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Taverniers Citoyens Commerçants (c'est ici).


xouxoux
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Messages recommandés

Félicitations à tout le monde !

Je vous invites à poster votre candidature en spoiler pour les comparer, après les posts des 6 premiers :)

 

Un GROS merci à SL pour toutes ses corrections et évaluations ainsi qu'au temps qu'il nous a consacré :)

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Félicitations à vous tous !

 

Je serais curieux de voir ce que vous avez postez :) Mais avant on va prendre nos parcelles respectives.

 

C'est à moi de commencer si je ne m'abuses, je prends donc après maintes réflexions la parcelle tavernier de Quartier menuisier : 9, rue Everlohr, puisses-je approvisionner les menuisiers et outilleurs voisins :).

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Ah hoy gentlemen !

 

Félicitation à vous et comme dit précédemment l'on devrait mettre nos RP.

 

Sinon, ne t'inquiète pas SL Extra va bien, enfin je crois.

 

Alors pour ma part je choisi l'emplacement 2 Allée Gorie, chez les forgerons.

 

Et encore merci à SL.

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Bon aller j'ai eu un choix difficile mais je choisis :

 

Quartier souffleur de verre : 7, rue Dimantaire

 

Bravo à tous en bonus voici mon RP (en google doc) :

 

https://docs.google.com/document/d/1FAOI5Tfkxt6QXMFA9LcIltZfUCdUP1k0AXfZrhOaWeM/edit

 

 

Encore merci a SL qui à eu une tache très difficile.

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Salut

 

Merci à ceux qui ont eu l'idée de ce concours qui nous a bien permis de ne pas se ruiner et jouer à kcékalaplugrosse bourse, et qui l'ont bien organisé et merci également à notre super héros cuniculus (Hé ouais, vocabulaire sisi) d'avoir été si rapide à corriger et commenter nos copies.

 

Je vais prendre la parcelle quartier Herboriste :)

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Je vais passer les motivations,la présentation et autre décoration graphique pour montrer mon RP :

 

 

 

Il était bientôt plus de minuit, le majestueux château d'Almaris surplombait de toute sa splendeur les terres d'Almaris. Au beau milieu de la plus haute tour de la nef principale se dressait une silhouette.

 

Une ravissante demoiselle, d'une tendre rousseur, le visage garni de diverses tâches de rousseur et portant une robe écarlate se tenait près de la fenêtre. L'air pensive, la jeune femme se détacha du verre et se mise à entamer une ronde autour de la pièce circulaire, le chandelier au dessus d'elle luisait d'une étrange lumière verte, imbibé de Lotharium, le minerai spirituel d'Almaris.

 

Elle devait se préparer consciencieusement pour demain. Il était de devoir que Almaris se doit doter d'une taverne à la capitale. Le chômage menaçait de frapper aux portes du royaume et les stocks de nourriture venant de la banlieue grossissaient et remplissaient que trop bien les entrepôts. Encore quelques semaines et le peuple se retrouverait " gras et feignant " en parlant dans une expression humaine.

 

La petite elfe, songeait à installer depuis longtemps son commerce à Stendel. Elle avait un plan d'attaque, mot difficile à appréhender étant donner le pacifisme de son royaume. Ce plan constituait en un carnet précieux, le carnet des croquis des futures tavernes de La Red Cherry, le nom de son label. Sortant ce dernier du tiroir de la commode la plus proche, elle le feuilleta. De nombreuses esquisses, des plans des bâtiments si tel ou tel emplacement elle acquérait, ainsi que des études sur les différents et le voisinage présent, s'orientant selon son humeur et sa compatibilité avec les habitants de tel ou tel zone.

 

La reine referma le carnet et le déposa dans son sac de voyage. Un long moment de réflexion pesa et finalement, la petite elfe se décida à aller dormir : demain elle devait se mettre en route pour la capitale et conquérir cette demande, foi de Lothar.

 

Le voyage se fit bref, on lui prêta un bateau de facture viking à StoneCross. Malgré sa peur de l'eau et de la noyade, la petite parvint sans encombre à la capitale. Le bateau du grand Neolink brillait de milles feux quand elle passa devant. Elle amarra le bateau à côté des quais de pêche du renommé Lebrank et descendit, sac à l'épaule.

 

Elle fit un tour rapide dans sa maisonnette au quartier des outilleurs pour prendre quelques provisions pour la journée. Elle en profita pour arroser ses fleurs tropicales, souvenir de son voyage à Torcuba. Et Beauti repartit dans le méandre de la foule de la capitale.

 

Malgré sa petite taille, elle parvint à se frayer un chemin à travers la populace pour arriver là où elle souhaitait, c'est à dire la demeure du vieil Ormeau, place des Herboristes.

 

Quand elle frappa à la porte, un visage d'un blanc laineux fit son apparition dans le coin de la porte, d'abord un bref moment d'hésitation et puis un large sourire sur son visage dévoila son impressionnante mâchoire et les poils sur son visage se dressèrent d'excitation : et oui Ormeau était un tigre blanc.

 

- " Ma chère beauti ! Que me vaut l'honneur de ta visite ? Entre donc ? "

 

La maison de l'albinos était petite mais chaleureuse, ça lui rappelait sa maison d'enfance.

 

- " Viens assis toi ! Que veux-tu ? Du thé ?

- Avec plaisir, comme tu sais bien les faire"

 

Quelques minute se firent avant que les deux personnages ne furent confortablement installés.

 

- " Et bien raconte ! Que puis-je faire pour toi ? C'est à propos de la lettre de la dernière fois ?

- Oui, le peuple est au chômage technique car la taverne d'Almaris ne cesse de s'approvisionner sans avoir de profit et je ne te cache pas que nous manquons cruellement d'argent...

- Donc si je synthétise ce que tu m'as dis avec le contenu de ta lettre, tu souhaites un emplacement pour établir une taverne, ici, à Stendel ?

- Oui, la seule personne sur qui je peux compter ici, c'est toi.

- Très bien, allons voir ce que je peux faire. "

 

Les deux compatriotes sortirent de la maison et entamèrent une marche décidé, la petite demoiselle suivant du mieux qu'elle put le géant félin.

 

Des tournants, des rues et ruelles plus loin, ils arrivèrent à la maison de Sl, une vaste demeure mais évoquant curieusement les terriers pour lapin, les carottes suspendu à travers le balcon devait y être pour quelque chose.

 

Ormeau cogna, quelques instants, il retenta.

 

Une bonne minute plus tard, de longues oreilles dépassèrent brusquement du seuil de la porte, de larges dents firent leur irruption, de grands yeux bleus les regardèrent : en fait c'était bien un lapin. Mais quel lapin ! Grand, les poils d'un gris blanc brillant, vêtu de fin habits bourgeois qui semblait abriter une côte de mailles sous l'amas de vêtement noirs et jaunâtres que l'inconnu portait.

 

- " Oui ? fit l'étrange animal.

