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[Accepté]CANDIDATUR Paysan Mutsuomi


Mutsuomi
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Je suis un jeune homme de 17 ans, je suis le genre de personne qui aime la vie en communauté, je trouve bien plus intéressant de jouer avec d'autre personne que seul dans un coin sombre de sa chambre. Aimant toute sorte de musique je me vois improviser des partitions au piano. Dans Minecraft j'ai dû commencer à jouer en 2011. J'avais géré un serveur avec des amis mais ça n'a pas duré, ensuite de quoi j'ai parcouru les serveurs, devenant même architecte principale d'un serveur.

 

 

 

 

Ce que je veux faire sur ce serveur est simple, créé, me faire de nouveaux amis rollistes, du Roleplay. Bref, je veux m'amuser. Mais il faut aussi noter que je veux faire ceci tout en restant sérieux. Il ne faudrait pas voir arriver une masse... massive de gens venant pour faire n'importe quoi ! Si je dois construire, ce sera des choses que j'aurai au préalable étudié avec d'autre personne, si je dois, à mon infortune, me faire des ennemis, mes propos resterons clair, posé, non vulgaire (je suis contre toute forme de vulgarité dans un jeu, je trouve ceci totalement oiseux et absurde) et bien entendu il n'y aura jamais de propos ségrégationnistes et impie. Et, si, à ma grande félicité je me fais des amis, alors j'espère une grande amitié qui ne fera qu'apporté béatitude et contribution au serveur.

 

 

 

 

Je ne suis qu'un homme, je cache mon visage des curieux, je ne laisse ressortir que mes yeux, c'est la dernière chose que voient mes victimes...ceci est mon histoire :

 

Chapitre I : Libay

 

L'Hiver avait montré ses premiers rayons sur le village de Libay, la ville était calme et prospère lorsque que d'un coup... un jeune gredin renversa une cageot de pomme posé sur l'étal d'un marché, il courrait pour échapper à la milice locale, on entendait les gardes crier : « Halte ! Au nom de la loi arrêtez-vous ! ». Le fuyard était tel le vent, telle une bise épousant la rosée du matin, il était comme libre. La ville construite sur une falaise offrait, depuis certaine rue, l'occasion de faire une chute vertigineuse pour quiconque osaient escalader le muret et glisser. Les gardes étaient au nombre de six, chacun armé d'une épée d'acier de manufacture naine. Les passants, se demandant pourquoi une tel hâte pour un simple coureur, n'osaient s'interposer entre le cavaleur ou le laissé passer. Habillé d'habit de voyage marron et verdâtre, encapuchonné d'une capuche de la même couleur, le cavaleur parcourue la rue telle une flèche perforant l'air avant de se planter dans le genou d'une pauvre garde. En effet, l'homme en haillon c'était tourné si rapidement que les gardes n'ont pas eu le temps de rebiffer. Un éclat de lumière fut perçu et frappa en pleine tête l'un des poursuivant qui tomba en arrière et percuta lourdement le sol. Ses acolytes le regardèrent de manière dubitative, se demandant ce qui s'était passé, quand ils voulurent regardé de nouveau en direction de l'homme en haillon, il avait disparu.

La journée arrivait à son terme, la nuit parsemé d'étoiles faisait sentir sa douce bise et les lumières des lanternes commençaient à illuminer la ville et la vallée sur laquelle elle est construite. Par habitude, la ville était calme le soir, quelque joyeux amis se retrouvaient à la taverne : « Le Rat Froussard » mais jamais il n'y avait beaucoup d'activité, cette nuit en revanche, la plupart des résidents travaillaient encore, transportant des caisses remplies de nourritures, banderoles, alcools et d'objets en tous genre. La fête annuel de l'annonce de l'hiver allait débuter, la ville allait être décoré pour l'occasion et un festin gigantesque sera donné en honneur de l'hiver, nous sommes le 15 décembre. Une ondée de neige tomba vers 21H, la fête du 17 décembre était presque terminé de préparer, il ne manquait qu'une chose, la plus importante des choses, la relique royale. Un magnifique diadème de Lapiz Lazuli serti de diamants, au début du mois beaucoup de manant et vagabond de passage se demandaient pourquoi le seigneur avait décidé de placer cette relique au centre de la place principale de la ville, la réponse ne fût donnée que plus tard. Il s'avérait que la fille royale avait donné son cœur pour un prince héritier d'un pays voisin à celui de Libay. Mais intéressons-nous aux bas-fonds de cette majestueuse cité, dans ces ruelles ternis de tâches de sang, vomissures, bières et autres indécences, Libay était taillée de ruelles froides et peu accueillantes. Le jour remplis de mendiants et la nuit désertes tel une kermesse naines. Cette nuit-là, un homme en haillons marchait parmi ces ramifications formant le système sanguin de la ville. Portant sa capuche, nul ne pouvait voir son visage. Épée au fourreau, botte de cuir, gant, personne ne savait qui il était réellement. Il ouvrit alors une porte et se fourra dedans. D'autre personne s'y trouvaient : une fille âgée de 19 ans du nom de Arilla, adepte des doubles dagues elle était aussi dangereuse en séduction qu'en combat rapproché. Un garçon nommé Vidéas, arc en main, se tenait face à notre inconnu.

