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xTitxCriquetx

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    xTitxCriquetx
  1. Salutation à tous ! Je m’appelle Jimmy, j'ai 16 ans depuis Avril. Je suis une personne sérieuse selon certains, joueuse, qui aime rire avec ses amis, mais d'indécise, et qui n'est pas toujours attentif au monde qui l'entoure, du fait qu'elle est trop dans la lune. J'ai été quelqu'un de très timide et coincé, mais cela s'est un peu arrangé avec mon entrée au lycée. Je gâche pour ainsi dire ma vie sur les jeux vidéos, et autres loisirs vidéo ludiques, depuis que je suis tout petit ! Eh oui, quand d'autres sortaient jouer au foot sur le parking, moi je jouais à Ratchet et Clank sur la playstation... Enfin bref ! J'adore les jeux vidéos, et j'ai voulu fut un temps travailler plus tard dedans. Cependant, j'ai rapidement changé d'avis. Je ne suis pas un maître dans tout ce qui est informatique, et donc j'ai plutôt pensé à devenir écrivain. Seulement, on ne vit pas de ce "métier". Je pense devenir, en parallèle de mon désir de devenir écrivain, professeur des écoles. Enfin voilà, que dire de plus... Je suis fou du coca, et j'adore manger ! Mon métabolisme fait que je ne grossis jamais, quelque soit la quantité de nourriture que j'ingère, alors j'en profite bien évidemment ! Comment ai-je découvert Minecraft ? Mais surtout, comment suis-je arrivé ici, à vous écrire ? Eh bien, j'ai découvert ce jeu grâce à des amis ( Soi-disant, hein ! ) du lycée, qui l'emportaient sur une clé pour jouer "illégalement" sur les postes du lycée...! En effet la charte informatique est claire et interdit les jeux, films, ou que sais-je, sur les postes informatiques de l'école. Aussi, je m'y suis intéressé, et ai commencé à jouer en solo. Le système m'échappait totalement. J'ai dû passer des nuits entières dans le noir, sans abris ni lumière, à tenter tant bien que mal échapper aux horribles monstres qui me poursuivaient pour me dévorer et me lapider... J'ai donc demandé sur un serveur en ligne de l'aide ( Serveur dont j'ai oublié le nom. ). On m'a conseillé les très bonnes vidéos de TheFantasio974 pour comprendre le système et bien débuter dans ce formidable jeu - Que je remercie au passage personnellement, car sans ses efforts et le temps qu'il a bien voulu prendre à les effectuer, je serais peut-être encore dans une cabane en terre très laide, sans lumière ni outils ! J'ai petit-à-petit suivit ce personnage qui nous emmenait toujours plus loin dans ses vidéos, jusqu'à ce qu'il rencontre le célèbre Bob Lennon, et qu'ils commencent à faire des vidéos sur Azur. Le duo m'a totalement séduit, tout comme le serveur. J'ai donc entrepris de le visiter... Mais malheur ! Ma connexion est en carton. Une simple pression sur la touche "Avancer" me catapultait à dix mètres plus loin, dans un délais d'au moins cinq grosses secondes. Le serveur est beau, et j'ai pu le voir sur des vidéos et par moi-même, pour le peu que j'ai pu voir, mais cela m'a dégoûté on va dire de Minecraft... Mon ordinateur n'était pas assez puissant déjà pour supporter le solo. Fort heureusement, j'ai réussi à me procurer un nouveau PC, plus beau, plus performant, et à la pointe de la technologie ! Alors, je me suis empressé de rejouer à Minecraft en solo ! ... Qui bug encore légèrement, malheureusement. J'ai modifié ma connexion, et me suis connecté sur New Stendel, et miracle ! Ça bug un peu moins ! Si si, miracle. J'arrive au moins à voir où je vais ! Voici pourquoi je me présente ici, sur ce forum. J'avais idée de le faire depuis un sacré moment, mais comme vous avez pu le voir dans mes lignes plus haut, le dégoût de la connexion en carton mouillé m'avait fort déplu ! J'ai relus le règlement avant de vous écrire, ce n'était pas du luxe après deux à trois mois sans jouer à Minecraft, alors que j'avais perdu l'envie de postuler sur Minefield. J'espère, même si je reste un simple Vagabond, me faire quelques amis et être bien accepter par le reste des joueurs. Pour information, j'ai téléchargé Mumble, et je commence tout doucement à aller dessus... Donc peut-être entendrez-vous un jour, bientôt, ma voix sur ce logiciel ! J'allais oublié ! Je suis ici à postuler pour faire partit de ce magnifique serveur afin de pouvoir participer à son embellissement. En effet, j'aime construire