- Je suis Ormeau, sentinelle du peuple d'Almaris, menuisier de Stendel et représentant de Beauti Fulreal, la divine reine d'Almaris que voici. "

 

Son regarde passa vivement sur celui du félin et s'arrêtèrent

brusquement sur celui de l'elfe. Ces joues rougirent un peu, mais avant qu'il est put prononcé quoi que ce soit, Ormeau reprit :

 

- " La reine souhaiterait faire acquisition d'un emplacement pour établir un commerce de tavernier au sein de la capitale, en effet son peuple est surchargé de victuailles diverses et variées prêt à être transporter par bateaux jusqu'à ici.

 

- Ma foi, cela me semble être une bien bonne histoire, mais qui me dit que vos intentions et vos projets seront utile à Stendel ? "

 

La demoiselle fit tomber son sac au sol, se pencha et en ressortit le fameux carnet qu'elle avait prévu pour ce moment précis.

 

Elle le tendit au rongeur.

 

Un long moment se fit quand le lapin parcouru les pages diverses et variées, s'attardant à un moment, revenant quelques pages précédemment, lisant tel ou tel notes. A un moment il pencha son visage tellement prêt d'un croquis qu'on aurait cru qu'il allait le dévorer de ses longues dents.

Il releva sa tête et adressa un visage satisfait, voir même d'une rareté extrême sur sa propre personne et s'exclama :

 

" - Ma gente demoiselle ! Beauti, c'est cela ? Vous venez de fournir un élément plus que concret à votre projet ! Revenez demain, nous établirons les modalités pour votre aménagement au sein de Stendel avec votre fameuse cerise ( ce mot lui fit monter la bave aux lèvres) ! "

 

LIEN POUR LE FAMEUX CARNET :

 

http://fs03n3.sendspace.com/dl/619932a52ee166e70059201a70486e9e/4f3f9389587c8f46/k6482s/carnet_de_beauti.pdf

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Aaaaaaarrrr v'là le RP,

 

Alors ce sont les feuilles de mon dossier pour l'obtention d'une parcelle, les pages sont dans l'ordre. Cependant l'écriture est minuscule et donc difficile à lire alors j'ai le texte dans le spoiler en dessus pour être plus agréable à vos yeux.

 

http://s4.noelshack.com/uploads/images/3481659989181_prsentation.jpg

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http://s4.noelshack.com/uploads/images/7218831184686_5.jpg

 

Si tu n'arrives pas à le lire, je t'envoie le texte original :

 

Kyokugensun, Cap'tain Kyo', ou Kyo' pour les intimes.

 

âge (rp) : suffisamment vieux pour regarder des chiffres et des lettres devant un bol de soupe.

 

Premier Contrebandier de Torcuba

 

Capitaine de la Caravelle La santa Truita et maitre-coq à son bord.

 

Seul tavernier de Torcuba, propriétaire de L'Espadon et potentiellement du Calamar (si si vous le connaissez celui-là, au Ate bits 3 à Torcuba, vous y avez bu et mangé.)

 

L'Espadon est ma franchise, Le premier est L'Espadon Cabaret pirate (Show torride et rhum à foison)

 

J'espère avoir le prochain sur la capitale de Stendel, avec comme nom potentiel L'Espadon baie.

 

Pourquoi je veux la parcelle 9, Rue Everlohr ?

 

Et bien positionnement stratégique pour ce faire de l'oseille, dans le quartier menuisier (quartier qui attire du monde), en face des outilleurs et non-loin des bûcherons.

 

Cette parcelle est proche d'un point d'eau, ce qui me rappellera l'odeur onctueuse de Torcuba (le vomi en moins), de plus il y a quelque chose, mais je n'arrive pas à mettre le doigt dessus, mais le nom de la rue m'inspire.

 

Que ferais-je avec cette parcelle ?

 

Et bien vendre, l'ami. Vendre ! Mais pas seulement, également faire vivre les traditions Torcubaines et faire de cette taverne un lieu convivial remplie de gens heureux (enfin surtout imbibé d'alcool) qui se cogne et renvoient leurs tripes sur les trottoirs voisins.

 

De plus si j'arrive à acquérir cette parcelle je pourrai, mettre en lien une idée rp et une construction qui se trouverait sur le territoire de New Providence (Torcuba à Stendel).

 

Je ne dévoile pas trop, mais il y aura un rapport avec la chasse à la baleine (On est des pirates, donc pas la peine de faire de leçon de moral)

 

RP

Etant arrivé sur Stendel que depuis peu avec quelques torcubains et pas des moindres puisque c'est les trois grands conseillers, Le jeune et intrépide capitaine Extra (dit le lyon[private joke] ), La généreuse capitaine Kureha et le grand, terrifiant, farfelu et cinglé capitaine Rattus (non pas le mineur accroc à la redstone du quartier mineur) ainsi que le pirate forgeron d'âme, Sachasai.

 

Nous avons envahi le port en un rien de temps, L'Allée Spadon n'était plus un territoire sous le contrôle de la loi (ou presque). On peut dire que c'est devenu "Little Torcuba".

 

En attendant l'arriver de ressource pour la nouvelle ville, Extra et moi-même discutons de l'avenir de cette terre et de sa capitale autour d'une vingtaine de choppe de bière provenant de ma recette, Bière + huile de foie de morue (infecte, mais on ne sent plus le goût à cause du rhum).

 

Nous discutons depuis des heures, un bruit épouvantable sorti du ventre du jeune homme.

 

"Le vieux, j'ai la dalle, tu n'as pas un truc à manger. Me lança l'avorton

 

-Tu veux mon poing à me parler comme ça ?" lui répondis-je en me dirigeant vers la cuisine.

 

"J'ai du merlan frais de ce matin, je peux te le faire cuire. Ajoutais-je en sortant des ustensiles de cuisine.

 

-Vas-y vieux débris boiteux, fais chauffer ton fourneau " me dit-il en ricanant.

 

En un quart de tour je lançai, un couteau en sa direction et ainsi se planta dans le mur son tricorne qui était dans la trajectoire du couteau. Et j'allumai un feu et je commençai à faire cuire le poisson.

 

"Tu n'as jamais pensé ouvrir une taverne sur une des deux capitales ? Me demanda-t-il en enlevant le couteau du mur.

-Boarf ! Tu connais mon histoire, je ne pense plus pouvoir être apte à faire face au public dans la restauration. Je ne peux plus ... commençais-je dire avant qu'il ne me coupe la parole.

 

-Tu as cuisiné sans relâche et à travers les tempêtes, nous t'emmenions en mer, car tu avais des recettes qui avaient le don d'ensoleiller le coeur de tous ses rustres marins, même tes biscuits de mer étaient mangeables !!! Et si TU ouvres une échoppe, TU seras le patron ! Personne ne te diras quoi faire, en plus ta bière, bien qu'infecte peut servir de remontant à tous les travailleurs de la capitale. Me hurla-t-il dans la maison.

 

-Je sais bien tout cela, mais je n'ai pas trop la motivation de faire tout cela, je suis trop âgé pour travailler autant et puis je vais donner un coup de main pour la fondation de New Providence. répondit-je en ajoutant quelques épices dans la poële.