 

-Alors ? Tu as se que je t'ai demandé ? dit Vidéas .

 

-Oui...

 

Il leva alors son bras et laissa tombé un sac dans la paume de la main de son interlocuteur. Il l'ouvrit sur le champs et on découvrit alors un diadème de Lapiz Lazuli serti de diamants. Notre inconnu était alors un voleur.

 

-Comment va ta sœur petit ? demanda Vidéas.

 

-Vidéas ! cria Arilla, tu sais très bien de quoi il est question...

 

-Je suis passé la voir aujourd'hui...avant que je vole ton fichu diadème.

 

-Tu ne pourras pas toujours t'attacher à elle, dit la jeune femme.

 

-Je sais...mais je le dois. Elle est parti à cause de moi... et je n'ai jamais pu la retrouver...

 

Plus loin ce soir-même, un homme aux longs cheveux noir et au regard profond déposa une fleur sur un petit cairn de pierre, mémorial pour la sœur du voleur.

 

Chapitre II : Une fête rouge

 

-La plaisanterie est finie ! Si on t'a fait venir ici c'est pour te parler du grand coup que nous allons faire, dit Vidéas en s'asseyant sur une chaise déposée autour d'une table ou, dessus, se trouvait une unique bougie allumait, donnant un aspect mystérieux et réchauffant à la pièce. Nous allons devoir agir vite, la fête commence dans deux jours et nos contacts refusent l'échec ! Tu es fort en escalade et en fourberie m'a dit Arilla, alors tu es parfait pour cette mission. Sache simplement que si tu échoues, je te buterai de mes mains ! Ta mission n'a rien de compliquer au début, tu devras simplement empoisonner l'eau des gardes pour avoir le champ libre l'or de l'escalade de la grande tour, à deux cents mètres de la grande place.

 

-Excuse moi, par ''empoisonner'' tu entends quoi ? Tu compte tout de même pas les tuer ?

 

-Si

 

Le timbre de sa voix était glacial, ils semblaient tous les deux déterminé à parachever leur mission. Il les avait rejoins pour avoir un jour la chance de venger la mort de sa sœur, il savait que des hommes étaient derrière tout ça, mais qui ? Vidéas expliqua alors chaque partie du plan, plus glacial et plus insalubre que dans les pires pensaient d'un meurtrier sanguinaire. Pour clore l'entretien, il posa un flacon de poison sur la table. Le voleur le regarda durant un long moment, faisant alors le vide dans son esprit, il méditait la suite des événements, ce plan lui faisait froid dans le dos, il ne pouvait le faire, il n'avait que 17 ans.

 

-Et si je refuse ? Demande-t-il.

 

-Il est trop tard pour refuser, dit Arilla. ''Ils'' ont besoin de toi, on te l'a expliqué, et puis maintenant que tu connais nos plans, on ne peut pas te laissé partir en vie.

 

Elle avait dit ceci calmement, une flamme de fierté dans le regard. Le voleur décroisa alors les bras et se tint prêt à agir. Vidéas avait tendu son arc rapidement et le visé ; Arilla, elle, joué avec ses dagues.

 

-Tu ne devrais pas joué les caïds petit, dit Vidéas. On est bien plus fort que toi et ce n'est pas tes quelques années passé dans la rue après la mort de ta sœur qui te feront rivaliser avec nous. Nous connaissons les arts obscures, ce sont ''eux'' qui nous on entraînés et crois-moi, tu ne voudrais pas nous affronter.

 

-Tu sais être direct, mais je refuse tout de même, je ne tue pas pour le plaisir de fanatique. Je ne tue pas du tout même, sauf en grande nécessité.

 

-As-tu déjà ôté la vie a quelqu'un ? Demande Arilla.

 

-Jamais.

 

-Humm tu ne peux pas savoir à quel point c'est...exquis ! Tu atteints ne nirvana, l'extase !

 

-Espèce de tarer...

 

Il sauta en avant tout en esquivant la flèche tirée et s'empara du diadème. Il se repositionna sur ses pieds, leva son épée qu'il avait tiré durant son saut pour parer l'attaque de Arilla, s'élança vers la fenêtre et sauta. Il avait oublié qu'une chose, la ville était bâtie sur une falaise et la fenêtre donnée sur le précipice de la cette falaise. Une chute démesurée lui fit face. La peur, le froid, toutes les sensations désagréables l'envahissaient. C'est alors que la chance lui sourie, il saisit une banderole se trouvant accroché le long du mur ; il parvint à freiner sa chute mais, en regardant vers le ciel, il vit Vidéas couper la banderole. Il chuta de nouveau, mais cette fois pas de banderole pour s'accrocher, plus rien. Il allait s'écraser au sol, fermant les yeux il vit sa soeur, cette simple pensée le rendait heureux. Il ne pouvait mourir, pas encore ; il planta alors son épée dans le mur. Dégringolant la montagne, son épée lui permet de minimiser les dégât de la chute. Il s'écrasa dans un bosquet enneigé dans une rue déserté de tous passants. Se relevant péniblement il entendit l'air siffler, une flèche se planta alors au sol devant lui.

