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  1. Spécialisation : Indigéne a la con du chaos. Nom de l'échoppe : Chimic'Lava Localisation : Stendel - Capitale Bonsoir à tous, Je viens à vous afin de postuler à ce grade de commerçant, qui sera, je le pense, l'ultime évolution de mon personnage dans la hiérarchie de Minefield (ou pas, seul l'avenir nous le dira). Pour ceux qui ne me connaissent pas, je m'appelle Florian, 17 ans, je vis en Auvergne (Cantal). Actuellement en Terminale S-SI, spécialisation ISN. Je suis un passionné d'informatique & des nouvelles technologies (Je développe principalement en HTML, PHP, CSS, Python, mais je maîtrise également les bases de données MySQL, et je touche un peu au java et au c/c++). Autrement, mes activités principales sont la natation, le modélisme ferroviaire, et la musique (Bien que je ne sache malheureusement pas jouer d’un quelconque instrument …). Au niveau de Minecraft, j’ai commencé à jouer en 2009, et j’ai eu un grand arrêt sur 2012-2014. Je viens tout juste de reprendre mes activités sur ce jeu. J’ai crée plusieurs petits plugins pour Bukkit/Spigot ainsi que deux mods relatifs à la nourriture et aux minerais du jeu. Pour Minefield, j’ai découvert ce magnifique serveur en 2011 via plusieurs amis, et via le BLS (Ce que les plus jeunes ne connaissent probablement pas, car en 2011, le Bob Lennon Show était déjà arrêté je crois). J’y ais passé beaucoup de temps, je m’étais fait une bonne notoriété d’une personne active et motivée, puis, j’ai du, en raison d’une tragique perte de PC, arrêter de jouer. Je suis revenu mi-aout avec ma petite amie qui à achetée Minecraft très récemment et qui m’a poussée à revenir. Depuis, je joue principalement sur Minefield, à raisons de 2-3h/j en moyenne le week-end et le mercredi, et je me connecte quotidiennement. J’ai reconstruit un petit domaine (Une maison de 25*25 et une de 10*10, respectivement sur Stendel et NS.) Mes anciennes candidatures sont disponibles ici : http://www.minefield.fr/forum/topic/31584-acceptécandidature-opulon1/ http://www.minefield.fr/forum/topic/39736-acceptécandidature-voyageur-opulon1/ Cependant, même si vous devez théoriquement en prendre compte, je préférerais que ce ne soit pas le cas. Ces deux candidatures datent d’il y à 3 ans désormais, alors que j’ai été absent quasiment 2 ans sur Minefield. De nombreux aspects dans ma vie privée ont changées, et peuvent avoir éventuellement une influence sur le RP. Cependant, je tenterais tout de même, lors de mon RP de rattrapage (En surplus de mon RP commerce), de mettre de nombreux points au clair et d’effectuer une transition « normale » entre mes deux « moi », celui de 2011 et de 2014.) Autre détail à préciser selon le topic « Faire sa candidature », je tiens à préciser que je possède actuellement le rang de Citoyen, spécialité Indigène à la con du Chaos, et ce, depuis 2011. Le magasin que j’ouvrirais en premier sera sur la capitale de Stendel (2 Place Ticot me semble t’il), et se prénommera « Chimic’Lava » (Pour les anglophobes, lave chimique). Nydria : Maison-Ferme RP commune avec VenusVitrix : Shop principal de Stendel : 2, Place Ticot. Shop secondaire à Nydria et à Kutzenbach. Architecture : Texture pack par défaut : Texture pack Jolifield : Lien direct de la map (Une partie de la place à été reconstituée, mais pas tout, d’où la présence du bois, afin de “fermer” la place.) : Cliquez ici. (Ouvrez là uniquement avec le launcher minefield !) Prix appliqués (Identiques dans toutes les boutiques, sauf à Stendel ou les prix seront un tout petit peu plus élevés.) : Tout les prix ici sont sujets à de grosses réductions pour les projets officiels, approuvés par la modération, et disposant de ressources humaines suffisantes afin de garantir une continuité. Je n'intégrerais pas la corporation immédiatement, ou tout au moins, je ne m'alignerais pas sur les prix de celle-ci. Instant dérive totale sur un autre sujet... Mes motivations sont purement dues à mon RP (Voir plus bas), mais également de l’ordre la communauté. En effet, peu de personnes prennent la décision d’effectuer un tel métier que celui d’indigène, dû à la difficulté et à la dangerosité de ce dernier. C’est ainsi que seuls 4 ou 5 commerçants exercent actuellement ce métier, pour une communauté très imposante de joueurs. Je pense donc qu’un peu d’aide en supplément ne pourra qu’être bénéfique aux autres commerçants, et à la communauté, ces derniers ayant plus de chances de trouver des stocks des articles rares ou de voir un indigène connecté pour leurs crafts. Concernant mes motivations liées à mon RP, je vous laisse les découvrir dans ce dernier ! (/ !