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[Accepté][Candidature Villageois] Maxdechoisy


Maxdechoisy
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Salut à tous les lecteurs de ma candidature ! Je suis ici aujourd’hui, pour vous poster ma candidature villageoise ; en espérant vous satisfaire et vous faire passer un bon moment ! Alors Bonne lecture à tous !

 

:brick::sandstone::brick::sandstone::brick::sandstone::brick::sandstone:Présentation :sandstone::brick::sandstone::brick::sandstone::brick::sandstone::brick:

 

:pick:Présentation IRL

 

Donc moi c’est Max, jeune rugbyman, gamer, lycéen, de 16 ans. Je suis actuellement au lycée général dans la filaire Scientifique. J’habite en région Parisienne, dans la petite ville de Choisy le Roi, dans le 94. Sinon pour mon avenir j’ai de nombreux projets, et j’ai aussi de nombreux hobbies : le rugby, les jeux vidéo, la modélisation 3D, les vidéos, sortir avec mes potes… Bref un adolescent normal!

 

:pick:Présentation IG

 

Bon passons à tous ce qui concerne Minefield ! Mon pseudo In Game est Maxdechoisy, j’ai rejoint le serveur en avril 2012 (et oui j’approche de mes 1 an IG ^^). D’ailleurs, voici le lien de ma candidature Paysanne :

 

- http://www.minefield.fr/forum/post269786.html?hilit=Maxdechoisy#p269786

 

Cependant, j’ai été absent pendant 1 mois avant de revenir, grâce à Chinatso. J’ai ensuite rejoint le projet de Chnafon, sur NS. Depuis mon arrivé je farm énormément, et j’ai d’ailleurs, fais plein de rencontre lors de mes aventures !

 

Mes constructions sont deux maisons :

 

 

Ma maison sur Chnafon :

 

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Une maison construite avec un compagnon :

 

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:brick::sandstone::brick::sandstone::brick::sandstone::brick::sandstone:Mes motivations :sandstone::brick::sandstone::brick::sandstone::brick::sandstone::brick:

 

 

Minefield étant un serveur très connu se faire connaitre est devenu difficile mais faire des rencontre est devenu beaucoup plus facile, j’aimerai donc avoir la possibilité de passer villageois, afin de continuer sur Minefield et progresser dans la hiérarchie. Sinon j’ai assez d’ambition, en effet je compte monter un projet très sympathique avec des potes ! Côté technique, j’ai fait des achats de Pa et j’ai donc de quoi payer l’impôt pendant une bonne Année ! Sinon ce grade me permettra de me spécialiser dans un métier et de me donner encore plus envi de farmer et d’avancer sur le serveur.

 

Voilà ! C’est tous pour ma candidature, j’espère que la suite vous plaira !

 

:cobble::stone::cobble::stone::cobble::stone::cobble::stone: Role Play :stone::cobble::stone::cobble::stone::cobble::stone::cobble:

 

Avant de débuter; j'aimerai que l'on m'accorde la faveur de ne pas prendre en compte mon RP paysan, car j'ai écrit celui ci il y à 1 ans et qu'il n'est pas vraiment adapté au cadre temporel de Minefield. J'ai donc allongé mon RP Villageois pour compenser cette erreur. Merci d'avance.

 

:book: Journal de Maxdechoisy :book:

 

:diamondblock:Tome 1.

 

Salutation, mon nom est Maxdechoisy Walliz. Si vous avez trouvé ce journal,

C’est surement que je suis mort ou qu’il m’est arrivé une mésaventure. Alors prenez en soin ;

car il s’agit surement de la dernière œuvre de la famille Walliz.

 

 

:sign:Chapitre I : Une enfance troublée :sign:

 

 

Je suis né seize ans avant le début du règne du grand Empereur dokMixer, pendant l’une des périodes les plus sombres du monde de Stendel. Mon père se nomme Drackoss, fils d’Erenard, grand chevalier respecté ayant accomplis de nombreux exploits. Ma mère quant à elle, se nommait Elsendrai.

