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Crusher

Minefieldien
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    armonica007
  1. De la mort renaît la brume... Que dire de plus ? J'ai connu Sedannah à sa création, j'en suis partie l'esprit plein de tristesse et j'y reviens l’âme pleine de joie. Amrod a fournie un travail considérable pour remettre la ville sur pied en repartant de zéro. C'est quelqu'un de très consciencieux et qui mérite se poste. +1
  2. Je suis tout à fait d'accord. Très bonne candidature tu as l'air respectueux et mature je donne donc un avis favorable. (Je n'ai pas trop de temps ces jours-ci, car je travaille dur pour m'installer et trouver du terrain.)
  3. Si un chevalier n'est pas capable d'endurer des critiques, c'est qu'il n'en a pas l'étoffe. Attaquer quelqu'un sur sa vie je trouve ça de très mauvais gout. Arcadelord est de très loin plus méritant que toi. Et puis niveau orthographe, tu es très mauvais. En passant: "Quand moi je vois une occasion de jouer le mercenaire, vous, vous l'imaginez. Mon intention n'était pas de rp a mort, même de comprendre le principe, avant tout car je m'en tamponne les noix avec une brosse a dents, mais de jouer avant tout. " J'ai rien compris. Sur ceux, bon jeu.
  4. Voici un groupement des quatre signatures faites pour le moment. http://z1.zod.fr/z/all-EQmb.png
  5. Bonjour, je ne vais pas tourner en rond. *Points négatif: -je vois mal la jonction entre un guerrier samurai fantôme et Minecraft. -Ça fait trop "surpuissant" à mon gout. -Manque d'originalité scénaristique. -Quelques fautes *Point positif: -une bonne longueur qui symbolise ta motivation. -Une amélioration par rapport à ton ancien RP -Une écoute vis-à-vis de nos conseils. -Un combat sympathique, manque un peu de mise en "images". Je suis partagé... Entre tes efforts et ta persévérance, je vois aussi un manque d'expérience et d'habiliter au niveau du Rp. Je ne sens pas vraiment le "Coeur" de ton RP. Ton style, je ne le vois pas. Pour moi ce sera un "non", mais de très peu. Entraine toi, développe un style unique d'écriture. J'apprécie tes efforts, franchement. Après, je suis un "connaisseur" du RP, j'en ai l'habitude. Je pense que mes confrères sont largement du même niveau que moi. Les Luna Equites est un ordre accès au maximum RP. Le RP est très important ici, et nous recherchons de très bon role players continue sur ta lancée. Cet avis n'est que le mien, attend les autres. Pour le test, il est secret .(chut)
  6. Mode RP délire [ON]: Crusher, assis tranquilleà la table, en train de raconter d'énorme imbécilité (pour pas changer). Quand soudain une énergumène rentre et se jette sur Arcadelord. Sa lame étroitement lier à la gorge du chevalier Nascens se retrouva éjecté au mur par un mouvement très élégant et raffiner de Tenshinryu. Je m'exclame alors. -Nom de dieu ! C'était magnifique Tenshin. Un peu plus et t'exploser le mur avec. Je me lève, j'avance vers Ble4 ch. À environ cinq mètres, je sors mes scalpels, à trois mètres j'enlève mon haut, à un mètre je lui mets une baffe. -Nan mais haut faut être poli avec les gens. Ça se fait pas de menacer des chevaliers comme ça. Abasourdie par son impuissance fassent à un tel bourrin, Ble4 ch n'osait plus bouger. Crusher prit une chaise et la posa à côté de Ble4ch. -Assis ! Voilà... Bon, là c'est beaucoup plus propice à un entretien. Tu viens faire quoi ? Ble4ch répondit: "je viens vous rejoindre." -Bah c'est bien, mais les chevaliers sont brave et ils ont de l'honneur. À première vue, tes pas braves tes complètement fêlés. Je veux savoir si tes capables d'accomplir une mission et si tu as de l'honneur. Raconte-moi ce que t'a déjà fait comme exploit. Mode RP délire [OFF] Bon poste un autre RP qui suit le mien. Après, je donnerai mon avis définitif. Désolé de cette méthode un peu spéciale (les autres ne seront peut-être pas d'accord). Mais moi, j'aimerais voir ce que tu donnes au niveau RP. Car ce que tu as poster n'est pas ce que l'on recherche comme RP. Je te redirige par le biais de mon RP vers ce qui nous intéresse. Prends ton temps pour le faire. Cordialement. -------------------------- Sinon, j'ai fait une signature avec le logo. Si quelqu'un veut la même, avec son nom dessus, et s'il veut que je change la couleur du fond, Je suis là. Exemple:(Nova Fond vert) Voilà la mienne. http://z1.zod.fr/z/sign-9Lmb.png
  7. Bonjour, j'ai fini 2 logos. Les voici: Pixel art: Tribal:
  8. Crusher

    [Plainte]Du foutage de moi?