des choses, bien que je ne sois pas un fin maître architecte ou autre, mais je pourrais selon moi apporter des idées de construction. Dans le cas où mon ordinateur ainsi que ma connexion ne puissent absolument pas gérer le jeu sur serveur, je proposerais peut-être mes idées sur le forum ou sur Mumble pourquoi pas, avec des petits plans, je ne sais pas trop... ^^ Bien ! Suffit de parler de moi, passons à la partie que j’attends depuis le début de ce message, en vrai littéraire pur et dur que je suis : La partie RP ! Si jamais il y a des questions, des remarques sur la candidature, ou autre, n'hésitez pas à me faire remarquer mes lacunes, qu'elles soient de l'ordre de l'orthographe, de la grammaire, de la syntaxe, et tout ce qui pourrait manquer à ce message. Je vous remercie de me lire ! Ah, et si mon pseudo ne vous plaît pas avec tous ces "x", ce que je peux parfaitement comprendre, appelez-moi juste TitCriquet, Criquet, ou bien TC si vous le désirez. ^^ ----- ----- ----- ----- ----- Le vieux Jimbo Tu te réveilles. Il fait noir ici. Tu te demande ce qu'il s'est passé. Tu ne te souviens pas de grand chose. Juste d'un danger, d'une douleur, et puis d'un grand flash. Tu te relèves. Tu avances à taton dans l'obscurité, et tu butes tes pieds dans les objets présents mais invisibles dans la pièce. Tu tentes de te rappeler durant ta progression lente et pénible... Puis tout à coup, une pierre glisse et t'attérit sur la tête. Tu pousses un cri étouffé. Tu te rends compte que ta voix est enrouée. Tu dois être faible, et en plus, tu as faim. Tu découvres que la pierre qui est tombé a permit à la lumière de rentrer. Elle n'éclaire pas vraiment, mais au moins tu la vois. Un petit point de lumière, comme une étoile seule dans la nuit la plus sombre. Tu sens que le plafond est très bas, et tu es accroupi depuis toute à l'heure. Tu viens de t'en rendre compte. Ton dos est tout endoloris, et tu sens que tu ne peux pas te redresser sans te faire mal. Tu commences à gratter le plafond. Ce n'est que de la terre, après tout. Tu réussis à agrandir l'étoile. Elle devient de plus en plus grosse, grosse, grosse, jusqu'à ce que le trou soit assez grand pour que tu t'y faufiles et sorte. Tu t'accroches alors au rebord, et dans un gémissement, péniblement, alors que ton dos est tordu, tu te hisses à l'extérieur. Tu découvres enfin un paysage qui t'est inconnu. Tu n'avais jamais vu cela... Tu te souviens tout à coup : Ta fille, ton fils, ta femme, ta maison bien à toi, et même ton chien. Boudha. Boudha qu'il s'appelait ton chien. Ta fille était belle. Tu te rappelles que vous étiez très proches, et qu'elle te confiait absolument tout. Ton fils, le cadet, était moins doux que l'aînée. Mais tu savais le canaliser. Tu jouais beaucoup avec lui, bien qu'il était adolescent la dernière fois que tu l'as vu. Ta femme... La plus belle des créatures. Tu te souviens l'avoir confondue avec une sirène, une soir où tu étais ivre. La perfection, la pureté. Un ange, tout simplement. Une douceur sans égal. Elle te pardonnait toujours, et jamais elle ne s'énervait, bien que, parfois, tu rentrais ivre à la maison, après avoir été voir les vieux Louis et Raymond au bar. Ah... La famille parfaite. Tu cherches Boudha. Tu ne sais pas pourquoi, tu as l'impression qu'il n'est pas loin. "Boudha.. Boudha..." miaules-tu d'une voix cassée, comme l'a été ton moral la nuit dernière. Tout est allé très vite. Hier matin encore, tu faisais un câlin à ta femme, tu faisais la bise à ta fille, et tu serrais la main virilement à ton fils. Tu étais partit l'après-midi avec Boudha pour chasser un peu. Aaaah... La lumière te brûle les rétines maintenant. Le sable blanc reflète les rayons du soleil. La lumière vive et intense est insoutenable. Tu fermes les yeux, tes yeux qui brûlent. Tu avances à taton une nouvelle fois. Tu n'avais pas de lumière toute à l'heure; maintenant, tu es servit. Tu réussit à atteindre un arbre. Tu te mets en dessous. Tu souffles lentement, et rouvre les yeux... La mer n'est pas loin. Tu ne comprends pas d'où tu viens, et honnêtement ? Tu t'en contrefiches. L'important, c'est que tu as faim. Tu cherches des fruits dans l'arbre, mais il n'y en a pas. C'est frustrant. Un arbre, ça donne forcément un fruit ! te dis-tu à toi-même. Tu marches lentement. Ton dos courbe te fait tellement souffrir... Serais-tu