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Journal d'une personne Nordique aimant apprendre


quentcat
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Jour 1

Hum je pense commencer à écrire ce journal par peur d'oublier tout ce qui m'arrive. Aussi afin de garder une trace de ce que je fais ou bien pour savoir qui j'était si quelqu'un retrouve ma dépouille dans une des nombreuse forêt grouillante du pays.
Du coup je pense commencer par revenir en arrière histoire de raconter ce qu'il s'est passé jusqu'à aujourd'hui
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Arrivé sur ces terre il y a déjà plusieurs lune, tant que je ne pourrais les compter, depuis le grand nord encore enfant avec mes parents j'ai vécu ma vie paisible reclus de toute société. le temps est passé et mes parents sont morts de maladie. Courant a leurs age non ? j'ai donc continué ma vie tranquillement
Mais un jours le cataclysme a débarqué: les humain aux oreilles pointue ... Ils ont commencé par construire des maisons entre et sur les arbre de la forêt que j'avais planter pour ma cheminée. Si ce n’était que ça ... Ils ont continué en emmenant tout les animaux de chasse dans un sanctuaire comme pour les "protéger" peuh !
Mourant peu à peu de faim, la chasse étant la seul source de nourriture dont je disposais je commençais à penser charger ces vaurien avec toute l'ardeur de mes dernières force.
Alors que je gravait le Valknut sur la garde de mon épée la terre sous mes pied trembla et d'un coup moi ainsi que ma maison traversa le sol à ce moment ma tête heurta un rocher et tout devint sombre...
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Je repris d'un coup sec ma respiration me relevant d'un bond en ouvrant les yeux. ké ?. J’étais assis sur un lit enfin je pense que c’était un lit mais a vrai dire ça ressemblait + a un gros block de pierre.
Soudainement je l’aperçut: un petit humain barbue me fixant avec des yeux ronds. "Vous m'avez surpris à vous relevez comme ça" Je ne comprenais rien quel était ce langage ? Voyant que ce qu'il disait je ne le comprenais pas + qu'un Draugr comprendrais l'orientation par les étoile, il ne continua pas.
Ces petit humain m'ont donc accueillis, nourri et logé. De mon coté j'ai appris leur langue et c'est comme ça que j'ai compris qu'ils avaient creusé trop près de la surface ce qui avait eu comme conséquence l’effondrement de ma maison. ils se sentaient désolé pour ça.
Mais ce n'est pas important car ils m'ont fait découvrir les fête, la bière et tout simplement les relation humaine
J'ai donc décidé de rejoindre la capital mais une fois sur place je n'en cru pas mes yeux: presque vide
Ébahit, c'est à ce moment qu'un étranger m'expliqua que dans la tour des mages des portails menait vers d'autre monde et que par ce fait la population était plutôt dispersé et ne se croisait pas souvent
A partir de cet instant je n'eu qu'une idée en tête: avoir suffisamment d'argent pour ouvrir ma taverne en ville afin de rassembler régulièrement le soir les gens en un même point et depuis ce jour j’enchaîne les petit boulot pour y parvenir

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Les semaines s'était écoulé depuis ma visite de la capitale comme prévu j'avais parcouru le pays de ville en ville répondant au besoin de qui me payait. Oui en sois j’étais devenu mercenaire.
Au cours de ces voyage j'ai pu découvrir de très belle chose comme les magnifique vêtements que je porte actuellement. Ou encore beaucoup de connaissance apprenant surtout en observant et en lisant.
Je n'avais pas vraiment de problème d'argent mais je préférais vivre de fruit sauvage et surtout de chasse afin de pouvoir économiser ces pièce. Entre temps j'ai bien tenté de m'enrichir en revendant quelque peau de bête mais ce pays est fou j'ai passé pas mal de temps à lire des livres sur le commerce et ce qui ressort de ce pays est que toute les ville produisent tout type de ressource en énorme quantité ce qui fait que peu d'échange se font entre elles ... en gros plus rien ne s'achète ou se vend

Au cours de mes voyage dans les terre du sud on m'appris une recette de petit gâteaux au cacao je m'étais dit à ce moment que si je pouvais perfectionner la recette cela pourrais être une très bonne chose à vendre à la taverne du coup je passais souvent dans la capitale en offrir au rare personne que je croisais afin d'avoir leur avis pour améliorer ces petite pâtisseries

Suivant ma routine de mercenariat offrant des gâteaux aux passants je vis à la suite d'une réunion à la capitale, un grand nombre de personnes repartant tous dans la même direction
Devinant le profit éventuel possible découlant de la vente de mes services je les suivit ... longtemps ... très longtemps. A vrai dire jusqu'à la frontière Est du pays passant même par la mer

Une fois pied mis a terre je me précipitai vers une personne portant une couronne. Les civilisation d'aujourd'hui aime porter ce genre d’apparat pour se faire reconnaître en temps que leader. Ça a le mérite de fonctionner. Me plaçant devant cette touffe de cheveux rose je mis un point d'honneur à la vente de mes compétences. Le porte-couronne ne fut pas contre et me fit visité la ville m'expliquant l'histoire de son peuple. Pour finir par me tendre une veste me demandant de la porter pour être reconnu de tous comme appartenant à cette ville. Je refusa. Je voulais certe rendre service et avoir un endroit où soufflé de mes course au quatre vents mais je ne voulait pas m’enchaîner. J'ai mes propres objectif après tout. J'expliquais donc que je pouvais très bien travailler ici et même porté des responsabilité que je pouvais même diriger une équipe (le prouvant en sortant un livre de mon sac que j'avais lu sur la gestion de chantier) et que en cas de besoin je pouvais même conseiller sur beaucoup de chose fort de mon expérience résultant de mes nombreux voyages dans différentes villes mais je refusai de représenter cette communauté en dehors des frontière de la ville

