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"La nuit était tombée sur la ville..."


VVcO_ol
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Bonjour à tous et à toute.

En vue d'un projet que je suis en train de réaliser, je poste ici le RP qui y sera attitré.

 

N'hésitez pas à commenter, à me critiquer (pas trop quand même :cry: ), à me dire si cela vous plait ou non etc.

Sur ce, place au Rp!

 

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La nuit était tombée sur la ville, et les honnêtes gens s'en étaient allés vaquer chez eux, tandis que les ruelles s'emplissaient des rebuts de la société : meurtriers, voleurs, contrebandiers...

Ce soir pourtant, un inconnu rôdait dans les rues. Il portait une longue cape noire, et un épais capuchon de laine lui recouvrait le visage. Il se faufilait comme une ombre, longeant les murs et évitant la lumière blafarde émise par les fenêtres environnantes.

Il émanait de lui comme une aura maléfique, et même les pires criminels s'écartaient sur son chemin, préférant ne pas contrarier ce sombre personnage.

Il arrivait enfin à son but : une modeste bicoque délabrée, dont la devanture semblait avoir subi bien plus d'hivers qu'elle ne pouvait en supporter. Comment des gens pouvaient-ils se rendre ici pour boire un verre ? Autant prendre un bol d'eau croupie dans un hospice à mendiants, cela devait certainement coûter moins cher...

A cette idée, la silhouette se surprit à esquisser un sourire moqueur, qui disparut aussitôt ; il fallait se ressaisir, le mystérieux commanditaire ne partageait certainement pas ce si particulier sens de l'humour.

 

Il pénétra dans la bâtisse. L'air y était moite, la lumière tamisée, et la clientèle pour le moins... lugubre. Ils étaient tous là, la lie de la société, ou tout du moins sa frange la plus organisée... et la moins emprisonnée. Il reconnu le signe distinctif en forme de S de la bande à Bonobo, un gang originaire de Symia expert dans le kidnapping et le vol de bananes. Il y avait aussi le fameux "serveur manchot", le célèbre tueur en série insaisissable dont on ignorait l'identité... Mais ce soir, il n'était pas là pour eux. Ce soir, il avait un rendez-vous important.

 

Personne ne semblait prêter attention à ce nouveau venu, préférant discuter discrètement de leurs futurs méfaits en buvant ce qui semblait être une étrange mixture verdâtre à la vague odeur d'ail et d’œuf.

L'homme encapuchonné se dirigea vers le tavernier, ne sachant où son contact se situait dans ce temple du crime.

 

"-Bonsoir mon brave, je viens voir Monsieur V...

-Je sais qui vous venez voir, l'interrompit-il, et par ici, on aime pas trop les gens dans votre genre. Si j'accepte votre engeance, c'est uniquement parce qu'on me paye grassement... Il est au fond de la salle, avec deux de vos petits camarades. Mais faites bien attention mon gars, je vous ai à l’œil..."

Un accueil digne des qualités architecturales de l'établissement, se dit-il. Mais il fallait mieux ne pas le faire remarquer, car d'après ce qu'il avait entendu dire, les visiteurs importuns ne survivaient pas très longtemps à l'intérieur de la taverne Des Sombres Présages...

 

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La vie de fermier n'était pas particulièrement exaltante, récolter du blé, tondre les moutons et aider le maître boulanger n'était pas à proprement parler un métier épanouissant. Mais cela ne l'empêchait pas de rêver sa vie, une vie faite d'aventures, de secrets et de dangers.

Un beau jour, une annonce fut placardée sur sa porte. Sur cette dernière, il était mentionné qu'il avait été sélectionné parmi une multitude de candidats et que l'offre concernait un métier bien particulier, nécessitant des talents rares et plutôt... illégaux.

Enfin, en guise de conclusion, il était écrit que si cette offre l'intéressait, il devrait se rendre sur la colline du chêne centenaire, muni de ce papier, ainsi que de tout le nécessaire afin d'effectuer une longue expédition.

La lettre n'était pas signée, mais un sceau en cire y était apposé, un sceau sur lequel on pouvait lire les lettres "S-R-P"...