tombé sur la nuque ? Tu sens une douleur au cœur. Ce n'est pas d'ordre physique cette fois. C'est mental... Tu as un flash. Tu vois ta maison. Il fait nuit. Elle brûle rapidement. Tu entends ta famille crier. Toi-même tu cris, tu tentes de les rejoindre... Mais tu ne t'entends pas crier, et chaque fois que tu avances vers la maison, celle-ci recule toujours plus. Tu finis par te réveiller en sursaut. S'ayait, tu te rappelles... C'est ça, cette souffrance. Tu as mal. Tellement mal... Un mal que tu te jures de ne plus jamais vivre. Tu avances, les yeux froncés, mauvais. Un cochon te regarde attentivement. Il y en a trois. Celui qui te regarde se doute sûrement de ce qui va lui arriver. Tu attrapes un silex, trouvé au sol. Tu t'approches du cochon lentement. Il ne s'enfuit pas, mais te regarde. Il comprend ce que tu ressens. Les deux autres qui mangent finissent par se retourner vers toi. Ils couinent, comme pour dire à leur ami de s'en aller. Ils sentent la colère en toi. Mais le cochon ne bouge pas. Ça te perturbe. Mais pas suffisamment pour t'arrêter. Tu t'arrêtes juste en face de lui, et là, il ferme les yeux. Il accepte son sort. Toi tu le regardes. Ton regard a changé. La colère se dissipe. Tu le regardes d'un air dubitatif, puis attendrit. Pauvre bête... Tu lui dis pardon, mon p'tit gars. Mais j'ai faim. Tu abats ta pointe sur lui. Les deux autres s'enfuient, effrayés. Tu en as finit d'un seul coup. Il n'a pas souffert... Il peut reposer en paix, lui, au moins... La maison est en flamme... Que dois-tu faire ? Que dois-je faire ? Non... C'est impossible. Pas ma maison. Pas ma famille. Pas ici. Pas ça ! Arrêtez ! hurles-tu. Boudha aboie avec toi. Tu regardes ta maison flamber, désespéré. Tu ne peux rien faire. Tu espères que ta famille soit partie... Mais, tu entends un gémissement sombre et sinistre derrière toi. Tu te retournes. Une personne se présente à toi, l'air glauque, le teint très pâle, les yeux injectés de sang et les pupilles retournées. Il n'est pas net. Il avance vers toi d'un pas lent et mal-assuré. Il n'a pas l'air de trop savoir ce qu'il veut. Il n'est pas ton ami, et tu le sais quand tu vois ses petits copains se profiler dans l'ombre derrière lui. À ce moment là, tu réalises qu'ils sont nombreux. Très nombreux. Trop nombreux... Tu t'enfuis. Tu cours. Mais tu fais du bruit. Et eux aussi ils courent. Tu avances dans le noir, uniquement éclairé par la lune, guidé par Boudha, qui aboie et ne cesse de rameuter tous les monstres de la forêt voisine. Tu ne sais plus où aller. Tu finis par tomber, et une avalanche de terre s'écrase sur toi. Tu te souviens de tout. Tu dévores la viande crue. Tu te dis que ce n'est pas très propre, et que les maladies prolifèrent peut-être dans la carcasse. Mais c'est mieux que rien. Tu sais que Boudha n'est pas loin. Tu pleures. Tu as tout perdu : Ta famille, ta maison, ta vie. Depuis quand ces monstres sont-ils ici ? Pourquoi toi ? Pourquoi moi... Boudha, s'il te plait, je n'ai plus que toi. Faites-que je le retrouve, fais-tu en pleurant toutes les larmes de ton corps. Tu te mets en chemin. Tu as pris de la viande en provision, et tu vas chercher de l'aide. Tu habitais en campagne, mais tu sais que loin, très loin, la ville t'attend. Tu y trouveras de l'aide, sûrement... Si on te laisse entrer. Tu ressembles à l'un de ces monstres. Tu as des rides, des poches. Ta barbe est grise, alors que tu n'es pas vieux. Elle est sale aussi. Tu as une queue de cheval. Tes vêtements pleins de terre ou déchirés, parfois avec quelques tâches de sang, te font sentir très mauvais. Tu marches longtemps, longtemps, jusqu'à ce qu'au coucher du soleil, au sommet d'une colline, tu aperçoives la ville... New Stendel. C'est là que tu dois aller. Et dépêches-toi, Jimbo. Car ils arrivent... Ils arrivent... Ils arrivent... ----- ----- ----- ----- ----- En espérant que cela vous ai plu ! Je vous remercie de m'avoir lu. Être pris ou non comme paysan, cela n'a que peu d'importance, ma plus grande envie étant de faire partager mon Role Play et mon écriture aux membres du serveur/forum. Donc si jamais vous voulez que j'écrive un RP, peut-être un peu plus élaboré, ou autre, n'hésitez pas à me contacter, je suis là pour ça ! Merci beaucoup, et j'espère à un prochain message ! T.C.
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