    Bon, je passe par là pour donner mon avis (peu intéressant). Je ne connais pas très bien la situation, mais Dae n'a pas enfreins de règle. Dans tes propos, c'est juste de la communication mal perçue. Certes il ouvre sa bouche et il est lourd à donner des conseils un peu "insister" par moments, mais tout le monde a ses défauts, toi de même. Sur ce, bonne continuation
  9. Merci de cette réponse. J'ai corrigé mon rp des quelques fautes. Le coter bourrin c'est un style de combat, un chevalier ne fait pas que combattre et puis le comportement peut changer avec le temps. Le principal c'est que mon perso à de l'honneur et des valeurs saines. Puis il ne faut pas oublier que c'est un personnage fictif et que je peux changer de style extrêmement facilement.
  10. Merci pour cette réponse prompte et détaillé. J'en prends notes et attend la suite avec impatience.
  11. Bonjour chers amis ! Ceux qui veulent me connaitre n'ont qu'à allaient voir mes candidatures. J'ai pas 18 ans, mais je me vois assez matures ayant commencé à bosser à 16 ans. Je me vois comme quelqu'un d'assez mûr pour prétendre à postulé. Niveau RP, à vous de juger, je me base sur un univers très héroic fantasy pour minecraft. Je soutiens et j'approuve les règles qui régissent l'ordre. † Lugubre et serviable. † -Ils sont lâches, mais nombreux, maudits soient-ils... Parce que ce n'est qu'en bande que cette racaille ose s'attaquer aux honnêtes gens! Où est la défense promise? La liberté entrevue? Nulle échappatoire, nulle option de fuite... ce n'est là en rien ce pourquoi nous sommes nés, et ce n'est là certainement rien de ce pour quoi nous voudrions mourir! Ces mots, je les ai entendus maintes fois. Parfois profané à mon égard, je le concède, mais pas cette fois. Non, au contraire, cette fois ces mots allaient être la pierre d'assise d'une merveilleuse histoire... et si je vous la racontais... Il y a de cela quelques années, je passais par cette étrange cité. Les habitations fumaient encore, signal révélateur d'un brasier important. Le sol était jonché de corps de tous âges, certains mutilés, certains profanés... tous arborant le même visage. Un visage que je connaissais bien pour l'avoir fait porter à nombres de souvenirs... Les survivants s'affairaient tout autour de moi, ramassant les leurs, ramassant leurs pleurs et leur orgueil. Autour de moi, tristesse, désarroi, mais surtout résignation. Résignation, à une réalité déplaisante, mais tout aussi inéluctable que la mort elle-même. Je poursuivis ce chemin à travers le chaos des rues du village pour enfin trouver ce que je cherchais... Une auberge! Enfin. J'avais marché pendant toute la journée, j'avais faim et j'étais fatigué. Mon capuchon tiré bien bas, mon foulard remonté par-dessus mon nez, je pénétrai dans l'auberge. La discrétion n'était pas de mise, les gens de la place avaient bien d'autres chats à fouetter, un voyageur, aussi étrangement vêtu que je fusse, n'aurait pas pu faire lever le nez de ce peuple si parfaitement souillé. Là, je trouvai une table libre dans un coin sombre de l'auberge, et je m'assis attendant les murmures révélateurs de la tragédie qui avait eu lieu. Les premières heures se déroulèrent sans histoire, le repas que je demandai fut pauvre et sans goût. Malgré le sommeil qui me promettait monts et vallées, je ne pouvais chasser ce lugubre présage qu'amène le pressentiment d'une vie à côtoyer la tendre et exigeante Faucheuse. Aussi décidais-je de rester à ma place, à tendre l'oreille, à ouvrir l'oeil, à me renseigner... je ne fus pas déçu. J'appris rapidement l'histoire d'un peuple dégoûté, de bandits pillant et semant la mort... comme ils le font tous d'ailleurs... Ce manège durait depuis un certain temps, à en juger par la connaissance intime du sujet par tous. Même les ivrognes semblaient en parler en toute rationalité. J'écoutai l'histoire d'un père ayant perdu sa fille et sa femme. Selon ses dires, elles furent battues, puis ravagées, puis battues encore. La mort fut donnée par une méthode des plus exotique. Cela fut pour moi... très enrichissant... Les deux jeunes femmes avaient été tuées par des dagues chauffées à blanc, introduites de force, mais très