 

-Vieux, si tu peux faire un tel effort physique pour une ville, tu peux le faire pour un commerce. Et tu peux gagner plus d'or que ce que te rapporte le marché noir et le pillage, oui, car une caravelle ce n'est pas fait pour piller une ville ou un gallion. dit-il en ricanant

 

-De l'or ? c'est vrai que les fins de mois sont dures en capitale. Bon si tu insistes, je vais me lancer avec mes recettes de marin. Tu penses qu'un steak de requin à la sauce torcubaine peut plaire à des gens de la ville ? Lançais-je avec un sourire et tout en faisant revenir le poisson.

-Oui maintenant vas-y fonce et va acquérir une parcelle, mais avant tu finis de faire se foutu poisson." Ordona le jeune capitaine.

 

Je finis de faire cuire l'animal, je le mis dans une assiette et je la déposai au nez de l'effronté somnolant.

 

Il mangea le met, avec férocité, mais ne laissa aucune miette, au point d'avoir l'impression de ne jamais rien avoir mit dans l'assiette.

 

Les heures passèrent et nous buvions encore quand soudain deux gardes s'aventurèrent dans l'allée, ils se dirigèrent chez le Capitaine Extra.

 

"Tu as encore fait des embrouilles en ville ? Lançais-je à Extra affalé sur la table.

 

-Euh ... Presque rien ... Hum ... répondit-il en détournant son regard sur la porte de la cave.

 

-Que le grand Kraken me soit témoin, si tu arrives à sauver la peau de tes fesses je me lance dans l'ouverture d'une taverne à Stendel !

 

-Marché conclu, mais avant je dois ... Sa phrase fût interrompue par le son d'un toquement brusque et violent à la porte d'entrée.

 

-Monsieur, Ouvrez. C'est la milice urbaine, nous venons inspecter votre bâtisse et vous posez des questions sur votre voisin Monsieur Extra. La voix était celle d'un des gardes, un ton plutôt sec.

-Oui, oui j'arrive. Je finis de nettoyer cette assiette. Leur dis-je en voyant Le jeune pirate s'enfuir par ma cave.

 

-Dépêchez-vous ou nous enfoncerons la porte ! lança une autre voix provenant de dehors.

 

-J'arrive ! prononçais-je naturellement en tournant la poignée de la porte. Que puis-je pour vous Messieurs.

 

-Nous venons inspecter votre demeure. à peine eut-il dit ça que l'autre garde monta à l'étage. Connaissez-vous Monsieur Extra ?

 

-Pas plus que cela, c'est un voisin discret mais fort sympathique. L'autre jour je lui avais demandé du sucre pour la préparation d'un gâteau à base de fraise des bois, d'ailleurs vous savez trouver des fraises des bois en cette époque c'est un exploit ! Je remercie le marchand qui me l'a vendu, je vais souvent lui acheter ses collectes, car il a le don de trouver en forêt des fruits, plantes, champignons ou autre de qualités exceptionnelles. souvent après être passé à son stand, je vais voir le maraîcher c'est un cousin à ma défunte mère. Elle est morte aux environs du ...

-Oui, oui, oui merci, mais vous n'avez pas plus d'information sur lui.

 

-Ah si, il est petit, trapu et a une longue barbe. C'est assez rigolo, car il ressemble à un nain, mais il est bel et bien un humain comme vous et moi. Et puis vous avez déjà vu un nain vendre des fruits ? hahaha

 

-Pas le maraîcher, nom d'un chien ! MONSIEUR EXTRA !!!!

 

-Aaaaaah et bien, il part souvent au petit matin en même temps que les pêcheurs et rentre tard et souvent ivre.

 

-c'est tout ?

 

-Oui.

 

-Merci de votre aide Monsieur. me dit-il en se levant de la chaise. Et toi ? Tu trouves quelques choses ?

 

-Rien, c'est propre et honnête ici. Cria l'autre garde depuis l'étage.

 

-Avez-vous une cave ou grenier, monsieur ? Ce demanda le garde face à moi.

 

-Oui, une cave, mais elle est inondée à cause du mauvais entretien de la route, il faut quand même vous bougez et faire appel au service d'entretien. D'ailleurs cela me rappelle dans ma jeunesse, une petite ville fortifiée qui suite à un orage de nombreuse tuiles sont tombés sur la route et c'est ainsi que celui que l'on appelle Jack le boiteux a eu ce surnom, mais cet homme est brave, même avec son handicap il menait les brebis en haut de la montagne, ainsi il faisait un meilleur lait de brebis et je raffolais de ses fromages, vous savez ce petit goût de...

 

-Ouais, ouais, ouais, ouais, ouais, ouais je sais votre vie est bien, mais je vais inspecter la cave, conduisez-moi à celle-ci."

Je l'accompagnai jusqu'à une porte en bois usé, sur le mur il y avait le trousseau de clés. Je pris le trousseau et j'insérai une clé plutôt grosse, la porte se déverrouilla mais l'ouvrir était une autre paire de manche. Je pris un petit élan d'un pas et donnai un grand coup d'épaule dans la porte qui s'ouvrit dans un grincement strident.

 

Le garde descendit les marches glissantes et manqua deux fois de tomber, l'humidité présente dans la cave était telle que diverse mousse ont poussés sur les dalles. Il mit ses bottes dans l'eau et avec son épée il tenta de vérifier la profondeur mais l'eau était au moins à cinq mètres de profondeur. Il me regarda et remonta sans rien dire, il appela sont collègues et ensemble me saluèrent et prirent la direction de la rue sans un mot.

 

Au moment de refermer la porte, je me rapellai de la promesse faite au jeune grand conseiller de Torcuba.

 

"Messieurs, attendez ! J'ai besoin d'un renseignement, où faut-il que j'aille pour obtenir une parcelle de Tavernier ? Puisque voyait vu il y a de cela deux ans, j'ai ... Le garde me coupa la parole et me fit signe d'arrêter de parler.

 

-Tu vas voir un gouverneur tu lui dis celle que tu veux, tu paies et voilà, au revoir !" Il parla d'une telle vitesse et après avoir fini ils accélérèrent le pas.

 

Je me retournai et me dirigeai vers la maison de Extra et j'allai vers sa cave, il était assis derrière une caisse de rhum vide entièrement mouillé et couvert de vase.

 

"Haha tu as plongé dans ma cave pour sortir dans la brèche qui mène à la tienne. J'y crois pas, bon sinon je vais acheter une taverne et me lançai dans les affaires."

Il ne me répondit pas, mais fit en sorte de me faire comprendre qu'il a besoin que je lui apporte de nouveaux vêtements.

 

Je me rendis de nouveau dans la rue, mais sans rentrer chez moi, je me dirigeai vers la place, trouver un gouverneur, laissant Extra trempé.

 

Le chemin pour la place était paisible deux ou trois poules sur la route de nobles maçon construisaient une maison dans le quartier ingénieur laissant respirer et se présenter à tous leur raie. Puis le calme se transforma en brouhaha, j'était en approche de la place. Des crieurs publics aux quatre coins, des gardes en poursuite d'un pickpocket de dix ans, une vieille dame qui offrait une pomme très rouge à une fille au teint de peau très blanc, des marchands illégaux et leurs rouelekses de pacotille et divers individus de divers horizons.

 

Je fus au milieu de la foule bousculant les hommes, les femmes et piétinant les mains des enfants jouant aux billes. Puis un calme pesant se fit entendre, un gouverneur et son escorte entrèrent dans la foule. c'était ma chance !

