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Fomos

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    Fomos
  1. Bonjour/Bonsoir, Mon pseudo c'est Fomos j'ai 16 ans j'ai poster une candidature pour devenir paysan mais en attendant une réponse j'aimerai devenir un vagabond chasseur pour pouvoir m’intégrer dans cette communauté , me faire quelques premiers relations et puis surtout avoir une utilité pour Minefield . Coter RP je reprend se que j'ai mis dans ma candidature de paysan . Le secret Fomos tomba lourdement sur les fesses suite au coup de pied violent reçu au ventre. Le garçon eut le temps de voir son épée lui échapper des mains et venir se planter dans son épaule. Un hurlement vint déchirer le calme de la forêt noire. Le sombre à la chevelure émail haletait posant la main sur l’objet de sa blessure. Le responsable de son état s’approcha et le regarda de haut d’un air dégoûté « Tu es vraiment un bon à rien, tout comme ta mère. Cette sale traînée a réussi à mettre au monde une lavette tout aussi minable. - Ne l’insultez plus jamais - Oh ! Et tu vas me faire quoi ? Bouger ton cul comme elle le faisait pour réussir. Si tu continues à ce rythme, tu y seras bien obligé. Mais, je doute que tu te fasses prendre par autant d’hommes. - ça suffit ! Vous l’aurez voulu. » Dans un second cri, l’adolescent arracha la lame de son épaule et fonça sur son interlocuteur. Celui-ci parvint aisément à parer le coup et l’envoya valser un peu plus loin. Fomos vola au sol et perdit connaissance. « Et je suis obligé d’éduquer ça ! vivement que je m’en débarrasse » Le garçon se réveilla dans sa chambre. Il avait l’impression qu’un pic vert prenait sa tête pour un tronc d’arbre et son épaule le lançait comme des morsures de serpents. L’adolescent regarda le bandage fait rapidement et décida de le refaire par lui-même. Plusieurs heures après, Fomos se rendit à la chambre de sa mère. Il n’avait rien touché depuis sa mystérieuse disparition. Tout ce qu’il lui restait comme famille, c’était son soi-disant père, mais qui aurait pu le prouver. Celui-ci passait son temps à le torturer, à l’obliger à se battre. Mais l’adolescent savait qu’au fond de lui, ce n’était pas sa destinée. Le jeune vint s’asseoir sur le tabouret près de la coiffeuse et contempla un moment son visage dans la glace. Les mêmes cheveux, le même regard noir séducteur qui a fait le succès et le malheur de sa mère. Les bijoux n’avaient pas bougé, entres les colliers, boucles d’oreilles, bracelets et bagues des divers prétendants. Parmi toutes ces babioles, une seule avait attiré le regard du jeune, une petite chaînette en argent avec des petites perles noires. Fomos n’avait jamais touché les affaires de sa mère, mais aujourd’hui il ne put s’en empêcher. Il posait un instant le bracelet à son poignet et relança son regard dans le miroir pour mieux l’apprécier. Cela ne lui donnait pas un côté féminin bien au contraire, mais il avait l’impression que sa mère était à côté de lui en ce moment. En bas, la porte d’entrée claqua et vint sortir Fomos de sa rêverie en le faisant tomber du trépied. Le bracelet glissa sous le lit inoccupé et se perdit entres les lames du plancher. Alerté par ce bruit, son père se précipita dans la chambre. « Oh, je vois ! Tu n’as pas perdu ton temps. Tu veux que je te mette les bijoux, que je te maquille un peu. - Taisez-vous ! - D’accord ma mignonne, je te laisse te préparer. Tâche de revenir avec suffisamment d’argent parce que désormais tu te débrouilles seul. - Bon débarras, cassez-vous, je ne veux plus vous voir chez moi » On entendait les rires de son paternel s’éloigner peu à peu. Fomos plongea sous le lit, aucun doute possible le bijou est bien tombé. Il fit lentement parcourir ses doigts le long de la fissure. Le jeune fut surpris de l’aisance avec laquelle il parvint à retirer une planche du parquet. Le sombre comprit qu’il venait de découvrir un des secrets de sa mère. A l’intérieur de cette cachette reposait un livre de cuivre rouge de très belle qualité. Le bracelet était tout simplement arrivé dessus. L’adolescent tendit naturellement les bras vers les deux objets… Le journal Fomos resta un moment sous le lit, comme un enfant se cachant d’un monstre ou d’un cambrioleur. Son regard de jais était fixé sur sa trouvaille. Aucun doute possible, il s’agissait bien du journal intime de sa mère, tant de secrets enfermés dans cette si petite chose. Le doute s’empara de lui partagé, entre