lentement, dans les globes oculaires des victimes. J'en pris bonne note. J'avais fréquenté de telles scènes à tellement de reprises... mais habituellement j'en étais la cause, la situation était... rafraichissante pour moi. Je ne ressentais aucune haine envers ses pillards, ils avaient un rôle à jouer, une raison d'être et à ce que j'étais en mesure de voir, ils le jouaient à perfection. Ils remplissaient pleinement la fonction première qui les avait vus naître. Aussi, je ne puis expliquer ce qui me poussa à agir. Pourtant, quand cette jeune fille à moitié morte entra en demandant sa maman tout en tenant son ventre éviscéré de maintes coupures profondes, je fus pris d'une émotion... Son visage était blême, sa voix...si faible, à peine audible, un murmure de souffrance et de solitude. L'assemblée se tut, leurs émotions à fleur de pot. La jeune fille redemanda : ''Maman?'' Cela fut ses dernières paroles avant qu'elle ne tombe face contre terre dans la marre de son propre sang qui continuait à s'extirper de sa peau formant ainsi une jolie flaque sur le sol de bois. Ce ne fut pas d'horreur que je réagis. J'avais vécu et infligé bien pire. Non, je n'ai pas pu décrire l'émotion que je vécus à ce moment, mais maintenant que j'y repense cela devait être du dégoût... du dégoût face à une mort si bâclée... La mort, était et est toujours pour moi, quelque chose de beau, de ravissant, mais d'effrayant à la fois. La grande Faucheuse était pour moi bien plus qu'une partenaire de travail, elle était mon allier, mon amie, ma forme d'art... Ces entailles sur ce petit ventre, faites au hasard, sans aucun motif, sans aucune efficacité. Cela m'insultait, me révoltait. Comment pouvait-on se moquer de mon métier, de ma compagne? Comment pouvait-on manquer de goût à ce point...? C'est à ce moment que je pris ma décision. Je me suis levé de mon siège, j'ai marché en direction du cadavre, puis je me suis penché vers elle. Si mes souvenirs sont bons je lui ai murmuré quelque chose du genre : « Ne t'inquiète pas, ta fin sera le commencement de l'apothéose de mon œuvre. » Puis, ignorant les visages inquisiteurs de la foule amassée, je quittai l'auberge en direction de la plaine. La brume des champs de bataille avait conquis le petit village. Cela ne me gênait pas. Pas plus que l'odeur nauséabonde de la chair brûlée. J'ignorai les pleures, les horreurs... je suivais mon but. Suivre le chemin de ses bandits s'avéra beaucoup plus facile que prévu. Ces criminelles, après avoir perpétué leur opération à plusieurs reprises, ne se souciaient guère plus de la possibilité que quelqu'un les suive. Je me rappelle m'être indigné face à ce manque de professionnalisme...j'aurais dû m'y attendre de la part de simples malfrats de bas étage. Ceci étant dit, leur troué à travers la plaine était aisément reconnaissable. On aurait dit une langue de feu passant à travers un couvert de neige. Le piétinement de leurs chevaux avait marqué le sol et m'indiquait le chemin aussi clairement que si j'avais été parmi eux. Après une heure ou deux de marche à travers les broussailles des nombreux champs avoisinante, j'eus un premier aperçu de mes ennemies. Là, gisant sans vie...et nue, dans un caniveau, se trouvait un homme d'une stature imposante bariolé de lignes bleues probablement tracées à l'aide des baies poussant de façon sauvage dans les boisés de la région. Je m'approchai de lui. Il avait été tué très récemment, le sang en arrière de sa tête n'avait pas encore eu le temps de coaguler. Par la forme et la profondeur de la blessure, j'en déduis que l'homme s'était probablement fait tuer par un objet lourd et contondant. Le bandit, du moins puisqu'il n'avait aucune caractéristique physiologique des habitants du village que je venais de quitter, je fis l'hypothèse qu'il s'agissait bel et bien d'un des bandits, avait visiblement été détroussé. Probablement une dispute sur le partage du butin... cela était un risque assez fréquent dans ce domaine d'activités. Néanmoins, cela m'indiquait clairement que j'étais sur la bonne piste... Le jour commençait à tomber et la fatigue des longues journées de durs labeurs me gagnait. Aussi, je me mis donc à la