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Walchuk

Minefieldien
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À propos de Walchuk

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Information du Profil

  • Localisation
    Lorraine
  • Pseudo minecraft
    Walchuk
  1. Joueur très actif, motivé et avec qui on prend toujours du plaisir à jouer et à parler. Je ne peux que plussoyer.
  2. Je soutiens sans hésitation ce joueur extrêmement motivé, très très présent en jeu et sur le Mumble. Ses projets sont convaincants, et il en bien plus d'un dans sa caboche. Le titre de Voyageur lui conviendrait parfaitement. Je plussoie à 100% !
  3. Joueur encore assez discret, mais qui prétend à un avenir prospère à Eden. Il est très motivé pour pouvoir enfin exploiter les possibilités du grade de paysan, et très motivé pour réaliser des projets. Je plussoie !
  4. Bonjour ! Je m'appele Maxime, j'ai 15 ans, j'habite en Lorraine. Ca fait déjà un certain temps que je suis Paysan sur ce magnifique serveur, et j'aimerais passer à la vitesse supérieure. En effet, j'aimerais comme beaucoup de mes comparses d'Eden l'on fait, devenir Voyageur. J'ai d'ailleurs bien pris connaissance des règles et autres articles qui concernent ce rang. J'ai participé à plusieurs projets dans ma province, et je suis motivé pour participer à d'autres, dans Eden comme ailleurs. Voilà où j'habite dans Eden : Et les projets que j'y ai réalisé : Parc d'Eden : Sablier d'Eden : Je vais maintenant vous laisser découvrir ma présentation RP, qui j'espère sera à votre goût: Le 15 de Germinal, année Stendelienne 667 Eden à Stendel, A Mr Josip, fils. Je me suis donc dirigé vers Stendel. En explorant la capitale, je fis le tour des marchés, des habitations, des monuments et des endroits officiels, importants. Je trouvais cela magnifique et banal à la fois, je ne me plaisais pas tant que ca. Puis, je découvris un endroit fort attrayant non loin de la capitale, mais hors des terres de la cité. Le terrain était plat, aucun chantier en cours, c'était parfait pour une première habitation. Puis, quand je revins de ma récolte de bois, un étranger se trouvait sur ma "parcelle". Il engagea la conversation par un bref : - Qu'est-ce que tu fais ? - Bien comme tu le vois, je construis ma maison. - Euh sauf que c'est ici que j'allais construire la mienne, je suis allé chercher du bois. - Oh ! Mille excuses, je pensais que c'était vide. Je remballe tout et je te laisse tranquille. - Non ! On pourrait cohabiter. - Super ! Ca te dérange pas ? - Non, pas de soucis. Au fait, moi c'est Sirda. - Moi, Walchuk. Heureux de te connaître. Et nous ammassâmes du bois, tonnes après tonnes, pour nous construire une immense bâtisse dans laquelle nous habitions pendant plusieurs jours. Tout à coup, un jour, Sirda me dit que ses parents vivaient autrefois dans une ville sympathique où il me proposa de nous y installer. J'ai accepté sans hésitation. J'y habite depuis. Et un tas de péripéties m'est arrivé là-bas. Un jour alors, je fus appelé par le maire Inexorable : - Walchuk ? Tu veux une parcelle, c'est ça ? - Tout à fait, celle-ci me plaît, dis-je en pointant un terrain au milieu du village. - Bien. Je te laisserais construire une fois que tu aura réglé le loyer. - ... Je n'ai pas assez... - Ah, ben tu va devoir travailler pour moi. Tu va me rapporter 5 diamants. - QUOI ? 5 ? Mais... - Ben, pour ce prix-là, 5 diamants c'est l'équivalent. - D'accord. Je me mis alors à la recherche de ces diamants dans la mine publique d'Eden. J'ai miné pendant des jours et des jours, j'avais trouvé assez de pierre pour créer des centaines de fourneaux et assez de charbon pour les alimenter jusqu'à la fin de mes jours, même pour mes progénitures, si jamais pourrais-je en posséder rien qu'une. Et là, quand j'aperçu mon premier bloc de diamant, je vis mon âme être emportée au 7ème ciel et je me vis courir hâtivement, le coeur rempli d'espoir et de joie. Peut-être trop hâtivement d'ailleurs, car je n'ai point remarqué le Creeper qui se trouvait à peine une demi-dizaine de blocs