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Kaexoy

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  1. J'approuve* le projet, mais j'ai du mal avec le nom. Quand ça commence par la lettre "C", ça exprime un peu trop la douceur pour moi qu'aime bien quand ça pisse le sang. Et pis quand en plus, le projet est approximativement [barrer]une cuvette[/barrer] un trou dans un ensemble de montagne et que le nom est celui d'un certain chien décédé [barrer]wikipédia, ce héros[/barrer], j'ai peur ! *[barrer]tant que j'arrive, dans le futur, à y construire ma cité HLM à base de gravier...[/barrer]
  2. Paysan qui "sucks" grave, mais je l'aime bien quand même. Je plussois.
  3. Détails OOC : ICI Journal de bord, 162ème jour... Je vais de mieux en mieux, on pourrait même dire que je suis rétablis. Cela fait un moment que je ne t'ai pas écris, cher journal, et je m'en excuse. Bah. J'ai l'impression de dire ce que mon voisin de droite aurait pu dire très facilement. Bref. J'ai coopéré avec ce petit village du nom de Mislaid. J'ai tenté d'apporter mon aide, d'y construire des choses et d'autres. Ma jambe cassée s'atténuant de jour en jour, j'ai pu, petit-à-petit, apporter des pierres à l'édifice. Et quelle taille elles ont prises ! Un matin, on a subit un incroyable tremblement de terre. Les maisons étaient sans dessus-dessous et on n'arrivait plus à reconnaître les pièces qui étaient bien meublés. Recourbé, j'ai évité de me fracturer autre chose que ma jambe déjà meurtris. J'ai évité le pire. Car le pire se situe ailleurs. On avait un lac sympathique, dont la vue depuis l'auberge était magnifique. Le tremblement de terre en a littéralement dévasté presque le tiers. Une véritable fissure dans la terre s'était faite. Il y avait bien un kilomètre de profondeur. Si on additionnait la faible distance qu'il faut pour qu'un homme puisse mourir en tombant de haut, on aurait de quoi mourir 15 fois. Qu'importe, la fissure allait jusque dans les entrailles de la Terre. Comme si le monde était blessé. C'est étrange que ceci se soit fait. Malgré les mages du village, on n'a pas pu déterminer une seule cause de ce cataclysme. Est-ce un message de la Terre ? Il faut avouer que nous progressons dans l'avancée technologique. Et les constructions d'outils en tout genre laisse présager un pillage massif des ressources naturelles par l'homme. J'ai peur que d'autres cataclysmes de ce genre se produisent dans les contrées du monde que j'ai découverts. Encore blessé, je n'ai pas osé m'introduire dans ce que nous avons timidement appelés « La Faille » et j'ai laissé mes camarades s'occuper de cela. Assis en haut d'une montagne, j'observais tous les Mislaidiens qui s'engouffraient dans « La Faille », avides d'exploration. La question de l'environnement m'interpella de nouveau. Et les Mislaidiens, d'en haut, paraissaient comme des fourmis s'agitant fébrilement vers la quête de la nouveauté. Ce que la Terre avait avertit, les Mislaidiens se précipitaient pour l'aggraver. Peut-être. Je suis assez perdu sur la question. Je ne veux pas mourir maintenant pour ce que je n'ai pas fais. Et si je participe à l'aménagement et à la construction, je ne veux pas priver la nature de ses ressources qui lui reviennent de droit. Je crois que j'ai attrapé la philosophie Mislaidienne. Plus que les membres fondateurs eux-mêmes. C'est étrange, mais bon. Quelques jours ont passés, et bizarrement, le village se vidait de ses occupants. Après quelques paroles échangées ça-et-là, j'ai appris qu'ils « travaillaient » dans la Faille. Ma pénible jambe m'empêchait de vérifier la nature du travail : la Faille était trop abrupte et rude pour descendre avec ma jambe encore partiellement douloureuse. J'attendais sur la montagne et je voyais un ou deux de mes camarades de temps en temps. Les Mislaidiens ayant quasiment abandonnés le village au profit du travail dans la Faille fit