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Candidature Citoyen - smile_T


Rom3
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Profil :

 

Hey', je suis Romain (enfin je crois) et ça fait presque 1 an que je suis sur Minefield et que je suis un habitant de Minar. Et depuis ces 11 mois, pas grand chose a bougé sur ma personne : toujours les mêmes passions et activités enfin bref... En tant que marchand, j'ai ouvert 4 shops spécialisés souffleur de verre, sous le nom de Luminar. J'ai aussi participé à divers projets (aménagements et compagnie) sur le territoire minarien, je citerai à cette occasion la frontière "naturelle" entre Minar et son homologue le Hameau Doré.

 

Pourquoi devenir citoyen que maintenant ?

Et bien, au départ, le rang de citoyen ne réservait guère de surprise et ne m'attirait pas plus que ça. J'ai quand même décidé de rallier ce rang à ma petite liste pour goûter aux plaisirs snobinards des habitants de la capitale. Cette décision a poussé en moi grâce à la "réouverture" de Stendel mais aussi à une petite expansion au niveau gameplay qui se rajoutera à celui dont je jouie déjà grâce à mon dernier rang. Pour ceux qui n'ont pas cherché le sens caché, je dis juste que j'envisage fortement une place à l'intérieur de New-Stendel et de Stendel...

 

 

Role-Play :

 

 

Chapitre 1 : Le début d'une nouvelle vie (RP : Paysan)

 

 

Lors des rudes hivers du nord, je décida de rejoindre la capitale pour voir le monde sous un autre angle. Sur le chemin, je rencontra un homme plein de sagesse m'accompagna tout au long de mon périple. Il me conta des histoires sur l'enfance d'un jeune garçon et de sa mère. Il m'avoua que ces histoires, c'étaient les miennes. Je fus choqué et je demanda des explications. Il me raconta qu'il était mon père et qu'il n'avait jamais eu de fils aussi créatif que moi. Le monde s'arrêta sous mes yeux. Quand je pensa aux hivers rudes où j'ai dû m'occuper de ma mère malade, la nourrir jusqu'à sa mort. Je lui asséna un coup de poing emplit de haine et de tristesse. A cause de son âge, il mourra sur le coup et je l'abandonna froidement sur le bas-côté de la route de New-Stendel.

 

Une semaine après mon arrivée, je décida de m'exiler à l'abbaye près de Nevah. J'y appris le repos de l'âme et la manière d'exprimer ce don qui sommeillait en moi. Pendant des mois je me suis remis en question et au final j'ai décide de passer une vie d'ermite dans le monde de Nubes. Là-bas, ma seule activité était de me protéger des creeps. Je rencontrais des voyageurs en quête d'aventure et d'histoire à raconter à leur descendance. Ils s'arrêtèrent chez moi pour la nuit, je leur offrait le gîte et le couvert et parfois, quand j'en avais, je leur vendait de la ficelle que j'avais pris sur les grandes araignées du Nord.

 

Un jour un groupe de jeunes guerriers vinrent chez moi et me demandèrent de venir avec eux, de retourner à Stendel. Ce groupe était formé des hommes que j'avais aidé lors de mon voyage. Je leur répondit que cela n'était pas possible mais ils ne m'ont pas laissé le choix et ils m'ont traîné de force dans le monde de Minefield où plus rien ne me rattachais à cette terre. Aujourd'hui j'en frémis encore, des journées paisibles entre amis où l'on ne se soucis plus d'être attaqué par des creeps ou autre. Je prends cette nouvelle vie avec un sourire.

 

 

 

 

Chapitre 2 : L'acharnement du destin (RP : RP Voyageur)

 

 

Durant une nuit de printemps à Hyperion, seul le bruit des haches coupant les arbres s'entendaient à des kilomètres. Ce soir là, tout bascula : ma vie paisible ... TOUT ! La nature se déchaînait, la lune était claire et ronde, l'orage grondait ... Je n'ai que peu de souvenir de ce soir. Tout ce que je sais, c'est que je les ai tous tué. Lorsque que je me suis réveillé le lendemain de la fameuse nuit, je découvris mes compagnons morts, et je sus que j'étais à l'origine du massacre parce que c'était ... beau ! J'entendis des hommes au loin s'approcher et je décida de m'enfuir sans prendre davantage de temps pour admirer mon entreprise.

 

Et c'est la que je repris ma vie de voyageur errant parmi les contrées, traversant les villes et parcourant les champs. A la recherche de nouvelles victimes à immortaliser avec mon art. Au début, c'était instinctif et difficile à contrôler. C'était les pulsions de mon pouvoir et de ma soif de sang qui m'ordonnais d'aller tuer pour l'art, mais au fil de mes créations je m'y habituais.

