieras quand on aura mis la main sur lui. Pour l’heure, il faut nous trouver des alliés. Si nous arrivons à le faire venir quelque part, il ne sera sans doute pas seul, et sur ce point là        je ne sais pas comment m’y prendre. Aucune de mes connaissances ne sont capables de faire face.

 

 

    - Là dessus, j’ai peut-être une idée, mais c’est quitte ou double. Et si on demandait l’aide de la garde de Stendel?

 

 

    - Les gardes impériaux?! Ce séjour à l'hôpital t’a rendu fou? Je dois te rappeler que tu fais équipe avec une ancienne voleuse et que tu es recherché pour vol d’objet d’extrême valeur?

 

 

    - D’un autre côté, on peut leur donner celui qui est en possession de la pierre et, par la même occasion, nous faire pardonner de nos anciens méfaits.

 

 

En pleine réflexion, son regard se perdit dans le vide. Elle était en train de comprendre que le jeu en valait la chandelle. Avec les yeux scrutant le sol, elle me répondit.

 

 

    - Alors le plan, c’est d’aller directement trouver les personnes que j’esquive depuis maintenant quelques années…

 

 

Le plan ne l’enchantait pas énormément et cela n’avait rien d'étonnant. Alors, avant qu’elle ne réfléchisse trop et d’une voix rassurante, je lui dis :

 

 

    - Si tout se passe comme prévu, non seulement nous aurons de l’aide mais en plus nous n'aurons plus besoin de nous cacher pour vivre.

 

 

Après ces quelques mots, je vis dans son regard une nouvelle lueur naître. Son regard se dirigea vers le mien et un sourire discret mais complice se dessina sur ses lèvres. Même si aller au devant de la garde malgré nos bonnes intentions ne la motivait pas énormément, pouvoir vivre sans la crainte de la garde sonnait comme une libération pour elle. Je m’assis sur le bord du lit de repos tout en enfilant mon haut de la veille encore légèrement tâché de sang. Même si j’aurais aimé pouvoir soigner l'intégralité de mes blessures ainsi que pouvoir enlever ce haut souillé de sang qui avait maintenant séché, le temps jouait contre nous et chaque minute comptait. Chaque minute, la guilde était potentiellement plus loin encore. Et tandis que je serrais les dents pour supporter les quelques derniers tiraillements provenant de mon dos, je me redressais d’une traite pour approcher la porte mais une onomatopée provenant d’Halryn attira mon attention. Interrogatif, je me retournai vers elle pour m’apercevoir qu’elle n’avait pas bougé d’un demi centimètre en direction de la porte. Une main sur sa taille et l’autre montrant la fenêtre derrière elle, elle me fit comprendre qu’à cette heure là, il n’y avait plus de sortie par la grande porte de l'hôpital possible. Si je voulais sortir, je devais passer par là où elle était rentrée, c’est à dire par la fenêtre. Je lui fis remarquer que c’était amusant comme on finit toujours par utiliser les méthodes de ceux que l’on veut voir disparaître. Elle retint un rire pour rester discrète et c’est sur ce trait d’humour que nous partîmes en direction du QG de la garde impériale. 

 

 

Partie 5 : Alliés de circonstance.

 

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Après un peu de marche, nous fîmes face à un château relié par un pont, les deux bâtis de marbre. Par son immensité, sa présence était écrasante. Tout cela était appuyé par le fait que les gardes postés à l’entrée nous fixaient d’un air inquisiteur. Notre présence les dérangeait. Pour ne pas céder sous leur regard pénétrant, je me contentais de regarder droit devant moi comme si ma présence ici n’avait rien d'anormale. Halryn, quant à elle, avait passé toute la route précédente légèrement devant moi ou au moins à ma hauteur mais ici, pour la première fois, elle était derrière moi et me suivait de près. Je tournai la tête sur le côté pour attirer son regard. Ses yeux laissaient apparaître une crainte mais elle savait ce qu’elle devait faire et j’avais confiance en elle. Tout en gardant le pas sûr, je passais en dessous de la herse d’entrée pour me retrouver face à un escalier permettant d’entrer dans le bâtiment. L’ambiance ici y était plus calme, bien que très ordonnée. Que ce soit pour les gardes ou pour les domestiques, les paroles ainsi que les gestes y étaient millimétrés, surtout au moment de s'adresser à quelqu’un de plus haut rang. Bien que je faisais de mon mieux, je ne manquais pas de me faire remarquer par nombre de résidents et de ce fait, je pressai encore un peu plus le pas pour éviter que les locaux ne se posent trop de questions.

 

Après avoir gravi quelques marches, je me retrouvais avec ma comparse en haut de l’escalier, à l'intérieur de la demeure faite de marbre. Les plafonds étaient hauts et les murs joliments décorés. Même si la capitale était certes d’une richesse certaine, ce n’était rien comparé à ce lieu. D'immenses tableaux venaient habiller les murs et un sol sculpté de différents matériaux nobles s’étalait sur tout le rez-de-chaussée visible. Une architecture aussi riche méritait que l’on s’y attarde mais ni mon visage, ni celui de ‘Ryn ne leur étaient inconnus. 