recherche d'un logis où passer la nuit. Il me fallut une autre heure de marche pour apercevoir une habituation qui semblait avoir été épargnée par le carnage. Je me rappelle avoir trouvé cela très étrange... Pourquoi une maison appartenant visiblement à quelqu'un de confortablement riche, vu la décoration extérieure, avait-elle été épargnée alors que tout un village de pauvres gens avaient été pillé? Je me promis de corriger l'injustice perpétuée au pauvre propriétaire. Je me glissai sans bruit le long du mûr pour ainsi mettre la maison entre moi et la route. Je ne craignais pas particulièrement de me faire prendre, mais dans mon métier, on gagne à être perfectionniste. La maison était faite de pierres très légèrement désalignées. Je n'en demandais pas tant... Après m'être assuré, par un regard furtif par la fenêtre, de la vacance de la pièce. Je m'élançai et entrepris l'escalade du mûr. La maison ne possédait que deux étages, aussi l'ascension ne me pris que quelques minutes. Le toit était plus large que la maison elle-même pour assurer l'écoulement de la neige et de l'eau, aussi dus-je complétais mon escalade à l'horizontale en m'agrippant fermement aux poutres de bois liant le toit à la charpente de la maison. Une fois hissé en haut, je décidai de rester immobile pour deux raisons toutes simples : je voulais calmer ma respiration, et je voulais aussi écouter pour savoir si mon escalade n'avait pas par inadvertance, agité le détenteur de la propriété. Après quelques minutes, je ne pus que me réjouir, une fois de plus, du succès du début de mon opération. Une bourrasque de vent me ramena sur terre. Il ne me fallut que quelques secondes pour repérer la cheminée. J'entrepris la descente en appuyant mes pieds de chaque côté de bords de la cheminée. L'astuce est simple, en appliquant une force égale sur les deux jambes, on arrive à contrôler efficacement sa descente... Une fois en bas, je ne perdis pas de temps. J'étais dans l'antre de l'ennemie et je me devais d'effectuer ma tâche le plus vite possible. À cette heure de la nuit, la chambre à coucher semblait le choix de recherche le plus logique. La maison était encore plus richement décorée de l'intérieur. À un point tel que le tout en était grotesque. Je fus cependant agréablement surpris de constater la présence de nombreux tapis. Bien que je sois capable de bouger sans le moindre son, un tapis facilite grandement le tout en étouffant tout son que mes pas auraient pu occasionner par mégarde. C'est donc dans un silence complet que je m'introduis dans la chambre. Bingo! Là, dans le lit, la forme de deux ventres montants et redescendant sous la cadence de respires m'indiquait que je touchais au but. Mes yeux habitués à la noirceur, purent apercevoir la silhouette d'un homme et d'une femme, plutôt rondelet d'une quarantaine d'années. Je m'approchai tout doucement de côté où dormait l'homme puis je montai sur le lit sans créer le moindre remous. Je sortis ma dague de son fourreau, caché sous mes habits, puis d'un coup sec et silencieux, je l'insérai en travers de la gorge de l'homme. Celui-ci voulut s'agiter et crier, mais mon autre main pressée fermement sur son torse le maintint en place tandis que mes genoux empêchaient ses bras de bouger. Pour le reste, vous essaierez de crier avec une dague dans la gorge... Une autre âme pour toi, mon amie Faucheuse... L'opération s'était déroulée dans un silence complet. Je fis subir le même sort à la femme. Une fois la besogne achevée, j'inspectai le reste de la maison. Ne trouvant personne d'autre je m'installai sur le canapé pour dormir un peu. Au matin, après m'être servi copieusement à même la nourriture de mes infortunés hôtes, je repris la route. Les traces étaient moins fraiches, mais pour quelqu'un de mon talent, cela ne faisait pas grande différence et à en juger par l'espacement entre les pas des chevaux. Les bandits étaient très près de leur destination... et donc moi aussi. Il me fallut la moitié de la journée pour couvrir la distance me séparant du repère des malfrats. Cette proximité entre la maison et ici, expliquait probablement le fait que cette dernière s'en soit tirée à si bon compte. Un petit