à côté. Je ne ressentis même pas l'explosion, je sentis juste l'air devenir calme et voluptueux, comme si je venais de me prendre un coup en pleine figure. A mon réveil, le bloc était toujours là. Mais mon matériel avait disparu durant l'explosion. C'est pour quoi Dieu (en fait le gestionnaire de la mine dans ce cas-là...) inventa le "Refuge Minier", dans lequel se trouvent des coffres remplis de pioches en tout genres. J'en pris alors un bon stock, mais pas trop, pour prévenir l'incident de Creeper qui pourrait se reproduire. C'étaient des pioches en pierre. Et là, je me rendis compte que cet ustensil ne possédait pas la puissance de frappe nécessaire à l'exctraction et la récolte de ce fabuleux, et tout aussi rare minerais qu'est le diamant. Heureusement, je possédais sur moi des bâtonnets et un peu de fer. Je me fabriqua alors ainsi une pioche de fer, qui pourrait enfin me permettre d'atteindre mon but du moment, acquérir 5 diamants. Derrière le premier bloc se trouvaient un deuxième, puis un troisième, puis un quatrième bloc de diamant. Je ressentis alors deux émotions à la fois : une joie complète pour avoir trouvé autant de diamants (du premier coup) et une tristesse envahissante pour être si près du but. Mais je n'ai pas pensé à lever la tête. Quand j'éxecuta ce geste, je vis alors un cinquième et ultime bloc de diamant. Lorsque je sortis fier et arrogant de cet infâme enfer dans lequel j'ai eu laissé sueur, sang, larme et temps, qui auraient pu me servir à une autre activité bien plus intéressante et bien moins harrassante, je me suis tout de suite dirigé vers le Maire, qui me stoppa net par cette réflexion : - Alors, où que t'en est ? - Je les ai, les 5 ! - Tu m'impressiones. Malheureusement, tu as passé tellement de temps là-dedans que nous avons cru que tu étais mort et nous avons vendu ta parcelle à quelqu'un d'autre. - Euh... Vous êtes sérieux là ? - Bien sûr... - ... - Que non, voyons ! C'était une boutade ! Souris, ça te ferait du bien. - Ouais, ben la première émotion qui me vient à l'esprit n'est pas la joie, mais la stupeur et le besoin viscéral de construire ma maison, d'y rentrer, de m'installer confortablement dans mon lit et d'y faire ma crise cardiaque. - Ha ha ! Pas la peine, mais par contre t'as le droit de me donner les diamants... Chose promise, chose dûe, je lui ai donné ses diamants et j'entamai avec impatience la construction de ce qui serait ma nouvelle demeure. Cette demeure, d'ailleurs, s'est vue améliorée au fil du temps. Après quelques semaines passées en la compagnie des résidents d'Eden, ils me reconnaissèrent comme l'un des leurs ; je faisais partie de la grande famille. C'est cette "promotion" qui me permit d'entreprendre l'un ou l'autre projet dans cette sympathique bourgade, notamment un parc : - Walchuk, tu comptes faire quoi avec ce cactus ? me demanda CrazySwiss, l'adjoint au maire. - Ben, si on mettait de l'eau, ca ferait une fontaine cactus, c'est convivial et représentatif du biome Edenien ! - On va dire ça... me répondit-il, dubitatif. - Euh par contre les 6 autres, ca fait moche, me "conseilla" Inexorable, le Maire. - Bon, ben on va remplacer par quoi ? rétorquais-je, crédule et sans imagination. - Du bouleau ! hurla CrazySwiss. - J'en ai quelques pousses, si vous voulez, proposa généreusement Link128. - C'est vrai que ça donnerait un certain effet ! aquiesca prouters159. - Bon ben c'est parti pour du bouleau... dis-je. - On pourrait aussi mettre des fleurs, et alterner avec les couleurs, proposa Inexorable. - Idée géniale. Au boulot ! ordonnais-je (ou pas...) On se mit alors au travail et le Parc (ou Jardin) d'Eden reste une pièce majeure de la cité. Un autre jour, un habitant désagréable est parti de la ville, et Crazy m'annonca : - Tiens, t'as la parcelle-là si tu veux faire une extension de parc ou autre... - Peut-être pas une extension de parc, mais un emblème ou un monument représentatif de la ville. - Parfait, ben elle est à toi. Je m'entrepris alors à la construction d'une espèce de sablier, qui au départ ne ressemblait à RIEN. Vide