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[Accepté]Candidature Paysan - beautifulreal


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Bien le bonsoir à vous,

 

 

 

Une petite présentation :

 

Je m'appelle Laurent. J'ai 19 ans et je joue à Minecraft depuis la version 1.5. Étudiant dans le domaine de l'art et directeur artistique indépendant, je suis naturellement attiré par tous le domaines culturels nécessitant un temps soit peu un savoir et une pensée artistique. Hors il se trouve que le jeu Minecraft offre une liberté créative hors du commun si on devrait le comparer à d'autres jeux actuels ( je ne joue d'ailleurs qu'à Minecraft, faute de temps et d'intérêt pour ces autres jeux).

 

 

Mes projets futurs

 

Je compte premièrement me faire connaitre et sympathiser avec la communauté du serveur, notamment ceux de la ville de Fingelberg, endroit où je pense vouloir m'installer.

De côté du jeu, je pense commencer à amasser des ressources pour une future maison et pour mon métier par la suite.

Pour continuer, je souhaiterais m'intégrer à la ville de Fingelberg, l'aider à réaliser ces projets et faire en sorte que tout se passe pour le mieux entre moi et la communauté de Minefield.

 

 

Mon Personnage

 

Je me présente, mademoiselle beautifulreal, mais ça c'est mon nom complet. Plus communément, on m'appelle miss beauti. Je suis une jeune femme, tout ce qu'il y a de plus normal. Si on devait me décrire, je mentionnerai quelques point clefs de mon apparence à savoir mes cheveux longs, roux et capricieux maintenus par une queue de cheval et deux mèches tombantes sur mon visage. Ce dernier comportait un petit nez que je jugerai trop discret, deux yeux bleues comme le ciel, de multiples taches de rousseur sur mon visage.

Je rajouterai que je suis complexée par ma taille car je suis un peu plus grande que la moyenne ainsi que de la forme et l'expression de mon visage qui donne la sensation que je suis tout le temps étonnée.

Maintenant, je vais vous conter un passage de mon périple avant d'arriver dans la région de Minefield.

 

 

 

Ce fut un jour comme les autres pourtant... Depuis que ma famille m'avait rejeté, faute de pouvoir me nourrir...

 

«  Ne pas regarder, continuer, toujours continuer  »

J'avançais.

Le trottoir s’enjambait comme une haie trop basse. Stop. Un regard à droite… Deux pas plus tard, à gauche… Rien. Je continuais ma marche. Mon regard s'attardait sur le décor :

 

Les rues défilaient comme une vieille locomotive à vapeur . Le vent, plus silencieux qu’un murmure, s’infiltrait sous les portes comme si sa dernière intention était de déranger les vivants. La nuit se faisait plus noire que noire

Les contours des immeubles formaient d’étranges personnages évoquant les fantasmes les plus saugrenus et fous de l’être humain ; bien qu’ils semblaient m’attirer, j’avançais sur mon étrange destinée.

 

Devant moi, le chemin se faisait raide, toujours plus raide. Je me demandais si je n'allais point à un moment me retourner pour flotter dans le ciel telle une poussière s'envolant dans le néant. Je trébuchais mais me rattrapais au dernier moment.

Je me redressais, réajustant mon chapeau, refaisant mon écharpe : il faisait frais. Je m'arrêtais deux secondes et fouillais dans mes poches pour trouver ma pipe.

Le mince corps de l'instrument était entouré d'une enveloppe dorée ce qui permettait de facilement la reconnaître parmi tant d'autres. Une allumette craquait et bientôt la fumée du tabac s'emportait dans la lumière du réverbère le plus proche. Les braises du foyer illuminaient de mieux qu'elles pouvaient ma route.

Continuant, le chemin redevenait stable, les maisons s’espaçaient davantage, l’humidité devenait plus intense et on entendait comme un bruit de courant. «  On est bientôt arrivé  » pensais-je.

Et je le vis.

 

 

 

Ce fameux pont, cette structure solide où tout eut commencé. Une haine suivi d'un profond dégoût m'envahissait.

- " Allez, marchons sur la tant redouté structure ! Un pas, deux pas, trois pas, et ainsi de suite ! Une fois à cloche pied, une fois à l’envers, une fois sans les pieds et les mains, mais ce n’est pas possible… ou alors en rêve... "

 

Le haut du pont se voyait enfin. Je me penchais à la rambarde pour admirer la magnificence de cette boue que l'on appelait eau et de ses remous qui lui valait le nom glorieux de rivière.

Je levais la tête et voyait le ciel, du moins ce que cela y ressemblait. Du haut des astres, les étoiles me regardaient de leur blancheur de neige et semblaient me tenir la main.

Doucement, elles descendaient en cascade jusqu’à moi. Je voulais les attraper pour mieux les contempler. Chaque paillette se faisaient soudainement douleur, qui se faisaient remords, ce n’est pas le vent qui en était la cause, mais un froid glacial venu du fond de mon esprit.

Tremblotant, je secouais la tête, chassant des pensées trop confuses, me vidant intérieurement : mon crane se faisait coquetier qui attendait son œuf.

 

Voulant me vider l'esprit, je m'approchais de la rambarde du pont. Une étonnante cité flottante se dressait devant moi et me faisait barrière à la manière d'une goutte de pluie sur une vitre d'une maison.

J'approchais de plus près mon visage vers ce décor. Quand par malheur, la barrière cédait. Mon corps basculait et je me voyais tomber jusqu'au moment où je sentais une main m'agripper.

L'individu me remettait sur pied et me contemplait d'un regard interrogateur.

Je demandais :

- " Où sommes-nous ? ". Il répondait :

- " Je ne sais pas qui tu es mais bienvenue dans la région de Minefield, la cité volante derrière moi c'est New-Stendhel. "

Et j’avançais vers cette dernière.

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