 

-C'est pas vrai !

 

Il prit ses jambes à son cou, courant comme le midi même, aussi vite qu'il le pouvait. En plus des flèches, un doux parfum l'engloba, une sensation de terreur emplis son visage, Arilla se trouvait juste à côté de lui. Elle était bien plus rapide et ne tarda pas à l'arrêter dans sa course en se plaçant devant lui.

 

-Tu as joué, et tu as perdu.

 

-Je perdrai seulement quand je serai à terre !

 

Arilla avait disparu, le voleur fut tiré vers le sol tandis que ses jambes partaient sur le côté ; Arilla se trouvait derrière lui et venait de le balayer terre un brin de poussière. Le voleur percuta douloureusement le sol et poussa un cri de stupeur. Arilla chevaucha son corps et posa délicatement le tranchant de sa lame sous sa gorge.

 

-Je ne te posera qu'une question avant de te prendre la vie, qu'elle est ton nom ?

 

-Je ne suis qu'une ombre parmi les autres, je ne suis qu'une goutte dans un océan, je ne suis qu'une brin d'intelligence chez les intellectuels, je suis...MUTSUOMI !

 

Il saisit son épée et transperça le corps de la jeune femme. Un filet de sang chaud coula alors, la femme garda comme dernier visage, un visage regroupent surprise, peur, et joie. Une fois le corps poussé sur le côté, Mutsuomi se releva, rangea son épée et se remit à courir, il devait se caché, caché le sang sur ses habits, se cacher pour sa vie.

Notre voleur c'était caché tout le long de la nuit. Il avait assommé un passant et avait volé ses habits, il portait désormais un pantalon en cuir noir, des bottes de cuire marron, une chemise blanche avec par-dessus un long manteau de peau et des gants de cuir eux aussi. Nous sommes le 16 décembre, Mutsuomi devait élaborer ses possibilités avec le terrain qui s'offrait à lui. Le corps d'Arilla n'avait jamais été retrouvé, sans doute que Vidéas était passé par là. La fête débuta le 17 décembre à 19 heures, un magnifique feu d'artifice illumina le ciel pendant plusieurs minutes, des troubadours, bardes, ménestrels venant d'autres pays se trouvait au rendez-vous, la bière et les chants accompagnaient les fêtards.

 

C'est le laridé du poulet,

Dansez, dansez, si vous l'pouvez

Mais il vaudrait mieux s'en méfier,

A mort il peut vous picorer

 

Jamais assez ne vous méfiez

De ce gentil gallinacé

Mais peu de gens pourront parler

Pour ceux qui lui ont résisté

C'est lui l'engeance des poulaillers

Un monstre sournois et rusé

Ergots pointus, bec acéré

Votre vie ne tient qu'à un dé

 

C'est le laridé du poulet,

Dansez, dansez, si vous l'pouvez

Mais il vaudrait mieux s'en méfier,

A mort il peut vous picorer

 

Quand vous rêvez de le plumer

Il ne pense qu'à vous étriper

Si vous essayez de pioncer

Il vous réveille au jour levé

Trépas bref et instantané

Ou torture lente et raffinée

Ses plumes sont toutes ébouriffées

Du plaisir de vous massacrer

 

C'est le laridé du poulet,

Dansez, dansez, si vous l'pouvez

Mais il vaudrait mieux s'en méfier,

A mort il peut vous picorer

 

Dans la cour du donjon hanté

Ou dans la ferme fortifiée

Il vous regarde à l'oeil mauvais

Vous n'êtes qu'un ver à dévorer

Changeur de forme ou coq mité

Ma foi vous n'le saurez jamais

Si vous pouvez le terrasser

Il servira pour le dîner

 

POULET POULET, PIOU PIOU PIOU

POULET POULET, PIOU PIOU PIOU

POULET POULET, PIOU PIOU PIOU

POULETTTTTT, PIOU PIOU PIOU

 

Si le lapin vous fait trembler

Si l'mulot vous fait frissonner

Vous n'êtes pas si aventurier

Que vous semblez le déclarer

Bien plus dang'reux qu'un dragonnet,

Mais valant beaucoup moins d'XP

C'est le poulet qu'vous affrontez

Y'a plus moyen de reculer

 

C'est le laridé du poulet,

Dansez, dansez, si vous l'pouvez

Mais il vaudrait mieux s'en méfier,

A mort il peut vous picorer

 

Mais le fumble est arrivé !

Six pieds sous terre vous reposez

Picoré à mort dans l'fumier

Car il est le mal incarné

 

Tout ça c'est la faute du poulet !