comme une taverne après 3h du matin. Une fois terminée, l'idée n'embalait absolument PERSONNE. Une défaite épique qui restera à jamais dans le musée des horreurs de l'architecture Edenienne. Donc mon idée suivante était pire, bien qu'elle partait d'une bonne intention, car elle a mis un sacré foutoir au sein des habitations. J'ai même failli être exilé de Stendel pour avoir failli à ma tâche, qui était de concevoir une sphère en verre remplie de lave au sommet de ce sablier impersonnel et dérangeant par son aspect physique. Mais ce projet n'a jamais vu le jour, car trop "ambitieux". Finalement, un habitant est arrivé dans Eden, un certain UltraKantum. Dès qu'il a vu les ruines de mon "sablier", il a eu ce que les Alcooliques Anonymes appellent un moment de lucidité, et des idées ont pris forme dans sa tête, dans son esprit, et sur le sablier. Dorénavant, ce sablier est d'une grande beauté et possède une signification relative à la vie et au Jardin d'Eden. Mais je vous laisserais découvrir tout ça si jamais vous passez par Eden... Walchuk Voilà pour ce qui est du RP, j'espère qu'il vous a plu. Dans tous les cas, que je sois accepté ou pas, j'ai pris énormément de plaisir à créer cette histoire. Mais cela ne veut pas dire qu'il faut me refuser, hein Bref. Je croise les doigts et je saurais être patient. A bientôt, et bon jeu !
  5. Prouters159 est un joueur très sympathique et mature, il mérite ce titre. D'autant plus que ce serait d'une grande utilité pour Eden de posséder un commerce aux alentours de Stendel.
  6. Je soutiens ce projet, tant que notre génial CrazySwiss, c'est-à-dire à 100%. Un joueur qui mérite amplement cette promotion, de par sa maturité et son sens des responsabilités. De plus, cette boutique ne servira pas qu'aux habitants d'Eden, mais aux courageux voyageurs et guerriers en quête du Nether, qui pourront se poser à notre Auberge. PS : Un p'tit pourcentage pour mes montres
  7. Link128 est un joueur très mature et très sympa, il mérite ce titre de Marchand. Son RP est très bon, et ses prix très abordables. De plus, cela apporte un intérêt conséquent à notre Eden. Je plussoie !
  8. Bonjour ! Voilà, tout est dans le titre. Car en allant dans le Shop, il est bien inscrit que pour "Achat de PA" on achète des PA et du Temps de Jeu. Donc je me demandais si être Paysan suffisait pour acheter des PA ou s'il faut être Citoyen/Voyageur. Merci d'avance !
  9. Bonjour je m'appele Maxime, j'ai 15 ans et j'habite en Lorraine. Je suis amateur de sport, de cinéma, un petit peu de littérature de temps en temps ça me fait pas tant de mal que ça, et bien sûr j'adore les Jeux Vidéo. Je suis totalement d'accord avec vous, chers modérateurs et gouverneurs, les kikoos qui spamment et floodent, je ne peux pas les saquer non-plus. Mais je dois avouer que je me suis légèrement rapproché de leur niveau avec ma première candidature, car je pensais qu'elle suffirait à me faire inscrire : et je sais que j'ai eu tort. La semaine d'essai (enfin, il faut avoir une semaine d'ancienneté, et j'ai joué en tant que Vagabond pendant ce temps) m'a beaucoup plu et j'aimerais vraiment aider la communauté Minefield en y travaillant en tant que Paysan (et peut-être plus dans le futur ?). J'espère d'ailleurs faire en sorte que mes créations apportent du plaisir à la communauté et qu'elle subvienne à ses besoins (si jamais il faut construire telle ou telle chose, ou aider pour tel ou tel projet, je suis toujours partant !). Bien que je sois encore un débutant, je peux m'améliorer et j'ai mes chances dans tous les domaines. Pour faire court, je suis impatient de servir Stendel et ses alentours, de quelque manière que ce soit. Je vais maintenant vous laisser apprécier ma présentation RP, qui j'espère sera à votre goût : - Eh Walchuk ! Réveille-toi ! - Qu... Quoi ? Qu'est-ce qui se passe ?! - Rien, mais les parents sont partis pour la ville, on peut faire ce qui nous plaît ! Ma soeur me secouait et insistait vraiment pour que je me lève, car plus jeune que moi, elle était joueuse et voulait vraiment profiter de cette