\ Le RP résume tout mes faits depuis mon passage citoyen en 2011 ! Donc, le RP est forcément assez conséquent. Autre détail > Le RP est assez noir, et pourra peux être ne pas être appropriée à une lecture tout public, bien qu’aucun détail ne soit divulgué, plusieurs personnes meurent…) Perdu. Oublié. Personne ne me reconnait. Je suis vêtu d’un simple habit en feuilles et en lianes en office de pantalon. Des feuilles compactées avec des intérieurs en noix de coco coupés en tant que chaussures. La seule partie de mon accoutrement restant est mon dessus : Un vieil habit, qui serait plus à reléguer au rang de « sac à patate » qu’au nom de véritable vêtement. Comment est-il possible qu’une personne avec tant de renommée dans cet Empire, une personne si influente, avec tant de terres en sa possession, puisse ne plus être reconnu et être accoutré de cette façon, et si sale ? Je dois avouer ne plus me souvenir de ma dernière douche… Peux être il y à 4 mois, dans un ruisseau que j’ai trouvé en errant ? Ou était-ce il y à six mois ? Je ne sais plus. Je pense que pour connaître les réponses à ces questions, il me faut me projeter en arrière. Allons-y, pour le flashback… Me voila, indigène, convié, de par mon grade, à faire parti, de gré ou de force, des premières lignes pour l’ouverture du portail vers l’Enfer… Les mages, après avoir réussi à ouvrir le portail vers notre ancien monde désolé, afin de le restaurer, avaient désormais franchi un pas en plus dans l’augmentation et la démonstration de leurs pouvoirs : Ils allaient ce coup ci ouvrir les portes de l’Enfer, d’un monde sans merci ou régnaient, d’après les livres, des créatures des plus atroces et mortelles. Mais, ce que les mages n’avaient pas pris en compte, malgré de nombreux avertissement de la part de notre communauté indigène, c’est qu’ils ne seraient en aucun cas capables de contrôler la magie noire s’y trouvant là bas. Mais je ne pouvais pas renoncer. Mon statut assumé de cogneur et de véritable survivant parmi les morts me forçaient à y participer. Alors, les mages ouvrirent le portail. Notre unité, composée de 6 soldats et de moi-même, en dirigeant des opérations, passa le portail éphémère conduisant au Nether. Je n’oublia cependant pas d’ajouter, avant de partir : « Messieurs, sachez que si nous revenons un jour vivant de notre périple, nos noms seront à jamais gravés dans l’histoire de notre monde ». Mais, à peine arrivé dans ce monde hostile, nous furent confrontés à des ennuis : Deux de nos soldats furent immédiatement tués, le premier par un gisement de lave en fusion, dû à une erreur de téléportation de la part de nos mages, et un autre, réduit en cendres par un Ghast, également surnommé « Le cracheur de boules en feu ». D’une manière moins poétique, il est aussi nommé « Le ganglion enflammé », son projectile étant une boule en feu sortant de sa bouche. Mes quatre soldats et moi-même courûmes sur plus de deux cents cubes, escaladant des montagnes en flammes, et évitant la lave ainsi que les divers projectiles qui nous étaient envoyés. Une fois à l’abri, je distribuai les rôles et tâches de chacun. Nous étions rationnés par une quantité de vivres définis. Nous n’avions qu’un tout petit peu d’eau. Et des livres et des armes. Et bien qu’en règle générale, l’éducation et la guerre ne soient pas des notions qui cohabitent facilement, ces deux éléments nous furent utiles. Les livres nous permettaient en effet de noter toutes nos découvertes, pour un jour pouvoir les donner aux mages