que je n'avais pas beaucoup de travail. Donc j'attendais, patiemment, et je réfléchissais. Mon projet me revenait en tête. Et si l'idée et ma jambe revenaient, la motivation rebroussait. C'est peut-être la philosophie Mislaidienne et son respect de la nature, mais je perds peu-à-peu l'envie de cette verrière sous-marine au départ de Stendel. Je ne sais pas. Travailler dans les fonds sous-marins risquerait d'être compliqué. Et nuire à son écosystème me dérange. Je me perds. Mais j'ai l'espoir d'une nouvelle voie. Je vois de moins en moins mes camarades mislaidiens. Certaines têtes ne semblent pas rentrées. J'ai l'impression d'être l'héritage vivant de Mislaid. Le porteur de sa philosophie, tandis que ceux qui me l'ont prodigués se dirigent vers d'autres horizons, à la manière de mon projet... Journal de bord, 179ème jour... Le message sera court car j'ai été occupé ces derniers temps, comparés à la dernière entrée du journal que j'ai pu écrire d'une certaine mélancolie et grande lassitude. Le maire est donc revenu, après une petite semaine d'absence. J'ai bien cru ne pas revoir certains amis, par chance, ils sont ressortis, par contre, d'autres gars demeurent désespérément dans ce précipice sans fin apparente. J'observe toujours les allers et venus vers la Faille et je n'ai que quelques compétences de calcul pour me rappeler combien de temps et de fois ils sont partis, à défaut de ma jambe handicapante. Le village paraît toujours désespérément vide. Je ne sais pas trop quoi faire, mais heureusement, quelques âmes, qui se refusent à parcourir cette Faille, ont décidés de ré-aménager Mislaid. C'est ainsi que des rénovations se font ça-et-là. L'auberge en est le moteur et j'y participe activement. Cette vieille carcasse, décrassée à coup de pioches par quelqu'un, se voit finalement refaite en auberge. Je ne connais pas le bonhomme qui a creusé tout ça, mais on dirait que les pièces étaient faite pour devenir une auberge. Avec quelques gars, on retape donc cette auberge, pendant que d'autres âmes errantes agissent dans l'ombre de la Faille. D'ailleurs, on voit celle-ci depuis la terrasse de l'auberge. Elle a poussée dans le lac et ça fait une assez sale gueule au lac qui était resplendissant d'en haut, mais bon. On s'en passera. J'ai entamé les différentes pièces et ait essayé d'y donner vie. Pour l'instant, tout avance bien. En presque une demi-journée, nous avons quasiment fait la cuisine, la salle à manger, l'accueil, la fameuse terrasse et il reste différentes autres pièces comme les chambres et la bibliothèque. On fait du mieux qu'on peut pour ouvrir cette auberge le plus tôt possible, c'est pourquoi je m'arrête ici, je suis rincé et il me faut un maximum de forces pour pouvoir travailler rapidement. La prochaine fois que j'écrirais, ce sera uniquement quand je pourrais me pavaner sur les pages qui viennent de l'ouverture officielle de l'auberge et de, je l'espère, la venue de beaucoup de clients...
  4. Un p'tit "plussain" pour le camarade Tweps ! Présent au micro, prêt à la construction et de bonnes idées. Bon joueur à valider sans hésiter !
  5. Je plussoie la candidature. Souvent présent, prêt à aider, voix légèrement absente sur le mumble mais pour un petit soucis qui le regarde. Rien à reprocher au Wolf : j'incite à la validation.
  6. +1 pour cette petite candidature. Joueur actif dans les projets, bonne aptitude au micro sur mumble. Tout d'un bon joueur et roleplayer comme le prouve ce RP. Bref, que du bon : à valider sans soucis pour un jeu de qualité sur Minefield.
  7. +1 à cette candidature. Post bien présenté et plutôt bien écris. Joueur sympathique, toujours prêt pour l'aventure et souvent présent. Je recommande.
  8. +1 pour cette candidature. Joueur agréable, à la voix posée sur le Mumble, sans prise de tête, qui prends son temps pour les explications. Pas de soucis pour l'évolution de mon point de vue.