journée sans surveillance, dont le ciel était d'un bleu magnifique et le soleil d'un rayon étincelant de mille feux, pour s'amuser à tout et n'importe quoi, comme chasser les poules de notre jardin pour qu'elles aillent se noyer dans le lac avoisinant. C'était une journée qui s'annonçait paisible et maginifique, comme toutes les autres dans notre monde. Je la vis sortir à toute hâte, puis revenir à la même vitesse. Son visage semblait frappé de stupeur, comme si la plus horrible des arraignées s'était jetée sur elle. Et d'un coup, elle sanglota et me murmura : - Papa... Papa ramène notre mère... dans ses bras... Je compris tout de suite que notre mère était en danger de mort, et le regard horrifié et sanglotant de mon père, que j'aperçu par la fenêtre, me le confirma. J'avais fêté mon 15ème anniversaire la veille de ce terrible jour, celui où ma mère nous quitta. Je serrais ma soeur dans mes bras comme je n'ai jamais serré quelqu'un d'autre, et elle pleura comme personne n'avait pleuré. Mon père me pris à son tour dans ses bras, m'installa sur une chaise et s'accroupit en face de moi. En me regardant sincèrement, ses bras sur mes épaules, il me dit : - Walchuk... Je n'ai pas été à la hauteur... Ton père n'a pas été capable de protéger sa femme... - Papa... Qu'est-ce qu'il s'est passé ? - Un aggresseur, en ville... Il s'est jeté sur ta mère avec son épée et lui trancha la gorge. Je n'ai pas pu l'arrêter, il se déplacait comme un fantôme, intouchable et agile. J'ai honte et j'éprouve d'un colère contre moi-même. - Papa, s'il est comme tu me le dit, tu n'y es pour rien. - Si... J'aurais pu me jeter sur lui ou... ou... ou appeler à l'aide, mais... Je n'ai rien fait... Mon père pleurait presque encore plus que ma soeur. D'un coup, je l'ai regardé les yeux dans les yeux et je lui dit : - Je vais venger Mère, et je vais te venger ! - Mais, Walchuk, que vas-tu faire ? - Je vais partir à la recherche de ce mécréant, et je ne reviendrai que quand je vous aurait vengés, Mère et toi. - Fils... Tu a atteint ton 15ème anniversaire hier, mais je ne te crois pas capab... enfin, je veux dire... - Fais-moi confiance. Je sais où trouver de l'aide. Enfin non, mais j'en trouverais. - Très bien, Walchuk... Même si j'espère te revoir avant, tu ne reviendras qu'une fois que l'on sera vengés... Et ma soeur, arrêtant ses pleurs, courut vers moi en hurlant : - Tu espères faire quoi, là ? - Venger la mort de Mère... - Mais tu es malade, même Père n'a pas réussi à battre ce démon ! - Certes, mais j'y arriverais. - Dans ce cas je pars avec toi. - Pas question ! Père a besoin de toi, et tu es bien trop jeune ! - Bon très bien, mais... Promet-moi de revenir, sain et sauf. - Je l'ai promis à Père, et je n'ai qu'une parole, alors sois sans crainte... Elle se jeta à mon cou, et je parti. Je me suis dirigé vers le Nord, un petit village s'y trouve. Ce village, je n'y suis jamais allé, mais je sais que c'est un endroit près de la ville, il doit donc être plein de citadins. Leur aide me serait précieuse, et la nuit commence à tomber. Quand je suis arrivé au village, la nuit était noire, sans étoiles, effrayante. Je me dirigeais vers le centre du village : tout était éteint, sauf une taverne, apparamment bondée de personnages en tous genres. J'y suis entré et tout à coup, un homme gigantesque et svelte posa sa main sur mon épaule et me retourna vers lui : - Alors, gamin, on s'est perdu ? - Je ne suis jamais venu ici, comment voulez-vous que je ne sois perdu ? - Mon p'tit gars... Faut que t'apprennes quelques trucs... Ici, si on est perdu, on ne fait pas long feu ! Je senti sa main se serrer et le vis doucement lever son bras pour me frapper. Je fermais mes yeux et me concentrais pour absorber la souffrance imminente. Puis, je senti le poids de sa main sur mon épaule disparaître et entendit le fracas de son corps et de celui d'un autre homme sur le sol. Je ne compris pas tout de suite ce qui se passait, et mes yeux restaient fermés, comme si j'avais peur... et c'était le cas. Quand j'ouvris les yeux, la première chose que je vis était