Pizza

En attendant d'être admis, je me dois de montrer mes goûts musicaux. Alors, je suis pas hyper cultivé musicalement, mais j'aime tous les genres. Tant que c'est du bon. Mon gros truc on va dire que c'est la soundtrack et la musique de JV. Je suis un gros fan de Shogo Sakai, de Joe Hisaishi, de Danny Elfmannn de ZUN bref moi les artistes musicaux du JV et du cinéma ça me branche totalement. ici quelque morceaux types que j'adore : MOTHER 3 : Theme of Love : Le Voyage de Chihiro : Day of the River : http://www.youtube.com/watch?v=pC1-3noP ... re=related Mars Attack : Main Theme: http://www.youtube.com/watch?v=dZ_6wOe3tLM OFF : Pepper Steak : Persona 3 : The Battle for Everyone's Souls : http://www.youtube.com/watch?v=rdMhTL5bZrs Sinon mon autre grand Dada c'est le classique. Surtout Beethoven. Beethoven c'est un sale génie. Mais j'adore aussi Eric Satie, Tchaikovsky, Ravel, Mozart etc. Tchaikovsky : Piano Concerto n°1: Beethoven : 9 th Symphony : Eric Satie : Gymnopédie n°1 : Richard Strauss : Also Sprach Zarathustra : Puis sinon c'est Rock, Rap, Jazz et House essentiellement. Mais je suis ouvert à tout, donc si vous avez des trucs à proposer, j'écouterais volontiers, et je vois si ça me plais. Coté autre, typique ce que j'aime : Supreme NTM : Pour un Nouveau Massacre : http://www.youtube.com/watch?v=LlLh-CgzkuY Nirvana : Smells Like Teen Spirit : Marc Bolan : 20th Century Boy : Franz Ferdinand : Walk Away : http://www.youtube.com/watch?v=9KDmN-Si ... re=related Voilà voilà !

Bien le bonjour. Je suis PizzaCommuniste, mais mes amis me nomment Pizza (mes ennemis me nomment poliment “L’AntéChrist monstrueux” mais des ennemis je n’en ai qu’aux endroit sombres et pouilleux remplis de frustres). Je suis un jeune homme d’une quinzaine d’année terrestres et une centaine d’année spatiale, Anarchiste et Scientifique dans l’âme mais totalement incapapble face aux évènements de la réalité. Je diecidai donc d’oublier mon incompétence dans la drogue, mais cela ne marchait pas fort fort malgré les fortes doses. Alors je découvrit MineCraft. Et ce monde cubique transcendant ne pouvait que me plaire, et m’aider dans ma quête de l’Oubli. Ainsi un monde vide, planant, surréaliste m’attendait. J’y restait deux jours avant de m’emmerder grave. Alors je vis ce qui manquait : des compagnons de route fidèle à leur poste et soumis à mon autorité et ma puissan... euh non des amis proches ayant le même problème d’intégration sociale et intellectuel que moi. Je découvris donc ce serveur, remplis de gens fort sympathiques et matures dans l’ensemble, très bien organisé et centré sur le RP (je ne puis qu’apprécier votre politique de centralisation du RP, en effet n’y ail rien de plus embêtant qu’un serveur RP qui ne RP pas ? Je vous trouve cependant un tantinet trop élitise, évitons de tomber dans l’oligarchie ou la communauté sectaire, mais nous en sommes loin du compte !) . Malgré votre évidente supériorité mentale et physique , je décidai donc de me joindre tout de même à votre compagnie : en effet, la solitude me pèse et je n’ai pour ami qu’un ours en peluche cassé qui dit “papa”. Voilà pour l’introduction, somme toute assez courte, mais je ne vous raconterai pas en détail mes périphéties et mes aventure réelles, car, bien que passionnantes, elles sont bien trop longues pour une simp;e requête. Aussi concentrons nous sur mon personnage RP. Je résumerais ici en quelque lignes son histoire, sa personalité, ses buts et ses convictions. N’ayant pas beaucoup d’argent sur moi, je ne pourrais hélas jamais monter en grade, mais cela pourrait cesser dans quelques mois après négociation. Nous verrons bien à ce moment là, mais il faut dire que j’aime le statut de paysan. Mais tout d’abord ma motivation quant au serveur : Et bien, je ne voudrais pas vous cacher que j’y vais pour passer du bon temps. Ma motivation n’est donc pas monstrueuse ou pleine de passions. Cependant je serais relativement actif (mais la drogue me bouffe du temps) et mes convictions font que je serais prêt à aider gratuitement des personnes ou le collectif. Je construirais aussi dans la mesure de mes capacités de Paysan pouilleux et soumis au Tyran de ces terres. Aussi je tenterais d’avoir le comportement le plus respectueux et poli possible, mais je ne me laisserais pas faire si on me traite en vil crapaud hérétique, et ce quel que soit votre grade (j’ai tendance à ne pas faire la différence entre Admin et membre Hors RP, ne comptant que l’individu respectueux ou non. Sauf bien sûr au niveau organisationnel). La composition mature du STAFF et la communauté acceuillante devrait me faciliter la tâche. Mais trêves de lèchages de bottes intensifs , j’aimerais maintenant prouver mes faibles capacités en RP. Quelque chose cloche dans ce monde... Oui, quelque chose. Mais quoi exactement ? Je ne saurais dire à première vue. Serait-ce ma vie, ma manière de pensée, mon histoire ? Peut être bien. Pourtant c’est à moitié ma faute. Oui à moitié. Beaucoup de mes problèmes sont génétiques. Ou plutôt sont sanguins. Bien qu’en fait ça soit faux, tout cela résulte à de la machance, une malchance qui avait une énorme probabilité d’apparaître. Une malchance qui n’a pas grand rapport avec le sang finalement, car le sang d’un homme est bien identique à celui d’un autre. Et pourtant les jeux de la société ont fait que je n’étais pas né égale. En fait j’étais en égalité avec 90 pour cent de la population, mais il en résultait que je n’était non seulement pas libre, mais àpas même véritablement humain. A peine né j’étais relegué au rang d’esclave, de soumis, ayant une vie bien trace, qui ne se résumait qu’à la survie et au devoir envers son Dieu Suprème et son fidèle Gourou terrestre. Pour la simple raison que j’étais né de parents esclaves. A peine je savais marcher et parler qu’on me mit au champs et aux travaux forcés. Je dû apprendre des tâches utiles, pour moi mais surtout pour notre Maître, répétitves, ennuyeuses et poussés à l’éxtrême de l’imbécilité et de la fatigue. Nous n’avions pas le temps d’autre loisir. Oh certes Père partait pafois au bars du coin oublier la morne vie et mère allait voir son amant pour oublier les coups de Père, mais tout ceci n’était qu’une douce drogue, un léger rêve, qui faisait oublier la réalité plutôt que de la surmonter. Il faut dire que ça aurait été difficile : les livres étaient rare, et ils se résumaient à des contes dépasséset des légendes d’une insupportable naïveté. Pourtant ces légendes étaient réalités pour nomres de personnes, y compris dans la Grande Ville et chez leurs intellectuels du dimanche. Les gens autours de moi n’étaient qu’un ramassis de supertisieux incultes incapapbles de voir les causes de leur malheur. L’ont ne pouvait leur en vouloir, car tout est fait pour leur enlever les réalités : les intellectuels de la Grande Vile venaient prendre les impôts et crachaient leurs dicrours, dicours sermonnants leurs pêchés, leurs fautes, ils culpabilisaient et pensaient être les seules fautifs de leur malheur, alors qu’une bon maître ne leur faisait que montrer la voie. J’y ai moi-même cru un moment. Mais j’ai dépassé ce futile stade. Je le pense en tout cas. J’ai très tôt commencé à penser différement. En fait tout mon comportement était différent. J’étais souvent seul, reclus, je ne jouait pas avec les autre mômes du village, laissé à l’abandon par leurs parents allant travailler ou vaquer dans les perversions les plus amères. Cela étant dis, passé un certain âge, leurs progéniture s’adonnaient à des jeux des plus remarquablements immondes. Mais je ne jouais pas. Je passais mon temps à me mofondre, à lire les imbécilités qui nous servaient de livres (bien qu’à l’époque, ils étaient mon seul point de repère : j’en étais donc un défenseur) , à penser et à me questionner, à observer la nature et son foncitonnement aussi. On me surprenais souvent à fouiller le cadavre des animaux morts ou à ratiquer divers expériences sur les insectes. Très tôt, j’obtins une réputation d’autiste et de monstre chez les enfants, de fou et de fainéant chez les adultes. Pourtant je faisais mon travail, mais je ne demandais rien en échange. Cela me répugnait, je ne comprend même pas le système de travailler pour un salaire. On travaille pour manger et vivre, quel est la logique de cet argent sans valeurs ? Cela ne tourne pas rond... Une fois les ressources d’intérêts du village épuisées, je parti. Personne pas même ma propre famille me regretta. Il faut dire que Père était mort la veille et que Mère avait sombré dans l’alcool et la débauche, et que l’absence du fils inutile n’était pas vraiment leur centre d’intérêt. Cela n’avait plus vraiment d’importance désormais. Je m’étais donné comme objectif de comprendre ce qui clochait. Je n’ai pas encore trouvé la réponse. Mais je recu des pistes. Une fois arrivé à la Grande Ville, je me fit expluser. J’étais un paysan. Je ne méritais pas les honneurs citadins. Les choses ont changés depuis. Mais ça n’est qu’un masque. Finalement les choses sont les même depuis des millénaires. Les forts battent les faibles. L’intelligent use son pouvoir sur l’imbécile. Pas de pitié. Alors j’erre. Je tente de comprendre ce qui ne va pas. Je m’informe, je questionne les gens. Mais ils m’oublient. Je ne suis qu’une ombre. Mais ce sera bientôt terminé. Je veux aider, je veuxc changer le monde. Le système. Car oui, c’est le système qui est mauvais, seul le pouvoir détruit, seul les privilèges empêchent le fonctionnement. Il est temps de se reveiller... (désolé pour la fin archi baclé, mais sinon je vais jamais pouvoir profiter du serveur et j’aimerais y aller ce week-end ah ah !) P.S : la ville de Stendel est remarquable, le boulot a dû être titanesque, et l’architecture parfois surprenante. Je ne puis que vous féliciter pour ce travail impressionant.