  9. Pour des détails OOC, je renvois à ceci. Ici donc, le deuxième chapitre (histoire se voulant découpée par chapitres correspondant à chaque grade) de mon aventure au sein de Minefield. Journal de bord, 47ème jour d'errance... Kaex. Pour ce qui est de mon âge, je n'en ai plus réelle connaissance. J'ai erré sur de nombreuses terres arides, construisant abris de fortunes sur abris de fortunes en espérant enfin trouvé civilisation. Jusqu'au jour ou, après m'être désaltéré à un point d'eau presque insoupçonné, j'observais le ciel. Quel fut ma joie d'apercevoir une sorte de fumée. Reprenant espoir, je grimpa la montagne qui obstruait mon champ de vision avant de voir, au sommet de celle-ci, une sorte de royaume presque imaginaire dont je n'avais jamais entendu parlé. Stendel. C'était l'appellation d'origine, conseillé par la pancarte, non loin de là. Je fis mon entrée dans la ville. J'y vis nombreux réfugiés comme moi. Mais ma différence avec eux, c'est que je ne comptais pas me faire réellement aider par l'habitant. Je me sentais intrus dans ce royaume si grand dont je n'avais nullement aidé à la construction. Après des semaines à m'être battus dans ce désert à la recherche d'eau et en me cachant pour éviter monstres et autres joyeusetés très douces pour la peau, je pense avoir trouvé en Stendel ce que je recherche depuis quelques mois maintenant. De l'eau. Je crois que cette rareté m'est devenu une obsession. A tel point que... je me verrais bien entreprendre la construction de galeries sous-marines juste en dessous de Stendel. Après être tombé sur des cactus, je crois que plus rien ne peut faire de mal à mes bras. Je compte bien les utiliser pour mener à bien cette folle entreprise... Journal de bord, 58ème jour... Voilà bien un peu plus d'une semaine que j'ai trouvé la grande cité de Stendel après de longs jours de marche et d'errances. Les gens y sont sympathiques. J'ai vu de nombreuses personnes, de nombreux commerçants se montant les uns sur les autres pour vendre à qui voudra des ressources dont il ne tire plus que l'utilité au dépens de la saveur. Cette ville est charmante malgré tout. Le vieux pavé des rues se voit battu par les petits souliers des enfants turbulents et joyeux. Je n'avais plus vu d'éclats de rires si véritables, emplis de sincérité. L'insouciance de l'enfance, l'enfance heureuse, inactive. Moi, Kaex, je me devais désormais de trouver un abri, une sorte de maison. C'est franchement cher dans cette ville. C'est même inaccessible. Même si je sais que je n'aurais jamais de « chez moi » ici, j'ai trouvé où me ressourcer à l'occasion. Quelques auberges sont toujours prêtes à donner quelques lits contre une poignée d'or. J'ai longuement pioché avant de trouver cette ville, j'y ai trouvé de quoi échanger de nombreuses nuits à l'auberge. Au moins, je suis en partie protégé. Malgré tout, je n'ai pas pu m'empêcher d'explorer les contrées environnantes. Quelques palabres échangés çà et là me permirent de trouver le chemin vers d'autres villages dont je ne soupçonnais pas l'existence. C'est sans doute le désert aride que j'ai traversé qui m'a sans doute fait perdre tout espoir de revoir la civilisation. Je me suis donc dirigé vers le Nord, là le soleil se couchait et m'aveuglait gentiment le soir lorsque je continuais à me diriger vers lui. Les indications obtenues aux auberges m'indiquaient une sorte de cité au doux nom d'Icarus. Je tombais sur la bonne enseigne après avoir marché quelques jours. J'avais toujours mon projet en tête. Élaborer une sorte de galerie sous-marine donnant des accès rapides aux environs de Stendel. Icarus. Imposante s'il en est, je la notais dans un coin du carnet pour me souvenir qu'il fallait mener un accès jusque là. Marcher de Stendel à Icarus était assez éprouvant. Amener un chemin bien droit jusqu'ici, sans dépenses d'énergie supplémentaires en escalade, semblait nécessaire. Je me reposais, comme à Stendel, dans une des auberges que je trouvais là-bas. La couleur de l'argent est apparemment la même ici. Comme à mon habitude, je demandais des indications aux diverses personnes qui passaient la nuit ici. Pour mener à bien mon projet, il fallait que je parcours ce monde afin d'imaginer les chemins les plus importants à élaborer. A défaut d'un tas de noms maintes fois rebattues dans les bouches de tous voyageurs présents ici, une étrange et unique personne m'indiqua une certaine rumeur comme quoi il y aurait un chantier encore actuelle dans la forêt environnante et apparemment très proche de l'auberge. Je me mis en route. Le Nord-Est était ma destination. On m'avait indiqué que cette foret était entouré d'océan. Si jamais j'arrivais à un point d'eau sans horizon, je savais déjà qu'il fallait que je révise la direction de ma destination. L'inclinaison du soleil aidant. Ce chantier, il était normalement au milieu de cette forêt verdoyante. Je fis la rencontre d'un tas de spécimens avant de croiser le chemin d'une grande cascade. Je m'y désaltérais à son bord et en suivi le lit jusqu'à son point de chute. Je jetais