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L'ordre du grand Z (Préface) :De rerum Natura


Pihk
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De rerum natura

 

/!\ À écouter, pendant la lecture. /!\

Sur la place principale de Stendel un jeune homme robuste aux épaules larges et au sourire aguicheur sur un énorme et inélégant bloc de paille.

 

"Oyé, Oyé! Nobles ères, gentes dames, jeunes pouilleux, vieux guerriers. Prenez cinq minutes et laissez-moi compter mon histoire, ma légende.

Tout commença, lors de mon arrivée sur terre. Enfin mon premier souvenir, je me réveillais dans une tour entourée d’eau. De l’eau, je ne voyais que ça à l’horizon… De l’eau à perte de vue, mon inventaire vide, ma tête remplit de questions. Qui suis-je ? Ou suis-je ? Pourquoi suis-je si beau et fort ? Je suis seul… Dehors, le jour se levait. Le soleil était d’un rouge peu commun. Il fallait que je sorte d’ici, après avoir descendu quelques étages. Me voilà dans une bibliothèque, des livres à n’en plus finir. Ils devaient être là depuis des centaines d’années. Alors que j’arpentais en long, en large et en travers les différentes allées. Je tombais nez à nez avec un vieil homme tout fripé. Après quelques longues minutes de conversation,j'appris que j’étais sur un monde communément appelé Navis, une terre complètement aquatique. Que ce vieil homme était un des derniers gardiens du savoir des anciens. Il me permit aussi de rester quelques jours, le temps d’apprendre à me débrouiller seul en dehors de cette tour.

Quelques jours plus tard, un baluchon sur l’épaule je me suis mis en quête de trouver un but à ma vie. Je pris donc une barque et voguai jusqu’à la fin de l’horizon. Une fois la terre atteinte, il se mit à neiger. Est-ce un signe ? Suis-je sur la bonne route ? La neige blanche comme l’ivoire me rappelait la barbe du vieillard de la tour. Je me mis donc en route et marchais tout droit pendant 2 jours, affrontant montagnes et collines, blizzard et tempête. Au bout du troisième jour. Je vis au loin de la fumée. Oh ! Douce vue tant désirée depuis longtemps. Enfin, la civilisation !Un brave paysan m’accueillit. Il se nommait Hasuke. Après lui avoir raconté mon périple. Il me regarda, les yeux écarquillés, et me dit « Boudiou, que tu’as eu dla chance toi ! Je m’en vais de ce pas bien assurer t’annoncer auprès du roi Saveurs. Au fait t'es à Horcade »

Après une brève discussion avec le roi Saveurs, je compris vite que cet homme-là n’est pas quelqu’un d’honnête. Et c’est ainsi que dans les faubourgs de la ville, enquêté je joue et nuit. Plus j’avançais dans mon enquête, plus Saveurs me paraissait sombre, abject, coquin et sournois ! Un jour alors que j’étais debout sur la place centrale du village. Je me suis dit qu’il était temps de mettre un terme à l’immobilisme flagrant de la ville. De tous les faubourgs, montait progressivement la douce odeur de la révolte. Il en était trop. Il fallait faire quelque chose.

Une fois la révolte terminée, le roi destitué. La ville pris feu mystérieusement, tel Néron, Saveurs avait mis le feu aux chaumières… Le feu une fois éteint, les pleurs séchés, la ville pouvait une fois pour toute renaitre de ses cendres.

Je partis donc en quête de bois pour aider sur les chantiers Horcadiens, ne voulant pas défigurer le fragile éco système navien. À l'aventure dans les hautes montagnes qui bordent Waterfall, je coupais arbre sur arbre dans une frénésie destructrice. Quand tout à coup, le vent me siffla aux oreilles. « Tu vas mourir. SSSSSsssss tu vas mourir pour ce que tu m’as fait ! Moi Saveurs marchand et roi d’Horcade destitué par un misérable vagabond »

Au détour d’un rocher, je le vis apparaître avec 3 sbires. Sur leur visage était dessiné un sourire maléfique, ce qui me glace le sang quand j’y repense encore. D’un bond, ils se jetèrent sur moi, me contraignant à me retrancher sur le haut d’une falaise. J’étais bloqué, je n’avais qu’une seule solution… me jeter dans l’eau glaciale. Avant de sauter, je me retourna vers le fourbe et ses hommes ; et lui rétorqua : « plutôt mourir dans l'eau glacée minable !

Plouf, puis un grand silence. Rien. Je dois être mort.

« Non, sombre ignorant tu ne l'es pas ! Tu es dans ma divine demeure à Valalac. Je suis le grand Z. Je t’ai sauvé d’une mort certaine, car tu dois encore accomplir de grandes choses sur les mondes terrestres. Tu es l’élu, je t’ai choisi comme mon représentant. Sois grand, sois fort, sois sans pitié et propage mes paroles sur les différents mondes. […..] Je sais tout sur toi ! Je suis la lumière qui chaque jour éclaire les mondes. » « Racontez moi mon histoire, je vous en prie grand Z, que dois-je faire ? » « Tu vas retourner sur Navis puis sur les autres mondes, répétr ce que je t’ai dit, ce que tu as vu ! Car tu es Pihk, dernier garant de la culture des anciens et premier précurseur de l’ordre du grand Z. Mais pas seulement ! Tu es aussi le dernier roi de Navis et le frère d’Hasuke. Tu ne t’es pas réveillé sur Navis par hasard. Maintenant pars et ne reviens plus ! »

La seconde d’après je me réveillais sur les berges du port d’Horcade.

********************************************

Pihk, dernier roi de Navis, grand précurseur de l’ordre du grand Z.

 

 

En cours de rédaction : La Fondation de l'ordre et les tables de loi .

 

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