 

 

Le plus haut gradé des lieux se trouvait là, dans le fond de la grande salle où nous venions d’entrer. A moitié avachi sur sa chaise, il était en train d’écrire sur un manuscrit. La traversée du hall se fit non sans attirer les regards intrigués. Au fur et à mesure que je me rapprochais de l’homme en armure, ma démarche était de plus en plus pressée. Mon pas bruyant et mon regard fixe inquiétaient et je sentais que certains hommes armés se dirigeaient maintenant dans ma direction. J’étais à quelques mètres de lui et je savais que je n’allais pas avoir le temps de lui expliquer longuement la situation. J’allais devoir capter son attention tout en évitant de me faire emmener trop vite hors de sa vue. Le temps manquait et je ne pouvais pas attendre une entrevue pendant un interrogatoire, alors je ne devais pas manquer mon coup. 

 

 

Arrivé à sa proximité, je m'appuyai énergiquement à sa table pour attirer son regard. Son expression nonchalante remontait lentement vers moi puis il porta un peu plus attention à mes traits. Avant qu’il ne me reconnaisse et n’appelle sa garde, je préférai prendre les devants pour lui couper l’herbe sous le pied.

 

 

    - Je suis le voleur de la gemme de pouvoir et sans moi vous ne la retrouverez jamais !

 

 

Après cette phrase tonitruante, son expression passa par étonnement puis par un air presque chaleureux mais qui n’en était rien. Une fois la surprise passée, il me répondit sur un ton sarcastique :

 

 

    - Et bien tu auras tout le temps de nous dire ce que tu sais sur le vol pendant les séances d'interrogatoires. Gardes ! Saisissez-vous de lui ! 

 

 

Avant même de pouvoir répondre, deux gaillards bien plus imposants que moi m'entravèrent les bras. Toute fuite m’était maintenant impossible mais je gardai mon calme et rétorquai avec aplomb:

 

 

    - Si on ne réagit pas immédiatement, la guilde des voleurs sera déjà hors des frontière d’ici quelques heures !

 

 

A l’évocation de ces individus, le sentiment d’assurance disparu du visage buriné du soldat. Il leva la main dans ma direction et je pu ressentir la pression sur mes bras immédiatement disparaître. Je n’étais plus restreint. Pensif, il me demanda :

 

 

    - Vous venez de dire qu’il s'agit de la guilde des voleurs? Comment pouvez vous le savoir? Et puis si vous espérez être pardonné en nous livrant un petit poisson tout fraîchement rentré dans          la guilde qui n’en sait quasiment rien, vous pouvez tout autant aller directement dans votre cellule !

 

 

Je pris la peine de m’avancer jusqu’à la table d’un air assuré.

 

 

    - Non seulement je peux vous livrer un membre de la guilde, mais le plus important, c’est surtout qu’il s'agit du numéro deux.

 

 

Pour la première fois depuis mon arrivée devant lui, l’homme me parlait avec intérêt. Tant que j’avais son attention, je ne me faisais pas prier pour lui exposer mon plan.

 

 

    - Nous avons déjà une idée pour le faire venir là où nous le souhaitons. Mais nous ne sommes que deux et il ne viendra très certainement pas seul. Nous avons besoin d’une poignée de vos            hommes pour nous assister.

 

 

    - Comment savoir si vous êtes certain de votre coup ?

 

 

    - Je ne me jetterais pas dans la gueule du loup en venant directement me rendre si je n’étais pas certain de mon plan.

 

 

Le gradé hésita pendant quelques instant puis il me demanda : 

 

 

    - Ne me faites pas regretter mon choix, ou c’est vous qui finirez par le regretter. Où dois-je amener mes hommes ?

 

 

Un sourire se dessina sur mon visage quand Ryn se glissa devant moi en sortant une carte de sa poche. Elle indiqua un entrepôt que la guilde des voleurs utilisait fréquemment. Il se trouvait dans un endroit dégagé mais une fois à l'intérieur, propice à surprendre un petit groupe d’hommes armés. Le Commandant ne tarda pas à donner son approbation, une date ainsi qu’une heure furent rapidement fixées. Nous n’avions maintenant plus qu’à envoyer la lettre à ce cher Vendis en nous faisant passer pour la royauté Naine. Tout cela n’aurait pas fonctionné sans le sceau récupéré plus tôt dans la journée. La lettre comportait l’heure, le lieu du rendez vous ainsi que la nécessité de la gemme. Nous avons également glissé que la présence d’un nombre d’homme trop important risquerait de rendre notre entrevue indiscrète. Avec un peu de chance, ils ne seraient donc pas trop nombreux.

 

 

Le processus était maintenant lancé et nous devions nous préparer ainsi que disposer des lieux à notre avantage. Mais la confrontation n’allait cependant pas être facile. Un sentiment d'angoisse ainsi qu’une extrême impatience régnaient désormais en moi. Cette situation s'annonçait difficile mais nécessaire pour prouver mon innocence ainsi que permettre à Halryn de commencer une nouvelle vie...

 

 

Partie 6 : Confrontation.