qui nous ont envoyés comme explorateurs de l’extrême. Les armes, présentes pour régler les soucis de manière amicales, ont vu leurs lames utilisées à de nombreuses reprises. Après avoir prélevé les premières roches que nous avions trouvées, nous établirent un campement de base, alors que nous voyons au loin les restes du portail, qui se refermait. Nous nous savions condamnés à errer ici, avant que les mages ne puissent rétablir une connexion entre nos deux mondes. Nous étions donc seuls, confrontés à nous-mêmes et à un espace vorace, hostile, dangereux. Alors que mon tour de garde se finissait, aux abords du campement, et que mes quatre compagnons dormaient paisiblement, nous fument assaillis par des troupes d’un peuple qui nous était inconnu, et dont aucun de mes livres ne faisait notion. Il s’agissait de sortes de cochons putréfiés, se tenant comme des humains, debout, mais également de squelettes entièrement noirs. Mes seules hypothèses à l’heure actuelles sont qu’il s’agissait de personnes et d’animaux tués par d’autre, qui, n’ayant trouvé la voie de la rédemption et de l’acceptation, avaient décidés de venir ici dans le but de pouvoir, un jour, rendre la pareille à leurs meurtriers. Mais aucune thèse ne me permet d’avancer ceci. Revenons-en aux faits : Alors que nous étions encerclés, je réveillais mes compagnons pour qu’ils se tiennent prêts à entamer un combat féroce. Mais, malgré tout nos efforts pour résister, le surnombre nous obligea à nous rendre. Un de mes amis fût décapité, son corps laissé à l’abandon, et sa tête conduite sur une pique jusqu’à un village entier, peuplé de ces personnes étranges. Nous fumes jeté en prison ; la tête encore sanglante de notre camarade devant notre cage, comme pour nous regarder, nous observer. Ces créatures n’avaient cependant pas eu l’idée de nous retirer nos équipements. Nous creusâmes donc un tunnel afin de nous échapper. En une heure, nous élions dehors, et j’en avais profité pour récupérer leur brique, totalement rouge, de couleur sanguine, ainsi qu’une sorte de sable marron. Et nous voila, courant à nouveau, pour sauver nos vies. Nous n’étions plus que 4 au total, et cela ne faisait qu’un jour que nous étions dans cet environnement. Je voyais déjà nos sorts scellés. Mais les deux mois qui suivirent s’écoulèrent, lentement, mais tranquillement . Nous avions construit une structure en hauteur, protégée par un environnement naturel, composé de montagnes et de lave. Nous avions modifié notre comportement. Je m’occupais d’écrire en entier le rapport, chaque soir, tandis qu’un autre s’occupait de gérer nos coffres. Nous n’avions plus l’optique d’explorer, mais de faire le plus de stocks possibles, afin de nous assurer un riche avenir une fois de retour dans notre monde. Nous avions, entre autre, découvert une nouvelle roches, aux propriétés bizarres : il s’agissait d’une roche jaune et noire, qui émettait beaucoup de lumière, et qui, en chauffant, s’épurait. Puis, un jour, je décidé de partir seul pour aller miner. En effet, un de mes amis s’occupait de faire les comptes, un autre aménageait notre huitième salle de coffre. Enfin, le troisième se reposait. Mais ma nature prudente m’avait appris à toujours garder sur moi ce qui pourrait me servir. Je pris donc l’ensemble de mes livres, des vivres, de l’équipement, et des exemplaires de chaque roche trouvée. Je partais donc miner, à de fortes distances de notre base. J’étais déjà sous terre, lorsque j’entendis de grosses explosions en provenance de l’entrée du tunnel, qui, elle, était proche. L’effet de résonnance avait conduit le son jusqu'à moi. Je me précipitais donc au dehors, pour voir le spectacle effroyable qui s’offrait à moi : l’armée à laquelle nous avions échappé était arrivée en renfort. Ils nous avaient traqués, suivis, épiés, et, au meilleur moment, avaient attaqué. Je voyais notre campement se faire détruire, inondé de lave, et pulvérisé par des Ghasts ; le tout, encadré par ces cochons zombies et squelettes carbonisés, pour s’assurer qu’aucun survivant ne descende. Je repartais en courant, évitant