paiement par si, une petite information par là, et voilà un gage d'une sécurité absolue. Peu m'importait, j'étais ici pour une tout autre raison. Le repère en question était constitué d'une caverne qui par son embouchure laissait présager une structure souterraine assez impressionnante. Je ne pus que constater l'intelligence du choix de l'emplacement. Par contre, je fus amèrement déçu de constater que le seul garde à l'entrée dormait à point fermé. Je m'approchai de lui tout en prenant garde de camoufler ma présence à travers les broussailles avoisinantes. Une bouteille d'alcool fort, un rhum de très mauvaise qualité à en juger par l'odeur de son haleine, pendait à sa main. Cette fois, je saisis mon sabre... mon arme de prédilection, une lame de verre presque invisible à l'oeil nu vu sa transparence, mais chauffé de telle sorte à la rendre aussi résistante que l'acier tout en restant bien plus légère et tranchante. Mon oeuvre d'art pouvait enfin commencer. J'ouvris son abdomen d'un coup précis. Un premier hurlement de douleur me fit frémir de plaisir. J'introduisis ma main dans la blessure béante et me saisis de son coeur. Un serrement fut suffisant. Une offrande de plus pour la grande Déesse, servante du Chaos... Ses cris rameutèrent la horde. Je me penchai pour éviter les deux flèches tirées dans ma direction. En même temps, je m'emparai de mes trois dagues de lancées, splendides couteaux allongés profitant d'un aérodynamisme parfait et empoisonné avec du sang d'araignée. Mon premier opposant le reçu en plein dans l'oeil, le deuxième, dans les bijoux de famille et le troisième dans l'articulation de l'épaule. Ensuite, je me projetai vers l'arrière en effectuant un double saut périlleux arrière. Une fois les pieds à nouveau sur le sol, je me saisis de ma poudre magique. Faites d'un savant mélange d'herbe, elle produisait une lumière aveuglante en réaction à un grand choc. Je la jetai vers le sol. L'éclair lumineux déstabilisa mes adversaires assez longtemps pour me permettre de plonger sur le côté dans un tapis de feuilles mortes. Je me camouflai. Une hystérie collective s'empara du groupe. Mis à part le premier qui était mort sur le coup, mes deux autres cibles se tordaient sur le sol dans une douloureuse agonie qui les mènerait indubitablement à leur mort, le tout sous le regard impuissant de leurs comparses. Criant de rage, ils s'élancèrent en bandes désorganisées à ma recherche. De ma cachette, je ne pouvais qu'apprécier la tournure des événements. L'un des brigands, le plus gros et fort probablement le chef, quoiqu'il n'existe aucun moyen aujourd'hui pour en être certain, resta en arrière pour défendre la caverne. Il était suffisamment loin de tout obstacle pour que je ne puisse le surprendre par-derrière. Aussi, pris-je la décision de l'affronter. D'un bond, je me relevai en saisissant ma dague de ma main droite et mon sabre de la gauche. En guerrier expérimenté, mon adversaire se saisit de sa hache de combat. Elle devait faire deux bons mètres... mais devait être assez lente à manier. Je me servis de cet avantage à souhait. Ne lui laissant pas le temps d'appeler du renfort, je le chargeai. Je fis une feinte vers son ventre de mon sabre pour occuper sa hache, mais à la dernière minute, je pivotai sur la gauche et lui enfonça ma dague dans le bras droit. Au niveau de l'artère. Le gaillard tenta de riposter d'un coup vertical. J'évitai facilement en roulant sur ma droite ce qui me laissa le loisir de faire danser mon sabre autour de sa jambe gauche. Un cri de douleur... Sublime son pour tout assassin... Puis, vint la rage. Poussé par un accès de rage et d'adrénaline, le gredin enchaîna les coups verticaux et latéraux. Je virevoltais avec aise autour de ses coups récompensant chacun par une nouvelle blessure au bras ou aux jambes. Rapidement, la rage laissa place à la panique, à la peur, la mort sonnait son glas funèbre. J'entamai ma danse sous son chant impérial. Je me reculai de trois pas, lui tenta de prendre la fuite vers la forêt, vers ses compères, vers une illusion de sécurité. Je le laissai partir. Ses deux artères brachiales et ses deux artères circulant dans ses jambes avaient été