 

Des trompettes retentirent alors de part et autre des murailles, la grande porte s'ouvrit alors, laissant entrer dans la place le roi, la reine, la princesse et leurs suivants. La foule se prosternèrent à leurs pieds, le roi était un homme respecté du monde, il avait grandement contribué à la victoire des humains sur les orques lors de la grande guerre de Karackneph. Mutsuomi disparu dans la foule, il était toujours recherché des gardes bien qu'ils n'aient jamais vu son visage, il devait êtres très prudent et ne pas attirer l'attention, surtout lorsque que l'on transporte un diadème valant la moitié d'un royaume sous son manteau. Mais il n'y avait pas que les gardes qui inquiétaient Mutsuomi, Vidéas était toujours dans la nature et il allait assurément se venger de la mort de son amie. Malgré tout ça, il devait tout de même approcher du centre de la place pour y déposer le diadème, il s'avança alors parmi les habitants et découvrir à son infortune que la place centrale disposé d'un cercle de garde empêchant quiconque de passer. Plusieurs choses vinent alors dans la tête de Mutsuomi, il ne pouvait pas passer les gardes sans attirer l'attention, il ne pouvait pas non plus se faufiler, car la place centrale était déserté. Si jamais il attirait l'attention il savait que Vidéas l'attendra au tournant ; il devait provoquer une diversion, mais encore une fois, il y avait un risque pour que Vidéas le trouve, tout comme il y avait un risque pour que la diversion rate tout bonnement. Il recula de quelques pas avant de se déplacer en direction du roi, il savait aussi une chose, rien ne servait de réfléchir quand il était sur de rater une chose. C'était sa soeur qui lui avait appris ceci. C'est alors qu'il se baissa, en se relevant il leva son épée et lança un cailloux en direction du roi qui le percuta en pleine épaule. Ce dernier retomba sur son trône. Les passants avaient reculé de plusieurs pas en ayant vu l'épée levée et certain ce son enfuis en ayant vu cet homme lancer un cailloux sur un roi. La plupart des gardes l'encerclèrent, leur lance pointé sur lui. Mutsuomi ne pouvait s'empêcher de sourire. Un garde muni d'une lance l'attaqua, il esquiva la lance, la saisit, la brisa et frappa le garde en pleine glotte du revers de sa main ; il saisit alors le casque de ce dernier et lui brisa la nuque d'un coup sec.

 

-Je ne tue jamais pour le plaisir...vous pouvez encore fuir je n'en ai pas après vous.

Il se servit alors du cadavre qu'il avait dans ses mains pour se parer d'une flèche venant des toits.

 

-Que se passe-t-il !? hurla le roi.

 

-Votre majesté ! cria Mutsuomi. Vous feriez mieux de fuir ! Cet homme veut vous tuer !

 

Vidéas apparu alors derrière les gardes, il jeta son arc sur le côté et il dégaina son épée

Tu sais te montrer malin quand il le faut mais tu n'as jamais eu de formation au combat, tu ne tiendra pas une minute face à moi.

 

-Nous verrons bien Vidéas !

 

Il s'élancèrent chacun l'un sur l'autre. Leur épée s'entrechoquèrent et commença alors un long combat. Mutsuomi savait qu'il n'avait pas droit à l'erreur, si jamais il en faisait une il était sur d'y passer. Mutsuomi se baissa pour esquiver un coup d'épée et fit une roulade sur le côté. A peine pu-t-il se relever que Vidéas était sur lui, il pu empêcher ce dernier de lui trancher la tête que in extremis, il se releva en titubant quelque peu en arrière et le combat reprit de plus belle. Chacun donna un même coup d'épée, les deux lames s'entrechoquèrent de plus nouveau, mais cette fois, elles se brisèrent toutes les deux. Mutsuomi et Vidéas se regardèrent l'un-l'autre.

 

-L’échauffement est terminé, dit Mutusomi

 

Tous deux armèrent leur poing, ces derniers s'entrechoquèrent dans un bruit sourd. Mutsuomi enchaîna Vidéas de plusieurs coups de pieds qu'il esquiva sans grande difficulté.

Le voleur attaqué pendant que l'assassin se contentait d'esquiver. Vidéas para un coup de Mutsuomi et répliqua d'un violent tout dans le plexus solaire. Mutsuomi fut éjecté en arrière et fit plusieurs roulés-boulés au sol avant de percuter un mur de plein fouet.

 

-C'est tout ce dont tu es capable ? Je fait que m'échauffer ! Allez, approches petit ! J'en ai pas fini avec toi.

