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ThePercuMania

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À propos de ThePercuMania

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    ThePercuMania
  1. Bonsoir tout le monde! Aujourd'hui même, je viens de concrétiser mon projet que je mijotais depuis pas mal de temps : Minecraft Game Reproduction Je vous explique rapidement le principe : Reproduire des jeux vidéos dans Minecraft. Evidemment, vous trouvez que ce projet n'a rien d'extra-ordinaire. C'est pour cela que je me permets d'ajouter quelques précisions : Nous ne ferons pas que développer de simples maps, mais nous créérons aussi des mods et des textures pour encore plus de réalisme. Par exemple, si je décidais de reproduire "Zelda : Ocarina of Time" (ce qui est d'ailleurs le cas ) je pourrais ajouter le bloc "pavé" et le texturer. Par ailleurs, je précise que je suis actuellement seul à réaliser ce projet, et c'est pourquoi je serais enchanté que des personnes sympathiques viennent m'aider! De plus, je recrute actuellement des Administrateurs et Modérateurs, mais aussi des codeurs et des graphistes. Dans tous les cas, si ce concept vous intéresse, je vous invite à consulter ce forum : http://mgr.xooit.fr/index.php pour plus de détails. A très bientôt je l'espère, et n'hésitez pas à critiquer cette idée!
  2. Bonsoir cher amis de Minefield! (même si je ne connais que très peu d'entre vous) Je me présente : ThePercuMania. (comment ça, vous le saviez déjà?) Comme vous pouvez de le constater, je suis un adepte des jeux de mots à deux balles (pan pan). J'espère simplement que ce côté ne vous ennuiera pas trop, et c'est pour cela que j'arrête de faire des calembours absolument minables à partir de maintenant. A propos de moi dans la vraie vie, je m'appelle [barrer]Corentin[/barrer] et je suis un fan de percussions (étonnant?). J'ai quinze ans et je suis actuellement en seconde dans une ville paumée de France. Mes passions sont la musique et l'informatique, en particulier la programmation, et la retouche, voire même la création d'images quand je suis en forme. Maintenant, parlons de moi dans le splendide jeu qui m'a amené jusqu'ici : Minecraft. J'ai construit pas mal de constructions variées en solo avant de me rendre compte qu'elles étaient toutes aussi inutiles qu'un poil d’aisselle (de cheval! et aller, encore une promesse qui saute!) J'ai donc ensuite regardé pas mal de vidéos sur Youtube pour pouvoir améliorer mon niveau architectural, désormais accru. De plus, j'adore la redstone. J'ai réalisé quelques petits circuits utiles, mais mon oeuvre dont je suis le plus fier est une boîte à rythme. Enfin, au niveau de mon expérience multijoueur, je suis Administrateur d'un petit serveur semi-RP (et non, vous ne saurez pas son nom!) où j'ai rajouté quelques blocs et items, un peu comme ici Par ailleurs, voici mes motivations de postulation au grade de paysan: -Je voudrais pouvoir (enfin!) poser et casser des blocs, en particulier parce que je suis bloqué depuis deux mois au milieu de barrières à force de voyager sur les murs (et aussi parce que certains modo n'ont pas eut la grâce de me tuer )... -J'aimerais apporter ma bonne humeur au serveur -Je voudrais pouvoir créer ma maison, pour pouvoir me faire une petite place, et pourquoi pas devenir commerçant dans le futur? Et maintenant, il est temps de vous montrer mon texte Rôle-Play, s'intitulant... Le commencement...tiens, je ne suis pas le seul à penser que le titre manque d'originalité? Après une longue nuit passée à faire cuire mes minerais de fer et à me crafter de nouveaux outils et une nouvelle armure, je cassai prudemment les blocs de terre faisant office de porte. J'esquivai avec adresse un creeper venant de me tomber dessus, et lui assainai plusieurs coups d'épée qui lui furent fatal. Le soleil commenca à se lever et montra timidemment ses quelques rayons ayant réussi à franchir cette immense montagne pour parvenir jusqu'à mes yeux. J'avancai doucement au fur et à mesure que les derniers squelettes et zombies finissaient de brûler à la lumire du jour pour pouvoir récolter leurs semences bien méritées. C'est alors qu'au loin, dans le brouillard encore bas et épais recouvrant la plaine me faisant face, j'aperçus un village reflètant d'étranges lueurs d'une couleur orangée. Je m'y rendis sans plus attendre en me demandant ce qui pouvait bien provoquer cet étrange phénomène. Une fois atteint le chemin en gravier, je vis que ces lueurs n'étaient pas aussi étranges qu'elles paraissaient : le village était en flamme, ne laissant plus de place à la douce rengaine à laquelle j'étais habitué. Au centre du hameau, quelques villageois se démenèrent pour essayer d'éliminer la vive hardeur qui animait ces flammes. Malgré tous les efforts qu'ils purent mettre en place, le feu reprit de plus belle jusqu'à atteindre les malheureuses récoltes des agriculteurs désormais privés de leur seul maigre revenu. Les blés brûlrent rapidement, ne laissant que des tas de cendre après le passage du feu dévastateur. Ensuite, il se propagea dans l'immensité de la plaine grâce aux herbes hautes, et gagna sans plus attendre la forêt. En seulement ces quelques minutes, un village et tout ses habitants périrent, et la fort fut