 

Je me plaçai devant eux .

 

"Oh la Messire le gouverneur, j'aurai besoin de votre attention l'espace de quelques minutes, afin de pouvoir acquérir le droit de propriété d'un emplacement de tavernier. Lui demandai-je en me courbant.

 

-Hors du chemin civil ! dit un garde en s'approchant de moi.

 

-Cesse cela soldat, ce noble citoyen m'a fait une requête, c'est mon devoir d'y répondre. Quelle parcelle souhaites-tu acquérir ?

-Euh ... je n'eus pas penser avant, mais je répondis au pif la plus proche d'ici.

 

-Cela ne m'aide pas tavernier, celle dans le quartier des forgerons, des menuisiers ou des herboristes ?

 

-Huuuum ... pendant un petit moment de réflection je me suis dit que le quartier menuisier c'était peut-être le plus sympa et puis ca sonne bien. Le quartier des menuises, messire.

 

-Ah oui, le neuf Rue Everlohr, bel endroit. Elle est à toi si tu te diriges au centre de recensement de parcelle commerçante, enfin le grand bâtiment derrière toi.

 

-Merci, merci mille fois messire. Que Dok vous bénissent." lui lançais-je en me fondant dans la foule.

 

Je rentrai dans le grand bâtiment, mais il y eut beaucoup de monde. Il fallait prendre un numéro pour passer, malheureusement j'eus le numéro trois cents quarante-sept, je pris place près d'une sorte de nain, mais sans barbe et sentant le souffre.

 

Une femme derrière son bureau cria le numéro vingt-quatre, un gringalet avec un livre sur la magie et l'enchantement se leva en tenant son ticket, je m'approchai de lui et inter-changeai les tickets avec toute ma sympathie je lui lançai un regard plus noir qu'un enderman. Le pauvre bonhomme reprit sa place sans un mot.

 

J'entrai dans un bureau plutôt bien décoré mis à part un homme qui tirao la tronche d'un creeper. Je m'approchai de lui et il lança

 

"C'est pourquoi ? d'un ton strict et mauvais.

 

-L'obtention d'une parcelle de tavernier ! répondis-je d'un ton plus haut que le sien

 

-d'accord vous signez ça, vous mettez une somme et on vous fera communiquer s'il y a du nouveau."

 

Je signai le papier et indiqua une modique somme de 700 Pas puis je sortis du bureau sans rien dire. Pour faire passer le temps je fis quelques magasins pour acheter de quoi faire à manger à tous les torcubains présents sur le quartier pêcheur.

La nuit pointa son nez sur la ville, alors pour ne pas me faire tuer par ces soiffards de pirate, je me dépéchai de rentrer, mais une main se posa sur mon épaule.

 

"Hey dit donc toi, tu empiètes sur notre territoire ! De quels droits tu achètes une parcelle comme ça ? Ici c'est nous qui gérons les tavernes alors jeudi au crépuscule dans le parc, tu nous apportes tes papiers et tes motivations pour avoir une parcelle, capice ? Me dit une personne avec un étrange accent puis il disparu

 

-C'était quoi ça ? dit l'autre voix.

 

-T'aimes pas ? je voulais faire un moyen de pression.

 

-S'il-te plait ne fais plus jamais ça ! c'est ridicule !"

 

Je n'avais pas compris mais j'exécutai l'ordre, je rentrai chez moi et fit à manger et après le repas je fis une recherche dans mes papiers pour préparer un dossier à ses étranges individus. Le reste de la semaine se déroula sans encombre et Extra était toujours caché dans sa cave humide.

 

Le jeudi était enfin là, je me rendis au point de rendez-vous un peu en retard et donna le dossier à un homme que je ne connaissais pas.

 

"Tu auras les résultats bientôt" me dit-il en s'éloignant.

 

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Bien le bonjour (ou le bonsoir),

 

j'ai également coupé la présentation pour ne laisser que le Rp.

 

 

La guerre contre la fière cité-royaume de Nevah s’était déroulé dans d’atroces conditions, les morts ne se comptaient plus depuis longtemps, la terre était gorgée de sang, les charognards tombaient du ciel ou ne parvenaient même plus a s’envoler. Les ruines du pont ancestral coupaient avec la couleur sanguinolente de l’eau qui peinait à couler.

Les fières murailles qui autrefois se faisaient face n’étaient plus que l’ombre d’elles mêmes, abattus ou fortement réduites, elles abritaient ce qui restaient de ces années de carnage,

ces créatures qui n’avaient d’humains que le nom, encrassées, blessées, traumatisées, à jamais marquées parce les horreurs de cette guerre meurtrière qui avait causé tant de ravage chez les humains.

Face à ce triste tableau, il ne restait plus qu’un champ de pierre parsemé de cadavre, les murailles étaient tombées, leurs occupants avec. Les carcasses des machines de sièges, ici un trébuchet, là une catapulte, plus loin un zeppelin, tant de prouesses du progrès au service de la destruction, du chaos.

Jamais au grand jamais n’avait on pu observer un tel paysage. Seule demeurait à l’horizon la Citadelle imprenable du Dominion, la Magnas Dominus. Siège du pouvoir Dominien et dernier bâtiment debout. Une promenade a travers ce macabre tableau permettait de se rendre compte des dégâts de cette guerre. Nul batiment hormis la Citadelle n’était encore debout, tout n’était que ruine, leurs occupants les ayant quittées pour une nouvelle terre d’accueil.

« Ce n’est qu’une fois commise que l’horreur nous parait » disait un sage, et ce n’est qu’après un ultime assaut contre les humains que le Dominion, saigné, abandonné et découragé proposa une trêve à la puissante nation humaine contre laquelle il s’était engagé voila des années.

 

Cette trêve permit au deux camps de se reconstruire, les murailles de Nevah furent relevées et avec l’aide de leurs dieux se dressait maintenant un massif montagneux, point d’arrivé du pont ancestral reconstruit, encore.

Le Dominion pansait ses blessures et comptait ses pertes. Les felliens avaient été presque anéantie et ceux qui restaient étaient parti pour le nouveau monde. Les vampires s’en étaient retourné dans leurs sombres demeures, les glukons avaient perdu dans la bataille nombre de leurs membres mais surtout leurs chef. Les nixiens avaient totalement étaient détruit, seul leurs temple protégé des dieux était encore intact.

Les singes avaient entrepris de reconstruire leurs territoire tandis que les fourmis tissaient des alliances avec des royaumes humains afin d’essayer d’instaurer des relations diplomatiques avec les humains. Grâce a ces alliances les fourmis purent installer une colonie sur le nouveau monde en partenariat avec des humains. Une nouvelle ère de prospérité était née, il fallait profiter de ce répit pour se reconstruire, un nouveau monde avait été découvert pleins de promesses et d’espoir pour ces vaillantes créatures qui avaient tant soufferts.

 

Parallèlement à la reconstruction du territoire dominien les peaux-vertes survivantes s’étaient lancées dans le commerce. L’ingéniosité gobeline conjugué à la force de travail orc et à l’esprit vif des trolls assurés de beaux jours aux peaux-vertes. Les nombreux commerçants en leurs rang s'apprêtaient à investir les marchés du nouveau monde répondant au nom de Stendel mais il fallait bien se préparer, si la guerre physique n’était pour le moment plus d’actualité, la guerre économique ne faisait que commencer.