un regard timide en bas de cette chute d'eau et fus poussé vers l'avant. Je ne me souviens que de ça. En tout cas, jusqu'à ce que l'on me récupère. Mes yeux s'ouvrit sur un plafond en bois. Je tentais de relever la tête avant que de violentes douleurs me surprennent. Un bruit puissant d'eau m'indiqua de tourner la tête que je reposais sur un oreiller. La chute d'eau incroyable, je la voyais d'ici. Ça me paraissait irréel. Une maison en bois, suspendue apparemment dans une montagne avec une chute d'eau la camouflant des attaques extérieures. C'était beau, presque prometteur. Il n'y avait personne d'autre que cette chute d'eau. J'entendais les oiseaux de très près. Le confort de la nature m'emmena dans de profond rêves. On me réveilla assez brutalement. Un casque en pierre m'interloqua. C'était un ouvrier. Il m'indiqua qu'on m'avait retrouvé à moitié mort au pied de la falaise, la moitié du corps dans l'eau, l'autre moitié sur l'herbe. Ici, c'était « Mislaid ». Ingénieux projet que de se protéger de la nature en utilisant la nature. L'ouvrier me leva, me fila un bâton assez long et m'indiqua de marcher, non sans douleur. Je ne sentais plus ma jambe droite. Cassée. La merveille de la nature m'offrit de quoi stabiliser ma jambe dans un mélange de pierre et de ficelles. L'ouvrier me dit que dans quelques mois, je pourrais marcher normalement de nouveau. Cela entachait mon projet, mais peu importe, pour établir ma galerie, il ne fallait pas que mes mains de toutes manières et puis je n'avais pas encore établit une réelle carte pour arranger la galerie dans cette contrée brute et peu civilisée. Les mois nécessaires à ma jambe étaient trop peu pour établir le début de la pose du verre près de Stendel. J'aurais voulu aider ces futurs « Mislaidiens » dans leur projet, mais la prévention de l'ouvrier me ramena doucement à la réalité, la réalité douloureuse de ma jambe. Tant pis. Mon projet observait un frein sévère, j'étais obligé de regarder des gens aimant la nature, sur leur propre chantier, les gênant de ma jambe, à les observer se fatiguaient sans que je puisse me fatiguer avec eux et les aidés à aller plus vite. Je suis bloqué, au milieu de cette forêt, mais si ma jambe ne tient plus, ma tête, elle, s'entretient avec le repos du lieu. À la limite, se casser une jambe ici est sans doute le meilleur endroit. On s'y repose très facilement. J'aimerais habiter là-bas, mais je n'ai plus de bourse. Maintenue à ma ceinture, elle fut arrachée par le vautour qui me projeta en bas de cette falaise. J'en reviens au point de départ et plus mal au point. Merde.
  10. Bonjour à tous, Je viens poster ici une candidature pour m'élever dans l'échelle sociale de la contrée de Stendel en devenant un paysan. OOC Je suis Jordan et j'ai 17 ans. J'ai découvert le jeu avec l'aide de JV.com et je dois dire que ça ne m'emballait pas plus que ça au début. J'ai débuté en version classic et n'est pas trouvé réel intérêt. J'ai persisté et ai cherché des infos sur le jeu par Google. Je suis agréablement tombé sur les vidéos de TheFantasio qui m'ont donnés goût à ce jeu presque révolutionnaire. Après avoir expérimenté la version classic, j'ai passé le cap aujourd'hui-même et ai acquis MineCraft pour 15E. Je me suis connecté directement au serveur et ai vu la possibilité de grandes choses et surtout de nombreux délires. Les joueurs ont l'air accueillant, polies et c'est plaisant. Je compte bien être un membre actif sur ce serveur et vous aidés à établir un serveur RP de qualité. IC Kaex. Pour ce qui est de mon âge, je n'en ai plus réelle connaissance. J'ai erré sur de nombreuses terres arrides, construisant abris de fortunes sur abris de fortunes en espérant enfin trouvé civilisation. Jusqu'au jour ou, après m'être désaltéré à un point d'eau presque insoupçonné, j'observais le ciel. Quel fut ma joie d'apercevoir une sorte de fumée. Reprenant espoir, je grimpa la montagne qui obstruait mon champ de vision avant de voir, au sommet de celle-ci, une sorte de royaume presque imaginaire dont je n'avais jamais entendu parlé. Stendel. C'était l'appellation d'origine, conseillé par la pancarte, non loin de là. Je fis mon entrée dans la ville. J'y vis nombreux réfugiés comme moi. Mais ma différence avec eux, c'est que je ne comptais pas me faire réellement aider par l'habitant. Je me sentais intrus dans ce royaume si grand dont je n'avais nullement aidé à la construction. Après des semaines à m'être battus dans ce désert à la recherche d'eau et en me cachant pour éviter monstres et autres joyeusetés très douces pour la peau, je pense avoir trouvé en Stendel ce que je recherche depuis quelques mois maintenant. De l'eau. Je crois que cette rareté m'est devenu une obsession. A tel point que... je me verrais bien entreprendre la construction de galeries sous-marines juste en dessous de Stendel. Après être tombé sur des cactus, je crois que plus rien ne peut faire de mal à mes bras. Je compte bien les utiliser pour mener à bien cette folle entreprise...
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