le devoir, le respect et la curiosité… On lui avait enseigné les bonnes manières, et quelles que soient l’intimité ou l’importance d’une personne à vos yeux, il y a certaines limites qui ne peuvent être dépassées. Ce n’est donc avec aucun regret que le sombre déposa l’ouvrage à sa place, exactement comme il l’avait trouvé. L’adolescent sortit de sa cachette et posa le bracelet sur la commode. Au moment, où il s’apprêtait à sortir, il entendit la lame du plancher voler de sous le lit comme par enchantement. L’adolescent s’avança prudemment, et glissa son regard sous la couchette. La planche avait atterri à l’autre bout de la pièce. Comment cela pouvait-il être possible ? Une bête de sous le plancher ? Ou pire ? Sa main se perdit sur la coiffeuse saisissant une broche à cheveux pour tout poignard. Si son père le voyait en ce moment, il n’imaginait à peine la hauteur de ses insultes. Le sombre s’agenouilla et commença son parcours sur le sol. Ce n’est pas le courage qui l’animait mais une étrange force qui le poussait à avancer encore et encore… Dans quelques secondes, le jeune pourrait clairement distinguer le trou. Il ravala sa salive, son poing serrant son arme improvisée. Il s’avança d’un coup plantant l’épingle dans le livre ouvert... Il se maudissait lui-même, son imagination l’avait poussé à abîmer le bien de sa mère. Il retira la pique des pages, grimaçant et lissant les pages du livre comme pour réparer sa bêtise. Alors que ses doigts caressaient les feuilles de papier, il fut attiré par le titre que portait celle où l’ouvrage s’était ouvert. « Fomos » "Mon petit cœur, Je t’ai vraiment trop bien élevé, je savais pertinemment que tu n’allais pas laisser ta curiosité l’emporter sur les valeurs que je t’ai enseignées. Mais pour aujourd’hui, tu as le droit de le faire, ce journal est désormais le tien, prends en soin. Avant que tu prennes le temps de découvrir tous les secrets que je t’ai laissés et que je n’ai pas eu le temps de t’enseigner, Fuis ! Fuis ton père avant qu’il ne sache que tu sais la vérité, il avait pour projet de m’assassiner mais j'ai fuis vers Minefield. rejoind moi vite et ne te retourne surtout pas. Je t’aime, Maman." A bientôt IG .
  2. Hooolllaaa Minefieldien ! Mon pseudo IG c'est Fomos je joue à Minicraft depuis plus ou moins 6 mois et surtout en solo j'ai un peu jouer sur des petits serveurs avant de vouloir rejoindre une vrai communauté. IRL J'ai 16 ans et je suis en première année au Lycée. Je vie sur Lille dans le nord de la france, mes passe temps dans la vie sont l'infographie, la programmation , la Myrmecology et evidement les jeux-vidéos! Passon maintenan au RP Le secret Fomos tomba lourdement sur les fesses suite au coup de pied violent reçu au ventre. Le garçon eut le temps de voir son épée lui échapper des mains et venir se planter dans son épaule. Un hurlement vint déchirer le calme de la forêt noire. Le sombre à la chevelure émail haletait posant la main sur l’objet de sa blessure. Le responsable de son état s’approcha et le regarda de haut d’un air dégoûté « Tu es vraiment un bon à rien, tout comme ta mère. Cette sale traînée a réussi à mettre au monde une lavette tout aussi minable. - Ne l’insultez plus jamais - Oh ! Et tu vas me faire quoi ? Bouger ton cul comme elle le faisait pour réussir. Si tu continues à ce rythme, tu y seras bien obligé. Mais, je doute que tu te fasses prendre par autant d’hommes. - ça suffit ! Vous l’aurez voulu. » Dans un second cri, l’adolescent arracha la lame de son épaule et fonça sur son interlocuteur. Celui-ci parvint aisément à parer le coup et l’envoya valser un peu plus loin. Fomos vola au sol et perdit connaissance. « Et je suis obligé d’éduquer ça ! vivement que je m’en débarrasse » Le garçon se réveilla dans sa chambre. Il avait l’impression qu’un pic vert prenait sa tête pour un tronc d’arbre et son épaule le lançait comme des morsures de serpents. L’adolescent regarda le bandage fait rapidement et décida de le refaire par lui-même. Plusieurs heures après, Fomos se rendit à la chambre de sa mère. Il n’avait rien touché depuis sa mystérieuse disparition. Tout ce qu’il lui restait comme famille, c’était son soi-disant père, mais qui aurait pu le prouver. Celui-ci passait son temps à le torturer, à l’obliger à se battre. Mais l’adolescent savait qu’au fond de lui, ce n’était pas sa destinée. Le jeune vint s’asseoir sur le tabouret près de la coiffeuse et contempla un moment son visage dans la