 

Cette offre tombait à point nommé, et notre homme voyait enfin venir à lui la vie dont il avait tant rêvé. Ne voyant rien qui le retenait ici, dans ce village miséreux, il prit la route à la nuit tombée. Ne sachant exactement quelle sorte de mission il allait devoir effectuer, il avait décidé d'embarquer un maximum d’objets : une longue cape noire afin d'éviter toute rencontre agressive, son fidèle capuchon de laine le protégeant du froid, une petite dague de fer qu'il avait subtilisée au forgeron du village, de la corde pour escalader les obstacles qu'il pourrait rencontrer, une bourse de pièces d'or contenant ses toutes dernières économies et enfin une petite réserve de nourriture.

 

Il connaissait bien ces contrées, le voyage fut donc de courte durée, et c'est au moment où le soleil était à son zénith qu'il arriva au sommet de la colline du chêne centenaire.

la colline se situait en pleine forêt, pourtant, un seul chêne y reposait. Les villageois avoisinant y avaient vu le signe d'un lieu sacré, c'est pourquoi cet arbre n'avait jamais été abattu et qu'on l'avait affublé du nom de chêne centenaire.

Au sommet de cette colline, la seule vision était celle d'un océan de verdure à perte de vue. Un seul point brillait à l'horizon : la grande ville de New-Stendel. Il n'y était jamais allé, mais on lui avait raconté qu'elle reposait sur un immense bloc de granit en suspension, et que c'était dans cette ville que l'on trouvait les meilleures marchandises... aux prix les plus élevés bien entendu.

 

Plusieurs heures s'étaient déjà écoulées, et pourtant, il n'y avait toujours aucune trace d'un quelconque indice ou d'un visiteur, et de fait, notre homme restait là, seul, au pied de cet immense chêne dont la cime...

C'est là qu'il l’aperçut, au sommet du chêne, accroché à une fine branche, pendait un minuscule coffret de bois.

 

Mais comment diable allait-il faire pour atteindre ce coffret? Il tenta tout d'abord de l'atteindre à l'aide de jets de pierres, dans l'espoir de voir le coffret basculer dans le vide. Mais rien n'y faisait, et le coffret s'obstinait à rester accroché à sa branche au grand dam de notre voyageur.

 

Ne voyant plus qu'une seule solution, l'homme, n'écoutant que son courage, entreprit d'escalader le chêne à l'aide de sa corde et de sa dague afin d'atteindre le coffret.

Ses talents d'escalade étaient plutôt succincts, il avait l'habitude de grimper aux arbres pour y cueillir quelques fruits, mais certainement pas d'escalader des arbres géants pour y récupérer des objets encombrants! L'entreprise ne fut pas aisée, certaines branches ne supportaient pas son poids, et il dut faire preuve d'ingéniosité afin d'arriver au sommet du chêne. Par plusieurs fois il faillit choir de quelques branches instables, et, l'altitude aidant, le vent se faisait de plus en plus fort. Cramponné à sa branche, il s'approchait du coffre petit à petit, chaque pas le rapprochant un peu plus de la consécration.

Mais alors qu'il tendait la main vers le coffret, et que ses doigts pouvaient en effleurer la paroi rugueuse, ce dernier bascula tout seul et vint s'écraser au sol, une trentaine de mètres plus bas, dans un épais tas de feuilles...

Alors que notre homme jurait à haute voix, maudissant ce coffret pour tous les efforts qu'il avait dû entreprendre afin de l'atteindre, il se dit qu'il devait forcément y avoir une entité supérieure qui l'observait et se riait de lui... Il se rappela alors les croyances du village en un Dieu gouvernant les monde, que tout le monde semblait appeler affectueusement "Dok". Encore une croyance de superstitieux se dit-il en descendant.

 

Il arriva enfin en bas de l'arbre, et se laissa tomber lourdement à côté du coffre tant désiré. Cette escapade champêtre lui avait tout de même pris une bonne partie de la journée, et le soleil s'estompait déjà à l'horizon.

Il fallait maintenant ouvrir le coffre mais cela s'annonçait difficile. En effet, il ne semblait pas y avoir de mécanisme d'ouverture, pas même une serrure... Cette aventure était de plus en plus énigmatique.

La nuit tomba, et ce faisant, l'analyse du coffret devenait quasiment impossible, notre voyageur décida donc de se reposer au pied du chêne, jusqu'à ce que le soleil se décide enfin à se montrer.