 

La préparation de cette campagne se devait minutieuse car il se jouait là l’avenir des créatures au teint vert, un échec et les conséquences en seraient dramatiques, pas de ressources pour se reconstruire, un avantage certains aux ennemis de toujours et une perte d’autonomie.

Afin de préparer au mieux cette campagne il fut décider que le secteur économique le plus puissant des peaux-vertes percerait en premier . Les services de l’agroalimentaire peaux-vertes furent sommés d’entrer dans la partie et ce par l’implantation dans la capitale du nouveau monde d’une zone de vente qui servirait d’essai.

 

Les agents peaux-vertes furent donc envoyés afin de renseigner sur les modalités concernant la possession de telle zone en Stendel. Lorsqu’ils apprirent que les ventes venaient d’être close ils ne purent s’en retourner, leurs avenirs se jouaient là.

Ils suivirent un récent acheteur et gentiment lui offrir de racheter sa propriété, l’humain accepta non sans monter quelques résistances mais fini, après 3 jours de tortures, par vendre dans la plus grande légalité sa parcelle récemment acquise.

 

Les peaux-vertes disposaient donc d’une parcelle dans ce nouveau centre dynamique et pouvait alors se lancer dans leurs campagnes économiques.

La parcelle se verrait décorer dans un style humain mais laissant tout de même l'enseigne qui possède tant de charme.

Les bouff'boys allaient pouvoir enfin répandre leurs savoir faire à travers les estomac et autres organes digestifs des créatures du nouveau monde

 

 

Merci

 

Bestialement

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Non Iicecrime, tu n'as pas envoyé ta candidature et pourtant tu as participé à chaque réunion du concours et je pense que tu aurais pu envoyé un petit quelque chose.

Enfin après fait ce que tu veux, mais garde à toi de ne pas t'attirer les foudres de tous les taverniers :o

 

Voici mon RP (j'ai supprimé la présentation et les motivations, longueur oblige :P) :

 

ACG_ContestBanderole.png

Bonjour ou bonsoir à toi SL ! Voici mon dossier, ou plutôt ma candidature pour le Concours des Taverniers concernant les parcelles de Stendel.

Bonne lecture.

 

-----------------

 

Stendel…

« Quelle belle ville ! » songea Druyk.

 

La cité avait beau être en construction, le jeune fortuné était déjà tombé sous le charme de celle-ci.

Cette citadelle du même nom que sa contrée était plus que prometteuse.

Elle fut découverte il y a maintenant deux ou trois lunes et est accessible depuis peu grâce à un portail invoqué par les empereurs. Ou du moins c’était le baratin officiel du royaume, rien n’avait était prouvé jusqu’à aujourd’hui mais le fondateur s’en fichait royalement.

Ce qui l’intéressait, lui, célèbre tavernier, c’était une parcelle pour y installée un commerce ; une taverne. Ou encore une auberge, il ne savait pas trop.

Il avait confié les clés de la taverne situé Grand’Place à son bras droit pour gérer le tout, afin d’être tranquille et pouvoir se concentré sur la parcelle qu’il lui faudrait.

 

S’engagea alors plusieurs jours de recherche, Stendel était grande. Druyk jugea bon de se payer une chambre dans une taverne très rustique, établie hors de la ville. Fait qu’il regretta très vite du au vacarme de ses voisins pendant son sommeil.

Sept Rue Dimantaire , Cinq Rue Sule… Décidément, le dirigeant de cette ville était un bon comique. Soit. Après s’être fait arnaquer un des rares plan de la ville et avoir erré un bon temps, le tavernier fit un bilan de ses recherches dans un parc bien paisible ;

 

« Alors, qu’avons-nous là… Cinq parcelles destinées à des auberges ou des tavernes. »annonça Druyk à haute voie ayant consulté ses notes.

« Seulement cinq… Cinq misérables endroits pour je ne sais combien de marchands avares ! Cette cité est en fin de compte mal fichue ! » Il baissa d’un ton après avoir constaté le dérangement émis quelques secondes plutôt. Il soupira puis rangea ses affaires pour prendre le chemin du retour, il rentrera à New Stendel pour s’y reposer deux jours et repartira pour choisir sa parcelle et investir dessus.

 

Dans la capitale ambulante l’agitation était à son comble ; tout le monde se battait pour revendre sa maison ou son commerce. D’après les apparences beaucoup de citoyens étaient intéressés par la vie à Stendel, mais celle-ci avait un coût. Une estrade avait été installée au milieu de la place où un commissaire-priseur évaluait chaque parcelle pour décider ensuite si ce pouvait être une bonne affaire pour la ville de les racheter.

« Une belle escroquerie étant donné que ces parcelles ont déjà été évaluées. C’est juste histoire de les racheter moins cher… » se dit Druyk.

 

Le gérant entra dans la taverne peu remplie et s’adressa à son employé à qui il avait confié les clés :

« Alors, combien de chiffre d’affaire pour ces trois derniers jours ?

-Pas grand-chose je dois dire, j’ai l’impression que même les ivrognes sont partis à Stendel ! Vivement que nous nous y installons, d’ailleurs qu’est ce que ça a donné ta recherche ? » Le fondateur lui détailla les parcelles trouvées et alla ensuite s’effondré sur un lit de la salle de repos. La fatigue l’entraîna dans un sommeil profond. Il rêva que les parcelles se vendirent toutes à des sommes exorbitantes et en très peu de jour. Il eut d’ailleurs un soupir en y repensant au réveil, n’y croyant pas. Jusqu’au moment où il monta dans la salle de banquet et regarda par la fenêtre qui surplombait la place, tant agitée d’habitude.

 

Trois ouvriers démontaient l’estrade et nettoyaient la place déserte en ce matin ensoleillé.

« Je n’y crois pas… Ils ont déjà tout acheté ! » dit Druyk en se frottant les cheveux, encore endormi.

« Oh non vous savez, les citoyens, sont pas tous réussis à vendre leur piaule ! C’juste qu’ça sert plus à rien maint ‘nant » informa un vieillard qui passait à ce moment là.

« Ah ? Pourquoi cela ne sert plus à rien ? questionna le tavernier

-Bah vous savez, à Stendel, tout à était vendu c’te nuit ! Ouai ouai, j’vous jure ! Y en qui raconte qu’c’est un nouveau royaume qui a débarqué dans la grosse ville, et vous savez pas la meilleure ? Sont tout acheté ! TOUT ! Doivent’ être pleins d’fric ceux là !