 

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Trois jours… Trois jours qui semblaient durer une éternité, mais nous y étions. Nous avions établi le camp dans une vieille bâtisse qui semblait servir au stockage de caisses de vivres. Le bois gorgé d’eau qui composait les lattes du sol ainsi que les murs ne donnaient guère confiance mais l’endroit était sombre et il y était facile de s’y dissimuler. J’étais dans le fond de la pièce centrale faisant face à l’immense entrée éventrant le mur de haut en bas. L’obscurité nous dissimulait, moi, ainsi que ma grande taille non conforme à celle d’un membre de la royauté naine. Halryn, quant à elle, était adossée contre le mur de la grande porte bien à l’abri des regardes derrière une poutre de la charpente. La pièce avait également une mezzanine qui entourait l’entrée de l'entrepôt. Une poignée de membres de la garde royale muni d’un arc y était posté et de fait, l’endroit était idéal. Les soldats spécialisés dans le corps à corps étaient postés quant à eux, sur le côté du bâtiment opposé à la route. Leur but était simple, arriver dans le dos de l’ennemi pour l’enfermer dans l’enceinte des murs. Dans cette configuration, tout échappatoire leur était impossible mais il leur restait tout de même une possibilité : celle de se jeter sur moi et de me prendre en otage. Pour remédier à cela, le commandant qui était avec nous s’était posté à mes arrières pour me protéger en cas de confrontation. Pour ma part, je ne partais pas désarmé non plus car muni d’une épée plutôt légère dissimulée derrière ma jambe. Même si j’espérais ne jamais devoir l’utiliser, Vendis était fourbe et je sentais que quelque chose allait mal tourner.

 

Plus le temps avançait, plus l’impatience et l'angoisse, qui me suivaient déjà depuis quelques jours, gagnaient du terrain. Nous étions bien évidemment arrivés en avance et les quelques heures qui restaient à tuer me laissèrent le temps de penser à beaucoup de choses. Mes erreurs, mes décisions, les choix qui m’avaient mené jusqu’ici, le risque que je prenais aujourd’hui et les conséquences d’un possible échec. Mais le jeu en valait la chandelle, et il était trop tard pour changer de stratégie. Il fallait lui faire face. 

 

 

Pensif, j’entendis trois coups retentir à ma gauche. Il s’agissait du signal émis par un éclaireur posté à l'extérieur. Cela signifiait qu’ils avaient répondu à l’appel et, exactement comme demandé, Vendis ainsi que seulement trois hommes armés se présentèrent face à moi. Ses yeux n’allaient mettre qu’une poignée de seconde à l’habituer alors je devais vite lui faire cracher le morceau. D’une voix sèche, je lui demandai :

 

 

Vous avez ce que je vous ai demandé?

 

 

Sur le moment, j’eu peur qu’il reconnaisse ma voix, mais il n’avait pas l’air d’avoir fait le rapprochement. Il me répondit comme si de rien n’était :

 

 

Oui messire, j’ai la pierre que l’un de mes hommes a dérobé dans l’enceinte même d’une ville fortifiée. Son prix et sa puissance sont à la hauteur de vos espérances.

 

 

Il était fier de lui mais son visage changea vite d’expression quand la pénombre laissa place à une tenue qui n’avait rien de noble ainsi qu’à mon visage qui lui était familier. Interloqué, son sourire disparut. Au même moment les hommes qui l’accompagnaient se firent maîtriser par un nombre de garde bien supérieur. Ce grand fracas le fit se retourner vers ses soldats, maintenant face contre terre. Il hésita pendant une fraction de seconde suffisamment longue pour que le commandant sorte de l’ombre et s’adresse à lui sur un ton impérieux.

 

 

Vendis, numéro deux de la guilde des voleurs, vous êtes en état d’arrestation pour multiples motifs ! Veuillez déposer les armes !

 

 

Voyant l’issue derrière lui se refermer, il décida de se diriger vers le côté gauche de la pièce où se trouvait une fenêtre. Un garde était bien posté sur sa route mais après avoir dégainé d’un geste vif une épée qu’il tenait à sa ceinture, il infligea à l’homme qui lui faisait face, une blessure à la hanche. Le militaire avait beau avoir un armure de plate, la lame de Vendis, qui était en réalité une rapière, passa sans aucune difficulté la protection qui s’opposait à elle. Il tomba à la renverse en lâchant un cri de douleur et laissa le champ libre à l’homme maintenant en cavale. Il se pensait échappé de ce guet-apens mais un mouvement dans les ombres à sa gauche lui fit, par réflexe, faire un pas de côté esquivant le coup qui lui était destiné. Une silhouette svelte se détacha des ténèbres pour lui barrer la route. Il ne tarda pas à reconnaître Ryn qui faisait autrefois partie de ses meilleurs agents. Il lui demanda :

 

 

Toi? Ici… Tu essayes de te racheter aux yeux de l’empire en trahissant tes anciens alliés? 

 

 

Non, j’essaye de me pardonner moi même…

 

 

Sans plus de parole, ils échangèrent quelques coups mais aucun ne fit mouche. Le niveau d’escrime des deux adversaires était sensiblement le même. Malheureusement, là où il suffisait simplement à Vendis de tuer son adversaire pour réussir, Halryn ne devait faire que le blesser car s’il était incapable de parler, la guilde ne pourrait pas être retrouvée. Le fracas de l’entrechoquement des lames emplit la pièce et personne n’osait s’interposer de crainte d’y laisser la vie. Aucun ne semblait prendre l'avantage jusqu’à un faux pas de Vendis qui lui fit exposer son flanc. Il n’en fallait pas plus à Ryn pour se jeter sur l’occasion et lui infliger une entaille qui laissa échapper une giclée de sang. Il serrait les dents. Parfaitement conscient de son erreur mais ne se laissa pas déstabiliser. Un mouvement circulaire de sa lame dirigé non pas vers la jeune femme mais vers son arme, la projeta dans un coin de la pièce. Maintenant désarmée, elle se tenait devant lui prête à esquiver mais dans l’incapacité de parer les coups, elle ne se faisait pas trop d’illusion. 

