Salut salut Minefield !
Présentation IRL
Je m'appelle Thomas (thomaasz sous minecraft), j'ai 15 ans et habite près d'Angers (49). Je suis actuellement au Lycée en classe de Seconde. Je suis designer de la multigaming et association : WebSPELL’ Gaming (http://gaming.webspell.fr).
J'ai découvert Minecraft grâce à mon frère qui y joue depuis pas mal de temps. J'y ai joué déjà sur plusieurs serveurs. Cela fait un petit moment que je suis paysan, et mon envie de passer à un grade supérieur augmente peu a peu. A travers cette candidature, j’aimerai pouvoir m’investir un peu plus au sein de Minefield, et enfin pouvoir commencer à exercer un métier digne de ce nom afin d’être plus utile à ma ville natale qu’est Ourik ! J’ai également pas mal d’expérience concernant le RP car j’ai joué pendant un bon moment sur un serveur GTA Roleplay.
De plus, j’ai découvert la création des Voltemonts suite à une longue absence, et j’aimerai avoir la possibilité de m’y installer dès que l’occasion s’en présente !
Je vous remercie d’avance de la lecture de mon RP, et souhaite de tout cœur progresser au sein de ce serveur avec mes collègues de jeu comme Napoleon
Je vous souhaite une bonne lecture !
Présentation RolePlay
Cela fait maintenant quelques jours que Thomas était installé à Ourik. Il avait dès lors sympathisé avec le voisinage, et était proche du port de pêche que la ville avait mis en place pour les petits pêcheurs souhaitant accoster afin de fournir nourritures et ressources maritimes aux habitants locaux. Autant vous dire que Thomas s’y plaisait bien. Il possédait ainsi une petite parcelle sur laquelle il avait érigé un plain-pied avec un petit jardin pour se nourrir durant la période hivernale. Il s’était arraché corps et âme a la construction de sa maison. Etant fils de bûcheron, il n’avait aucune difficulté à se rappeler des quelques tours de ficelles que son père lui montrait lors de sa tendre enfance lorsque celui-ci travaillait durement le bois.
Quelques mois passèrent. Thomas s’approchait de sa dix-neuvième année et comme a son habitude, participait aux tâches d’entretien de sa tendre ville. Cependant, les temps changent… L’une de ses premières connaissances, Napoleon, décida de partir pour un lointain voyage aux confins des frontières connues. Il expliqua ainsi que malgré sa dévotion à soutenir la ville, la plupart des paysans l’avait déserté pour de même, découvrir de nouveaux paysages. Ils ne trouvèrent pas leur bonheur dans ce petit coin paisible au Sud de la magnifique ville de Stendel. Thomas face à cette réalité, réfléchit pendant un temps. L’idée de devoir laisser à l’abandon sa maison ne lui fit aucun plaisir, et l’idée de rester seul dans une ville ne l’encouragea guère non plus. Il prit donc la décision de faire de même. Il fit ses bagages, en prenant soin de prendre nourriture, vêtements et outils pour se nourrir et se protéger.
C’est ainsi que le grand voyage de Thomas commence. Il avait envie de voyager en bateau pour commencer son périple. Il alla au petit port de pêche d’Ourik, et eut la grande chance de rencontrer un jeune pêcheur. Ce jeune homme avait déjà été marqué par la force des courants marins. On pouvait lire sur son visage un courage déterminé et une ambition sans failles. Thomas fit alors sa connaissance, et lui expliqua que la plupart des habitants de sa ville était parti en voyage, et qu’il faisait ainsi de même. Il demanda d’une façon timide au jeune pêcheur s’il pouvait l’amener vers de nouvelles contrées. Le jeune pêcheur n’y voyant aucuns inconvénients, le prit volontiers dans sa petite péniche hérité par son père et l’emmena plus loin sur le large. Nos deux marins, après plusieurs jours de navigation, virent au loin de gros nuages noirs. Le ciel commençait à s’assombrir à une vitesse époustouflante, puis se mit à pleuvoir. La mer s’agita, le voilier oscillait avec elle. Le tonnerre se fit entendre, et les éclairs illuminèrent le ciel ténébreux, opaque. La frayeur de Thomas se faisait de plus en plus ressentir, tandis que notre jeune pêcheur gardait le cap avec courage et détermination.
Soudain, un terrible orage s’abattit sur le mât. Le voilier se retournait de plus en plus de par la violence des vagues et du mât qui était désormais allongé sur le reste du bateau.