-Mais dites-moi, comment savez-vous cela ? J’ai franchement du mal à admettre que tout a était acheté en seulement une nuit…

-C’est l’vendeur d’l’estrade qui me l’a dit, t’façon vous pouvez aller voir ça d’vous-même, moi j’met pas les pieds dans c’t-énorme bourgade. »

Druyk remercia le vieux qui descendit les escaliers en direction du rez-de-chaussée, sûrement pour avalé un morceau. Il resta en état de choc quelques minutes avant de se précipiter vers ses affaires et de passer le portail vers Stendel…

 

Le vieil homme n’avait pas menti, depuis la place aucune parcelle vide ne se fit montrée. Toutes avaient soit un panneau confirmant l’acquisition par un citoyen, soit des ouvriers présents qui commençaient à bâtir. Il alla questionner un garde, sur cette agitation très étrange :

« Oui oui vous avez vu juste, presque tout a était vendu hier et cette nuit. Les peuples adjacents qui ont apparemment plus d’argent que nous se sont pointés. Ils n’ont pas l’air méchant en tout cas ! »

 

Druyk qui pensait halluciner, se dépêcha d’aller voir les parcelles qu’il avait dégoté. Celle au quartier menuisier avait été achetée par un inconnu à dix mille et quelques pièces d’argent. Ce fut le même sort pour la parcelle non loin au quartier forgeron où un investisseur louait cet emplacement, l’indiquant simplement avec panneau :

 

ACG_ContestPanneau.png

 

Ce comte lui était inconnu, mais le panneau suffisait au tavernier pour savoir de quel type d’homme il s’agissait.

Les parcelles les plus éloignées furent payées par d’autres aubergistes à des sommes toujours très hautes. L’endroit que Druyk trouvait le plus intéressant était à l’adresse 1 Allée Plotmoy. Ce petit bout de terre, très abrupte, appartenait au seigneur Eilan Valargent.

A sa grande surprise il ne retrouva aucun ouvrier comme c’était le cas à côté et aucunes indications similaires aux autres.

 

« Parcelle pour Taverne ou Auberge - Parcelle remise en enchère sous la seigneurie d’Eilan Valargent le… »

 

La date avait été barré afin qu’on ne puisse la lire. En tout cas, l’annonce de ce Valargant était très attirante, surement une des seules chances pour Druyk d’obtenir une place, surtout celle-ci, bien qu’il ne comprenait pas les motivations de son propriétaire.

« Surement une technique d’investisseur… » conclut-il.

Puisque qu’aucune information valable était donné, il décida de se rendre à la Chambre du Commerce de la citadelle où se situe toutes transactions et affaires concernant les lopins.

L’esprit tranquille il fit un détour vers le quartier herboriste pour y acheter des herbes à cuisiner.

 

La Chambre du Commerce était inondée de marchands. Le comptoir des dépôts de plaintes étaient, comme toujours, occupé par des forgerons et armuriers qui râlaient sur les prix de leurs concurrents. Malheureusement, l’accueil qui intéressé Druyk juxtaposait ce comptoir, ce qui rendait la communication plus difficile avec ce brouhaha.

« Enchanté cher marchand, en quoi puis-je vous aider ? » La voix de la charmante demoiselle le tira de ses pensées, il se demandait d’ailleurs comment une si jolie fille pouvait travailler dans ce lieu.

 

« Euuh oui bien sûr mademoiselle, je suis intéressé par la remise aux enchères de la parcelle situé 1 Allée Plotmoy. La date a était rayée, avez-vous des informations pour moi ?

-Et bien je vais voir, patienter ici je vous prie. » Elle partie dans une seconde pièce et revint avec un dossier avec écrit dessus « Quartier Tisserand »

« La parcelle que vous demandez a donc était acheté par le seigneur Eilan Valargent qui l’a remis aux enchères… » Elle s’arrêta de lire à haute voie, hésita et annonça :

« La parcelle a était réquisitionnée ce matin par la milice. Apparemment le propriétaire a était retrouvée mort dans la nuit, ce qui expliqueriez que toutes informations aient été barrées. »

Druyk leva les yeux au ciel et se demanda un instant si le monde n’était pas contre lui. L’archiviste lui conseilla d’aller à la caserne pour avoir plus d’informations, ce qu’il entreprit de faire après s’être ravitailler à la taverne d’à côté.

 

L’ambiance battait son plein. Les maçons et charpentiers riaient fort à une grande table, les chopes de bière à la main. Certains jouaient aux cartes dans un coin plus paisible, et d’autres débattaient sur l’avenir de cette ville. Quant-au gérant du Cochon Grillé il était assit seul à une table, pensif. Il venait de finir son ragoût de bœuf qu’il n’avait pas trouvé extraordinaire. Il regarda le cadran à travers la fenêtre pour savoir l’heure et se leva afin de partir en direction de la caserne. Il finit son fond de bière debout tout en contemplant l’homme qui venait attacher une affiche sur le panneau qui était destiné à cet usage. Il ne lui fallut pas plus de quelques secondes avant de lire de loin le nom d’Eilan Valargent.

 

« RECHERCHER – Responsable de la noyade du Seigneur Eilan Valargent

Parcelle 1 Allée Plotmoy en récompense »

 

Druyk eut un léger sourire,

« Quel hasard et puis ca m’évitera de me rendre à la caserne… » murmura-t-il. Il alla payer le tavernier puis s’empressa de traverser le portail vers New Stendel pour la énième fois.

Il entra dans la taverne du Cochon Grillé et annonça en s’adressant à son bras droit :

« Prépare tes affaires d’aventurier mon ami, nous avons une enquête à résoudre et nous partons dans une heure ! » Il lui jeta l’affiche de recherche afin qu’il comprenne.

« Je vais au château afin de payer un mercenaire le temps de cette histoire, nous en auront surement besoin. » Il ne laissa pas son interlocuteur répondre et ressortit aussitôt.

 

Plus tard dans l’après midi, le groupe était au complet. Druyk avait préparé ses affaires et avait ramené le dit mercenaire, informé sur la situation. Quant à son bras droit, il était lui aussi présent avec son équipement. C’est d’ailleurs lui qui entreprit les premières étapes de l’enquête, une fois présent sur Stendel.

« Bon… D’après ton affiche Druyk, ce certain Eilan serai mort noyé. Il y a un fleuve qui passe dans la ville non ? Il serait bien d’aller y faire un tour, voir si il n’y a pas d’indices. »

Druyk acquiesça. C’est alors que le mercenaire pris la parole…

« J’imagine que je suis là pour attraper le meurtrier ?

-C’est exacte, il suffira de l’assommer et de le livrer à la milice ensuite. Pas besoin de le tuer. »

Le soldat eut l’air de grogner suite à la réponse qu’on lui avait donné.

Le petit groupe improvisé partit à la recherche d’indices. Ils longèrent le fleuve au niveau de l’eau avec les petits rebords fait pour.

 

L’expédition ne fut pas du luxe, les aventuriers passèrent trois heures à vagabonder. Ils trouvèrent parfois des liquides d’un noir douteux formant une flaque dans le fleuve, ils en conclurent que ce devait être utilisés par les machines de Redstone, en voyant ces flaques s'accentuées prés du quartier ingénieur. La citée avait beau être en construction, la saleté était déjà au rendez vous, à plusieurs reprises des rats sortirent de petits trous qui devaient certainement menés aux égouts. Et puis les ouvriers négligeaient le matériel, des planches de bois traversaient le fleuve, entrainés par le léger courant de celui-ci.

Ils arrivèrent alors sous un pont où une personne pourrait les aider. C’était un clochard, qui semblait être là depuis le commencement. Ces vêtements en lambeaux et son peu de matériel faisait pitié. Druyk engagea la parole, il fit d’abord signe aux mercenaires de reculer afin de ne pas écouter la conversation.