 

 

Je repris mes esprits et conscient que notre seule chance de l’arrêter était entrain de nous échapper, je lança un regard vers Ryn tout en dirigeant ma main vers la garde de mon épée. Elle comprit vite mes intentions et me fit un rapide sourire. Vendis qui n’avait aucun scrupule à attaquer une personne désarmée, fit un pas en avant et attaqua en forment un arc de cercle avec le bout de sa lame. Voyant l'opportunité se dessiner, je lançai mon épée, pommeau vers l’avant, en direction de mon allié aux prises avec l’ennemi. La jeune femme était agile et n'eut pas grande difficulté à esquiver le coup par la droite, attrapent au vol mon arme et dans la continuité du mouvement, fit riper l’entièreté du tranchant de l’arme sur la cheville de Vendis. Le tendon d'Achille de ce dernier fut tranché sur le coup ce qui le força à poser genoux à terre. 

 

 

Dans un mouvement désespéré, il tenta de se traîner jusqu’à la fenêtre à la force de ses bras mais les soldats lui tombèrent dessus et lui attachèrent pieds et mains. Vendis, encore sous adrénaline et malgré la douleur, il essayait de se libérer en s’agitant, en vain. Il finit par se calmer, comprenant sa défaite. La victoire était notre, nous devions maintenant ramener en ville nos nouveaux captifs. Nous n’avions pas de quoi soigner sa jambe ici alors deux gardes furent affectés à son déplacement. À cheval, nous n'étions qu’à quelques heures de la ville mais il fallait surveiller les quatre hommes comme l’huile sur feu. La route n’allait pas être de tout repos.

 

 

Même si rien n'était encore sûr, je pouvais voir une nouvelle expression sur le visage de Ryn. Un sourire de réussite et de soulagement. Elle venait, pour la première fois depuis longtemps, de se libérer d’un poids bien trop lourd à porter pour elle. Pour ma part, tant que le verdict final ne sera pas tombé, je ne pourrai pas dormir sur mes deux oreilles. Mais quelque chose me disait que j’allais pouvoir démarrer une toute nouvelle vie...

 

 

Épilogue :

 

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Toute cette histoire avait énormément affecté nos deux protagonistes, aussi bien physiquement qu’émotionnellement mais leur mission était une réussite. Vendis, qui semblait insaisissable, était maintenant face à la justice impériale. Sur le chemin du retour, Halryn et Falcar discutèrent avec le capitaine qui aborda le sujet de leurs erreurs passées. Il les rassura en précisant qu’il rapportera leur aide pour cette capture. 

 

L’homme n’avait pas menti. Quelques heures après leur arrivé, ils furent tous deux convoqués devant les dirigeants locaux. Ils apprirent la chute de la guilde ainsi que les relations qu’entretenaient cette dernière avec la royauté naine. Falcar en profita pour rappeler que cette même royauté avait fait raser un village civil d’où il était originaire. La personne siégeant en face de lui leur assura qu’une enquête allait être ouverte pour faire toute la lumière sur cette affaire. Falcar et Halryn n’étaient pas au bout de leurs surprises car l’homme d’un âge avancé qui se tenait devant eux posa ses mains sur la table et se redressa. Il s'apprêtait à tenir un discours qui allait rester graver dans l’esprit du jeune homme. Ses mots furent :

 

 

  • Halryn, Falcar. Vous avez pris des risques pour faire choir ce groupuscule qui était devenu, avec le temps, l’un des plus néfaste et influent de tout l'empire. Vous avez mis vos vies en jeu pour le bien commun et c’est pourquoi, non seulement toutes vos fautes passées sont oubliées. Mais plus encore, et par les pouvoirs qui me sont conférés, je vous nomme tout deux chevalier de l’empire de stendel !

 

VI Remerciements

 

Avant toute chose, j'aimerais remercier les personnes qui m'ont aidé à la rédaction de cette candidature :

 

Dans un premier temps Shalaevar pour l'aide apportée à la rédaction de la trame principale mais aussi à la relecture de certaines sous parties.

A Rikkanima notre grammar-nazi nationale pour sa patience pendant la correction de mon RP.

A Ewina pour ses conseils d'écritures et parce qu’elle est formidable wallah

Et à Stalroc car s’il n'avait pas insisté, cette candidature n'aurait sans doute jamais vu le jour.

 

J'aimerais également remercier toutes les personnes que je n'ai pas encore cité de la communauté de Simurgh car c'est avec elle que j'ai fait une bonne partie de mon temps de jeu sur Minefield et qui m'a énormément apportée.

 

Un grand merci également la communauté de Freiwald avec qui je passe beaucoup de temps mais aussi toutes les autres communautés avec lesquelles j'apprécie participer aux events ou juste croiser sur le Discord.

 

Modifié par MrFalcar
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Salutations distingués, très cher compagnons,

 

Quelques jours après la publication de cette candidature, j’ai enfin réservé quelques minutes de mon temps libre afin rédiger ce soutien à un ami qui a une place toute particulière dans mon cœur.

 

J’ai rencontré Falcar très peu de temps après mon arrivé sur Minefield. Paysanne depuis moins d’une semaine, j’étais déjà accueillie à bras ouvert sur Simurgh. À ce moment, j’étais très loin de me douter l’importance et l’étroit lien d’amitié qu’allait prendre Falcar dans ma vie in-game et in-real-life. Comme tout le monde, il m’arrive fréquemment d’avoir des doutes, des craintes, d’avoir des phases d’anxiété énorme, de la tristesse… Falcar a toujours répondu présent à mes appels tardifs, lorsque j’étais à la recherche de support ou d’un ami à qui parler pour me changer les idées. Il est l’une des rares personne à avoir mon entière confiance, et le mot rare n’est pas choisi à la légère. Il est la preuve qu’il est possible de se faire un véritable ami via Internet, malgré les 5 749 km et les milliers de tonnes d’eau nous séparant.