sectionnées. La mort le trouverait par elle seule. Le son de la bataille rameuta les survivants. Je tourbillonnai sur moi-même avec mes deux lames tendues. Le bouillon de sang qui m'éclaboussa me rendit vite compte de l'état de la situation... Cinq autres âmes pour toi OH! Ma toute belle... Un coup de pied fouetté en atteint un autre au niveau de la tête. Je lançai un murmure d'extase face au son sublime du craquement osseux qui s'en suivit. Le démon noir... tel était le surnom que l'on me donna. Le flottement dans les rangs adverses me donna le temps de mettre en œuvre la touche finale. D'un saut, je pris ma pochette contenant ma poudre éblouissante et la lançai à terre. Lorsque la clarté s'estompa... J’avais disparu... comme j'étais venu. Mais pas comme je l'avais espéré. C'est un homme que je ne connaissais que trop bien, de renommer. Cet homme que l'on surnomme "Crusher" est réputer pour ses méthodes de mise à mort. Il adorait traquer les assassins pour leurs prouvaient leurs amateurisme. Je me demandais comment était-ce possible qu'il m'ait pister jusque là. IL avait attendu un moment d'inattention pour me surprendre. Cette ombre qui survient au moment on l'on oublie même notre existence, c'est l'exécution de la mise à mort. C'est à ce moment qu'il attaque. Mes bras ce délogèrent de leurs articulations tandis que mes tendons d'Achille se sectionner. Ma vue me quitta suivis de mon ouïe et de mon odorat. Criant comme un perdu je découvris l'autre coter du miroir là où j'emmenais mes proies aux mains de leur maitresse. Crusher hait les hurlements, ce qui parait étrange venant d'un assassin. Mais lui, faisait dans l'invisible. Personne, en dehors du milieu, ne connait sa vocation. Le temps d'une seconde on disparait de la surface de la terre découpait, broyer, concasser ou même calciné. C'est découpé que j'ai commencé et broyé que j'ai fini. Mon corps ne ressemblait plus, ni à un homme ni a rien d'autres , je faisais plus penser à une marre de chair informe. Cet homme qui n'existe que dans des légendes de mercenaires saoul, partit sans laisser de traces. Un assassin qui se fait tuer par un assassin. Lequel est bon lequel est mauvais; En tout cas, Crusher, lui n'a jamais tué d'innocents. Voulant changer et devenir quelqu'un de plus reconnu et admirer il tenta sa chance dans un ordre de la chevalerie. Voilà, en espérant être retenu. Merci d'avoir lu. By Exl34 Fait moi confiance Loulou68
  12. Alors, me voilà. Je vous renvoie à ma candidature au rang de paysan pour ma vie (OSEF) et le début du RP de mon perso. viewtopic.php?f=21&t=1432 Je poste ici avec l'envie de m'investir beaucoup plus dans cette communauté et d'emménager dans Azur. J'ai visité la ville vers l'épisode 6 du Fanta Show (le mec qui fait peur) et c'est depuis que j'ai eu l'envie de m'installer. Je sais le sérieux que ce rang requiert; C'est donc avec sérieux que je postule au rang de voyageur. J'ai déjà acheté 180jours de jeu, j'ai donc l'ambition de jouer tous les jours pendant au moins 1 an. Ceci prouve mon attachement envers toutes ses personnes qui font vivre une même passion qui nous anime dans la créativité. "Pourquoi je devrais devenir voyageur ?" Car je veux m'investir physiquement et émotionnellement et que le rang paysan ne suffira pas. J'ai peut-être une surestime de moi, mais je sais que je suis capable de tout pour devenir l'un des meilleurs et des plus reconnus des citoyens de Azur. "Pourquoi azur ?" Pour l'amour de l'art ! Bob et son équipe ont un sens artistique que j'admire. Rien que pour le plaisir des yeux cette ville surpasse de loin les autres. Bon, j'ai parlé le plus franchement du monde, je passe alors à la suite de mon histoire. Peu intéressante, je vous l'accorde, mais je suis largement meilleur dans des RP de guerre d'heroic fantasy. Un homme apparût alors, venant de la droite et marchant d'un pas nonchalant, aristocratique. Il vint regarder par-dessus son épaule, un sourcil plus haut que l'autre. Il dit alors: "Bonjour et bienvenue à Minefield !" Le début de la liberté Quelques années s'étaient écoulés depuis le temps où Crusher avait découvert Minefield. Il se débrouillait pour subvenir à ses besoins, il