 

« Bonjour à vous vieil homme, je souhaiterai avoir des informations a propos d’un certain meurt…

-Me nomme Barbu. » Le pauvre homme montra une pancarte juste à côté de lui…

« D’accord je vois… Argent contre information, ça parait logique ! » et Barbu arracha les cinq misérables pièces d’argent que lui tendit Druyk, pour les ranger dans une cachette située dans le réchaud.

« Tu recherche quoi ?

-Il y a eut un meurtre par noyade récemment. Nous voulions savoir si vous avez vus quelque chose de suspect ou encore trouvé des indices pour nous.

-Qui c’est qu’est mort ? répondit-il sèchement

-Le seigneur Eilan Valargent.

-Connais po. Désolé pas d’infos pour vous. »

Le mercenaire parut s’impatienter un moment, le bras droit de l’entreprise qui sentait le mensonge à plein nez pris la parole.

« Vous êtes en permanence ici, sous un pont en plus, endroit susceptible de la mort de Valargent. Cela m’étonne que vous n’ayez aucunes informations pour nous.

-Cherche po, j’ai rien. Partez maintenant, Barbu veut plus vous voir. » Druyk lui tendit une autre petite somme d’argent. Le clochard eut le même réflexe que tout à l’heure.

Entre temps, la nuit commençait à tomber. Et tous commencèrent à avoir faim.

« Des meurtres ? Y en a pas ici. Qu’des bourrés qui tombe pi voilà.

-Sauf que là il s’agit d’un seigneur, un seigneur est issu de la noblesse et donc qui ne bois pas comme un ivrogne. Et puis il devait surement être accompagné d’une garde. La mort accidentelle est impossible. Rétorqua l’ami de Druyk.

-Chépo, tfaçon je suis resté ici tout le temps. Ya eut personne qu’est tombé ces dernières nuits. Mais ya ptét quelqu’un qui pourrait… »

Le tavernier qui n’avait pas envie de donner plus d’argent fit mine d’appeler le soldat afin d’intimider le vieillard, ce qui marcha à la perfection.

« Ya ptét le vieux Bubulle qui a eut plus d’chance que moi. Il habite au port et connais bien l’eau. Allez filez, jveux plus vous revoir » Et il marmonna le reste de sa phrase tout en récupérant son dîner, un poisson à moitié pourri.

 

Le groupe marcha alors en direction du port tout en se questionnant.

« Ca m’étonne asse cette histoire, il n’y a rien d’évident. Aucun indice, aucun témoignage. C’est pourtant bizarre pour un seigneur. Dit le gérant à Druyk.

-Oui c’est vrai, et puis surtout de la part de la milice je trouve. Mettre un avis de recherche pour un noble, on aurait plutôt dépêché toute une équipe d’enquêteurs compétents. Enfin bon… Nous ne le connaissons pas, il a peut être peu de valeur pour le royaume.

- Tu crois ? C’est vrai que ça expliquerai la récompense et l’avis de recherche, original en tout cas…»

Ils en restèrent là pour cette discussion, ils n’allaient pas tardé à rentrer dans le quartier du port. Au vue des circonstances, Druyk avait donné une autorisation au mercenaire pour aller se reposait à l’auberge, ce qui lui laissait plus d’aisance dans les interrogatoires…

 

La pénombre venait couvrir le calme du port lorsqu’ils arrivèrent chez le vieux Bulle.

« Nous y sommes, je sais pas trop quelle information allons nous obtenir, mais le clochard n’a pas du nous le conseillé pour rien. » Il frappa à la porte de la petite cabane. Celle-ci faite complètement en bois, à quelque mètre du quai.

Toc toc toc…

« J’arrive j’arrive ! » le vieillard fit deux pas avant d’ouvrir la porte.

« Oh, des vagabonds ? Voulez quoi ? Vous réchauffez ?

-Bonjour monsieur, nous souhaitons vous parlez d’un meurtre. C’est un dénommé Barbu qui nous a conseillé de venir ici.

-C’le vieux Barbu qui vous envoie ? Alors venez ! Les amis d’Barbu sont aussi les miens !

-Mais nous ne sommes pas son ami… chuchota le gérant à Druyk qui haussa les épaules et rentra »

« Bubulle » comme le disait Barbu avait l’air tout heureux de voir les deux compères du Cochon Grillé.

 

« Installez vous sur le lit, y-a-pas beaucoup de place chez moi vous savez. Allez raconter moi vos malheurs, qu’est ce qu’il vous arrive ?

-Nous enquêtons sur la noyade du seigneur Eilan Valargent. Un clochard nommé barbu que nous avions interrogé nous a conseillé de venir ici. Il a dit que vous connaissiez bien l’eau.

-Haha ! C’est un brave type Barbu ! Hmm … Je vois pas pourquoi il vous a dit de venir ici en tout cas. Je sais pas en quoi je peux vous aider sur une noyade. Par contre votre gars là… Eilan, on l’connait bien au port ! S’ptét pour ça. Quel malheur… Eilan… Noyé…

- Vous dites que vous connaissiez Eilan ?

- Oh bah oui ! Tout le monde le connaît au port ! C’t-ivrogne est bien marrant, il bois comme un marin et claque tout ses sous dedans. Il a même acheté une parcelle, en pensant la revendre plus cher ! Haha, qu’il est sympa… Fin’ bon l’était fauché... » Le vieillard paraissait triste mais ne gâcher pas sa joie de vivre et ses moments vécus avec le seigneur.

Le bras droit chuchota à Druyk…

« Un seigneur… ivrogne… je commence à croire que cette histoire n’est que mensonge. »

Le tavernier qui réfléchissait reprit la parole.

« Et… Vous avez une idée de qui aurai pus le tuer ?

-L’tuer ? Haha ! Le tuer, quelle blague ! On ne me l’avait jamais fais ! dit Bubulle en éclatant de rire. » Druyk regarda son ami, le visage étonné. Il se rappela du moment où il avait levé les yeux aux ciels à la Chambre du Commerce et cru revivre la même situation.

« Eilan buvait beaucoup… Énormément même. Pas étonnant qu’il se soit noyé.

-Sauf qu’il y a eut un avis de recherche pour trouver le meurtrier et une belle récompense ; la parcelle qu’il avait acheté. Répliqua le deuxième tavernier.

-Ooh non, c’est juste pour organisé une mort et l’annoncé à sa famille. C’gars n’avait plus d’argent, même pas asse pour se payer des gardes. Le royaume de Stendel n’y porte aucune importance… »

Druyk marmonna, il se demandait comment il pourra avoir cette parcelle avec cette histoire qui n’avait aucun sens. Le vieillard qui l’avait entendu, lui donna très vite une réponse…

« Ah, vous voulez c’te parcelle ? Bah inventez des preuves ! dit-il haut et fort.