 

Ce petit témoignage (et indirectement l’exposition d’une partie de ma vie privée que je tiens plus que tout à garder hors Internet) est une preuve exemplaire de la gentillesse et des valeurs qui résident au fond du joueur qu’est Falcar. Je suis persuadée ne pas être la seule à qui il a apporté un soutien similaire tant il est impliqué dans la vie du serveur et parmi de nombreuses communautés, au travers Minefield.


Outres l’aspect personnel et soutiens, Falcar est à mes yeux une petite perle ayant des talents artistiques hors du commun. Il fait partie, hors de tout doute, de l’Élite des architectes du serveur. Ils vous suffit de vous balader quelques minutes sur Simurgh pour constater le talent qu’il possède tant d’un point de vue détail que d’un point de vu agencement. L’une de ses dernières réalisations, le château de Simurgh, est selon moi un point incontournable de Minefield, qui mérite de s’y attarder quelques minutes pour le visiter. Comme mentionné précédemment, Falcar étant actif dans de nombreuses communautés, Simurgh n’est qu’un projet parmi tant d’autres à visiter afin de constater sa grande capacité d’adaptation, peu importe le style d’architecture. Il a su se forger au courant de ses années d’activité une réputation que personne ne serait en mesure de remettre en cause.


Ainsi, je pense sincèrement que Falcar mérite amplement cette reconnaissance qu’est le titre de chevalier de l’Empire de Stendel. 


Pour le mot de la fin: Falcar, tu as mon support et mon entier soutien, peu importe les projets que tu entreprends ou entreprendras. Bon courage pour l’attente et la suite de cette candidature, mon très cher ami.

Cordialement,

 

Shalaevar,

 

Conseillère de Simurgh;

Commodore  de la garde volontaire;

Gardienne de l’Ordre du Lys d’Argent;

Citoyenne de la République de Freiwald;
 

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Messieurs dames me voilà enfin, je remplace mon “réservé” pompeux pour un vrai plussoiement qui sera, je l’espère, digne de cette candidature.

 

Je me suis demandé quoi écrire pour soutenir DLP MrFalcar, vous savez. En effet, sa suspicieuse proximité avec Freiwald & Co (on a cramé que t’étais un espion, la milice arrive pour toi) pourrait facilement transformer ce plussoiement en une farandole de compliments subjectifs vis à vis de mon ami, ce qui n’aurait donc plus grand intérêt.

 

Alors parce que ce grade en vaux la peine et que Falcar en vaux la peine, je vais faire objectif au possible, promis.

 

Pour commencer, ceux qui ont eut l’opportunité de côtoyer Falcar sauront à quel point ce type est la caricature du preux chevalier tant il est serviable à outrance. Vous avez besoin d’un avis sur votre projet ? Il lâche ses outils et il rapplique. Vous avez besoin d’un coup de main ? C’est votre homme. Vous voulez juste vous détendre en cramant les projets voisins ? Il ramène même le matos.

 

De plus, même en cherchant des anecdotes croustillantes pour les curieux, je ne trouve rien tant il a été exemplaire depuis son grade vert (bon, sauf une fois avec je cite : « euh les gars… jsuis en prison », les vrais se souviennent #lama). Il participe aux événements du serveur avec bon cœur, il s’intéresse à tout ce qui concerne Minefield et s’applique dans le quotidien de son projet et bien d’autres, au point que ça déteint sur son entourage qu’il arrive à motiver pour à peu près tout sur ce beau jeu.

Son dynamisme et sa motivation ont fait de Simurgh ce qu’elle est aujourd’hui, et il est facile de constater qu’il en est un des moteurs.

Ainsi, il est présent partout ig, silencieusement ou non, à travailler dans l’ombre ou aux yeux de tous. Et du point de vue de la communauté, il est une constante, comme le bon citoyen qu’on croise un peu tous les jours et qui au bout du compte finit par faire partie du tableau.

 

Car, objectivement, c’est un peu ça devenir chevalier : Faire partie du tableau, y contribuer, et mettre en valeur Minefield de par ses actions et son esprit. Et ça, Falcar y excelle.

 

Voilà donc pour l’objectivité, maintenant c’est la roue libre :

 

Je l'ai rencontré l'année de mes 15 ans et j'en ai récemment eu 18, et dans ces années où j'ai grandi (de 2 bon centimètres au moins), il était là, constant également IRL. Au fil de ces quelques années et qu’il soit à 10 000 ou seulement 218km, Falcar à toujours répondu présent, peu importe l’heure ou la raison. Dévoué dans le jeu, il l’est aussi dans sa vie, et à de nombreuses occasions qu’il ne m’appartient pas de raconter, cependant je trouve ça réellement admirable. Il m’a toujours été d’un soutien indéfectible et d’une patience hors norme, et de part sa gentillesse, son humour et ses goûts musicaux, il sait toujours me donner le sourire, et pour ça je l’en remercie (et c’est sans compter l’ASMR).

