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[Accepté]Citoyenneté du Forban Pixeloris


Pixeloris
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Candidature à la citoyenneté du Forban Pixeloris.

 

 

Voici ma candidature de Paysan:

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Et ici ma candidature pour devenir Torcubain:

post91048.html?hilit=pixeloris#p91048

 

Présentation IRL:

Je m'appelle Benoît j'habite à l'ile de la Réunion je suis au lycée en classe scientifique. Je joue à différents jeux tels que LoL, Battlefield 3, je suis sur minecraft depuis la beta 1.1 et je fais partis de la communauté de minefield depuis plus d'un an. A part les jeux vidéo je fais aussi du badminton en club et est fan de Game of thrones.

 

Pourquoi devenir Citoyen?

Ma motivation principale est d'avoir un métier pour aider mes confrères pirates du serveur.

Ensuite pourquoi citoyen? Je compte faire une demande pour devenir commerçant et ainsi m'établir à Stendel (oui je sais la contrebande de Rhum on pourrait croire que ça rapporte mais pas tant que ça en fait). Bien sur devenir citoyen me permettrait d'augmenter mon rang social dans ce bas monde et d'être reconnu de tous (enfin il ne faut pas rêver quand même).

 

Mes faits en tant que paysan:

 

Depuis que je suis paysan j'ai œuvré dans le monde de New Stendel à la recherche de gloire et de richesse. En fait non comme tout paysan je voulais une habitation et une cité où habiter. Bref arrivant à Torcuba je me mis à la recherche du chef de ce lieu pour m'y installer. Les pirates étant très sympathiques (oui ce ne sont pas tous des sanguinaires) je leur proposai mon aide. Avec eux tels des dieux nous transformions les paysages, arrachions les montagnes. Bref j'abrège voilà les projets auxquels j'ai participé: le Kraken, l'amphithéâtre (cependant le screen n'est pas le bon il a été modifié par la suite), la 3ème photo est l'un des puits de Torcuba. J'ai cependant aussi participé au terraforming de la mer torcubaine.

 

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Ayant fait une énorme pause à cause des études je n'ai participé à aucun projet sur Stendel mise à part ma maison.

 

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Il est maintenant temps de vous conter mon périple:

 

Arrivant depuis peu à New Stendel un homme dans l'ombre m'appris l'existence d'une île où nichaient des pirates. Mille sabords cette légende serait elle vrai?

Mon père nain constructeur et ma mère fière d'être une fille de forban m'enseigna les contes et légendes pirates. Ces histoires avaient bercées mon enfance.

Ma mère m'enseigna l'unique code des pirates, Il se transmettait oralement de père en fils. Mon père n'étant pas pirate, ma mère décida de me l'enseigner.

 

 

Retournons à mon périple. Je pris ma petite embarcation et me laissai emporter par les Alizés. Ma soif de liberté devenait de plus en plus grande lorsque je m'approchais de mon but... Torcuba ! Mes réserves de rhum commençaient à s'épuiser quand je vis un galion aux voiles rouges. Non d'un marin d'eau douce!! Torcuba. Je m'approchais avec hâte de cette énorme caisse à savon lorsque j'entendis le bruit sourd des canons retentirent, ce navire était un navire de la flotte royale. Un boulet se fracassa à coter de mon embarcation et la renversa. Je me retrouvai dans l'eau sans embarcation. La nuit tomba très rapidement la mer était glaciale... Peu de temps après je m'évanoui. Le lendemain je me réveillai avec une énorme gueule de bois. La cale où je me trouvais était sombre, je me fis trainer sur le pont du navire. On me conduisit devant le capitaine, La Capitaine... Elle me proposa de racheter ma tête en échange de loyauté et de service envers son bâtiment.

Je fus contraint d'accepter (Enfin c'était ça ou la planche).

 

Après un an de service à son égard je fus libre de ma destinée. Retournant à la capitale les poches pleines d'or ne sachant où aller je me dirigeai vers la taverne (hey oui un ivrogne en reste un!). Je fis quelques jours après la connaissance d'un étranger, un pauvre bougre s'étant fait virer de son ancien royaume. Il me présenta une carte et m'appris l'existence d'une terre de tout les désirs où l'or serait le maitre mot. Nous passions la moitié de notre soirée à boire en contant nos récits d'aventure. Nous partirons à l'aube lui dis-je.

 

Le lendemain une gueule de bois encore bien dans nos caboche, je lui appris qu'il nous faudrait des hommes pour que notre navire puisse appareiller. Je me mis en route de la prison pour racheter la tête de quelques forbans et d'ivrognes étant condamnés à la potence. Nous fîmes la connaissance d'un homme, un vagabond s'étant attirés les foudres des empereurs voulant troquer son ancienne vie contre une montagne d'or (Enfin nous lui avons fait entendre quelques rumeurs sur un trésor).Equipage prêt à partir nous prîmes notre embarcation et nous dirigeâmes sur les mers de Stendel.