 

Je m'y en pratique ce que j'avais appris à l'abbaye. Je découvris un groupe de jeunes vagabonds. Je regardais ce que j'avais sous la main : de la lave et de la cobble ... Suffisant pour m'exprimer correctement. Je m'approchais doucement du campement des vagabonds et là commença le carnage, majestueux. Ils se sont rendus compte de rien. Tandis que je les enfermais avec ma cobblestone, un vagabond a cru bon de s'échapper et de gâcher mon œuvre. Je ne me posa pas la question deux fois, je le rattrapa et je le frappa à mort. Je revins finir mon travail, monta sur la prison de cobble et y versa de la lave. Je couru au ruisseau le plus proche, rempli mon sceau d'eau et je le versa sur la lave en fusion qui calcinait les corps de ces chanceux. Une fois la lave figée par l'eau, je détruit la prison et je contempla mon chef d’œuvre. Ces sculptures étaient magnifiques, on pouvais percevoir les mouvements de douleur et la peur qui émanait des ces jeunes gens...

 

A cette époque, je ne songeais guère aux conséquences que cela aura pu entraîner sur le futur. Mais après avoir pris du recule sur mes actes passés, je me dégoûtais. Je me rendis compte de ma folie quelques temps après avoir massacré, avec beaucoup de finesse je dois dire, un groupe de mineur.

 

 

 

Chapitre 3 : Un renouveau (RP : Marchand)

 

 

Un soir, des hommes en capes, mains sur leurs épées, vinrent me déranger dans mon sommeil magique. Ils frappèrent à ma porte, j"ouvris celle-ci et sans un mot, ils me déroulèrent sous les yeux un parchemin signé du roi m'ordonnant de me rendre à ces hommes... Je n'avais pas d'autre alternative devant moi et fut contraint de les suivre. Ce soir là fut... désagréable, ils me malmenaient tant et plus, me glissaient un ou deux coups de plat de leur épée à l'occasion. Et pour finir, ils me jetèrent tel un débris dans la geôle de la capitale !

 

J'y croupis deux jours de ma vie et au troisième jour, le roi me convoqua dans une salle où un petit comité était réuni. Il m'annonça que j'étais ici pour être jugé à cause des atrocités que j'avais orchestré quelque temps de cela. Il était inutile que je me défende des accusations que me portait le comité par conséquent je resta muet et la séance fut courte. Le roi, qui présidait cette petite fête en mon honneur, annonça la peine requise contre moi, et ce fut la peur de tout homme qui commença à se faire sentir en moi... La peur de mourir ! Il annonça que j'allais être exécuté sur la place enfermé dans une cage en verre coloré et que les mages de la ville allaient faire apparaître de la lave dans cette prison... La peur commença à s'évanouir pour laisser place à la magie et la réjouissance. J'allais être exécuté dans mon art. Une boule de chaleur naquit en moi et d'un coup s'évapora pour illuminer toute la pièce aveuglant le roi et ses sbires ! J'en profita pour fuir car même si j'allais mourir tel que le voudrait un artiste, j'allais disparaître de ce monde. Je défonça la porte et couru, arriva dehors et sauta par dessus la muraille. Cette source chaleur déjà ressenti, revint soudain et j’atterris sur l'eau et je marcha jusqu'à la terre la plus proche. Je ne savais pas ou aller et quoi faire...

 

Tout ce que je savais, c'est qu'il ne fallait pas traîner par ici, je traversa la campagne et je découvris un vieux moulin. Je rentra à l'intérieur et j'y découvris un lit et des coffres remplis de sable, de charbon, de glowstone et de torches. Je commença par allumer mon nouvel abri et je découvris un four et un établis... Je pris ensuite du temps pour dormir, le lit était un peu dur mais c'était déjà mieux que la paillasse de mon ancienne prison...

 

Je rêva de ma sentence... Je vis la prison de verre coloré de vert, d'orange, et de rouge... Magnifique. Et cela me donna une idée...

 

Je me réveilla, ouvris les coffres, pris le sable et le charbon et je fis cuire le tout pour obtenir du verre... Durant la cuisson, je couru chercher des fleurs dans la forêt. En passant à côté d'une maison, je vis que le propriétaire de celle-ci avait un chien, j'en profita donc pour rafler les os et quelques fleurs. Je broya les os et les fleurs pour obtenir de la poudre et des colorants. Je pris le verre chaud, et souffla celui-ci avec un tube ou j'avais mis mon colorant. Après plusieurs essaies ratés, je réussi à créer ce que j'avais en tête. Je senti une plus grande satisfaction que quand j'immortalisais ces malheureux dans cet art sanglant. Une nouvel fois, cette ''magie'' chaleureuse apparue, je pris la glowstone entre mes doigts et pendant un instant, l'essence de la glowstone s’évanouit mais revint d'un coup, je me concentra davantage et celle-ci disparu pour laisser place un morceau de lumière pure ! Je créa jusqu'à tomber de fatigue, et le jour suivant je changea mon abri en un bâtiment lumineux et coloré. Les passants venaient me voir et me demandèrent des verres et un peu de cette lumière contre un peu de leur argent.