Deux jours passèrent… Nul ne sait ce qui se passa ensuite. Un touriste qui cherchait ainsi du poisson avec un filet artisanal, vit proche de la côte une personne blessé, flottant sur un minuscule morceau de bois. Après quelques signes et quelques cris, il décida d’aller le chercher à la nage et de le ramener jusqu’au rivage. Cette personne semblait mal en point, très mal en point. Il l’amena rapidement chez lui, et fit appeler un de ses amis possédant certains talents dans le domaine du secourisme. Il le soigna du mieux qu’il put, et attendirent ainsi son réveil.
Un mois passa. Ce ne sera qu’au bout de cette longue période que notre rescapé va se réveiller. Il découvrit en même temps que son réveil plusieurs bandages le recouvrant, et une légère odeur de pain chaud. Il essaya de parler, et mit en alerte celui qui s’était occupé de lui pendant cette période. Il prononça simplement son prénom : Thomas. Et oui, par une chance miraculeuse, Thomas s’en était sorti. Malheureusement, nous ne savons pas ce qu’il est advenu du jeune pêcheur. Bref.
Il se remit doucement de son coma, et reprit quelques marques dans la maisonnette de son sauveur. Il fit connaissance ainsi de Ghundou, un autochtone du Hameau de Geal. Ghundou lui expliqua ainsi qu’il y’a un mois de cela, il vit notre compère flottant sur ce pauvre morceau de bois, blessé. Il fut incapable de lui en dire plus après que Thomas lui ai raconté son voyage tragique.
Suite à ce malheureux incident, et à la disparition de son ancien « ami », l’envie de retourner a Ourik, qu’elle soit abandonnée ou non, se fit sentir. Après ce choc psychologique et la perte des quelques biens qu’il avait prit sur soi, il n’avait plus rien d’autre à perdre que de retourner la ou il s’était bâtît son « chez-soi ». Il resta quand même une bonne semaine chez son hôte Ghundou pour retrouver des forces avant de se mettre en route. Avant de partir, il lui avait fabriqué un cadeau de reconnaissance : Un petit cœur sculpté dans du bois, avec comme inscription « Merci de tout mon cœur, Thomas », comme signe de gratitude pour l’avoir sauvé. Il était ému, et savait que son acte resterait gravé dans la mémoire de notre jeune aventurier. Toutefois avant de se remettre sur la route, Ghundou lui donna quelques vieux vêtements dont il n’avait plus usage, et deux petits pains pour tenir jusque la ville la plus proche. Il lui conseilla de remonter les terres vers l’Est, afin de retrouver plus loin la fabuleuse cité de Nouvelle-Azur.
Arrivé sur place, il fit la magnifique découverte du système qui s’était développé pendant son coma : le C.R.A.S.H. Il interpela ainsi un habitant du coin en lui demandant s’il avait la possibilité de retourner à Ourik a travers ce transport, et ce de façon sur et sans risques. Cet autochtone lui expliqua qu’il lui fallait le prendre jusqu'à l’Union dorée ; Thomas le coupa en lui demandant si ce n’était pas plutôt « Le fortin doré » ? Il précisa ainsi que plusieurs changements géopolitiques s’était fait depuis, et il trouva étrange que Thomas n’était pas au courant. Il reprit donc son indication de route avec l’Union dorée, et que d’ici la il aurait la possibilité d’aller a Ourik soit par ce transport, ou bien tout simplement à pied. Il remercia grandement cet habitant, et entra dans les profondeurs du C.R.A.S.H.
Arrivé à l’Union dorée et suite aux problèmes qu’il avait rencontré auparavant, Thomas choisit la façon la plus sur pour retourner à Ourik : la marche à pied. Il savait que les villes n’étaient pas si lointaines que sa, et qu’un peu de marche lui ferait le plus grand bien. Il aperçut au loin un port qui s’était développé à Ourik. Etonné, il accéléra la cadence et entra sur le ponton. Il se demandait vraiment Ourik. Les modifications environnementales et les agencements des bâtiments étaient totalement différents de ce qu’il avait connu. Etait-ce une autre ville ? Le fruit de son imagination ? Ne se souvenait-il plus de son ancienne ville ? Cependant quelque chose le frappa : Il vit au loin Napoleon, lui-même ! Il se précipita ainsi sur lui et ce fut les retrouvailles. Il expliqua ainsi son périple, et ce qu’il en était devenu après. Napoleon lui raconta également que la ville avait repris du service, et qu’un coup de main ne ferait vraiment pas de mal. Thomas était aux anges. Après le voyage qu’il avait vécu et la disparition du pêcheur, retrouver Ourik pour lui était un soulagement et un réconfort. Il retrouva ainsi sa maison, et se remit à ses occupations.
