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Introduction RP du futur "Unterstadt"


Kuartzman
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Bien le Bonsoir Enfants de la Nuits,

 

Je m'adresse à vous aujourd'hui non pas pour vous présenter quelque chose de concrets... du moins pas dans l'immédiat. Aujourd'hui je vais juste vous exposer un petit écrit de mes aventures... cette histoire aura la particularité de mieux exposer la futur ville souterraine "Unterstadt" (ou "Undercity" mais SURTOUT pas [barrer]"Fossoyeuse"[/barrer] (d'ailleurs je le barre tiens...)) dans un RP qui sera posté avec le suivis de projet qui viendra prochainement. En clair, ce topic est juste là pour le "fun" et je vous invite à le lire si vous en avait le cœur. Tout ce que vous lirez ci-dessous ne sera que la suite de l'histoire d'UltraKantum, Baron du Vampire Bund. ;)

 

J’imaginais une colline verdoyante avec un soleil rayonnant de toute sa splendeur et imposant sa chaleur sur toutles environs. Je suis en bas de cette petite montagne, sur la place d’un village paisible et accueillant. Je tourne autour de moi en admirant le paysage : une église, une taverne joyeuse, un petit magasin de fruits, une boulangerie d’où une délicieuse odeur de pain frais flotte dans l’air, un petit marché qui commence à réunir les habitants un peu plus loin où l’on pouvait percevoir une petite foule naissante émanant un brouhaha de discussion et de rire. Le soleil se lève exactement en haut d’un parc où les fleurs semblaient montrer tout l’éclat de leurs couleurs : bleu, rouge, jaune, orange, … un véritable arc-en-ciel terrestre. Aucun petit détail ne m’échappait car je connaissais ces lieux : c’était mon village natal. Toutes mes pensés désagréables, les soucis de mon quotidien, s’efface en un instant fessant place à un sentiment qui semble immortel et inéluctable : le bonheur.

 

J’entends du bruit en haut de la colline qui domine la ville, je me retourne. Je faillis fondre en larme en voyant mes parents me regarder du haut, sur un petite nappe accompagné d’un petit panier : probablement un pique-nique. Je commence à courir dans leur direction, les hautes herbes me ralentissent mais je m’efforce à la tâche. Je réalise soudain que je suis jeune, beaucoup plus jeune que je ne le pensais : surement un adolescent de douze ans. Je n’ai aucun mal à sauter au dessus des petites imperfections de la colline qui me barre la route. Mais rien ne m’arrête, j’esquive avec une agilité déconcertante tous les obstacles. Je suis presque arrivé à leur hauteur… mais quelques chose cloche… le ciel s’obscurcit lentement… le sol commence à trembler… je m’arrête sous la puissance des vibrations. Je jette un regard sur mes parents, totalement inactif, tel des pancartes. Je tends le bras dans leur direction, dans un élan de désespoir. Les deux êtres que j’aime sont à deux pas de moi. Ils sont si prés de moi, plus qu’il n’y a des années. Je ne peux pas échouer maintenant. Que se soit un cauchemar ou la réalité, je VEUX les avoir devant moi ! Je veux embrasser mes parents ! Est-ce si lourd à satisfaire ? Je pleure, de rage et de désespoir. Je sens que les vibrations terrestres sont de plus en plus fortes : je sais que tout est perdu maintenant. Une fissure se créée sous moi, m’entrainant dans un obscure trou noir qui semble durer une éternité…

 

J’ouvris les yeux en étant à moitié éblouis par la lueur d’une bougie quasiment consumée. Je faillis presque vomir par l’odeur pestilentielle qui régner dans les environs, puanteur indescriptible à rendre fou sur la longue. Je réalise peu de temps après que je suis sur un lit de fortune à moitié dévoré par les mites. Je suis dans une chambre d’une laideur presque cauchemardesque : des planches à moitié consumé, un tapis moisi aux couleurs sales, une fenêtre détruite et surtout une porte dont on avait l’impression qu’un courant d’air lui serait fatal. Je me frotte les yeux en essayant de reconstituer les obscurs éléments qui m’ont conduit ici. Foutu sentiment de sommeil… je suis peut être à la limite de ma transition de l’état humain à l’état vampirique mais certains sentiments reste encore souverains de mon corps… de malheureuse chose qui rendent mon quotidien impossible. Surtout depuis que je suis baron du Vampire Bund, lors d’un discours officiel il y a plusieurs mois de cela. Bien qu’aujourd’hui mes aspects humains est pratiquement disparu, je suis encore honteux d’avouer que je ne suis pas encore vampire mais… autre chose.

 

« Alors l’oiseau c’est enfin réveillé ? »

 

Surpris de cette voix je regarde devant moi et vit une jeune femme debout devant le lit, à coup sûr une humaine, habillé assez piteusement mais qui n’influencé pas sa beauté. Ses traits étaient parfait, presque trop. Tellement qu’on n’était pas capable (humainement bien entendu) discerné la moindre émotion, le moindre petit signe qui laisse paraitre la véritable pensée de la personne. Une femme fatale, il n’y a pas d’autre mot à ça.