 

Mes parents étaient un jeune couple de modeste bûcheron, ils vivaient dans le petit village de Mal’thar, situé dans le Sud de la région de Stendel. Ils menaient une vie paisible et discrète car ils n’aimaient pas les ennuis. Mon père était un bosseur, un homme courageux, il travaillait dure pour nourrir sa Famille. Une journée d’hiver, ma mère tomba en ceinte et je naquis, neuf mois plus tard, lors d’un soir d’automne.

 

Mon enfance fut joyeuse, je grandis dans mon village natal, au rythme du travail de mon Père. Mais une soirée de l’an – 10 avant dokMixeur, lors de la traditionnelle fête des « céréales dorées » annonçant la fin de la saison d’automne, un hennissement se fit entendre au loin. Puis le sol se mit à trembler, à la sortie de la ville je vis alors un groupe de Cavalier, je crois qu’ils étaient six, ou non ils étaient huit, oui c’est bien sa huit cavaliers entièrement habillés en Noir.

Ils portaient chacun, une longue cape, de grandes bottes, une épée qui semblait être imbibé de sang ; certains portaient des masses d’armes à leur ceinturon. Ils avaient aussi tous un même tabard représentant un crâne transpercé d’une flèche. Mais le plus marquant était leurs masques ; sombres et leurs yeux blancs.

Une panique générale se fit alors sentir dans la foule, certains habitants du village se mirent à crier affolé par la situation. Et parmi la cohue générale, je pus déceler la même phrase qui revenais sans cesse : « Fuyez, ce sont les cavaliers noirs ! ».

 

Ces guerriers maléfiques étaient connus pour leurs violences, leurs pillages et la destruction de nombreux villages de la région de Stendel.

Mes parents me prirent alors dans leurs bras et se mirent à courir à l’opposé des vandales, en espérant réussir à s’enfuir du village. Durant notre course, ma mère trébuchât une première fois, les Cavaliers commencèrent à nous poursuivre. Mais elle ne baissa pas les bras ; elle se releva et nous continuâmes à fuir, mais ma mère retomba et cette dernière fois lui fus fatale ; en effet je vis ma mère à terre, impuissante. Au fond de moi, malgré mon jeune âge et mon innocence, je savais que je ne reverrai plus jamais ma mère. Elle adressa une dernière phrase à mon père, et je pense qu’elle restera gravé en moi toute ma vie : « Fuis mon amour, par loin, emmène le petit à l’abri, sauve le ! » et elle termina par : « Je vous aime. »

 

Mon père me pris sur ses épaules et m’entraina en haut d’une colline boisée. Du haut de cette colline, je vis ma mère, emmenée par les Cavaliers, puis je tournis la tête vers mon village natal, détruit par les flammes. Voilà, la dernière image que je garde de mon village natal : un tas de ruine fumant jonché de Cadavre.

 

 

:sign:Chapitre II : Un nouveau départ :sign:

 

Mon père et moi, avions marché pendant des jours durant. Nous finîmes par arriver en début d’hiver à la mythique et grande cité, capitale de cette magnifique région : Stendel.

Une fois arrivée nous nous installâmes à l’auberge de la cité. Nous nous reposâmes durant quelques jours et mon père se remit à faire des petits boulots, pour pouvoir nous faire vivre. Malgré ce qui venait de nous arriver, mon père gardait courage car la vie continuait. Nous sommes restés durant quatre ans dans un petit hameau à la périphérie de Stendel, bénéficiant de la protection de la garde Stendelienne.

 

Mais le jour de mes onze ans, alors que j’accompagnai mon père au marché de Stendel, nous tombâmes sur une exécution sur la place principale de la capitale. Je vis trois personnes, deux hommes et une femme, et à côté d’eux, un bourreau ainsi qu’un homme encapuchonné, placé dos à la foule.