d’attirer l’attention des soldats de l’Enfer ; laissant derrière moi les dépouilles de mes trois camarades. Dans un sens, je suis responsable de leurs morts. Que ce serait-il passé si je n’étais pas parti ? Mais en attendant, je courais. J’étais là depuis un an désormais. Mais à compter de ce moment là, j’étais seul. Seul. Dans cette immensité de lave, et de monstres. Et je courais, encore et toujours, cherchant un abri. Je trouvât une grotte, me réfugia dedans. Une fois mon cœur calmé, mon esprit apaisé et la mort de mes compagnons assumé, je me mis en quête de savoir comment partir d’ici au plus vite. J’ouvris mon livre « Anthologie et Histoire des mondes obscurs », Volume IV, Chapitre VII. En voici son contenu approximatif : « D’après la légende, il existe, en ce monde, un lieu permettant de créer un portail vers un autre monde, notamment celui des humains. Il existe deux méthodes pour l’activer : La première est de passer par ce lieu, en tenant en main ce livre. La seconde constitue à recréer la zone en elle-même. La salle est définie comme étant une salle de 7*7, sur une hauteur de 4. Au milieu, ce trouve une sorte de puits, de 3*3, rempli de lave, dont sa profondeur est de 5. A l’ouest, se trouve l’entrée. A l’est, une sortie, qui, si on traverse en courant la salle et en sautant par-dessus le puits, permet de téléporter une personne dans le monde humain. » Oubliant immédiatement l’idée de me promener dans ce monde pour trouver cette salle, je m’entrepris à la créer. Il s’agissait d’une salle entière en brique. Heureusement pour moi, j’avais réussi à en créer à partir de la pierre basique qui se trouve dans ce monde. Je me mettais donc à l’œuvre. Je commençais par décaisser une zone dans la montagne assez grande pour construire la salle. Puis, je changeais la pierre classique en brique sombre. Enfin, je construisis la salle. L’ensemble de cet ouvrage me pris presque un an à faire seul, me nourrissant majoritairement des vivres me restant, et, sur la fin, de viande putréfié, de quelques viles bêtes qui venaient crever proche de mon ouvrage. Il me tardait de partir. Mon stock d’eau potable était presque épuisé, je n’en aurais eu que pour quelques mois à tenir. Je décidais juste, avant de partir, de me constituer un stock important de ces pierres lumineuses et autres bizarreries de ce monde. Deux semaines plus tard, j’étais paré. Mes réserves d’eau étaient à sec. Je partis de l’entrée Ouest, couru, sauta par-dessus le puits et continua à courir, sans m’arrêter, jusqu'à ce qu’un arbre me stoppe, m’envoyant son tronc en pleine figure. J’avais réussi à m’évader de l’Enfer ! J’étais vivant ! … mais presque nu, seul mon haut ayant subsisté à deux ans d’enfer. Je décidais de remédier à ce problème immédiatement, à l’aide de ce chêne. Je me concoctai ainsi un slip et un pantalon « 100% naturel, approuvé sans chenilles urticantes ». Après avoir trouvé un petit ruisseau, et avoir pris un sacré bain, dont l’eau doit encore s’en souvenir tellement je l’ai polluée, je parti en route vers Stendel, la capitale. Le seul soucis restant étant : « Vers où est la capitale ?! ». Je me trouvais en effet en lisière d’une forêt, près d’une route, que je n’avais jamais empruntée, alors que j’avais écumé toute la contrée de Stendel à maintes reprises. J’en concluais donc que la route avait été créé durant mes deux ans d’absence, ce qui, en soit, n’a rien de choquant. Je pris donc la décision la plus sage : Attendre qu’une personne passe par ici et me prête un coup de main, sous réserve qu’elle ne prenne pas peur. Je patientai donc deux jours, en attendant que quelqu’un passe… Mais du temps passa, encore et encore, et personne ne vint. La nourriture commençait à me manquer ici, et je rentrais donc dans cette forêt, où j’étais atterri de nulle part, pour trouver des victuailles ainsi que de l’eau. Mais, au détour d’un arbre, je croisai un groupe de brigands, au nombre de 3, dont les mains étaient sanglante. Les laissant passer, je me rapprochai du carré d’arbre dont ils sortaient, carré d’arbre qui était organisés de