 

Mutsuomi se releva difficilement, la douleur était omniprésente dans chaque parti de son corps, même les plus infimes. Il ne pouvait pas abandonner, il savait que Vidéas était capable de tuer le roi ainsi que tout sa garde rapproché, il savait aussi qu'il n'avait aucune chance, mais il s'accrochait à l'idée que s'il meurt maintenant, jamais il ne sera ce qui s'était passé avec sa sœur. Vidéas apparu devant Mutsuomi, ce dernier avait le regarde baissé il semblait perdu dans ses pensées. Vidéas le frappa encore et encore jusqu'à ce que le sang gicle de part et d'autre de son visage. Il le saisit à la tête et le projeta au loin vers le centre de la place. Il retomba lourdement sur le sol, la douleur était insoutenable, il se releva avec peine et regarda Vidéas droit dans les yeux. Ce dernier approché lentement d'un pas assuré, le voleur, alors, sourit. Vidéas leva le poing et frappa. C'est alors que Mutsuomi arrêta son poing.

 

-Que...

 

-Tu l'as dit toi même, je suis malin...je t'ai observé, dit Mutsuomi avec un large sourire. Maintenant c'est à moi de prendre les choses en main.

 

-Tu n'es même pas fatigué !?

 

-Ce n'était que de la simulation.

 

Il frappa alors en plein ventre, le saisit à la gorge et lui mit un violent coup de tète. Il écrasa le visage de Vidéas contre son genou et lui mit un coup de talon en plein mâchoire, ce qui le projeta au loin. Il se réceptionna et se tint prêt à reprendre le combat contre Mutsuomi, mais ce dernier était déjà sur lui. Il copiait ses mouvements. Mutsuomi mit un croché du droit à son ennemi et l’enchaîna de plusieurs coups dévastateurs qu'il ne pouvait pas esquiver ; il avait vu ses mouvements d'esquive, il savait désormais où frapper. Vidéas tomba à genou, Mutsuomi se tenant derrière lui, lui tint fortement la nuque.

 

-Avant que tu ne m'achèves Mutsuomi...sache une chose. C'est moi qui ai tué ta sœur, après avoir abusé d'el...

 

Il n'eût le temps de terminer sa phrase, Mutsuomi lui avait brisé la nuque.

Les gardes le saisirent alors, l'accusant d'avoir attenté au roi. Mais il montra alors le trajet de son cailloux et montra tout particulièrement la flèche plantée derrière le trône. Son cailloux qui avait fait asseoir le roi, l'avait en fait sauvé. Il fut relâché et le roi le remercia personnellement de l'avoir sauvé, notre voleur expliqua alors toute l'histoire, le vol du diadème, la nécessite de le faire, le meurtre organisé, l'existence d'une société secrète de conspirateur ; le roi l'écouta avec une attention sans pareille, il lui offrit en gage de remerciement une tenue spécialement faite pour lui, elle était de cuir noir et rouge, Mutsuomi remarqua la disposition d'une capuche cachant alors son visage. Il rendit le diadème au roi et se dirigea vers le port.

 

-J'aimerais te voir dans ma garde personnelle Mutsuomi, dit le roi.

 

-Désolé seigneur, je ne suis pas fait pour ça. J'ai encore une chose à faire à Stendal... le voyage sera long, mais il en faudra la peine... Je découvrirai peut-être qui ont été mes parents. Adieu seigneur.

 

Il partit, un long voyage par delà la mer allé débuter, il était heureux.

 

Chapitre III : Stendal

 

 

Le vent était frais, l'air pur, la mer calme, le ciel dégagé, le voyage avait commencé.

 

-LARGUEZ LES AMARRES ! hurla le capitaine.

 

-Capitaine ! dit un matelot, une tempête est annoncée pour la fin de la journée, est-ce prudent de partir maintenant ?

 

-Aucune tempête ne renverserait ''L'Intrépide'', seul un flot de damné pourrais en venir à bout, mais pour que cela arrive, il faudrait que ces marins d'eaux-douces, sache où se trouve bâbord et tribord !

 

La grande voile fut éventé et le bateau pris le large. Mutsuomi, se trouvant sur le pont regardait la mer infinie qui s'offrait à lui. Chaque marin avait à faire, certain nettoyait le pont, transportait des effets personnels, d'autre encore ramait. Mutsuomi regarda la vigie et se dit que de tous les marins présents, c'était lui qui avait le meilleur poste, il n'était pas dérangé au moins. Notre voleur se dirigea vers le capitaine qui tenant d'un poing ferme le gouvernail.

 

-Allez tas de merlan frit ! Le bateau va pas avancer seul ! Ramez plus fort ! Ou je devrais peut-être demander aux requins se qu'ils en pensent de vos efforts !

 

-Dans combien de temps arriverons-nous à Stendal capitaine ? demanda Mutsuomi.

 

-On arrivera quand on arrivera. Stendal, c'pas la porte à côté ! S't'une chance que ce soit l'roi qui paye ! Sans quoi vous iriez ramer avec les autres matelots qui sont ici ! Dit-il en rigolant sourire jaunâtre. Profitez donc de votre voyage votre altesse ! J'espère que z'avez pas peur des loup de mer ! Car le navire en est remplis !

 

-Certes... C'est un jolie bâtiment que vous avez. C'est un cadeau du roi je présume ?