 

Au bout de quelques minutes, l’homme à la capuche se mit à parler tout en restant de dos : « Peuple de Stendel et ses Environs. Ces trois paysans, que vous voyez ici, sont mes paysans, ils me doivent le respect et fidélité. Je suis bon avec eux, je leurs offrent du travail sur mes terres, une bâtisse pour se loger et une protection contre toute menace. Mais vous voyez, ces personnes ont tenté de monter une rébellion contre moi, leur maitre, moi qui leur ai tous donnés. Et ce n’est sans vous rappeler que comploter contre son maitre, est une chose fortement interdite sur les terres de Stendel et constitue un crime, punissable de la peine de mort. » Un léger bruit d’étonnement se mit à parcourir la foule. L’homme se remit à parler :

« C’est pour ces raisons, qu’au nom de l’empire, et pour avoir désobéi à mon autorité, je condamne ces trois personnes à mourir pendu. » Un cri d’indignation parcouru alors la foule.

 

C’est alors que je vis un homme, sortir de la foule et se diriger à grand pas vers l’homme encapuchonné. Il brandissait une longue et brillante lame digne des plus grands chevaliers. Une fois monté sur l’estrade il dirigea sa lame au niveau du coupe de l’homme masqué, et se mit à lui parler : « Alors seigneur, vous vouliez faire exécuter ces trois paysans, car ils ont tenté de monter une rébellion contre vous ? Et vous voulez exécuter une loi, instaurée durant une des périodes sombres de notre Monde. Mais vous avez oublié une chose, les heures noires de Stendel sont révolues, le mal est déchu et bientôt dokMixer viendra au pouvoir, le peuple est dorénavant libre. Et vous, petit seigneur, jeune et insouciant »

Il retira alors violement, la capuche du seigneur. Je vis alors un jeune homme ayant la vingtaine, tout au plus. L’homme repris alors la parole : « C’est bien ce que je pensais, seigneur Jean Ragnak, fils du défunt seigneur Altuis Ragnak, un grand amis et grand homme. Vous déshonoré la mémoire de votre père. Et c’est en tant que votre supérieur, moi le chevalier Erenard Walliz des Terres de New-Stendel, je vous ordonne de libérer ces trois paysans et de mieux faire régner l’ordre sur vos terres. » Une joie emplie alors la foule et sous la menace de l’arme du chevalier, le seigneur libéra les trois paysans et partis en adressant un dernier message au chevalier : « Vous aurez à faire à moi je vous le garantie. »

 

J’étais resté bouche-bée face à ce que j’avais vu. Pendant ce temps, mon père s’était dirigé vers le chevalier, oui, j’avais bien entendu, le Chevalier Erenard Walliz, mon grand-père. Il n’était pas mort, durant toutes ces années je croyais ne plus avoir de grand père. Mais il était bien là et il était Chevalier ! Je rejoignis mon père, qui serrait mon grand-père dans ses bras.

Mon grand-père nous invita à venir vivre avec lui dans son château dans le monde de New-Stendel. Nous acceptâmes de quitter ces terres auxquelles nous étions rattachés, par notre triste passé.

 

Mon grand-père mourut trois ans après ces évènements. Quelques jours après les obsèques de mon grand-père, mon père fût nommé Chevalier par les dirigeants de New Stendel.

 

 

 

:sign:Chapitre III : Chnafon :sign:

 

Vous tournez la page, mais malheureusement les pages suivantes ont été déchirées.

 

La suite du RP dans la prochaine candidature !

 

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Merci aux lecteurs et à tous les gens que j'ai rencontré depuis mon arrivé ! @+

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Bonjour,

 

Oui, on va définitivement oublier ton texte paysan et le fait que SL ait certainement dû abuser de carottes le soir où il t'a lu pour accepter ce texte comme un rp.

 

Ce rp est bien. Très bien même et très prometteur.

 

Revenons à nos moutons ...

 

Félicitations pour ton nouveau rang de villageois !

 

Bonne journée.

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