telle manière que l’on aurait crû à une cabane végétale. Par terre, devant moi, se trouvait une personne, une femme, habillée de manière fortement bizarre : En effet, elle était vêtue d’une sorte de sourie jaune rayée. Elle était inconsciente, et en piteux état. Alors, sans prendre le besoin de réfléchir, je retournai près de la route, et vis un cheval, au loin, de l’autre côté de la route qui coupait la forêt en deux. Ce cheval, bien que sauvage, était ma seule issue de secours, et le seul moyen de sauver cette femme. Je me mis à le chevaucher, tel un cow-boy, et, une fois à peu près dompté (C'est-à-dire au moment ou je réussis à trouver un équilibre sur le cheval sans qu’il me fasse tomber ou perdre contrôle), je retournai auprès de cette femme. Je la mis sur mes genoux, entre mes jambes, et partit d’un côté de la route, à droite. Je me disais que si cette route existait, c’est qu’elle menait forcément à deux villes distinctes. Après plusieurs heures à chevaucher, j’arrivais finalement. Je ne m’étais pas trompé. J’étais à Stendel, la capitale. Passant à travers le quartier bucheron et le quartier mineur, j’arrivai sur la grande place. Je pris le passage du portail vers l’ancien monde, toujours à cheval, pour descendre ensuite dans la banlieue ouest, où était ma dernière maison que j’avais connue à ce jour. Ne retrouvant pas la clé (Ce qui est plutôt normal, après deux ans d’absence), j’enfonçai la porte, et allongea cette femme sur mon lit, avant de fouiller ses poches. Elle n’était en aucun cas riche : Seules quelques pièces de cuivre, oxydées, se trouvaient à l’intérieur. Il y avait aussi des extraits de matériaux divers, des roches, et, ce que je cherchais : Sa fiche d’identité. Elle s’appelait donc Venusvitrix, et elle avait 23 ans. Je lui prodiguai ensuite les premiers soins ; je pansai ses blessures et m’assura de son état de santé global, l’état de ses organes, de ses membres. Une fois rassuré qu’elle était en bonne santé, je la laissai se reposer, et me mis à nettoyer ma maison. Personne n’était entré en deux ans. Les araignées, réfugiées en bas, dans la salle d’enchantement, crissaient, n’aimaient pas mon retour. M’armant de mon épée en diamant, restée dans un coffre, et de mon balai, je nettoyais les salles principales. Pièce à vivre, cuisine, avant de descendre affronter les araignées. Une fois ces mignonnes bestioles délogées, je me remis à l’ouvrage. En quelques heures, tout était de nouveau habitable par un humain normal. Il est à noter bien entendu que je n’avais fait le ménage que pour mon invitée, car, étant de retour de l’Enfer, un peu de poussière et des toiles d’araignées ne m’auraient aucunement dérangé, loin de là. Je remontai auprès de Venusvitrix, et attendit son réveil. Je patientai ainsi deux heures, trois heures… Puis je pensai qu’elle aimerait avoir de quoi manger. A l’aide du contenu de mes coffres, assez vide en nourriture, je parvins tout de même à concocter deux gâteaux, et les posa près de son lit. Ne la voyant pas se réveiller, je la laissai se reposer, et me mis à ranger mes coffres. Puis, m’allongeant sur la table de la salle à manger, je m’endormi ainsi, à la maison. Pour la première fois en deux ans, j’étais à la maison. Dans un environnement sain. C’est ainsi que je m’endormi, comme un bébé. Je me levai le lendemain au chan du coq. Je montai alors voir si elle s’était réveillée, mais il n’en était rien. Je descendis donc à la salle des coffres, après avoir pris un petit déjeuner très succinct, dû à l’absence de nourriture. Je pris de ces coffres des exemplaires des matériaux que j’avais ramassés durant mon séjour en Enfer. Je me rendis alors à Stendel, à la tour des mages. La première réaction fut une vague d’étonnement. Aucun d’entre eux n’aurait pensé me revoir un jour. Après avoir passé des heures à leur expliquer les événements qui s’étaient passés en ces terres hostiles, ils en conclurent de ne jamais ouvrir cet Enfer. Cependant, ils récupérèrent les blocs que j’avais obtenus. A l’aide de leur magie, encore plus puissante qu’il y à deux ans, ces derniers