Bonjour/Bonsoir, membre de ce glorieux serveur qu'est Minefield.fr
IRL :
Je m'appelle Thomas, je suis actuellement en vacance, à la rentrée je m'attaque à la terrible et redouté classe de Terminale ! Je vous avouerais qu'au départ, au niveau vidéo-ludique, je suis plutôt console, mais minecraft fait que je me suis réconcilié avec mon PC . Je pratique aussi le Jeu de Rôles (oui, on est plus beaucoup à faire ça) et le RP est un élément essentiel, je crois, dans tout bon jeu ! Je fait aussi mes balbutiements dans l'univers effroyable de Warhammer. Et comme tout rôliste qui se respecte, l'occultisme et les maléfices m'attirent, tel un zombie est attiré par la chaire fraiche.
Projet IG :
Euh... Alors là... M'amuser avant tout... Devenir un laquais ça compte comme projet ? Car je pense que la place de gobelin-sbire-couard à la botte de je ne sais quel seigneur des ténèbres pourrait très bien me convenir.
RP :
Il n'y a pas si longtemps que cela, Idellaux était un être tout à fais normal, il avait six cubes, une tête de mexicain. Rien ne le différenciait de Steve-tout-le-monde, en somme.
Idellaux est né dans une famille de mineur, dans la Nation du Fort. Là-bas, les mineurs étaient traités comme des sous-êtres, pire que des esclaves. On les faisait vivre sous-terre juste à côté de la mine, on récupérait leur travail et, en échange, on leur donnait un pain, deux pomme et un seau d'eau (seau qu'il fallait rendre, évidemment, on rigole pas avec ça) par famille et par jour. De plus, les pires bagnards venaient grossir chaque jour les rangs des mineurs et on ne les surveillaient pas ! Donc les vols et les meurtres étaient monnaie courante dans ce trou à rat boueux. Pour ce qui est de l'hygiène, eh bien, je ne vais même pas en parler pour ne pas vous donner envie de vomir... mais ce manque de propreté engendrait de nombreuses maladies qui étaient presque toute fatale, car on avait aucun médicament dans le "monde souterrain". Et chaque mineur qui ne remplissait pas ses quotas était sommairement exécuté. Tous les "braves gens" fuyait, donc, les mineurs comme des creepers. C'est dans ces conditions où le "bien-être" est réduit à l'état de lointain fantasme, que notre "héros" grandit. Le seul cadeau qu'on lui fit de toute sa jeunesse fut une pioche de bois offerte par l'état le jour de ses huits ans pour qu'il rejoigne ses parents et ses deux frères dans les tunnels à la recherche des si précieux diamants. Idellaux trima pendant dix bonnes années, jusqu'au jour où le manche de sa pioche se brise, évidemment il avait déjà changé de très nombreuses fois la pique de la pioche, mais comme il n'y avait pas de bois sous-terre, le manche de pioche était l'une des choses les plus précieuses qu'un mineur possédait. Idellaux devait absolument retrouver un outils de travail, il fut donc contraint de se tourner vers le marché noir où il parvint à trouver un manche de pioche à un prix exorbitant, il devait remplir le quota du vendeur en plus du sien pendant quatre ans ! Mais il n'avait pas le choix et accepta. Ce premier contact avec l'illégalité ne fut absolument pas le dernier, en effet au bout d'à peine deux mois, Idellaux ne tenait plus le rythme et retourna voir le vendeur pour trouver un autre arrangement. Ce dernier eut une réflexion de quelques instants et lui proposa de travailler pour lui dans le marche noir. Notre héros était chargé de récupéré la marchandise auprès d'un garde corrompun un boulot bien dangereux mais qui lui permettait de rembourser et de ne devoir miner que la moitié de son quota lui-même.
Malheureusement, un jour, la police du Fort, décida de démanteler le trafic du "monde souterrain" et Idellaux fut l'un des premiers à se faire arrêté. Mais, étrangement, à la place de le décapiter et de laisser son sang se répandre dans la boue de la mine souterraine, les gardes l'emmenèrent vers une prison haute sécurité d'opposant qui se révéla être presque vide. Les prisonniers de ce centre pénitencier était utilisé comme cobaye par des scientifiques complètement fous et ils étaient en manque de [barrer]rats[/barrer] mexicain à irradier. Les scientifiques avait réussit à créer des creepers non-explosifs. Et l'expérience que dut subir Idellaux, fut de se voir ligoté à une de ses sales bestiole et de se faire ioniser la tête. Mais se que n'avait pas prévue les têtes d'œufs c'était que le phénomène réveille un vieil instant de la bête verte... celui de faire "ssssssssss"... En entendant ce bruit, notre héros était sûr que sa dernière heure était arrivé. La vitre derrière laquelle se trouvait les scientifiques vola en éclat à cause de l'explosion avant que ces derniers n'ait eut le temps de réagir. Bizarrement, Idellaux ne ressentit absolument rien que le creeper fit son attaque kamikaze. Il parvint à se délier et sortit par la baie anciennement vitrée. Il traversa en toute hâte, mais le plus discrètement possible tout le laboratoire, et déboucha dans les vestiaires. Il ouvrit un des casiers à la recherche de fringues qui ne criaient pas "PRISONNIER ÉVADÉ ! PRISONNIER ÉVADÉ !". Il ouvrit une de ces boites de métal. Dans la porte se trouvait un miroir. Dans ce miroir il vit que son beau teint avait disparut au profit... d'une tête de creeper. Tout son corps ressemblait à une peinture d'un impressionniste ! Il était vert ! Dans les deux sens du terme. Après s'être observé pendant plusieurs minutes, Idellaux reprit ses esprits, attrapa les fringues présentes dans le casier, les enfila, puis il se dirigea vers le porte-manteau, attrapa un grand chapeau le vissa sur sa tête et il foutu le camp aussi vite que possible. Une fois hors de la ville, il ne s'arrêta pas. Une fois hors du royaume, il ne s'arrêta. Il marcha pendant des jours et des mois. Il ne sait plus combien de temps il marcha en se lamentant de cette peau creeperesque (en plus les creepers continuait de l'attaqué, ces salauds !). Il marcha et un jour il aperçut des maisons. Il venait d'arriver dans ce que les locaux appelaient le "monde de Stendel". Ces terres étaient peuplés par des individus très différents. Dans ce peuple hétéroclite, Idellaux se sentit presque normal et décida de s'installer là.
Seulement, il n'a jamais vraiment pris de décisions par lui-même (sauf celle de foutre le camp de son pays), donc ce qu'il attend inconsciemment c'est de devenir un brave petit laquais.
