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Caltera ou le journal d'une fermière à la ville


Caltera
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Le départ de la ferme familiale et la recherche d'un endroit ou loger

 

Le temps fut long avant de pouvoir trouver l'endroit rêvé pour s'installer dans ces magnifiques terres. Je décide de rédiger ce journal pour me rappeler des magnifiques moments, et des plus sombres, que je vais passer à présent que je suis indépendante. C'est fou ce que ça peu être à la fois grisant et apeurant à la fois. J'ai marché pendant plusieurs heures, croisant des villages et des villes ou hameaux divers sur ma route. Mais aucune place ne me convenait vraiment, et j'hésite à m'installer dans une grande ville. Vivre seule un moment devrait pourvoir me convenir... En attendant je dors dans ma petite tente.

 

Quelques jours on passé, la carte m'a permis de me diriger dans les immenses plaines, de traverser les grand fleuves et mers qui me bloquaient, pour finalement arriver bien au nord, dans un champ recouvert de neige. Comme un espoir, une fleur rouge m'attendais dans un terrain plat, et une petite marre semblait toute indiquée pour abreuver des animaux, et les plantes que je ne manquerais pas de cultiver tout autour. Je posais mes affaire ici, et commençait à préparer mon terrain, à le repérer. Et quel ne fut pas ma surprise de découvrir que j'allais... avoir des voisins !

 

A la découverte des voisins (et voisines)

 

Quand je vis ce qui ressemblait à un complexe de minage à quelques centaines de mètres de chez moi, je commençais à me dire que le coin ne serait pas si tranquille finalement. Je me décidait à frapper à la porte pour savoir qui en était les occupants. Un homme en armure vint alors et se présenta devant moi, épée à la main! Mon coeur ne fit qu'un tour. Je lui expliquait que je venais pour bâtir une maison, sur quoi il me renvoya vers la chef de projet, une femme qui était en train de bâtir sa maison. Après discussion avec elle, je lui montrait l'endroit ou je pensait m'installer, et je commençait avec son accord à bâtir ma maison. Elle me prévint de ne pas trop faire attention au voisin, un peu rude avec les étrangers mais au fond très gentil.

 

Retroussant mes manches, je commençais à construire ma petite ferme. Quelques morceaux de bois récolté dans les environs, et peu à peu la maison pris forme. Après avoir battis celle ci, je me mis en quête de verre pour mes fenêtre, et finalement mis à l'abris mes maigres possession. Je me suis ensuite attaquée à la mare pour en faire un coin plus pratique pour puiser l'eau pour mes plantes. Plusieurs jours passaient et mes voisins me regardait faire, entre la curiosité et la crainte d'une nouvelle venue. Finalement, au bout d'une semaine, la maison fût terminée, et la mare habilitée. Je me mis alors à préparer le champ et à planter mes graines de blé, les pousses de bambou que j'avais préparé (ça pousse trop vite ces trucs là !!) et des morceaux de cactus. Le temps commença à passer et les premières récoltes vinrent, de nouveaux voisin également, petit à petit je me familiarisait avec eux. Les graines que j'avait plantée se développaient et le champ de fleur fut prêt. Alors que les maisons derrière ma petite colline se muaient petit à petit en village, je me décidait à changer d'air et prendre un appartement en ville. J'avais entendu parler d'Azur, c'était le bon moment pour visiter, et qui sais, peu être m'y installer?

 

(a suivre...)

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Bonsoir à toi jeune fermière puisque cela semble être ta vocation !

 

Je viens apporter quelques critiques sur ton ouvrage. Bien sur, ce n'est qu'un avis personnel et nul ne t'oblige à en tenir compte. Maintenant si tu veux bien pardonner mon impudence, je me lance (Oh oh oh que de rime, c'est fout comme on s'amuse, hm.)

 

Tout d'abord on a du mal à saisir quand se passe la rédaction du dit journal. En effet je trouve qu'il y a quelques dissonances au niveau de l'emploi des temps surtout en ce qui concerne le début de ton texte. Cela s'arrange par la suite mais ça laisse tout de même un sentiment dérangeant.

Après ce n'est qu'un avis personnel mais si je ne me trompe pas, tu rédiges ce texte sous la forme d'un journal. Si tel est le cas, la forme ne coïncide pas tellement avec l'appellation puisque tu fais là le récit de tes aventures comme dans un livre écrit à la suite de celle-ci (Comme le gentil papy qui raconte ses aventures de jeunesses en gros) et non pas comme dans un journal au jour le jour. Ça ne rend pas la qualité du texte mauvaise mais ceci dit c'est encore une fois dérangeant car à mon sens ce n'est alors pas tellement un journal. Sans compter que de mon avis un journal type tableau de bord serait rudement intéressant ! (Mais cela est un avis totalement subjectif)

 

Pour ce qui est de l'idée en elle même, elle n'est pas mauvaise mais difficile à rendre très intéressante. En effet, la vie d'une fermière lambda n'est pas des plus palpitante en réalité et ce même dans minecraft. Ceci dit tu as les moyens de la rendre bien plus prenante grâce à des efforts sur la forme et le fond.

Le fond car il manque de péripéties mais aussi car tu ne développes pas assez les sentiments. Un journal n'est il pas un confident à qui l'on dit tout ? Si tu veux accrocher le lecteur, et c'est en général ce que l'on souhaite quand on écrit, il faut soit un scénario palpitant soit des personnages attachants. (Ou les deux, c'est encore mieux). Alors n'hésite pas à décrire tes sentiments, à exposer tes interrogations, à décrire. Le détail, c'est le bien.