du sang, souillant le sol et la chemise du géant. A côté de lui se tenait un vieil homme, encore en position de combat, car il venait de mettre le géant à terre. Il se retourna et me dit : - Bien que ce mécréant ait plus de muscles que de cervelle, il n'a pas tort. Les nouveaux ne font pas long feu. - Merci... Je cherche de l'aide justement. - Bienvenue à la Taverne ! C'est généralement ici qu'on trouve de l'aide dans ton cas. Mais t'as pas eu le meilleur contact en premier. Je m'appele Josip. Ca fait plusieurs décennies que je vis ici et que je combat pour la Ville. - Enchanté, je m'appele Walchuk. Si je vous comprend bien, vous pouvez m'aider ? - Certes oui, mais pas avant de te connaître un peu mieux. Les meilleurs partenaires ne s'aiment pas toujours, mais se connaissent bien. Et surtout, je ne pourrais t'aider qu'après une bonne nuit de sommeil. - Très bien, merci beaucoup et bonne nuit à vous. La serveuse de la taverne me jeta un regard sympathique, puis me dit : - D'habitude, mes seuls clients qui dorment ici payent. Mais tu sembles plaire à Josip, et tu me plais bien, alors je te fais cadeau de cette nuit. Monte à l'étage, deuxième porte à droite... C'est pas un château, mais c'est toujours bien pour dormir. - Merci beaucoup madame. - De rien, je t'en prie. Après cette nuit, pas si mauvaise que me l'annonçait la tenancière de la Taverne, je me suis levé de bonne heure et j'attendis Josip devant la Taverne, près de la place du centre du Village. Je ne l'ai pas attendu longtemps, mais j'aurais préféré avoir eu plus de temps pour me préparer psychologiquement ; quand je le vis débarquer avec son attirail d'armes, d'armures, d'outils en tout genre, je me senti comme anéanti. - Bonhomme, viens avec moi... - Euh... J'espèrais que nous prendrions le petit déjeuner avant de partir en balade. - Le déjeuner est réservé aux clients. Toi, si tu veux survivre, tu dois attraper de quoi déjeuner. Je ne m'y attendais pas temps que ça, et pourtant ça ne m'a pas vraiment surpris. Un vétéran dans son genre qui veut aider un petit Vagabond comme moi, ça aime en faire baver. Il m'emmena jusqu'une petite forêt et m'enseigna quelques bases. *******1 semaine plus tard******** - Bien ! Je penses que tu es prêt à survivre. Et pendant que j'y penses encore, pourquoi tu recherches de l'aide ? - Et bien... La semaine dernière, avant d'arriver dans ton village, mon père et ma mère sont partis en ville. Ils se sont fait aggresser par une mystérieuse bête qui a tué Mère. J'ai promis à Père de la venger, et de ne revenir qu'une fois ce dessein accompli. - Oh... Sincères condoléances... - Merci... - Je suis prêt à t'aider pour cette quête. Tu penses faire quoi ? - Remonter la trace de ce monstre, le tuer et brûler son corps une fois vidé de tout son sang et sa vie. - Bien... Tu as des indices ? - Non, mais on le trouvera... Commençons par chercher en ville. Quelques minutes de marche plus tard, j'arrivais en ville avec Josip. Une paysanne était en pleurs au milieu de la rue. - De l'aiiiiide ! Je vous en supplie, aidez-moi ! - Que se passe-t-il, madame ? demandais-je. - Mon Mari... Ma famille et toute ma ferme sont en danger ! - Où habitez-vous ? - Je vous y conduis, c'est en bas de la ville. Josip et moi la suivâmes jusque son domicile, en flammes, le corps de son mari éventré et baignant dans son propre sang. Elle hurla de douleur et de peine. Impossible de la consoler. Un message était à côté du cadavre de son mari : "Si tu veux revoir ta fille, viens en forêt, je te trouverais" - Eh bien, on a une piste... me dit Josip. - Certes... Allons-y... Nous nous dirigeâmes alors vers la forêt avoisinante, et nous y engageâmes prestement, armés d'épées et d'arcs. Nous nous préparions au pire, craignant d'y laisser notre peau, car l'adversaire était rapide et meurtrier. Pire encore, il savait où nous étions, mais nous ignorions sa position. Nous vîmes sur un rocher, une jeune fille empalée. Je pense que c'était la fille de la paysanne. Nous entendîmes un bruit sourd, comme un choc brusque d'un rocher sur un autre. Nous nous