 

Pendant des mois, je m’enrichis et je voulu étendre mon domaine au monde entier. Avec mes économies, je m'acheta une parcelle commerçant dans la banlieue de New-Stendel et j'y proposa mes articles à des prix modestes pour que tout le peuple puisse en profiter.

 

Malheureusement, je ne pu me cacher indéfiniment... Les hommes du roi, épées sorties, entrèrent dans le magasin et m’emmenèrent de force une nouvelle fois devant le roi. Cette séance là fut différente de l'autre, pas de comité et pas des gardes ; juste le roi, son conseillé et moi... Le roi me fit un discours sur mes actions passées et il finit celui-ci en disant que l'ardoise était effacée à condition que je sois son marchand, que je divulgue au trône les secrets de mes fabrications et que je décore son château des geôles à la tour des mages avec mes œuvres ! J'ai voulu protester mais le roi ne m'en laissa point le temps et me fit accompagner hors du château par ses sous-fifres.

 

La vie prit son train-train quotidien et la routine commença à s'installer. Je rencontra une femme, me maria avec elle et eu des enfants. Désormais toute la capitale connaît mon nom et pense à moi comme l'artiste de la lumière et pas de la mort...

 

 

Chapitre 4 : La chute (RP : Citoyen)

 

Des années s'écoulèrent depuis mes dernières activités quelques peu sanglantes, je commençais à devenir périmé à cause du temps qui passe sans s'arrêter pour reprendre son souffle paisible et monotone. Le roi m'avait bien gâté, il faut dire que j'avais la belle vie néanmoins j'avais perdu ma femme et mes fils à la guerre. Sous sa protection, il me fit prendre du grade jusqu'à devenir son bras droit. Malheureusement pour lui, le salaire de la vie est arrivé trop vite et lui a coupé court ces belles années. Après son enterrement, le choc fut brutal et direct. Un coup d'état mené par le conseiller, les mages et les forces armées de New-Stendel n'a fait qu'une bouchée du régime politique du dernier roi traité de trop laxiste. J'ai eu la bonne idée de m'enfuir à ce moment là sinon j'aurais été le premier executé étant l'élément le plus proche de l'ancien dirigeant. Afin de passer pour un bon samaritain, l'ursupateur de trône a défini son attaque comme une "reprise rapide du pouvoir au main du vil meurtrier que j'étais". Evidemment, cette dernière pique raviva les esprits ainsi que les blessures cicatrisées de chaque habitants assez vieux pour se souvenir de cette triste époque. Par conséquent, je fus seul, de nouveau en cavale ; à me cacher des yeux perçants du monde.

 

Les jours passèrent dans la pénonbre de la forêt dans laquelle je croupissais en me nourrissant d'insectes. J'appris que les mages à la botte du conseiller s'apprêtaient à ouvrir une nouvelle dimension, celle du nether et des forces sataniques. Je savais, grâce à mes connaissances, les projets du tyran. Il voulait ouvrir ce monde pour faire accèder les démons à celui où nous vivons, il voulait que l'équilibre des choses soit renversé afin de devenir le maître de nos terres et de nos vies. J'étais certain qu'il allait du même coup se débarraser des mages qui pouvaient encore empêcher cela. Le chaos arrivait et rien ni personne ne pouvait faire quelque chose... à part moi. Il fallait que j'utilise de nouveau mes pouvoirs pour contrer les plans obscurs de cet infâme enragé mais la tâche n'allait pas être facile car je ne savais pas comment ils se manisfestaient. Ce dont je me souviens encore à présent, c'est que je devais tué des gens pour avoir ces pouvoirs. Je ne voulais plus voir un innocent mourir même si (c'était tentant pour sauver le monde m'enfin), j'eus pour meilleure idée de liquider les mages qui allaient participer au projet ce qui devrait considérablement ralentir l'ouverture néanmoins cela me dégoûtais plus qu'autre chose de remettre le couvert avec mon ancienne vie même si je me consolais avec l'excuse de "ils sont coupables par leurs petits esprits". J'essaya tant bien que mal de me rapprocher de la capitale pour trouver une première cible. La chance me sourit enfin, je tomba nez à nez avec un mage du cercle supérieur. Je lui enfonça la tête dans un tronc creux pour l'immobiliser et mes instincts naturelles resurgirents. Je m'amusa à lui graver un message avec une pierre dans le dos à l'adresse du conseiller pour lui montrer que j'étais encore de la partie. J'acheva ma tête en faisant rouler le rodin dans une pente qui détacha la tête du corps. J'observa de longues secondes ce meurtre froid puis poursuivi ma route vers la capitale.