 

J’aurai matière à continuer, des anecdotes à raconter et trop de qualités à vanter, ainsi que tout un avis sur son RP qu’il a mis tant d’ardeur et de perfectionnisme à rédiger. Toutefois je serai surprise que le lecteur de plussoiement le plus aguerri ne décroche pas vis à vis de la montagne de private jokes que seule une poignée de personnes saisiront, si ce n’est uniquement nous deux.

 

Alors sur ces mots qui suffisent à peine à illustrer ô combien il en est digne, j’apporte à mon tour mon soutien à MrFalcar, car si quelqu’un le mérite, c’est bien lui. Il fera un chevalier exemplaire, nul doute là dessus.

 

Ewina

Modifié par Ewina
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Bonsoir à tous,

 

 

Je viens apporter mon soutien à mon ami Falcar dans sa grande requête pour rejoindre la grande famille de Chevalier du serveur.

 

Falcar est un joueur que je côtoie depuis maintenant un peu plus de 4 ans. Je l'ai rencontré après ma première pause en 2016 au sein de Simurgh et au fur et à mesure du temps une très grande amitié est né entre lui et moi. Falcar est depuis maintenant plusieurs années mon binôme au sein de Simurgh. J'ai beau être le Roi de ce grand projet, j'ai toujours considéré Falcar comme mon égal dans la gestion de ce grand Royaume. La preuve en est qu'il assume le rôle de Main du Roi et que le jour où je lâcherai mon poste, il deviendra un très bon Roi. Je n'ai aucun doute sur cela.

 

Falcar c'est également l'incarnation de la gentillesse sur ce serveur. Il est d'un calme légendaire et il cherche toujours à résoudre les problèmes et à aider ses prochains. Pour connaître également un peu la vie de Falcar en dehors du jeu, il est la même personne ultra intentionnée et ultra rigoureuse dans sa vie de tout les jours.

 

Mais Falcar In game c'est surtout plusieurs années de gros builds sur Simurgh et chaque projet sur Simurgh a le droit à sa touche Falcar. Il a commencé tout doucement avec le quartier des Ambassades, qui a l'époque, était mon test pour voir son niveau en architecture. Ce test fut bien sûr un échec une réussite. Il commença alors à participer à tout les projets que j'entreprenais en ville. Puis bon à un moment, il fallait que Falcar évolue alors il fut nommé Conseiller de Simurgh puis Grand Conseiller à l'époque où on était une Seigneurie jusqu'à aujourd'hui le Royaume il est main du roi et premier successeur ... enfin bref revenons à nos moutons. Falcar c'est également toutes les gros bâtiments de la campagne de Simurgh, le Donjon de Simurgh, le théâtre de Simurgh, la rénovation de l'académie, un des constructeurs du grand Château du Royaume et surtout le principal décorateur de ce dernier. Et j'ai encore une liste longue de tout ce que Falcar a pu bâtir, rénover au sein du Royaume et croyait moi ... c'est ouf !

 

Il a réalisé beaucoup de chose dans l'ombre

 

Falcar mon petit Falcar, c'est également un joueur présent dans les autres communautés, les autres salons du discord et je n'ai aucun doute sur le fait que c'est un joueur connu et reconnu de la communauté. Je n'ai pas souvenir en x années de jeu avoir entendu parler une seule fois en mal de Falcar. Et c'est ce qui fait la force de Falcar, il est simple, juste et droit ! Et c'est un plaisir encore une fois pour moi de monter toutes les grandes valeurs de ce joueur, mon ami !

 

Sérieusement, j'ai cité beaucoup trop de fois son pseudo alors que j'aurai pu mettre des "il", "lui", "MrPlacard", "Dracos911", etc .... et alors je n'en ai pas fini avec son soutien !

Il est également très présent sur de nombreux jeux en multigaming : Stellaris, GTA V, Guild Wars 2, No Man Sky's, The Forest, etc ... mais il ne s'écarte jamais de Minefield où il y met un intérêt énorme au point d'être devenu un de ses irréductibles Gaulois. Je vais lancer une petite anecdote sympa d'ailleurs sur ce sujet. La relance de Simurgh en Janvier vient énormément de Falcar qui a , pendant de nombreuses semaines, tenté de nous remotiver à reprendre le jeu et à nous dire : "Eh les gars, on va relancer Simurgh ! J'ai repris la construction du Donjon ! " , "Discord ce soir les gens ?", etc ... Tout ça est issu de notre discord interne mais sans sa motivation et sa force de persuasion, nous aurions sans doute prolongé notre pause encore un bon moment et je le remercie de m'avoir redonné goût à jouer sur Minefield ! Merci mon pote !



Mon message juste au dessus reflète toute la sympathie et l'admiration que j'ai envers Falcar, c'est clairement une déclaration d'amitié. Falcar est un joueur qui incarne toutes les valeurs d'un bon Chevalier et clairement sa flemmardise (un de ses rares défauts) aurait pu le mener bien plus tôt aux portes de la chevalerie. La candidature de Falcar est clairement ce que j'attendais depuis de nombreux mois et déjà en 2018, je savais qu'il était prêt à le devenir et je n'ai aucun doute sur le fait qu'il deviendra Chevalier.

 

 

J'aimerai finir mon message avec quelques screens supplémentaires de Falcar :
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Quelques jours après la relance de Simurgh et encore une fois merci à Falcar de nous avoir redonné de la magie !

 

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Falcar en compagnie de Shalaevar, quelques heures avant la pose de sa statue de Main du Roi dans le château.

 

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Screen pris quelques jours avant l'événement de la Bataille de Simurgh avec la guilde des Explorateurs : Nous avons passé du temps à préparer tout cela avec Falcar et ce fut une réussite !