 

Le matin suivant, il réessaya d'ouvrir le coffret, et tandis qu'il essayait de forcer l'ouverture à l'aide de sa dague, il vit à la base de l'objet une petite encoche circulaire, similaire au sceau présent sue le message. Tentant le tout pour le tout, il enfonça ce dernier dans le trou. Et, en le faisant pivoter, il entendit le déclic classique du coffre qui s'ouvrait enfin. Il touchait à son but, et s'empressa de l'ouvrir, espérant voir des joyaux, de l'or, ou un quelconque objet de valeur.

Mais au lieu de cela, il n'y avait qu’un bout de parchemin, cacheté de nouvelle fois avec un sceau sur lequel on pouvait lire les lettres "S-R-P".

Il ouvrit le parchemin et commença à le lire :

 

"Félicitations voyageur, vous venez de réussir la première épreuve. Je ne doute pas que vous avez fait preuve d'ingéniosité et de patience, et que vous avez compris que le coffre tomberait de lui-même à vos pieds.

Néanmoins, votre expédition n'est pas encore terminée, et il reste une dernière épreuve à remplir.

 

Le Jarl Tasterix, Seigneur du Royaume de Stonecross, a en sa possession un objet qu'il faudrait que vous dérobiez, à son insu bien entendu. D'après nos renseignements, cet objet serait placé dans une petite boite, dans la chambre du Jarl.

Votre mission sera de pénétrer à l’intérieur de la chambre du Jarl située à Stonecross, de subtiliser ladite boite et de la ramener à l'auberge des Sombres Présages, à New-Stendel, et ce le jour des fêtes du solstice d'hiver. Là, vous me rencontrerez, moi, VVcOol.

Je vous offrirai alors votre récompense.

 

Un dernière chose, votre mission est de dérober cette boite, et uniquement cette boite, aucun débordement ne sera accepté. De même, il vous est formellement interdit de faire couler le sang, tout du moins pour cette mission..."

 

Le parchemin était signé par un certain VVcOol, et de nouveau par le même sceau.

Les fêtes du solstice d'hiver... Cela lui laissait cinq jours pour rejoindre Stonecross, voler la boite, revenir à New-Stendel. Mais vu la distance à parcourir, ces cinq jours semblaient être vraiment peu. En effet, il allait lui falloir au moins deux jours pour rejoindre le Royaume enneigé de Stonecross, et deux jours pour rentrer à New-Stendel, ce qui finalement ne lui laisser qu'une seule et unique journée pour trouver le château, s'y introduire, infiltrer la chambre du Jarl, voler sa mystérieuse boite et ressortir, tout cela sans être vu, et sans provoquer la moindre effusion de sang... Une partie de plaisir en perspective.

 

Le temps était compté, notre homme prit donc la route, bien décidé à empocher la récompense.

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Trois personnes étaient assises à la table, l'une d'elle avait le dos tourné, faisant face au foyer d'où émanait un feu ardent.

Les deux autres personnages discutaient bruyamment, leur discussions n'étant inaudibles uniquement parce-qu’un groupe de nains ivres festoyait en chantant à l'autre bout de la taverne.

A première vue, ces deux hommes devaient être des personnes importantes du royaume. L'un des deux portait une lourde armure de plates ouvragée, sur laquelle il y avait des armoiries rouges et blanches qu'il n'avait jamais vues. A sa ceinture pendait une épée à la teinte bleutée et au pommeau orné de pierres précieuses.

Nul doute qu'il s'agissait d'un illustre guerrier, riche qui plus est.

Le second homme, lui, n'était pas armé, mais était vêtu d'une robe de soie beige, surmontée d'un col en velours bleu. Il portait de nombreux bijoux sur lui et surtout, aimait les montrer.

Un riche marchand sans aucun doute.

 

Lorsqu’il s'assit à la table, les deux hommes se turent en le dévisageant de leurs regards hautains.

Le marchand prit la parole :

 

"- Tiens tiens, mais qui avons-nous là? Un gueux à notre table? Où te crois-tu paysan? Ne vois-tu donc pas que cette table n'est occupée que par des invités de marque ?

-Les pauvres ne respectent rien de toute façon, reprit le guerrier, à croire qu'il ne nous reconnaît même pas. Sais-tu au moins qui nous sommes petit?

-Veuillez m'excuser grands Seigneurs, répondit le voyageur, je ne suis qu'un humble fermier d'une lointaine contrée isolée du royaume, et je crains de ne pouvoir vous reconnaître...