 

-Yep, répondit le capitaine.

 

-Alors, cela voudrait donc dire que si le roi ne vous avez pas offert de navire vous serait en frêle esquif ? N'êtes-vous donc pas, vous non plus, financé par le roi, votre altesse ?

Le capitaine resta bouche bée.

 

-Peut importe, vous n'avez pas de femme sur votre navire ?

 

-Une femme !? Mais vous êtes totalement siphonné ! Ça porte malheur !

 

Mutsuomi remarqua alors que plusieurs marins avaient tourné le regard vers lui, sans doute la peur qu'il y ait une femme à bord.

 

-Vous êtes tous superstitieux ici ?

 

-Tous.

 

-Je vois... Je me demande bien qui sont les siphonnés des fois... Bref ! Je vais me coucher, le voyage sera long, autant me reposer.

 

-Si vous arrivez à dormir.

 

Mutsuomi descendit les quelque marche qui menait au gouvernail et entra dans les appartements des personnes de marque, cela devait être le lieu le plus luxueux du bateau ; des tapis sur les murs représentaient les différentes mers et légendes qui leur était octroyé. La décoration était simple : une table, un chandelier, un tapis oriental au sol, une commode en bois de chêne et un lit simple. Il déposa ses effets personnels sur la table et s'allongea sur la couverture, il remémorait alors le souvenir de sa soeur, de ses parents (même s'il ne pouvait se rappeler leurs visages), il ne voyait que deux silhouettes noires par devant une lumière blanche ; et de sa terre natal : le grand Nord. Il s'endormit rapidement et laissa vaguer son esprit parmi les rêves et trésors de l'imagination. Il rêva du grand nord, les pays nordiques, sa patrie, son origine. Il vit sa soeur, courant dans la neige et d'un coup...Vidéas. Il se réveilla en sursaut. Suant et haletant, il sentait chaque tangue du navire, elles étaient bien plus forte qu'au départ ; il saisit ses effets personnels et quitta de ses appartements. Le chaos était tombé, une tempête faisait rage dehors et les marins luttaient tant bien que mal pour éviter au bateau de chavirer. Les éclairs et le grondement faisait penser que l'enfer les accueillait les bras ouverts, quelque marin s'étaient recroquevillé dans un coin sombre à prier leur dieux ou à trépider. Mutsuomi monta rapidement les marches menant au capitaine.

 

-Il faut quitter la tempête !

 

-Impossible ! La route est par là !

 

-Le navire va chavirer si ça continue !

 

-Allons marin d'eaux-douces ! Remonte donc ce qui te sert de virilité et vas aider les marins à stabiliser le navire !

 

Mutsuomi se hâta d'aller aider les écumeurs des mers tirer sur une corde permettant au mat de ne pas tomber.

 

-Tirez bande de femmelette ! hurla un homme édenté.

 

Le sort était jeté, un éclair pourfendu le ciel et brisa sur le mat, il s'écroula sur le long du navire manquant de peu d'écraser le capitaine ; par chance le gouvernail n'était pas touché. C'est alors que la tempête se calma, laisse en désolation un bâtiment sans voile. Dans les heures qui suivirent ce désastre, on dénombrait plusieurs morts et disparus. Le capitaine avait décidé de repartir au plus vite pour rejoindre Stendal au plus tôt, pour que son équipage est une sépulture descente.

Trois jours se sont écoulés, la mer était passive et l'eau toujours clair. Mutsuomi n'avais pas bougé de ses appartements durant ces jours, le bateau, bien que détruit continué de voguer sur l'océan par la force d'homme ramant. Notre voleur regarde par delà la fenêtre de sa chambre, la vigie étant tombée chaque marin était sur le qui-vive. Quelque chose au loin attira l'attention de Mutsuomi. Un point noir, avançant vers eux... Il saisit son épée et monta sur le pont hâtivement.

 

-PIRATES ! hurla-t-il.

 

Les marins le regardèrent d'un air dubitatif avant de voir la voilà noire à l'horizon.

 

-Pirate ? dit l'un d'eux.

 

-Par tous les dieux des pirates ! On est foutu ! dit un autre.

 

-Allons bande de femmes ! cria le capitaine. Ce ne sont pas quelque flibustier qui vont faire la loi sur les océans ! Armez les canons, préparez-vous à écumer un abordage ! Cap à l'Est ! Abandonnez tous espoirs de replis et de fuite ! La mort nous ouvres ses portes, accueillons-la avec un message de la part de votre capitaine : UNE BATAILLE !

 

Un hurlement féroce retenti sur le pont du navire, Mutsuomi n'avait jamais vu de pirate au-paravent et il était prêt à écoper de toutes les épreuves qui lui seront proposées pour atteindre son but. Il leva son épée et hurla :

 

-POUR L'INTREPIDE !

 

-POUR L'INTREPIDE, reprirent en chœur, les loups de mer.