glace. Les mêmes cheveux, le même regard noir séducteur qui a fait le succès et le malheur de sa mère. Les bijoux n’avaient pas bougé, entres les colliers, boucles d’oreilles, bracelets et bagues des divers prétendants. Parmi toutes ces babioles, une seule avait attiré le regard du jeune, une petite chaînette en argent avec des petites perles noires. Fomos n’avait jamais touché les affaires de sa mère, mais aujourd’hui il ne put s’en empêcher. Il posait un instant le bracelet à son poignet et relança son regard dans le miroir pour mieux l’apprécier. Cela ne lui donnait pas un côté féminin bien au contraire, mais il avait l’impression que sa mère était à côté de lui en ce moment. En bas, la porte d’entrée claqua et vint sortir Fomos de sa rêverie en le faisant tomber du trépied. Le bracelet glissa sous le lit inoccupé et se perdit entres les lames du plancher. Alerté par ce bruit, son père se précipita dans la chambre. « Oh, je vois ! Tu n’as pas perdu ton temps. Tu veux que je te mette les bijoux, que je te maquille un peu. - Taisez-vous ! - D’accord ma mignonne, je te laisse te préparer. Tâche de revenir avec suffisamment d’argent parce que désormais tu te débrouilles seul. - Bon débarras, cassez-vous, je ne veux plus vous voir chez moi » On entendait les rires de son paternel s’éloigner peu à peu. Fomos plongea sous le lit, aucun doute possible le bijou est bien tombé. Il fit lentement parcourir ses doigts le long de la fissure. Le jeune fut surpris de l’aisance avec laquelle il parvint à retirer une planche du parquet. Le sombre comprit qu’il venait de découvrir un des secrets de sa mère. A l’intérieur de cette cachette reposait un livre de cuivre rouge de très belle qualité. Le bracelet était tout simplement arrivé dessus. L’adolescent tendit naturellement les bras vers les deux objets… Le journal Fomos resta un moment sous le lit, comme un enfant se cachant d’un monstre ou d’un cambrioleur. Son regard de jais était fixé sur sa trouvaille. Aucun doute possible, il s’agissait bien du journal intime de sa mère, tant de secrets enfermés dans cette si petite chose. Le doute s’empara de lui partagé, entre le devoir, le respect et la curiosité… On lui avait enseigné les bonnes manières, et quelles que soient l’intimité ou l’importance d’une personne à vos yeux, il y a certaines limites qui ne peuvent être dépassées. Ce n’est donc avec aucun regret que le sombre déposa l’ouvrage à sa place, exactement comme il l’avait trouvé. L’adolescent sortit de sa cachette et posa le bracelet sur la commode. Au moment, où il s’apprêtait à sortir, il entendit la lame du plancher voler de sous le lit comme par enchantement. L’adolescent s’avança prudemment, et glissa son regard sous la couchette. La planche avait atterri à l’autre bout de la pièce. Comment cela pouvait-il être possible ? Une bête de sous le plancher ? Ou pire ? Sa main se perdit sur la coiffeuse saisissant une broche à cheveux pour tout poignard. Si son père le voyait en ce moment, il n’imaginait à peine la hauteur de ses insultes. Le sombre s’agenouilla et commença son parcours sur le sol. Ce n’est pas le courage qui l’animait mais une étrange force qui le poussait à avancer encore et encore… Dans quelques secondes, le jeune pourrait clairement distinguer le trou. Il ravala sa salive, son poing serrant son arme improvisée. Il s’avança d’un coup plantant l’épingle dans le livre ouvert... Il se maudissait lui-même, son imagination l’avait poussé à abîmer le bien de sa mère. Il retira la pique des pages, grimaçant et lissant les pages du livre comme pour réparer sa bêtise. Alors que ses doigts caressaient les feuilles de papier, il fut attiré par le titre que portait celle où l’ouvrage s’était ouvert. « Fomos » "Mon petit cœur, Je t’ai vraiment trop bien élevé, je savais pertinemment que tu n’allais pas laisser ta curiosité l’emporter sur les valeurs que je t’ai enseignées. Mais pour aujourd’hui, tu as le droit de le faire, ce journal est désormais le tien, prends en soin. Avant que tu prennes le temps de découvrir tous les secrets que je t’ai laissés et que je n’ai pas eu le temps de t’enseigner, Fuis ! Fuis ton père avant qu’il ne sache que tu sais la vérité, il avait pour projet de m’assassiner mais j'ai fuis vers Minefield. rejoind moi vite et ne te retourne surtout pas. Je t’aime, Maman." Voila voila j'espaire que vous accepterai de me passer Paysan . à bientôt IG
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