-Soit, au moins, dit le guerrier, ce mendiant-ci semble avoir le sens de la hiérarchie... De toute façon, te dire nos rôles n'aura aucune importance, étant donné ta place dans le royaume, que pourrais...

-Il suffit!"

 

Le dernier homme, celui qui faisait face à la cheminée, venait enfin de prendre la parole. Il se retourna lentement, le grincement de son fauteuil accompagnant son geste.

Contrairement aux deux autres hommes, celui-ci ne semblait pas particulièrement riche, il portait un ensemble noir, uniquement contrasté par une chemise blanche sur laquelle pendait un bout d'étoffe rouge cramoisi. Son visage était totalement neutre, figé, il ne semblait pas être capable de montrer le moindre signe d'émotion. Son crâne était totalement rasé et brillait de par la lumière du foyer. C'est alors que le guerrier prit la parole.

 

"Bonsoir Messire, je me présente, je suis le Seigneur...

-Silence, dit l'homme au crane rasé en levant la main, je n'ai que faire de vos pitoyables identités. Je ne vous ai pas choisi pour vos rangs, mais bien pour vos aptitudes. Vous n'êtes pour moi à peine plus que de simples numéros.

Je suis VVcOol, votre commanditaire. J'ai confié à chacun d'entre vous une mission bien particulière. Commençons par vous, dit-il en fixant le marchand, avez-vous réussi à assassiner votre cible? J'ai ouï dire qu'elle était toujours en vie...

-Euh... Oui, en effet, il semblerait qu'il y ait eu quelques complications, dit le marchand tandis que de grosses gouttes de sueur commençaient à perler sur son visage, j'ai été arrêté par les gardes, et je ne dois mon salut qu'à mes talents de ... marchandages. Mais si vous me laissez plus de..."

 

VVcoOl venait de lever la main pour le faire taire. Il ne semblait pas affecté par cette nouvelle, il prit une gorgée de son verre et inspira profondément.

"-Donc vous avez échoué. Voilà qui est fâcheux. Croyez-vous que j'ai envie de me contenter de vos piètres excuses ? Non. Je pensais véritablement que vous étiez doué, mais je constate que votre seul pouvoir est celui de l'argent... Je vous prierai donc de bien vouloir quitter cette table.

Une dernière chose : les nouvelles vont vite ici, et lorsque tous les criminels de la ville sauront que vous n'êtes plus sous ma protection, j'espère que la taille de votre bourse et que vos talents de marchandages seront à la hauteur..."

A ces mots, le marchand se leva promptement. Ses yeux étaient grands ouverts et reflétaient bien son état d'inquiétude. Il se dirigea prestement vers la sortie, en prenant soin de scruter toute la taverne afin de voir si quelqu'un avait entendu la discussion.

A peine eut-il franchi la porte qu'un petit groupe de flibustiers torcubains se leva et le suivit, certainement avide de gagner quelques pièces d'or en faisant un brin d'honnête piraterie.

 

"-Venons en à vous, reprit VVcOol en regardant le guerrier, m'avez-vous ramené ce que je vous ai demandé? D'après les renseignements en ma possession, il paraîtrait qu'il y ait eu quelques morts et quelques blessés...

-Disons plutôt que le bibliothécaire n'aura plus à se soucier de savoir où il a rangé ses lunettes. Normalement, les tâches de sang devraient pouvoir partir au lavage."

 

Ce disant, il jeta sur la table un épais grimoire de cuir sur lequel on pouvait apercevoir une trainée de sang, comme si le dernier propriétaire s'y était agrippé de toutes ses forces.

VVcool prit rapidement le grimoire, l'observa quelques instants et le déposa derrière lui, à l'abri des regards indiscrets.

 

"Je vois... Ma foi, tout cela me semble plutôt acceptable. Merci beaucoup. Votre récompense vous attend dans la salle qui se situe derrière moi."

 

Le guerrier s’exécuta, trop heureux d'avoir enfin sa récompense. Mais, un instant après qu'il disparaissait en claquant la porte derrière lui, un cri de douleur accompagné du bruit distinctif d'une meute de morts-vivants ravie d'avoir enfin de la compagnie retentit dans la taverne, sans que cela ne choque aucun des clients présents.

 

"-Voyez-vous mon cher, dit VVcool au dernier voyageur, notre groupe ne se satisfait pas de résultats approximatifs. Si je vous ai demandé de ne blesser personne, c'est parce que nous avons une certaine... réputation à tenir. Et ce genre de comportements ne correspond pas à nos attentes.

