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Bernoise

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    Bernoise
  1. Bonjour, pour commencer, je m’appelle Bernoise, de mon pseudo, et Dorian, de mon vrai prénom. J’ai 18 ans, et j’habite en Alsace (je n’ai pas l’accent alsacien quand j’écris sur le clavier). Je joue à Minecraft depuis plus d’un an. Au début, je m’effrayais de ce nouveau jeu avec des cubes… Puis, finalement, j’ai appris à l’apprivoiser, mêlant esthétique et travail, j’arrivais a de très bons/beaux résultats sur mes construction, m’éloignant au fil des jours de cette ‘vilaine’ forme cubique, pour m’approcher de la réalité… Des formes plus intéressante, plus constructive, moins abstraire… Bref ! Je frôlais ENFIN l’architecture humaine ! Pour être franc, je connaissais Minefield depuis assez longtemps, mais je ne voulais pas encore m’intégrer dans une si grande société. Plusieurs vidéos sur « YouTube » et différents forums m’ont appris la dure réalité… Minefield était, et resterais le serveur avec le plus de francophone ! Il me fallait réagir, moi qui aime ce jeu et le fait d’être en équipe et en société dans le jeu, ma forcé à devoir m’inscrire. D’où, tout le temps parcours que j’ai effectué pour en arriver là. Amplement dynamique et fort de mes convictions, j’appuierais ma demande de candidature pour devenir paysan. Je suis prêt à me plier aux demandes des modérateurs. Mais, toutefois, si je puis apprêter une suggestion, j’aimerais, même en ayant lu le lourd parcours de « Marchand »… Je rêverais quand même, un jour, de faire ce métier qui me passionne au plus haut point. Voici le RP demandé de plus de vingt lignes : Le cher, petit Bernoise, s’agrippa à ces dernières convictions, s’apprêta à ce dirigé jusqu'à Stendel. Il avança a une vitesse qui n'était pas des moindres. Son cheval brun trainait cette vielle carcasse depuis près de trois jours au moins. Il ressentait sur sa croupe, la légère mais longue cape noire de son maître. Peut-être est-il encore vivant, mais ce cheval ne voulait rien savoir. Il avait reconnus le paysage où il se trouvait. Il savait, qu’à quelques lieues de là se trouvait un point d'eau. Et si son maître ne serait pas en mesure de le freiner, il se dirigerait à ce point. Tout a coups, le cheval ressentis une douleur au niveau du garrot et il s'arrêta brusquement. Son maître avait repris connaissance et il en était hors de question pour lui que de se rendre à une route opposé où il voulait aller. Son but était de se rendre à un château dans la région. La route fut plutôt longue, mais il y arriva enfin. Il salua les murailles qui lui firent face, même si le soleil l'empêcha de lever les yeux trop haut pour pouvoir contempler leurs hauteurs. La herse était ouverte et le pont-levis abaissé ce qui lui permit de pénétrer à l'intérieur de l'enceinte. Aujourd'hui, c'était un jour de fête, différents vendeurs d'armes, de femmes et d'autres occupations ou de nourriture se trouvaient sur les voies pavés. Un garde l'obligea a posé pied et lui remettre son cheval. L'homme a la cape noir attrapa son fourneau et son épée a l'intérieur et l'accrocha a sa ceinture. Son cheval allait, selon le garde, se rendre a l'écurie. Il savait qu'il devrait payer pour récupérer son cheval mais ce n'était pas ce qui le préoccupait en premier. Il se dirigea vers, ce qui ressemblait, à un donjon, le seigneur de ces lieux devait se trouver là-bas. Les allées étaient grandes, mais les commerçants s'étalaient sur de très grande longueur. Il ne s'attarda pas sur ces vendeurs, même si plusieurs lui proposait a maintes reprises d'acheter tel ou telle objet. Il se trouvait enfin devant ce donjon dont il en avait presque rêvé pendant des nuits entières. Il mit sa capuche, de la même couleur que la cape, pour qu'on ne puisse pas reconnaître son visage. Les marches de l'escalier du donjon se trouvaient devant lui. Un tapis d'une couleur rouge était sous ses pieds, mais aussi deux gardes devant lui bloquèrent le passage. Leurs armures lourdes et non rouillés, pour une fois, firent comprendre au cavalier qu'il était bien arrivé à la tanière du seigneur : Stendel ! Il libéra son cheval a l’un des gardes en lui offrant une pièce pour qu’il l’emmène jusqu’à l’écurie, pendant que lui se dirigerai un peu plus loin. Le cavalier caressa le chanfrein du cheval puis s’éloigna de quelques pas. Et eu enfin le sourire. Il était devenu paysan et venait de se trouver dans cette merveilleuse ville... J’ai parcourus et arpenter pendant près d’une semaine les environs dans lesquels je me trouvais en tant que « Vagabond »… Je sais, désormais, que grâce à vous, ma place serait paysan. Je tiens a vous remercier d'avance de votre compréhension et de votre lecture. Merci encore.
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