n'avait pas trouvé un petit boulot, non ! Il chassait, pêchait, cueillait, un véritable retour à la nature. Là au moins, il ne dépendait d'aucun humain, il avait sa liberté. Les arbres, les poules, les rivières, voilà ce qu'il côtoyait, des âmes pures. Il aurait très bien pu continuer à vivre de la sorte durant encore quelques décennies, mais un évènement vint chambouler la vie calme de Crusher. Alors, qu'il poursuivait un cochon pour le souper du soir, la brume s'était levée en cette douce soirée et progressait lentement sur l'herbe verte de la plaine, se déployant de plus en plus vers la forêt. Opaque, mouvante, elle laissait cependant percevoir, au-delà de son premier rideau, une lueur flamboyante. Cette lumière sortait peu à peu du brouillard, à moins que ce ne soit ce dernier qui se dissipa autour de lui laissant apparaître des torches. Il se désintéressa de l'animal pour aller voir de plus prêt ce que faisaient ces torches dans cette grotte. Les Ombres jouaient de leurs mouvements sur les parois rocheuse de cette grotte. On pouvait entendre les respires de millier d'être vivant, sans même les voir. Suivant les parois éclairer, Crusher ce retrouva dans un immense couloir creusé à même la roche. Un bruit sourd se tenait à son bout. Il décida de partir à sa rencontre. Ses pas résonnaient tel des tambours dans l'écho de son chemin. Le bruit s'amplifier un brouhaha incessant. Soudain, une viscosité tomba sur son crane, il leva les yeux pour constater une masse d'argile qui dégoulinait au plafond. Il toucha du doigt l'argile, elle était brulante. Une source de chaleur extrême se trouver au-dessus de lui. Pourtant, l'argile ne se trouve que dans des milieux humide. Crusher compris alors que le bruit qu'il entendait était l'océan qui se trouvait de l'autre coter de la roche. Mais au vu de la chaleur dégager par cette argile, il en déduit également que du magma se trouver au-dessus de lui. Crusher continua son chemin à travers le couloir qui semblait sans fin. Une fois au bout une bruine humidifié la peau de Crusher. Celle-ci provoquai par la cascade qui se finissait dans un lac souterrain situé plus en profondeur. Il regarda d'où provenait l'eau et fut surpris par cet énorme trou qui lui offrait une vu magnifique sur le ciel. Ni une ni deux il s'accrocha à la falaise formé par le gouffre et l'escalada. Après plus d'une heure d'efforts Crusher atteignit la surface. C'est en bordure de mer qu'il se tenait. Il observa les alentour et regarda à l'horizon. C'est alors qu'au loin dans la mer, apparu devant lui, un immense phare. Voyant des arbres non loin de la berge, Crusher les abattus et construisit un bateau. La mer était enragée ce jour-là, même les nuages semblaient fuir la mer. Son bateau s'écrasa contre un rocher dissimulé par les vagues. Il dériva et tomba dans l'inconscience. Le lendemain, il se réveilla au pied du phare. Le destin l'aurait-il guidait à ce symbole d'espoir ?! Admirant l'architecture du phare il remarqua une statue poster non loin sur une ridicule ile. Et c'est là qu'il s'apperçu de cette ville magnifique qui se posté à quelques mètres de lui sur la terre. IL nagea jusqu'à la côte, et ce reposa sur le sol. S'émerveillant devant tant de beauté architectural et de charisme que dégageai cette ville. Il vu alors passé un homme aux cheveux long noué en "queue de cheval". Arborant un phoenix sur le dos. Crusher ce releva pour partir à sa rencontre. "Hé ! Vous ! Où est-ce que je me trouve" L'homme, étonnais, ce retourna. " Oh.. Bienvenue ! Vous étes à la nouvelle azure !" L'homme s'avança et tandis la main. "Enchanté, je suis Bob Lennon. Maire de cette ville." Crusher était complètement perdu, il mit un temps avant de réagir et de lui serait la main. "Je suis perdu, j'avais une maison sur une colline à l'autre bout de l'océan, personne n'y vivait." "Ne vous inquiéter pas, si vous avez des pièces d'argent vous pourrez acheter une maison ici. Mais il vous en fondra un assez grand nombres." Crusher n'ayant aucunement l'utilité de monnaie sur son ile solitaire, il n'en avait qu'une centaine en tout et pour tout. "Je n'ai que 100 pièces" "Vous n'avez qu'a récupéré des ressources et les