entièrement consumé. Mais moi, spectateur immobile de ce spectacle atroce, je restais en vie. Pendant que je me lamentais sur ce désastre, un villageois en piteux état s'approcha de moi et me tendit sa main (ou du moins ce qu'il en restait). Dans son dernier râle, je parvins à dicerner ces mots : "Sauve-nous, il en est encore temps!". Ces paroles irrationnelles me firent réfléchir à ce qui venait de se dérouler sous mes yeux, et je me rendis compte que j'étais resté immobile pendant que d'autres mourraient. Je ressentis aussitôt un puissant sentiment de culpabilitée. Comme venait de le dire le villageois, j'aurais pu empêcher tout cela. Mais je n'avais même pas réagi. J'étais un incapable, froussard et inutile. A ce moment précis, une idée folle me vint à l'esprit. Non. Je ne pouvais pas m'y résoudre. Mais il fallait bien se rendre à l'évidence : c'était la meilleur solution. Je me dirigeai alors vers les flammes ardentes, et m'y enfonçai, d'un pas décidé, sans regret, les laissant dévorer mon corps. -Ah! Ce fut la seule parole que je fus capable de prononcer aprs m'être rendu compte que tout ce que je venais de vivre n'était qu'un rêve. J'étais allongé dans mon lit, sous mon abri de fortune bâti de terre. Des gouttes de sueurs froides perlèrent abondemment sur mon front. Je ne savais plus quoi penser. Dehors, je parvenais à distinguer les bruits si caractéristiques des araignées. Il faisait encore nuit. Une douce brise parvint jusqu'à moi et me fit frissonner. Le bruit du vent passant dans les feuilles des arbres donnait une impression de tranquilité. Il en était de mme pour le ruissellement du cours d'eau voisin. Tout ces petits détails semblaient annoncer une journée normale. J'attendis donc le jour, allongé dans mon lit, refusant de me rendormir. Je ne voulais pas prendre le risque de revivre ce cauchemar. Tout en luttant contre le sommeil, je réfléchissais à mon rêve. Il semblait si réél! Plusieurs heures passrent, avant que je n'entendisse le doux bruit des zombies brûlant au soleil. Je m'armai d'une épée, cassai les blocs de terre faisant office de porte, et sorti au grand jour. Tout à coup, j'esquivai avec addresse un creeper venant de me tomber dessus et l'acheva. C'est alors que je compris. Tout devint clair dans mon esprit. Je savais quoi faire, et le temps qu'il m'était accordé pour. Je fit demi-tour et rentra d'un pas convaincu dans ma cabanne. Mais, au lieu de crafter des outils et armures inutiles, j'utilisai tout mon stock de fer dans la fabrique de seaux, et reparti dans la direction où, exactement comme dans mon rêve, des formes orangées s'agitaient. Une fois assez proche du village pour que le brouillard ne me le dissimule plus, tous les souvenirs de mon rêve revinrent, plus réels que jamais. Je revoyais les maisons dévorées par les flammes, les habitants meurtris, la plaine dévastée, la forêt réduite en cendre, ainsi que mon suicide... Mais je revoyais aussi une autre image plus remotivante que jamais : le villageois me tendant sa main en disant... "Sauve-nous, il en est encore temps!" J'accourus aussitôt au centre du village, déjà pris d'assaut par des flammes gigantesques. Les villageois étaient désordonnés, ne sachant plus quoi faire. Je prononcai ces mots : -Venez tous au puit, j'ai des seaux en très grande quantité, mais il me manque des hommes pour m'aider à faire taire ces flammes. Tous avec moi!C'est alors que des dizaines de villageois me suivirent jusqu'au puit, et remplirent les seaux à une vitesse fulgurante. Nous allâmes ensuite à la rencontre des flammes, déjà à quelques mètres des récoltes. Et dans une synchronisation et un geste similaire, nous déversâmes le contenu de nos seaux sur le feu, désormais affaibli, mais encore assez puissant pour gagner du terrain. Nous répétîmes alors ce geste dix minutes durant dans cette lutte effrénée, combat de la vie contre la destruction. Et après ces minutes intenses, les flammes commencrent à rebrousser chemin, jusqu'à se retrancher d'où elles provenaient, avant de disparaître. Ca y était. J'avais réussi à sauver tout un village et un paysage entier. Un profond sentiment d'accomplissement personnel se fit sentir en moi, avant de laisser place à de la joie. Malheureusement, le feu était tout de même parvenu à faire des dégats, en particulier à certaines habitations en bois. Il fallait recounstruire, et ce fut ce que nous fîmes toute la journée durant. Le soir venu, les villageois organisèrent une fête en mon honneur, afin de célébrer leur victoire et de me montrer leur reconnaisance. Les plats furent succulents, la musique exquise, l'ambiance parfaite. Cette soirée se prolongea jusqu'au lendemain matin, à l'heure où le soleil pointe timidemment ses premiers rayons sur le village, désormais notre village : pendant que je m'amusais, des bâtisseurs construirent une maison d'une qualité architecturale époustouflante, portant ces quelques mots au dessus de la porte : "Percu, l'homme qui nous sauva tous" . Je remerciai chaudement les hommes responsables de cette construction, et leur dis : "Cela n'est que le début" Et voilà! J'espère que cette (trop) longue lecture vous aura plût, en tout cas au moins assez pour être accepté parmi vous! A très bientôt!
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