 

Et justement parlons en du détail et donc de la forme En dehors de quelques fautes qu'il serait bon de corriger il y a surtout un problème au niveau des descriptions. Pour être honnête, j'ai le sentiment que tu es passé trop vite sur tout. Tu ne décris pas énormément et tu édictes sommairement tes réalisation sur une période indéfinie. Plus tu rajoutes du détails, plus tu peux intégrer des anecdotes et des péripéties ce qui ne rendra ton texte que plus intéressant. Avec ce que tu nous as fait là, il y aurait moyen de faire 10 pages voir plus. A rien ne sert de courir ça ne rendra que ton récit peu intéressant et trop sommaire sans être prenant.

Là tu nous contes une période de la vie de ton personnage sans qu'on en sache presque rien, sans que cela ait de valeur ni de réelle importance et sans qu'on y revienne par la suite. Non seulement ça va s'essouffler mais en plus ça laisse un arrière gout de "pas fini", comme si toi même tu ne pensais pas cette histoire intéressante ou qu'elle valait la peine d'être racontée mais en ce cas, pourquoi écrire ?

 

Bien sur toutes ces critiques ne sont pas méchantes, elles sont là pour t'aider et elles valent ce qu'elles valent. Mais c'est tombé sur toi que veux tu, c'est comme ça ! Chance ou pas de toute façon tu n'es pas forcée dans tenir compte.

 

Je te conseille cependant vivement d'adopter la forme d'un véritable journal de bord, au jour le jour et d'y insérer des péripéties et des détails; délaye, décris !

 

Et j'ai sans doute oublié des choses, ah, sapristi !

 

 

Un jeune manant passant par là.

 

(D'ailleurs saviez vous que le mot manant était en fait issu de l'époque franque où... oui bon ok je me tire .. Je vais dormir (Encore une rime, mon dieu (moi même donc), je suis trop bon))

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(c'est avant tout un essai en freestyle pour me rappeler des bon moments passés ici, mais merci des suggestions :) )

 

L'arrivée à Azur

 

Me dirigeant vers la fameuse ville d'azur, je finis enfin par la trouver. Un bruit assez fort venait de l'entrée de la ville, ou un sport semblait se pratique. M'approchant de l'endroit, je pris place discrètement parmi les gradins, regardant de quoi il était question. Le maire lui même animait la partie en la commentant, alors que plusieurs personnes se jetaient du haut d'une falaise dans une piscine à ses pieds. Je me demandais ou j'étais tombée, mais il faut dire que l'ambiance qui reignait ici était plus qu’electrique. Me mêlant à la foule, je commençais à acclamer les plongeurs qui semblaient éviter à chaque saut la mort certaine. L'un des plongeurs finis par rater son saut et s'écrasa violemment contre un bloc de bouse séché posé sur la surface de la piscine sous les acclamations du public. Drôle de sport, mais agréable à regarder néanmoins. Et quel courage de la part des joueurs.

 

Suite à la partie de ce j'appris être le dé à coudre, je m'entretint avec le maire pour résider temporairement dans une maison exiguë, appelé appartement. Je profitait des jours suivant pour retourner à ma maison de campagne, faisant plusieurs fois le trajet. La vie azuréenne était plutôt calme, mais peu à peu le calme de la campagne finis par me manquer.

 

Retour en campagne

 

Plusieurs jours plus tard je revint au petit village, qui avait pris de plus en plus d'envergure. Effrayée par l'ampleur du projet de construction et par le nombre de nouveau voisins, je décidait de démolir ma maison pour permettre au village de s'étendre. Beaucoup de mes voisins furent triste de me voir ainsi déménager, y compris mon voisin muet qui parla pour l'occasion! Attachée au quelques premiers habitants, je partis à la recherche d'un coin plus propice, que je trouvait à quelques kilomètres seulement du village, prés d'un cours d'eau et d'une profonde grotte souterraine. J'aurais de quoi m'approvisionner en fer pour mes outils et en eau pour mes cultures. J'entrepris de dégager le terrain, bien qu'il soit en grande partie déjà prêt par le paysage, et utilisa le bois coupé pour bâtir une ferme bien plus grande, donnant libre cours au plantations. Je me fit également un petit jardin pour agrémenter tout ceci. Je fit visiter la maison à mes anciens voisin, ravis de voir que je ne m’était pas trop éloigné, juste le lac de glace à traverser et ils pouvaient venir me rendre une petite visite. Ce petit lac de glace me donna une idée

 

La patinoire

 

L'idée me vint alors que je marchait sur le lac de glace. Celui ci était assez dangereux par le fait qu'il glissait très facilement. Mais c'était également très agréable de pouvoir sentir son corps aller si librement sur la glace. Prenant un peu de temps je finis par ajouter des lames de fer sous une paire de chaussure et tenta de glisser sur le lac. Le déplacement était plus aisé, après une petite période d'apprentissage. L'idée de créer une piste de glisse pour le village me séduisait, et je fit ce qu'il faut pour en parler a la responsable du projet du village. Celle ci fut immédiatement séduite par l'idée et me laissa carte blanche.

 

Je commençait par réaliser une piste ovale en bois posée sur le lac, puis l'idée me vint de faire un bâtiment pour protéger la piste. Le verre me sembla une très bonne option pour voir le ciel pendant que l'on patinait, avec une armature en bois pour respecter le paysage. Plusieurs jours plus tard, le bâtiment était finis. Comme je suis heureuse de voir maintenant les gens du village venir s'y amuser de temps à autre!

 

Je vais retourner à azur quelques temps pour essayer de trouver un endroit ou je pourrait aider à construire.

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