créèrent un monde hybride à partir de tous ces minerais et des notes que j’avais prises. Ainsi, ils allaient offrir à ce monde un Enfer plus paisible et plus calme, où toutes les personnes pourront s’émerveiller de ces découvertes. Après m’avoir dédommagé du temps passé en Enfer, je repartis vers New-Stendel, dans ma maison, voir si Venusvitrix s’était réveillée. Je reparti donc, et passa à nouveau par la grande place de Stendel. Personne ne me reconnu. Une fois arrivé à ma maison, je déposai mes ressources durement acquises dans les coffres, quand j’entendis un bruit sourd provenant du haut. Je montai en grande hâte, et me retrouva, hébété, devant cette femme, consciente, qui avait voulu se lever mais qui était immédiatement tombée par terre. Elle semblait être en état de choc. Je m’approchai d’elle, prudemment. Je lui demandai si elle allait bien, si elle voulait de l’aide. Je la levai, et la reposa sur le lit, lui servit un bout de gâteau en lui disant de manger un peu. Elle engloutit le premier morceau. Puis, elle me demanda qui j’étais, ce qu’elle faisait ici. Mais, plus ennuyeux, elle m’avoua également ne pas savoir qui elle était, ce qu’elle faisait, ce qui lui était arrivé. Je lui racontai alors tut les événements qui lui étaient relatif : la découverte de son corps, inconsciente, le transport en cheval, l’arrivée à la maison, le fait que j’ai passé plusieurs jours à veiller sur elle, à la soigner. Mais rien ne lui revenait en tête. Je lui proposai donc de rester avec moi, ce qu’elle accepta. La vie coula doucement durant quelques temps ainsi. Je restais à la maison, savourant mon retour à une vie plus normale. J’aménageais la maison pour que nous vivions à deux à l’intérieur, ce qui, en raison de l’exigüité de cette dernière, n’était pas chose aisée. Seul aménagement qui n’avais pas été fait : Il n’y avait pas de second lit ni, de deuxième chambre. Les deux êtres s’entendant bien, ils étaient désormais dans ce qui ressemblait en tout point à un couple. Mais, alors que la maison était aménagée, Venusvitrix m’avoua ne pas se sentir bien ici. L’étroitesse du lieu ne laissait pas du tout d’intimité, et empêchait des aménagements importants. Alors, je me mis en quête d’une terre fertile et paisible sur Stendel. Après de nombreuses recherches, je trouvai ce qui convenait : Une zone, entre le bourg d’Honéor et les terres d’Hallbard. Une vallée forestière, avec, au bord d’un petit ruisseau, une clairière. J’emmenai alors VenusVitrix, qui, enchantée par l’endroit, se mis à dessiner les plans de la future maison directement. Je l’observais avec un grand étonnement. Cette femme, qui est amnésique, avait un véritable talent pour le dessin et la perspective. Elle maitrisait totalement son crayon et ses idées ; et, en un rien de temps, elle réussit à sortir un plan d’une belle maison, de 25*25, avec des écuries ; un toit digne des grandes granges anciennes. Des murs en bois, un toit en paille. Des poutres apparentes, comme à l’ancien temps. A l’intérieur, un étage dans le toit de ce qui ressemblait à une étable, et, en dessous, des énormes souterrains avec, pour chacun d’eux, des fonctions détaillée et une perspective de chacun d’eux. Epaté, et voyant une si belle maison sur le papier, je m’empressai d’aller chercher l’ensemble du matériel requis pour pouvoir construire ce beau domaine. Du bois, de la pierre, mais également de la paille, de la terre, du quartz, des graines, … . Mais, malgré cette liste très longue de matériaux requis, je parvins, en quelques jours seulement, grâce à mes réserves et à mon argent, à réunir tout ce qu’il fallait pour construire la demeure. Nous nous mirent donc à l’ouvrage, et, à raison de travailler sans arrêt, jour et nuit, la maison fût finie en un très peu de temps, quelques jours seulement. Ne restaient que les souterrains et le jardin. Mais, avant de s’atteler à cette tâche, je me rendis à Stendel, auprès du conseil des mages. En réalité, ce dernier réunis les mages, mais également les gouverneurs de Stendel et de ses provinces. J’avais eu une idée : Les mages mettraient