 

 

Pour la prochaine âme sensible ... s'abstenir !

Divulgacher

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Bonus :
 

Divulgacher

 

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Soyons honnête, il n'a aucun avenir dans ce domaine là, nommez le chevalier ! :p

 

 

Toute chose à une fin, et je clôture ce plussoiement par un énorme +1 pour Falcar, Main du Roi de Simurgh, Seigneur de l'Âtrespoir, Co-gérant des Fondations Simurgh, l'élite de l'Elytre, Dieu de l'urbanisme, du sport et de la coolitude, ...

Site de Catherine Hardyplus1 - Site de Catherine Hardy

 

PS : T'es le meilleur ! <3






 

Modifié par Stalroc
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Salutations Bonsoir !

 

Je me présente ici afin de soutenir l'ami Falcar dans sa requête pour devenir chevalier. Le côtoyant depuis assez longtemps maintenant mais surtout à partir du moment où j'ai rejoint Simurgh, Falcar est quelqu'un de discret mais qui fait preuve d'énormément de sympathie, il est toujours agréable de discuter avec lui et son accent du sud apporte du soleil et de la chaleur sur discord ^^. 

 

Enfin soyons un peu plus sérieux, je pense que Falcar possède amplement les qualités requises pour devenir un bon chevalier, ses talents d'architecture sont connus et reconnus sur le serveur, pour moi deux de ses plus beaux édifices sont le chat-noir d'Al'Maagik et le château de Simurgh. Ces deux édifices sont pour moi le parfait exemple de ses qualités d'architecte car il sait s'adapter au projet mais il est également capable de construire des édifices immenses. 

 

D'autre part, je pense qu'il a tout d'un bon chevalier car il est toujours prêt à aider son prochain principalement en aidant les nouveaux qui viennent d'arriver.

 

D'un point de vue de la communauté Falcar est pour moi un joueur connu par ses pairs que ce soit en tant que main du roi du royaume de Simurgh ou bien en tant que joueur car il participe à de nombreux événements que ce soit par le passé avec les jeux minefieldiens ou bien plus récemment avec les évènements dans les tréfonds ou bien les évènements de la guilde des explorateurs. 

 

Finalement, Falcar est pour moi un de ces joueurs qui méritent largement d'être chevalier de par son implication au sein du serveur, pour ses talents architecturaux mais aussi par sa sympathie et sa bienveillance 

 

Je t'apporte donc tout mon soutien dans cette demande et en espérant te voir porter les couleurs d'un chevalier de l'Empire. 

 

Amicalement, Lugnasad 

Modifié par Lugnasad
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Bonjour,

 

Je viens ici afin de soutenir Falcar dans sa demande ! Falcar est la première personne que j'ai rencontré sur Simurgh et cela était un plaisir de le rencontrer. C'est quelqu'un d’extrêmement sympathique, bien veillant toujours présent pour les nouveaux, les aider à s'acclimater dans la communauté. Pour moi, il fera un chevalier exemplaire, un chevalier comme on en a rarement vu, surement un des chevaliers qui portera le mieux se titre.

Très souvent là sur Discord, j'ai passé de très bons moments en sa compagnie et j'espère que cela continuera :) 

 

Falcar est quelqu'un de très investit dans la communauté que cela soit à Simurgh ou dans d'autres projets (même si son projet de coeur reste Simurgh, enfin j'espère ahah), toujours présent pour aider et avancer dans les différents projets. Je n'ai aucun doute que Falcar sera porter ce grade avec honneur et fierté.

 

Falcar a un talent inné dans l'architecture Minecraftienne et ses constructions sont tout simplement magnifique. J'aime énormément visiter ses différentes constructions car c'est toujours un plaisir oculaire ! 

 

Il sera ainsi un Chevalier dans tout sa splendeur, prêt à aider les plus démunis en les protégeant et les guidant vers la bonne voie, et prêt à aider Simrugh en bâtissant des battements magnifiques pour montrer toute la suprématie de ce royaume.

 

C'est donc pour moi un soutiens total pour Falcar.

Cordialement,

Balmir

Modifié par Balmir
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Bonsoir,

 

Il est temps pour moi de sortir ma plume afin de montrer par écrit l'implication que MrFalcar a pu faire valoir depuis son arrivée sur le serveur et qui pour moi nous dévoile son mérite à être adoubé chevalier de l'Empire.

Il va de soi que son intégration et implication au sein du Royaume de Simurgh nous font part de ses grande qualités de joueur dans la construction, la décoration et la gestion d'un projet. Il fait partie des joueurs qui a su m’accueillir à nouveau sur le serveur après une longue pause d'activité.

Certes il a pu me faire redécouvrir le serveur, mais il a su me le faire aimer à nouveau.

 

Allons plus dans les détails. Son style architecturale trés détaillé et moderne permet d'harmoniser les constructions sur le serveur et de le rendre unique en son genre.

Les screens apportaient dans sa candidature sont ici de bons exemples.

 

MrFalcar, Citoyen de l'Empire, Seigneur d'Atrespoir, Co gérant des Fondations de Simurgh mais surtout Main du Roi du Royaume, est avant toute chose  un très cher ami à mes yeux sur qui on peut compter, et en apprendre davantage sur soi par sa personnalité. 

