Bonjour chers amis minecraftiens,
mon nom est jacob j' ai 17 ans je vie a Beloeil dans la province du Québec, au Canada. Je n'ai
jamais fait de vidéo minecraft mais je compte peut-être en faire bientôt.
Comme beaucoups d'adolescents, j'adore les jeux vidéos mais contrairement à beaucoups d'adolescents, j'aime mieux les jeux calmes comme les jeux de nintendo.
Je suis aussi très bon pianiste.Le rand de voyageur est très important pour moi alors j'espère que vous m'accepterer
Role play
un cochon parmi les hommes
Comme beaucoup de mes confrères, je ne connais pas mes parents. Mes souvenirs les plus anciens remontent à une grande plaine herbeuse, déserte à l'exception d'un humain.
Nos regards se sont croisés. Mais à l'épée en cobble présente à sa main et au briquet qu'il s'empressait de saisir, je compris bien vite que la seule solution salutaire était la fuite...
Bien heureusement, la poursuite fut brève, abrégée par une l'intervention d'un de ces être nommés Creeper, mais qui le paya de sa vie...
Blessé, l'humain préféra rentrer dans sa résidence. Mais lorsque je le vis se saisir d'une côtelette de porc, je compris la raison de cette chasse... Et qu'elle n'aurait de terme qu'à la mort d'un de nous deux...
Mon premier réflexe fut de chercher des alliés. Les creepers semblaient tout désignés, mais la mort de celui qui m'a sauvé avait rendu les autres méfiants, voir agressifs... Les zombies et les squelettes étaient trop proches physiquement des humains pour que je songe seulement à les solliciter, et les araignées refusaient toute alliance.
Je compris bientôt qu'avec mon corps grassouillet et qu'en marchant à 4 pattes je n'arriverait à rien. À force d'entrainement, parviens à me dresser sur mes pattes arrières, mais ce n'était qu'un début. L'étape suivant allait se révéler bien plus compliquée : il me fallait des vêtements humains, mais également une arme.
Profitant de l'absence de mon ennemi, je lui dérobait des vêtements mais surtout une épée. J'en profitais pour brûler ses coffres remplis des cadavres carbonisés de mes frères, et parti à sa rencontre.
Surpris au retour de sa mine, il ne pu rien faire. Le combat fut aussi bref qu'inégale, l'humain affaiblit ayant commis l'erreur de sous estimer les ennemis présents au fond des mines... Mais dans un dernier souffle, l'humain éructa : "Je ne suis pas seul...".
Pendant plusieurs mois, je n'en eu pas la moindre preuve. Mais un jour, véhiculé par les animaux de la région, le bruit d'une citée humaine me parvint. "Boréalis'...
Ce qui j'y ai découvert me tourmente encore... Une communauté soudée, vivant au milieu de la nature sans chercher à la dominer, chose que je n'aurais jamais cru possible.
Peut être reste il encore un espoir pour les hommes....
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