encore du temps avant de pouvoir stabiliser un cortex pour aller dans l’enfer hybride. Mais ce souci technique ne devait en aucun cas empêcher à la plèbe de découvrir les spécialités et bizarreries que renferme ce monde. Ainsi, je proposai au conseil de me laisser ouvrir un commerce, dans la capitale de Stendel, qui me permettrait de vendre ces ressources rares, ce qui me permettrait de me débarrasser d’un grand nombre (un surnombre même) de ressources accumulées, tout en faisant profiter à tous de ces ressources. Puis, dés que l’Enfer ouvrira ses portes, je partirais régulièrement en expédition afin de laisser constamment mon échoppe pleine. Cependant, mes commerçants devront faire attention ! Je disposerais des pièges, un peu partout, pour offrir un shopping divertissant et quelque peu sanglant à tous. Ainsi, une fois toutes ces informations décrites en détail au conseil, ces derniers m’informèrent qu’ils statueraient prochainement sur ma demande, quelque peu spéciale. En attendant, il ne me restait plus qu’a repartir voir si Venusvitrix se débrouillait bien à la maison. Ajout au RP : Quatre mois plus tard, les gouverneurs me convoquérent à leur chateau, en périphérie de Stendel. Le but de cette convocation était de me remettre officiellement mes attributs de marchand, contre l'échange de 500 rutillantes pièces d'argent. Une fois cette formalitée achevée, je me rendais dans les divers hameaux où j'avais repéré des parcelles. J'achetais alors des échoppes à Kutzenbach, Nydria, et commençait les négociations auprès des gouverneurs chargé du commerce pour obtenir mon échoppe à Stendel (Capitale). Puis, j'installais mes marchandises, ouvrais les caisses, etc... J'en profitais pour vérifier le fonctionnement de l'ensemble de mes petits pièges, ainsi que l'assurance qu'aucune personne ne puisse malencontreusement périr dans un fleuve de lave, bien que l'idée ais pu, en certaines circonstances, me réjouir. Arrivait alors ce jour fatidique, le 27 janvier de l'an de grâce 2015 (Ap. DokM.), où l'ensemble de mes enseignes ouvraient leurs portes. En quelques instants, de nombreuses personnes se précipitérent sur les stocks disponibles, et quelques unes eurent la joier de tester en avant première mes pièges. Mais, en dehors de cette journée exceptionnelle, j'envisageait mes échoppes bien plus paisible, puisque les ressources du Nether sont des denrées rares et donc, précieuses. Je m'étais établi une sorte de plan d'une journée banale. En tout premier lieu, lors de l'ouverture de l'échoppe, je m'occuperais de vérifier l'ensemble de mes provisions, et, si besoin est, de les dispatcher à travers mes échoppes. Puis, en matinée, je m'attelerais à remettre en place mes pièges, puis me rendrait à mon échoppe à Stendel, afin de pouvoir aider mes concitoyens, en les guidant vers les meilleurs produits en fonction de ce qu'ils recherchent, ou bien pour leurs fabriquer les matériaux dont nous sommes peu à connaitre les recettes de fabrication. Enfin, durant la fin de journée, je m'en irais vers le Nether, dans le but de trouver l'ensemble des matériaux étant manquant ou à la limite de la rupture afin de garantir à tous la possibilité d'avoir des matériaux, aussi rare soient-ils, proche de chez eux. Enfin, je rentrerais chez moi, me reposer quelques heures, avant de retourner m'occuper des mes échoppes, le lendemain. Un jour par mois, également, je m'effrocerais de descendre mes prix un peu plus, en capitale, pour aider les Citoyens de Minefield à conserver leurs bourses. Une fois en paix avec mon esprit, et mon plan de journée mémorisé, j'allais retrouver VenusVitrix, à ma maison entre Honéor et Hallbard, pour me reposer et lui parler de tout ces événements. To be continued. Voila, je suis conscient que le RP est très long. J’attends vos retours sur le RP, sachant qu’il tranche avec le style d’écriture des autres, étant donné que j’ai muri en deux ans. Et j’attends aussi vos avis sur ma candidature ! Je vous souhaite, en attendant, un excellent jeu à tous, Cordialement,
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