 

Nous nous heurtâmes très vite à des difficultés (Eh oui tout le monde n'est pas marin). Nous nous échouâmes sur les flancs d'une montagne et dûmes continuer à pieds. Etant habitué à la chaleur et tropiques des mers Torcubaine le froid nous glaçait le sang. Une tempête ne présageait rien de bon avec nos accoutrements... La tempête faisait rage. Nous trouvâmes refuge à l'intérieur d'une grotte. Nous entendîmes des hurlements des explosions. Je décidai de sortir de notre abri de fortune pour voir de plus près les créatures nous entourant. Je me réfugiai à la cime d'un arbre. Sans presque oser respirer, je demeurai néanmoins dans l'arbre, pendant que la lune poursuivait sa lente descente dans le firmament noir, affublé de crampe je fus contraint de descendre de mon perchoir. Terrorisé, je m'écrasai contre le tronc. Un frémissement m'avertis que la créature était derrière moi. A leur premier assaut j'évitai la flèche de cette créature d'outre tombe (une sorte de squelette). Le deuxième assaut apparut beaucoup plus brièvement que ce que je ne pensais. Le vagabond qui m'accompagnait se jeta sur moi pour me protéger. La flèche fichée dans la pupille de son œil gauche lui fit hurler de douleur. Le bon bougre qui m'avait sauvé la vie était sur le point de mourir. Son œil droit quant à lui, grand ouvert, laissait apparaître la peur grandissante de son âme. Paralysé par la peur je fus contraint de regarder ce spectacle, impuissant. Quand je fus enfin capable de bouger je pris mon sabre et pris initiative de rejoindre la grotte où nous nous abritions. Je fus assommé sur le chemin du retour. Les cris du vagabond avaient sûrement alerté les autres démons.

 

Je me réveillai dans la nuit à côté d'un feu. Un loup se trouvait là. Je caressais le loup derrière les oreilles. Les yeux rouges me dévisagèrent, impassibles. A présent un vieil homme se trouvait là (De quoi frémir rien que d'y penser). Il me dit de marcher pour empêcher mon sang de geler. Nous prîmes donc une petite route jonchant les forêts et il m'emmena à sa maison sur une colline. Le vieil homme me dit que sa famille garde l'accès à la colline depuis des générations. Son rôle était d'empêcher la forêt d'avancer vers les collines. Les forêts étaient foyer de monstres et créatures en tous genres elles comptaient Squelettes, Zombies, Araignées et Creepers. Il me fit mots des travaux ayant été ériger ici des siècles auparavant, dépouillé des chênes, des sapins, des bouleaux des taillis où nul ennemi ne pourrait passer inaperçu. On m'avait compté que la nature regagnait peu à peu du terrain au nord. L'origine de la famille du vieil homme avaient beau se perdre dans la nuit des temps il prétendait appartenir à une famille de franc héros.

 

Le lendemain le vieil homme m'appris à monter à cheval. La brise bruissait dans l'écurie, un froid de mort me soufflait au visage, le vieil homme s'en fichait. Ses doigts pleins de cicatrices avaient beau lui compliquer la tâche, il en arriva pas moins à seller le cheval. D'un sifflement il appela le loup et me fit signe de monter sur le cheval. J'enfonçai mes pieds dans les éperons, la jument bondit vers l'avant. Après quelques frayeurs je pris de l'assurance et ma monture galopai sur les grandes étendues des plaines de Stendel. Le spectre d'un château surgit, avec ses hauts murs de Stone. Le vieil homme qui m'avait suivit sur son vieil étalon noir m'expliqua que ce lieu regorgeait de nombreux peuples barbares venant de diverses tribus du nord. La nuit tomba très vite et nous rentrâmes à notre demeure.

 

Les semaines passèrent et le vieil homme m'appris différents métiers en passant du forgeron au travail du verre. N'ayant pas d'héritier il me forma comme tels. Il me fit cependant part du voyage que je devrais faire vers la capital de Stendel pour valider et me spécialiser dans l'un des métiers enseignés.

 

Je me trouve aujourd'hui à Stendel et attend avec impatience votre réponse gouverneur et ainsi d'acquiescer ma demande de citoyenneté.

 

Merci d'avoir lu ma candidature.

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Salutations

 

Te voici arrivé sur les terres de Stendel et ton aventure ne fait que reprendre de plus belle.

Longtemps absent loin de tes amis tu as été... Mais loin d'ici tu as su grandir, pour mieux revenir.

 

Tes amis ont foi en toi et te le montrent par leur soutien

Toi, Pixeloris le Forban te voici désormais Citoyen de Minefield

 

Deviens un digne représentant de ce grade.

Félicitations

 

 

Le Gouverneur Kerocraft

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