Son regard autant hétérochromique que le mien, mais à contrario n'ayant pas l'air d'origine naturel(Le mien l'étant de naissance), me dévisagea et sa bouche s'ouvrit:
Sabot,c'est comme ça que son peuple l'appelle, m'annonça que si je ne voulais pas représenter la ville hors de leurs frontières ce n'est pas un problème , le port de la tenue Dolentie n'étant pas obligatoire , et qu'il était vrai que mes services et mes compétence ne serait pas de refus , mais avant cela il devais d’abord me tester , Ils on donc commencé à me faire passer une période de test afin qu'après celle-ci lui ainsi que les Dolentis jugerons si je suis apte ou non à rejoindre leurs rangs .
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En réalité après avoir aidé dans quelques taches sans importances je repris finalement ma route cet endroit n'étant pas + important pour moi que les autres endroits où j'ai pratiqué le mercenariat.
Lors d'une de mes interminables marche sur les routes je croisa ces gens. Oui ces gens. J'avoue ne jamais en avoir vu des comme ça auparavant. C’était littéralement des animaux sur deux pattes et portant des vêtements et qui parlais couramment la langue du pays.
Ils s’apprêtaient a rentrer dans une très sombre forêt, le + grand d'entre eux n'ayant pas l'air vraiment rassuré. Je décida de les suivre.
Cette forêt avait déjà l'air sombre de loin mais je ne pouvais pas m'imaginer à quel point une fois à l’intérieur. Je ne voyais littéralement rien à + d'un mètre même une torche à la main c'était comme si la forêt elle même absorbait la lumière. Des bruits se faisait entendre je dégainait mon épée, il m'en fallait beaucoup + pour penser m'effrayer, qu'ils viennent je les attend !

Après quelque minutes de marche à tâtons je sortit finalement de ce bosquet noir et ce que je vu me décrocha la mâchoire. Des îles ... Des îles en l'air au dessus d'un lac au milieu duquel une très grosse et haute île était posé c'était littéralement une colline à sommet plat. Apercevant un endroit dans la parois pour arrivé au sommet je m'enpressa de grimper.
Une fois au sommet je tombé nez à nez avec eux. Les personne que j'avais aperçu à l'entré de la forêt ils me fixèrent un peu ... beaucoup en réalité. c'est a ce moment qu'une odeur incroyablement forte arriva jusqu'à mes narines, la même odeur que dans certain quartiers remplie de gens étrange fabriquant moult mécanisme, mais c’était excessivement + fort que tout ce que j'avais pu sentir jusque la. La source de cette odeur m'addressa la parole en premiers me disant s'appeler Camelo et que je me trouvais sur les ruines de ses terres.
Le + grand des deux de son côté me raconta s'appeler Meikah et être de visite. Nous discutâmes de cette façon plusieurs heures lorsque un sujet en particulier attira mon attention. Je n'y croyais pas, quelqu'un d'autre venant du grand nord habitait le pays.
Meikah me proposa de m'enmener voir cette personne et Camelo de nous accompagner. J'accepta. Meikah m'expliqua donc qu'il fallait absolument passé d'abord à la capital chercher du matériel dans sa maison notre destination étant réputé très dangereuse. L'ours sorti donc un parchemin de sa sacoche et commença à le lire à haute voix et un éclair blanc + tard nous fûmes sur la place de Stendel. J'attrapa à toute vitesse un pot de fleur et lâcha l'intégralité de mon estomac a l'intérieur.
Une fois chez l'ursidé on m'offrit une très belle épée forgé d'un très beau métal ainsi qu'une armure intégrale fait ... en diamand. Je remercia grandement pour le cadeau mes yeux encore rond mais j'expliquais ne pas porter d'armure cela entravant mes mouvement en combats je lui rendit donc l'armure à cet instant précis des mains m'attrapèrent et m'immobilisa pendant que l'on m'equipa de force avec l'armure. Et le voyage commença
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Nous étions devant un énorme crâne. "C'est ici" m'annonça t'on. Nous pénétrames dans ce qui ressemblait à une caverne. "Oh non ! ILS ARRIVENT DÉJÀ" Me hurlai mes compagnons de voyage, et je les vit: Des dizaines et des dizaines de monstre fonçant à toute allure vers nous "Courrez on ne tiendra pas" hurla Meikah. J'ai donc foncé droit devant moi aussi vite que je pu découpant tout sur mon chemin. J'étais en pleine création de boucherie lorsque devant moi apparut ce qui a été mon pire cauchemar. Une légion entière d'archers squelette. Ils ont tiré tous en même temps je fu transpercé de dizaine, non, de centaine de flèches. L'armure n'a pas pu tout absorbé. Je du me résoudre à fuir vers la sorti a moitié aveuglé par mon propre sang. Ma vision devint de + en + sombre. Non ! Je ne pouvais pas mourrir ici ! C'est à ce moment que les archers lancèrent leur deuxième salve, celle ci me transperça le dos et je m'écroula. Au sol je vis, ceux qui était récemment devenu mes amis, tomber à leurs tour au combat. Ma vision se brouilla et tout disparu.
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Je me réveilla dans un lit avec mes côté ceux qui auraient pu m'acompagner au Valhalla. Je ne comprenais pas n'étions nous pas mort ? Par la fenêtre je reconnaissais les murailles de Stendel. Ils soupirèrent de soulagement "on dirais bien que les grand mages nous on recuperé la bas" dirent t'ils.
J'ai attrapé le 1er livre vierge venu et j'ai commencé a écrire de ce que je suis actuellement en train de rédiger
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Jour xx

{Bientôt}

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