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herroP

Minefieldien
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    herroP
  1. Bonjour cher(e)s Minefieldien(ne). Mon projet que je vais proposer n'est pas un projet comme les autres: il ne porte pas sur un endroit en particulier. Je suis herroP, pas encore paysan. Mais lorsque je me baladais sur le serveur en tant que vagabond, j'ai vu que parfois les chemins se terminer. Alors j'ai eu la soudaine idée de les terminer si jamais je suis accepté. C'est plutôt un emploi. (Je ne demande pas forcement à être payé bien sur mais quand même un peu pour financer les ressources nécessaires). Bien sur cela sera très long, mais j'ai la foi! Bien que ce sujet ne soit pas vraiment un projet, je n'ai pas trouvé d'autre endroit où le poster. Merci de votre compréhension et à bientôt.
  2. Demande de Candidature - herroP Bonjour, j’ai 14 ans, je m’appelle Nicolas et j’habite en région parisienne. Cela doit maintenant faire au moins un an et demi que je joue à Minecraft. J’ai commencé récemment un projet avec mes amis sur ce jeu http://www.youtube.com/watch?v=BBLB3_K2x1M J’ai toujours était passionné par ce jeu si créatif et réfléchit. Jusqu’à maintenant, les serveurs communautaires ne m’intéressaient pas. Mais lorsque je regarder les nouveautés sur Minecraft.fr, je suis tombé sur le classement des serveurs. J’ai aussitôt remarqué Minefield en première place. Alors je suis tombé sur le site officiel et lu le fonctionnement du serveur. Pour moi, ça a été un véritable coup de cœur. Alors j’ai téléchargé le launcher et j’ai été émerveillé par ce que j’y ai trouvé. Et j’ai tout simplement voulu y jouer. Si jamais ma candidature est acceptée je voudrais me construire une petite maison et participer aux évènements du serveur car à quoi sert d’être sur un serveur si on la joue solo (si toutefois je suis accepté). Mon rp : Un jour comme les autres, je me baladais dans les vallées de Samance. Je pris le chemin du serpent pour enfin apercevoir le charmant village de Samance. Les forgerons forgeaient des étincelantes épées, les paysans abattaient avec peine leur faux sur différentes céréales et les pêcheurs vidaient leur bateau plein de poissons. Tout était normal. Quand soudain, un cavalier déboula dans le village, suivi d’un, de deux puis de toute une armée. Le premier cavalier embrocha un garde de sa lance. Alors ce fut la panique : les habitants se mirent à hurler et à courir dans tout les sens, les pêcheurs remontaient sur leur bateau en reversant les caisses remplies de poissons au passage et les forgerons se cachèrent dans leur établi. Je pris mes jambes à mon coup puis repris le chemin du serpent, arriva dans les vallées de Samance. Je me retournais régulièrement afin de m’assurer qu’aucun garde ne m’avait suivi. De la fumée s’élevait du village, peu de gens avaient pris la fuite comme moi, tout le monde s’était empressé de se mettre à l’abri dans leur maison qui était maintenant en feu. Lorsque j’arrivai aux portes de la petite ville de Flantes (là où je demeure), j’hurlai à plein poumon : « Samance est attaqué ! Samance est en feu ! » Les gardes me toisèrent longuement avant que l’un d’eux réagisse. « Je n’ai pas le temps de plaisanter, fous le camp ! » Mais lorsqu’il aperçut au loin de la fumée, il manque de s’étouffer. « Oh ! Mon dieu ! » Aussitôt, il donna des ordres aux autres gardes qui ordonnèrent à leur tour à la population de quitter la ville par tous les moyens. Puis un garde me dit : « Le royaume de Zidard est menaçait, l’armée du roi est parti en croisade. Et voilà qu’une armée de parfaits inconnus viennent nous déclarer la guerre ! Ici, nous ne sommes qu’une poignée de soldats. Nous avons envoyé un messager prévenir le roi pour qu’il revienne de croisade, mais d’ici là, je doute que nous serons toujours en vie. Il faut que vous partiez, c’est trop dangereux ici. » Alors j’allai voir du côté du port si quelqu’un ne pouvait pas m’aider à fuir dans son bateau. Un énorme trois mats embarquait le plus de monde possible. Je sautai à bord. Nous partîmes alors pour une longue traversée : La mer de la mort. Nous naviguions sans savoir où aller, toujours tout droit. Nous dormions entassé dans les cales. Nous manquions de nourritures, et même d’eau. Puis alors une maladie apparut, elle décima la moitié des occupants de la flotte. Si je suis en vie pour raconter cela, c’est par chance. Alors, une nuit, une tempête apparut. Les hamacs étaient renversés, les voiles se déchiraient, le vent déchirait nos tympans. Puis la dernière chose que je vis fut une gigantesque vague se dresser devant le bateau. Lorsque je repris conscience, j’étais allongé dans un lit. Une dame me regardait en souriant. « Je vois que vous avez repris conscience, dit-elle » « Qui êtes-vous ? » « Ca serait plutôt à moi de vous poser la question » Tout était embrouillé dans ma tête. « Je ne sais plus, tout est flous dans ma tête. « Mon mari vous a retrouvé échoué sur une plage, hier matin, après la tempête. » Soudain je me rappelai de tout : l’attaque de Samance, la fuite, le trois mats, la maladie et la tempête… «Je m’appelle herroP, je suis originaire de Zidard, notre royaume a été attaqué par des inconnus, j’ai été contraint de fuir à bord d’un bateau. Puis il y a eu cette tempête. » « Vous avez un drôle de nom. Vous êtes dans le royaume de Stendel, bienvenue. » Je restais chez cette charmante dame et son mari pendant 3 jours le temps de récupérer. Lorsqu’il fut temps de partir je lui demandai : « Je n’ai pas d’emploi ici, mais j’ai besoin de vivre. Pourriez-vous me dire où pourrais-je trouver du travail ? » « Oh ! Il y a bien le forgeron du coin qui se plaint toujours de ne pas avoir d’apprenti, vous pourriez bien lui filait un coup de main. Allez le voir il se trouve de l’autre côté de la colline. » J’allai alors voir ce forgeron. Il accepta aussitôt de me prendre pour apprenti. J’appris vite ce métier épuisant. Je me contentai de prendre les commandes des clients et de l’aider dans son travail. Durant 3 ans, je vécus heureux, je m’achetai une petite maison. Mais un jour, j’eus envi de changer de métier et de monter moi même ma forge. J’allai alors voir le roi de Stendel. Je lui expliquai la raison de ma visite et mon histoire. Il dit alors : « C’est d’accord vous prendrez alors la vieille forge abandonnée, il suffit d’y faire quelques travaux pour qu’elle soit agréable mais je suis sûr que vous vous y plairez. » Je le remerciais alors de son aide et m’installai dans la vieille forge abandonnée. Je vécus alors heureux. Voilà mon histoire. Voici la fin de mon rp et merci d’avoir lu jusqu’à la fin. A bientôt j’espère.
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