-Ce n’est pas très honnête… Et puis inventez des preuves et tout un dossier d’enquête, ce n’est pas aussi facile que ça en a l’air…

-Honnête ? Haha ! Pas plus que cette histoire mon jeunot. Si vous voulez, vous pouvez même remettre la faute sur mon vieux pote le Vieux Gribouille ! Il est partit s’exilé dans la montagne depuis qu’il a saisi qu’il était devenu un peu fou. Et depuis qu’il est partit, tout le monde remet les affaires sur sa faute. Ce qui explique cette affiche…» et il montra un avis de recherche avec la tête du vieillard. Il paraissait en rire comme si cela n’était pas grave…

 

Ils finirent cette discussion tard la nuit en continuant de posé des questions. Druyk et son ami se dirent qu’au point où ils en étaient, il fallait allez jusqu’au bout. Une fois de retour sur New Stendel, ils eurent une longue discussion qui dura par delà la Lune. Ils en confluèrent entre temps qu’avec une milice pareil, Stendel était bien mal protégé…

Druyk avait décidé de suivre les conseils du vieux Bubulle, il avait constitué des fausses preuves qui remettaient la faute sur ce Vieux Gribouille… Au final, toute l’équipe du Cochon Grillé rirent de cette histoire peu commune.

Arrivé à la caserne pour remettre le faux dossier, le garde qui était chargé de l’accueil le feuilleta à peine et le referma. Cette attitude n’étonna plus le fondateur.

« Le vieux Gribouille hein… Comme tout le monde ! M’enfin, affaire classé ! Voici les papiers administratifs pour votre parcelle à remettre à la Chambre du Commerce. »

 

Quelques jours plus tard la parcelle fut récupérée et le plan, déjà tracé :

 

ACG_ContestArchitecture.png

 

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Maintenant que le concours est bel et bien fini, je reviens vous emmerder pour vous (re)parler des prix au spawn et qui je l'espère aboutira à un accord entre vous tous.

 

Mais avant cela j'aimerais que vous preniez en considération que vous n'êtes pas seul à être tavernier sur minefield que ce soit au présent ou à l'avenir et donc, qu'en mettant vos prix au plus bas pour faire jouer la concurrence vous ne ferez que tuer les tavernes des banlieues alentours sans pour autant faire du chiffre.

 

Autre chose, j'ai vue que certains choisissent leurs prix en fonction de l'abondance des ressources et non en fonction de ce qu'elle rend en "point de faim". C'est peut-être logique pour les autres spé mais ca ne l'est pas vraiment pour le tavernier, en faisant cela vous rendez certains aliments inintéressant.

 

Ps: La bière en fait exception car c'est plutôt un item pour le fun.

 

=> :Dhttp://www.minecraftwiki.net/wiki/Food

 

Voilà, merci d'avoir lu et j'espère des réactions positives !

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J'ai réajusté mes pris selon les point de faim.

 

J'ai bien ris !

 

(J'utilise le mot "faim" pour compter les points de faim)

 

Prix de Beautifulreal :

scaled.php?server=96&filename=menucopie.jpg&res=medium

(cf: http://www.minefield.fr/forum/echoppes-chemin/red-cherry-taverne-elfique-stendel-beautifulreal-t40259.html )

 

viande = 1 pa les 8 faims soit 8 pa les 64 faims

brochette = 4 pa les 10 faims soit 26 pa les 64 faims

pain = 1 pa les 15 faims soit 4 pa pour les 64 faims

poisson cuit = 1 pa les 2.5 faims soit 26 pa les 64 faims

 

Je veux pas être méchant mais pour moi je vois pas ou c'est re-ajusté. (youpi en plus les prix de la banlieue de New-Stendel dans Stendel, ba avec ça je dit bonne chance à la banlieue de Stendel)

De plus, moi, avec une demande RP pour les pommes (qu'on ne peut avoir que comme ça) je les achète à dok à 2 pa donc faudra m'expliquer comment tu fais pour les vendre à 2 pa et faire du bénéfice , (faudra aussi que tu m'explique ou tu les as)

(PS: je n'ai pas vu tes prix in-game seulement forum)

 

Moi pour mes prix plus c'est haut mieux je me porterai.

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Je n'ai jamais précisé que c'était actualisé sur le " panneau ", mais plutôt commencé sur les shops.

 

Donc manamax avant, de dire des arguments pour me railler sur mes prix qui ne te conviennent pas, renseigne toi un peu ? ;)

 

EDIT : Je suis en train d'en discuter avec Druyk d'ailleurs. ;)

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Effectivement Anthelme, nous pouvons désormais parler prix :)

Donc je propose à tous ceux qui le veulent, avant de parler de prix haut, bas ou autre d'ajuster les prix.

 

Ajuster les prix consiste donc, comme l'ont précisés Manamaxxx et Anthelme, à donner dans un premier tant un sens aux prix.

 

Autre chose, j'ai vue que certains choisissent leurs prix en fonction de l'abondance des ressources et non en fonction de ce qu'elle rend en "point de faim". C'est peut-être logique pour les autres spé mais ca ne l'est pas vraiment pour le tavernier, en faisant cela vous rendez certains aliments inintéressant..

 

-------

 

Le sens pour nous ; c'est les "points de faim". Ainsi, je vous propose de créer un genre de tableau de proportionnalité où vous définissez dés le début :

 

Toute la vie (10 points de faim) : Combien cela coûte ?

La moitié de la vie (5 points de faim) : Combien cela coûte ?

 

Après vous adaptes la nourriture en fonction de cela, par exemple pour le pain :

 

Toute la vie (10 points de faim) :5 PA

La moitié de la vie (5 points de faim) : 2,5 PA

Faims du pain : 2,5 faims

 

Donc le pain, si je me base sur les données d'au dessus, le prix sera de 1/4 de 5 PA. On calcul alors le tout pour avoir le pain à l'unité : 1,25 PA. On arrondi comme il le faut : 1 PA/U.

 

 

C'est simple une fois que nous avons compris. Personellement je me permet 1 PA de différence entre le prix exact et celui que je peux établir comme-ci dessus, pour remplir toute une vie cela nous coûterai 4 PA avec 4 pains au lieu de 5.

 

Ce système nécessite des lots, mais on peut se le permettre depuis la 1.8 :)

Je tiens aussi à préciser que nous pouvons obtenir des prix exactes et résoudre le problème ci-dessus avec des quantités par lot plus importante, à vous de voir.

Pour les produits qui nous rendent pas de faim ou très peu vous pouvez rajouter des facteurs comme la rareté ou encore le prix du craft (ex : les bières en se basant sur le fer, le melon scintillant en se basant sur le cours de l'or ;) )

-------

 

Une fois cela fait, tout nos prix auront une logique. Il sera plus facile de modifié des prix correctement. Nous pourrons, par la suite discuter du montant ensemble.

Je tiens à préciser qu'on peut avoir des concepts qui affectes les prix !

 

PS : Mes prix sont en train d'être mis à jour pour qu'ils collent parfaitement avec ce système ;)

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Je suis d'accord pour vous suivre dans cette voie mais je me permettrais deux réserve :

-ma taverne est bien plus excentré que les vôtres donc excusez moi si je ne suis pas a la lettre vos prix.

-le poulet est bien plus facile à produire que les autres viandes et voir même que le pain aussi mes prix sur les poulets seront très bas.

 

voila, je suis bien entendu ouvert à la discutions.

 

Bestialement

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