 

« Et bien ? La nuit ta cloué le bec Roméo ? » Critiqua t’elle d’un ton satirique

 

« Arrête de parler… je t’ai pas payé pour ça… »

 

« D’ailleurs j’aimerai bien voir la couleur de ton précieux or »

 

« Sur la table en face, Fis-je en pointant du doigt une table basse, le compte y est »

 

Silencieusement, elle se déplaça vers la table en regardant attentivement les pièces.

 

« Ohhh… de l’argent marqué du seau du Vampire Bund… je ne savais pas que tu commerçais avec nos hôtes… »

 

« Tu ignores beaucoup de chose… »

 

Je souris en entendant cette remarque, toujours allongé sur le lit les yeux fermé. Cela montre clairement que mon état transitoire n’a pas que des défauts : j’ai la faculté étonnante de pouvoir me faire passer pour l’humain que j’étais auparavant d’une manière presque systématique. Ce pouvoir de sang, demandant normalement une quantité minimale pour être activé, demande chez moi presque rien, si ce n’est rien. Cependant, je dois remarquer qu’avec le temps, avec l’évolution de ma transformation, je perds peu à peu cet atout.

 

« Je suis désolée mon joli… mais le compte n’y est pas »

 

« Le compte y est... c’est toi qui ne sait pas compter… »

 

« Oh mais il n’est pas question de mon algèbre… »

 

Je sens alors une présence sur moi, puis quelque chose de froid me frôle la gorge, lorsque j’ouvre les yeux, je vois une lame en acier.

 

« C’était une nuit formidable… mais les horaires ont doublés en peu de temps… »

 

« Une promotion n’est pas dans ton tarif ? Après tout c’est moi qui ai fait tout le boulot… »

 

« Sois mignon et écoute moi attentivement… derrière cette porte se trouve Richard, une merveilleuse armoire à glace prête casser les os de n’importe qui, et cela à n’importe quel moment… et figure toi qu’il est sous mes ordres… »

 

« J’espère qu’il profite de la marchandise… »

 

La femme fit un petit rire et enfonçant de plus en plus la lame contre ma peau.

 

« Tu es un petit rigolo… Sache que ce que je vais te dire n’est pas une farce : dit moi où se trouve ton argent ou va rejoindre mes autres clients… »

 

« Oh… ce qui me laisse peu de chance… sa doit être difficile d’avoir des habitués… Richard peut être ? »

 

Les traits de la femme, auparavant calme et souriant venait brusquement de se changer en un visage violent et déterminé. La belle venait de faire tomber son masque…

 

« Bon on arrête de plaisanter ! Où est l’argent pourriture ? »

 

« D’accord mais une question avant… »

 

« Quoi !!? »

 

« Pourquoi Richard ? »

 

« Hein ??? »

 

« Pourquoi avoir donné un nom si banal à ton homme de main… surtout si celui-ci n’existe pas… »

 

La femme se sentit mal à l’aise, je le savais car l’emprise de la lame venait de se desserrer brusquement.

 

« Qu’est ce que tu dis ? Tu veux réellement mourir ? »

 

« Voyons… prendrais- tu la peine de me menacer avec ton cutteur alors qu’il serai si simple de me tabasser à mort en m’obligeant à dire où se trouve ma bourse… »

 

Sentant la femme prête de paniquer, je la regarde droit dans les yeux et la charma grâce au pouvoir de Fascination. Pour une personnalité aussi faible que la sienne, c’est si facile… . Elle me regarde maintenant différemment, une impression de doute vient de se créer sur son visage, comme si elle était en train de regretter son geste. J’apporte délicatement ma main vers la lame en la forçant doucement à se repousser.

 

« Hellena, écoute moi, je sais qui tu es, je sais pourquoi tu fais ça. Je peux t’aider. Tu sais très bien qu’avec moi c’est différent qu’avec tes autres clients… »

 

« Oui… »

 

« Alors ne fait pas cette faute irréparable… s’il te plaît »

 

Lentement, la lame s’enlève et tombe par terre. Elle était complètement fascinée, tremblante sur le lit. Je me relève et la prit à bout de bras. Le moment est venu ! J’enlève mon camouflage humain et prit ma vrai forme vampirique. Totalement prise au dépourvue, elle resta pétrifiée. Je la jette violement sur un mur voisin et la bloqua. La force développée par les pouvoirs de sang rendait toutes possibilités d’échappatoire nulle.

 

« Non … non … pitié … ne me fait pas de mal ! » Supplia telle

 

« Hellena Radot, sur ordre direct du Vampire Bund, je vous arrête pour meurtres, abus de confiance et proxénétisme. Oui, je sais, pour ce dernier c’est légal dans la taverne. Mais exclusivement se sera un délit car, il faut l’avouer, vous êtes un mauvais coup… »

 

:arrow: La suite bientôt, dans le projet de l'Undercity ;)

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Je ferrais en sorte de poster la présentation de l'Undercity avec un petit RP déjà prévu ainsi que les quelques plans déjà en réserve pour samedi prochain, le plus tôt dans la journée. Concernant les plans, le centre-ville est, je le répète, fini. Concernant les quatre quartiers sur les idées d'aménagement et de bâtiment, je reste sur d'affreux échec qui me répugne! Bien que je travail dessus dans mes temps de libre, je pense qu'il serait très intéressant de bosser sur ces idées chacun dans son coin. Sur ceux, j'y retourne ;)

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