J'espère que de votre côté, les résultats sont bien meilleurs. Mais pourtant, je n'ai pas eu vent d'un quelconque larcin dans la demeure de Tasterix, vous auriez donc échoué vous aussi?

-Pas exactement."

 

Notre homme posa sur la table la petite boite qu'il avait subtilisée à Tasterix. VVcOol la prit, légèrement surpris.

 

"L'avez-vous ouverte pour regarder ce qu'il y avait à l'intérieur?

-Cela ne faisait pas partie de ma mission.

-Excellent, un homme discret, capable, et discipliné."

 

Il ouvrit la boite. Le couvercle du coffre empêchait quiconque d'en voir l'intérieur, hormis celui qui l'avait ouvert. Une lumière dorée émanait de l'intérieur et se reflétait sur le visage de VVcOol. Ce dernier resta quelques instants sans voix devant le contenu de la boite. Que pouvait donc y avoir de si important et de si beau pour que cet homme impassible soit si ému?

Puis, après avoir repris ses esprits, il referma la boite. En retour, il posa une bourse remplit de pièces cliquetantes sur la table. Notre homme la prit sans discuter et s’apprêta à se lever. Mais VVcOol l'en empêcha et dit :

 

"-J'ai une autre proposition à vous faire, une proposition que l'on ne peut refuser. Une proposition qui peut faire de vous un homme beaucoup plus riche.

-Continuez je vous prie.

-Bien. Disons pour faire simple que je suis le chef d'un groupe bien particulier aux talents très variés. Nous sommes experts dans l'assassinat politique, le cambriolage ou encore le sabotage. Nous sommes très demandés, et beaucoup de gouvernements et de royaumes font appel à nos services pour faire disparaître des éléments gêneurs ou autres...

Or, notre groupe connait une croissance des plus agressives, et il se trouve que j'ai un poste à pourvoir, un poste pour vous bien entendu... Cela vous intéresserait-il?"

 

En guise, d'assentiment, notre homme tendit à VVcOol sa dague et hocha la tête.

"Parfait. Pour des raisons évidentes de discrétion et de sureté, nous tacherons de ne plus nous appeler que par des noms codés. Vous répondrez dorénavant au nom de "Scorpion", vif et discret.

Avez-vous des problèmes concernant le vol, le sabotage ou le meurtre?

-Je peux tout faire si je suis payé pour, dit Scorpion.

-Fantastique. Je fonde de grands espoirs sur vous Scorpion, peut-être un jour pourrez-vous me remplacer."

VVcOol tendit un verre d'alcool à son nouvel associé.

 

"Félicitations Scorpion, bienvenue dans l'agence, bienvenue au SRP."
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Bonjour,

 

Discutant avec toi sur mumble, j'ai pris donc connaissance que le rp n'était pas forcément quelque chose dont tu raffolais.

Tu as tort mon cher. Tout comme a puu le dire Neilmims, tu as vraiment une plume particulière.

 

Mon avis reste tout de même mitigé.

Le début de ton récit semble moins travailler que la fin. Pour être honnête, on dirait que tu es rentré dans le récit comme je l'ai été.

A partir de la fin de ta deuxième partie, on se fait happer par ton récit. On est intrigué, questionné, intéressé, et on veut savoir la suite.

Le début ne donne pas à mon goût cette impression (et ya quelques micros fautes de syntaxes qui font relire une phrase ou deux)

 

Mais je t'avouerais aussi, que bon nombre de livre / roman, donne cette impression après 20 pages de lecture. (Comme le disait une femme que je respectais énormément, il y a la règle des 20 / 30 pages. Tu sais si le livre t’intéressera ou non passé ce cap)

Et moi, ton récit m'intéresse et me fascine.

 

Je demande donc une suite, et peut-être si tu le peux, rajouter des éléments introducteurs. (peut-être peux-tu narrer l'introduction des 2 autres personnages (marchand et seigneur. Même si ils meurent, cela donnera une impression que rien n'est interdit. Alors que narrer seulement celle du fermier, ça donne tout de suite l'impression qu'il survivra.)

 

Voilà pour mon avis, qui reste l'avis d'un amateur d'histoire, mais en rien un avis qui mérite forcément toute ton attention.

 

Cordialement,

Taibot.

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