rendîmes compte que nous étions pris pour cible d'une chute de rochers volontaire. - Couche toi !!! me hurla Josip, en faisant de même. Nous avons survécu à cette attaque, mais à peine nous sommes-nous relevés qu'il apparut entre nous, caché sous son vêtement noir, et qu'il nous étrangla. Il murmurait : - Vous croyez que j'en ai fini avec les humains... Mais je vais tous vous anéantir... Hutte par Hutte, Village par Village pour enfin mettre un coup de grâce dans vos plus grandes cités... - Nous vivants, ceci n'arrivera pas, crapule ! criais-je. - Tu crois ça ? Hin, Hin... La bête nous relacha, disparut, puis je vis Josip se jeter par terre, comme propulsé par une force surhumaine. J'essayais de l'aider à se relever, mais je fus projeté à mon tour. La bête apparut au dessus de mon visage, un pied sur mon cou. J'entendis Josip courir et hurler vers elle, mais elle le rejeta et l'envoyer se faire pourfendre par des rochers pointus. J'en ai profité pour lui couper la jambe qui me tenait le cou. Elle tomba, souffrait énormément. Je me mis au dessus d'elle, comme elle sur moi auparavant, et je la menaçait de mon épée. - Pourquoi avez-vous tué ma mère ?! - Je dois détruire toute forme de vie humaine... Je lui ai griffé le torse pour la faire soufrir, pour qu'elle m'indique d'autres choses. - Qu'es-tu pour en vouloir ainsi à la race humaine ? - Je suis un homme-porc... Venu tout droit du Nether... Pour y retourner, je me dois d'accomplir cette tâche. - Impossible... - Je te dis ce que je sais... Maintenant, adieu ! Il prit mon épée et se l'enfonca dans le coeur. Je ne compris pas pourquoi il a fait ça. Je courus voir Josip, il me murmura ces mots : - La bête est morte... Bien joué, gamin... Et c'est sur ces mots qu'il mourut... Je n'ai même pas eu le temps de lui dire adieu. Je me senti libéré et alourdi à la fois. J'avais accompli mon devoir, mais la mort de Josip pesait sur mes épaules. Je suis alors retourné au Village, annonça sa mort et enterré son corps là-bas. Tout le monde pleura sa mort, même le géant, qui dorénavant me respectait. Cette quête étant terminée, je suis retourné chez moi. Et là, je fus frappé de stupeur : ma maison était en cendres, et les corps de ma soeur et mon père étaient en cours de décomposition. Je voulais pleurer, signaler ma tristesse. Mais je ne fis rien. Je me suis senti coupable de ne pas ressentir ce besoin vicéral d'hurler à la mort. Sur les cadavres se trouvait des messages. C'était l'écriture de la bête. Elle avait du tuer ma famille avant que je ne la tue. Sur le corps de mon père, le message disait : "J'ai tué ta mère et ton père. Tu es orphelin." Et sur celui de ma soeur : "J'ai tué ta soeur. Dorénavant et à jamais, tu es seul." Je me mis à penser à toutes ces personnes, ma mère, mon père, ma soeur, Josip et la Bête. Je regrettais tellement de choses, c'était trop lourd pour moi. Je me met en quête de tout recommencer à 0. Une ville du nom de Stendel me paraît parfaite pour cela. *******FIN******* Voilà j'espère que cela vous a plu et je croise les doigts pour être accepté en tant que Paysan sur ce merveilleux serveur, que j'espère améliorer en fournissant mon aide à la communauté. Je vous prie d'aggréer mes sincères remerciements et mes salutations distinguées.
  10. Bonjour ! Je sais que vous traitez les demandes les plus anciennes en premier, c'est pourquoi je fais la mienne maintenant, pour être sûr de profiter de ce merveilleux serveur que j'ai hâte de pouvoir cotôyer le plus rapidement possible. Ce serait pour moi un honneur de servir humblement Stendel et de découvrir l'unique expérience d'une communauté RP Minecraft. Je sais que Minecraft permet d'innombrables projets, que j'aimerais en profiter et faire profiter mes concitoyens (même si je demande à être paysan). Ma foi, je ne sais comment justifier autrement mon envie impatiente et envahissante de devenir un paysan (et peut-être plus dans le futur ?) sur Minefield. Je vous prie d'agréer mes remerciements sincères et mes salutations distinguées.
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