 

L'Intrépide cinglait tout droit sur la voile noire, les écumeurs armèrent les canons et se tinrent prêt à l'abordage. Les navires de croisèrent, un long silence demeura sur l'Intrépide, chaque marin regardaient les pirates qui se tenaient face à eux ; jambe de bois, crochet, bandeaux, rapière, habit de corsaire, un regard de mort et une odeur de tuerie ; le combat allait bientôt débuter et il sera violent ; ceci, chaque marin de l'Intrépide le sentait au plus profond de leurs tripes. Les bateaux furent alignés.

 

-FEU !

 

Un son de détonation déchira le silence dans un écho meurtrier, les canons crachèrent des flammes tel un dragon.

 

-A L'ABORDAGE ! hurla le maître d'équipage pirate.

 

Des grappins furent tirés et agrippèrent l'Intrépide ; les malheureux se trouvant dessous furent écrasés par le poids et ceux qui se trouvaient entre le grappin et la balustrade furent soit écrasé soit tranché en deux. L'intrépide fut halé jusqu'à percuté le bâtiment ennemis ; des planches furent posé pour relier les bateaux et les pirates abordèrent.

 

-Ce ne sera pas votre fichus rafiot qui coulera mon navire ! Marins d'eaux-douces ! Marauds ! Mille sabords, tirez bande de loupiots ! hurla le capitaine en sortant son sabre.

 

Les canons de l'Intrépide déferlèrent leur rage sur le navire noir. Le combat faisait rage sur le pont, les pirates savaient se battre et la fourberie était de mise ! Le capitaine était aux mains de quatre pirates acharné tandis que Mutsuomi bottait les fesses des malheureux se tenant sur son chemin. Un cri poussait par un pirate le fit réagir, il se baissa et levant hautement sa jambe amenant alors un pirate déjà édenté à perdre d'autres dents.

 

-Que le sang colore la mer, que la joie d'un combat raisonne dans nos cœurs, nous sommes pirate et ceci pour l'éternité !

 

Le maître d'équipage pirate marchait d'un pas assuré sur sa planche, bouteille de rhum en main. Il frappait d'un coup d'épée mortel quiconque voulait l'attaquer. Il faisait face à Mutsuomi.

 

-J'espère que tu t'es répit de ton voyage en mer Mutsuomi, car ce fut le dernier.

 

Il jeta sa bouteille de rhum au sol, se brisant alors en milliers d'éclats. Il connaissait son nom, cela voudrait donc dire qu'il faisait partie de leur organisation. Le maître pirate frappa le premier coupant alors quelque mèche de cheveux à Mutsuomi. Il ne bougea pas dans l'immédiat, il était encore sous l'effet de cette surprise, ils voulaient sa mort par pure vengeance. Il para la deuxième estocade, se vrilla sur lui-même et frappe de son pied en plein ventre. Le maître pirate fut expulsé en arrière et une secousse fit trembler les deux navires. Tous c'était arrêté de combattre, se demandant ce que c'était. Il n'en eut pas de nouvelle et le combat reprit de plus belle. Mutsuomi et le pirate alignaient les tamponnements de leur épée ; ils avancèrent ainsi sur toute la longueur du pont, le pirate menant la danse. Mutsuomi trébucha de la balustrade, il n'avait pas regardé autour de lui, les pirates étaient en train de gagner cette bataille. Lui, chuta inexorablement vers les abysses, mais une main le retint au collet.

 

-Tu vas voir ta fin parmi nos amis poissons ! dit le maître pirate d'un sourire jaunâtre. Je serai couvert d'or pour cela ! As-tu une dernière volonté avant de mourir ?

 

-Oui, tu ne peux pas fermer tout simplement ton clapet ? Tu pus la charogne !

 

Il saisit le poignet du pirate et parvint à se tirer en avant ; le combat repris de nouveau.

 

-Et tu me vois de même malpolis, nous ne nous sommes pas présenté, dit Mutsuomi entre deux coups d'épée.

 

-Je me nomme Alrico Fafara ! Capitaine Alrico Fafara ! Maître des neufs mers ! Grand pirate !

 

Mutsuomi frappa de son épée et fit tomber son chapeau.

 

-Quand on combat on n'raconte pas sa vie.

 

-Petit insolant !

 

Mutsuomi se mit à courir vers la balustrade bâbord du bateau, il saisit une corde et sauta. Une fois tendue la corde l'amena directement dans une sabords du navire. Il se retrouva alors dans la cale et se tint caché dans l'ombre. Un bruit métallique frappa le sol, comme des clefs résonnant au loin, le capitaine était là, il avait remis son tricorne sur la tête et une vision de rage emplis ses yeux. Il était tout près, si près de tuer Mutsuomi et de rafler la récompense en or, mais il avait trop attendu et avait raté sa chance.

 

-Petit voleur... Où es-tu ?

 

Dans la cale, seul la lumière faite par l'ouverture donnant sur le pont permettait d'éclairer, Mutsuomi sortie de sa cachette qui se trouvait alors en face de Alrico ; à l'autre bout du rectangle de lumière.