 

Les meutres s'enchaînèrent mais rien ne fit reculer l'arrivée des forces obscures et la cérémonie se déroulait demain sur la place : ça allait être un carnage des plus sanglants que l'humanité n'ait jamais connu depuis la dernière guerre. Je connaissais les souterrains de la capitale par coeur et je n'eus aucun mal à entrer dans le palais. Il fallait empêcher ça quoique qu'il arrive et mon intention était d'éliminer le conseiller avant le lendemain. Je supposa qu'il logeait dans la chambre royale, j'en approcha et à ma grande surprise aucun garde mais je n'en pris pas compte et je défonça la porte. Je me rendis compte de ma bêtise que bien plus tard si ce n'est que je passais pour un de ces mages à la mord moi le noeud. A la place de ma victime se trouvait mages et guerriers près à en découdre... Il m'avait prévu un comité d'accueil que c'était aimable néanmoins il n'a pas pensé à cloisoner les fenêtres. Je pris mes jambes à mon coup et tenta le tout pour le tout en sautant par la fenêtre comme à ma première visite dans le château. J'essaya de me concentrer, à tel point que je ne me rendis pas compte à quelle vitesse le monde défila. Je me dis que c'était la fin que je me sentis élévé dans les airs comme si mon corps ait été répêché par le ciel comme quoi il y a une justice sur cette terre. Je regarda en dessous de moi et une plaque de lumière s'était crée en dessous mes pieds. Je me concentra davantage et celle-ci décolla. C'est avec difficulté que je m'étais posé sur une des tours de la muraille, je ne vous le cache pas. J'ai pensé ce choix plus stratégique car au même moment je voyais toutes les garnisons de la cité en train de courir vers les entrées. Je décida de ne pas bouger jusqu'au petit matin.

 

Je réveilla au moment de la cérémonie ce qui ne me laissa pas le temps de tout planifier comme je le souhaitais. Le son des trompettes de la cour envahissait à présent la place pour cette évenement. La garnison royal défila et se plaça de telle façon que l'arrivée du conseiller et des mages soit magistrale. La foule les acclama et les magiciens de cirque prirent place autour de l'autel érigé à pour l'occasion. Les musiciens mirent fin à leur éloge musicale pour laisser place aux douces incantations des mages... Ca ne pouvait plus durer ainsi, quelques minutes de plus et le malheur se déchaînera sur tout ce monde. Je descendis de mon perchoir et m'infiltra dans la foule pour m'approcher du centre de la place. Et tout s'enchaîna très vite, je dégaîna ma dague que je plenta entre les mailles du plastron du garde qui me faisait face. Il tomba sur le coup, il fallait que j'agisse vite car j'étais repèré. Je courru jusqu'à l'autel tout en esquivant les gardes qui essayaient de me barrer la route. J'atteignie le premier mage que j'élimina en lui brisant les cervicales puis je mis au milieu de l'autel et libéra ma puissance. Je perdis le contrôle de moi même, mes yeux se transformèrent en orbes de lumière étincellantes. Mes mains s'enflammèrent en libérant une onde de choc qui fit coucher toutes les personnes autour de moi. Je m'éleva dans les airs, détruisit l'autel puis pulvérisa les sympathisants du crétin qui m'a traîné dans la boue. Les mages restèrent inconscients donc je me tourna vers mon acte final qui me regardait fixement avec la haine d'un souris envers un chat. Et en tout bon chat que j'étais, je le foudroya d'un geste...

 

Je me réveilla dans mon lit, en sueur, affolé et en regardant autour de moi. Je pris ma veste et alla jusqu'à la chambre du roi, il dormait paisiblement... Ce n'était qu'un rêve.

 

 

 

 

Liens relatifs :

 

 

Candidature Paysan : viewtopic.php?f=29&t=8430

Candidature Voyageur : post51183.html#p51183

Candidature Commerçant : commercants/smile-t26580.html

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Très bon commerçant, dont les boutiques ne cessent de nous régaler, il mérite grandement le grade citoyen afin d'appréhender une nouvelle expérience de jeu, de marchandage et de troc de lanterne de touuute beauté!

 

La capitale a besoin de ce jeune loup !

 

bon courage pour la suite !

 

Octarine approuvaleeeuh !

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