 

Pour ma part, un Chevalier reconnu de ses pairs au sein de l'Empire se doit d'être travailleur, social et impliqué avec les autres mais aussi dans ses projets. C'est avec certitude que MrFalcar #dracos #lololerigolo remplis toutes ces compétences.

 

Je lui dois beaucoup et j'espère de tout mon coeur qu'il intégra les rangs dans la chevalerie.

 

Pasoufement, ton ami Lyoriu

 

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Modifié par lyoriu
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Salut à tous !
Ou non !

Au vu de l'individu que je viens soutenir, je me dois de me fendre d'un  *Se racle la gorge* Bonsssssssssssoir

 

Comme annoncé à Falcar il y a deux mois, j'attendais d'avoir repris une activité plus conséquente sur le serveur avant de pouvoir venir le soutenir.

L'heure est arrivé, je me lance donc.

 

Falcar a été d'une grande gentillesse lors de mon arrivée à Simurgh et il a su m'intégrer dans cette grande famille. N'y a t'il pas là une excellente qualité pour un chevalier en devenir que de savoir être aimable envers ses camarades de jeu et de savoir les guider sur ce serveur à l'histoire riche et au fonctionnalité nombreuses. Il est comme les autres membres du projet, un des éléments clés de mon retour sur le serveur.

 

Il est un super architecte et il est très plaisant de pouvoir construire à ses cotés et de le voir faire sortir de terre de nouveaux petits bijoux. Il est toujours agréable de partager le discord avec Falcar pendant une soirée de jeu. 

 

Outre ses grandes qualités humaines l'implication de Falcar sur le serveur est grande. Son activité sur de nombreux projets le traduit. Il possède pour moi les armes pour devenir un chevalier du Nivem de l'Empire !

En bref : +1.

C'est tout pour moi,

Remus

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Bonsoir !

Je soutiens Mr.Falcar dans sa candidature à la chevalerie !

En effet, ça commence à faire un bon moment que l'on se connaît, que ce soit à mes débuts sur le serveur ou encore aujourd'hui, c'est un joueur actif sur qui l'on peut compter lorsque que l'aide est demandée, mais également un joueur ayant à cœur d'aider les nouveaux venus sur le serveur. Son implication n'est plus à prouver sur le serveur tant que les travaux accomplis dans sa communauté sont titanesques.

Pour moi, c'est un bon candidat au rang de chevalier !

Tu as tout mon soutien pour ta candidature, mais également pour la suite !

Amicalement,
Jihair
 

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Bonjour à tous!

 

Je viens aujourd'hui soutenir bébé Falcar dans sa quête de la Chevalerie :

 

Je connais Falcar juste après avoir rencontré Stalroc, donc il fait un peu parti de la famille, que ce soit IG ou IRL. Toujours de bonne humeur, et attentionné, je l'apprécie beaucoup et je sais qu'il est également très apprécié dans la communauté minefieldienne. 

 

D'autres joueurs parleront bien mieux de ses accomplissements en jeu que moi, mais je peux vous garantir qu'il mérite le rang de chevalier de par son côté social et avenant.

 

Je ne suis pas très douée pour écrire de grands paragraphes, mais tout mon coeur y est : Bébé Falcar Chevalier \o/

 

Rikkanima

Citoyenne et Reine de Simurgh

Arme de destruction massive de Simurgh

Mère de tous les chats

 

PS : Falcar, n'oublie pas que tu dois toujours tout dire à Tata Rikka

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  • Pencroff a changé le titre en [Accepté] MrFalcar, Chevalier Urbain
  • Pencroff a verrouillé ce sujet

54 claircelune de l’an de grâce 253,

Château des Empereurs de Stendel,

De par le conseil supérieur du gouvernement impérial,

 

À l’attention de l’écuyer Falcar,

À Simurgh, Stendel.

 

Cher monsieur,

 

Nous avons reçu, il y a de cela quelques mois, la lettre par laquelle vous annonciez votre volonté de rejoindre les rangs du très prestigieux Ordre Impérial de la Chevalerie.

 

Citoyen reconnu et architecte émérite, votre nom n’était évidemment pas inconnu de nos services ; d’autant plus que vous avez eu l’occasion de vous illustrer, plus martialement, lors de batailles comme celle qui s’est déroulée dans votre fief de Simurgh.

 

Gestionnaire aguerri, vous avez d’ailleurs fait dans cette cité la démonstration de grandes qualités, opérationnelles celles-ci, d’organisation et de planification ; en participant activement aux grands chantiers qui s’y déroulent depuis maintenant quelques années et qui sont à l’avant-garde de l’innovation architecturale.

 

Vos missions auprès de la guilde ont achevé de dresser chez vous le portrait idéal du candidat à la chevalerie : Aventurier téméraire mais à la tête froide, capable de conserver ses capacités organisationnelles dans l’action.

Quant à votre passé, trouble disons-le, qui semble vous lier avec la guilde des voleurs ; nous avons décidé de ne pas vous en tenir rigueur, puisque vous n’avez pas commis de crime capital et que vous semblez vous repentir de vos actes passés.

Bref, c’est donc avec plaisir que nous accédons à votre requête et que nous vous nommons, par la présente lettre, au rang de chevalier.

 

Puissiez-vous porter haut les valeurs d’honneur et de probité de la chevalerie,

et servir en tous temps et en tous lieux ceux qui se tourneront vers vous pour quérir votre assistance et trouver, sous votre bouclier, la protection de l’empire.

 

Avec nos salutations respectueuses,

Le conseil supérieur du gouvernement impérial, au nom des Empereurs et du peuple.

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