 

-C'est ici que nous serons qui de nous deux sortira vivant de ce combat, dit Mutuomi en pointant son épée sur Alrico.

 

Tout deux de placèrent dans la lumière, une sensation de chaleur sur leur peau, ils se ruèrent l'un sur l'autre. Mutsuomi glissa au sol et fit tressaillir Alrico ; il se releva rapidement et décrocha un violent coup de pied. Le pirate décolla et s'écrasa lourdement au sol. Il se releva et regarda Mutsuomi droit dans les yeux.

 

-Tu avais caché ton jeu, qui t'as appris à te battre ?

 

-Vidéas, Arilla, et surtout ma sœur Azeran.

 

Farfara s'élança et gratifia son adversaire de plusieurs coups d'épées qu'il para avec difficulté. Ils remontèrent un escalier donnant sur le niveau supérieur de la cale ; la bataille sur le pont faisait rage et selle sous le pont n'était que plus homérique. Alrico bondit sur Mutsuomi qui tomba au sol après avoir réussi in extremis à stopper la rapière funeste. Il fit une roulade arrière et se mit à courir pour rejoindre le pont ou plusieurs cadavres jonchaient le sol. La bataille atteignait son apogée, la violence, la mort, le sang, tout était réuni. Mutsuomi courra jusqu'au gouvernail et planta son épée dans le dos d'un pirate voulant estropier le maître d'équipage. Alrico surgit alors et saisit le capitaine par derrière.

 

-Et maintenant ? Vas-tu te rendre ou voir ton ami mourir sous tes yeux ?

 

Mutsuomi lâcha son épée, il refusait de voir quelqu'un payer pour lui, elle percuta le sol tel un raisonnement annoncé une dernière heure, mais ce ne fut pas la sienne. Alrico trancha la gorge du Capitaine et le laissa s'écrouler au sol sous le regard épouvanté de Mutusomi.

 

-NOOOON ! hurla Mutsuomi avec toute l'horreur qu'il pouvait donner.

 

Il ne pouvait pas sauter sur Alrico, les derniers pirates encore debout le saisir part les bras et le retinrent avec la force d'un boeuf.

 

-J'aurais ta peau !

 

-Pour cela il faudrait que mes hommes te relâchent. Quel dommage, un magnifique rafiot que l'on doit le saborder. Esteban, Ruben, faites-moi couler ce bâtiment ! dit Alrico avec un large sourire.

 

Un craquement joint d'un bruit sourd se fit ressentir et entendre. Le sourire jaunâtre disparu et un cri effroyable déchira le calme de l'océan. Deux énormes tentacules scindèrent l'Intrépide en deux.

Par les dieux... dit Alrico en mettant son tricorne sur son cœur. Protégez-nous...

Il n'eût le temps de terminer sa phrase. Un tentacule l'avait saisi et précipité dans les abysses les plus profonds. La plupart des pirates s'enfuirent sur leur bateau mais c'était peine-perdu. Le Kraken était sur eux. Mutsuomi saisit son épée et alla aider. Il frappait les tentacules qui fondaient sur lui, il vit chaque pirate se faire engloutir par la puissance du monstre. Seul sur le bateau pirate il regardait la mort en face, un monstre ignoble nommé Kraken. Quelque chose n'allait pas, le Kraken ne bougeait plus. Il attendait...

Une silhouette se matérialisa alors devant Mutsuomi, c'était sa soeur. Des cheveux d'or, un regard azuré, une peau satiné.

 

-Que...

 

-Bonjour petit frère...

 

-Mais tu es morte....

 

-Oui et non, j'ai donné ma vie pour te sauver, mais mon âme est restée dans l'océan. Je suis venu pour toi. Le Kraken va te tuer tu le sais ça ?

 

-Je ne peux pas l'empêcher... J'aurais voulu en savoir plus sur mes parents, mais je n'aurais pas mes réponses.

 

-Ils t'ont abandonné à l'âge de six ans et moi seize. C'était des gens bien, mon temps est compté petit frère, adieu.

 

-A bientôt Azeran...

 

Les tentacules avaient lové le bateau, Mutsuomi ferma les yeux et le bateau sombra.

 

Mais je ne suis pas mort pour autant, un miracle a eu lieu. Je me suis retrouvé échoué sur les côtes de Stendel avec seulement mes habits sur moi et désormais j'étais prêt à continuer ma route.

 

PS : La chanson présente dans le Rp a été emprunté à la série Mp3 : le Donjon de Naheulbeuk

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Yop !!!

 

Ta candidature est conforme aux attentes de la modération et tu sembles être de bonne foi, aussi j'ai l'insigne honneur de t'élever au rang de paysan.

 

Puisses-tu t'épanouir sur notre serveur et apporter ta pierre à l'édifice qu'est la communauté Minefieldienne.

 

Bon jeu et peut-être à très bientôt :).

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