revendre aux habitants vous gagnerez quelques pièces." Un sourire ce dessina sur le visage de Crusher. "Bonne idée j'y vais de ce pas, mais avant j'aimerais visiter cette ville." "Sa tombe bien ! L'un de nos habitants vient de réaliser un reportage pour la gazette de Minefield. Vous n'avez qu'à lire et regardez par vous-même les endroits qui vous intéresse." Bob Lennon tendis un exemplaire de la gazette à Crusher. "Merci, je vous souhaite une bonne journée." "De même. Bob retourna à ses occupations tandis que Crusher s'en allais visiter la ville. Le soleil se trouve à son zénith quand il finit la visite. Il partit dans la forêt derrière la montagne au nord pour trouer des ressource à vendre et engranger un capitale suffisant à l'achat d'une demeure. Les hommes ont longtemps cherchés à connaître l'idéal de l'esthétisme. Peut importe la base des arts pratiqués, tous reflètent la passion, l'attention, l'amour et surtout la véritable beauté de l'artiste. Les architectures des mythologies grec font souvent référence aux paysages naturels, dont les couleurs verdâtres signifient, en soient, une culture et un héritage de haute importance. Dont la richesse architecturale fut protégé pendant de nombreux siècles par les hommes, signifiant que celles-ci formaient le joyau de générations entières. Qu'est-ce qu'un idéal après tout ? N'est-ce pas un terme d'une extrême relativité ? Quelqu'un peut travailler une vie entière à la production d'un acte finale et en être entièrement fier, alors qu'un autre pourrait produire celle-ci en quelques semaines pour enfin l'abandonner au fond d'une rivière. L'art reste un choix, une décision et surtout une manière d'extirper les sentiments que nous pouvons exprimer. C'est avec cet idéal que j'ai envie de m'installer à azure et devenir un Citoyen de cette communauté riche en caractère. évolution de mon skin: vagabond------>paysan
  13. Merci infiniment ! Je me suis déjà renseigner et j'ai déjà lu toutes les règles et les attributs des différent rangs. Je veut m'investir au maximum et essayais de vous soutenir dans ce travail de tout les jours. J'ai déjà vu la construction de serveur plus complexe (illégaux, serveur privé) de WoW et de Perfect World. Et je comprend tout à fait la difficulté de gestion que cela comporte. J'admire également votre ponctualité à répondre au candidature. J'attend de voir si je passe paysan pour donner ma contribution au serveur et tenter de monter en grade. Un euro c'est pas grand chose pour ce que vous faites. Je trouve sa extrêmement raisonnable comme système. Sur ce, bonne journée. Je remercie encore Gabydunet sans qui je n'aurai jamais connu ce jeu magnifique.
  14. Pseudo - Ingame/Forum : Ingame:armonica007 Forum:Crusher Âge : J'ai 17 ans. Comment avez-vous connus Minecraft ? : Je l'ai découverts par pur hasard. Je surfer sur youtube et je suis tomber sur une vidéo de Fantasio, et j'ai adoré ! ^^ Comment avez-vous connus Minefield ? : Fantasio en a parler dans une de ses vidéos et il a montrer des serveurs multi. Je me suis dis "faut que je me l'achète", le solo c'est bien, le multi c'est mieux ^^ Depuis combien de temps êtes vous sur Minecraft ? : Depuis le lancement de la béta. Vos créations sur Minecraft -En Solo : Oula ! J'ai regarder des tonnes de tutos et je les ai tous reproduits. ^^ Ça vas de la villa au bord de mer, au chalet de montagne, la grotte "loot & farm", la cascade de lave surplombant celle d'eau, des circuit de minecar etc.. Il y a qu'un truc que j'ai rien capter c'est les circuit complexe de redstone. -En Multi : Aucune expérience, je viens juste d'acheter le jeu. -Images de vos créations : Voici ma spécialité, l'obsidienne. J'ai mit plus de 5 jours à faire la base d'obsi et de lave et à mettre tout les alentour à niveau. Après, j'ai fait une échelle qui monte jusqu'au sommet de la map. avec une énorme maison de 40 sur 50 et de prés de 30 de hauteur avec plateforme vitré pour voir le motif de lave. (j'ai pas encore fait l'intérieur. Et j'ai modifier les texture aussi) Vos projets pour le multi : J'avais comme idée de proposer un système de "Factions" "Bon" et "Mauvais" avec une cité Ange d'un coter et une démon de l'autre. Chaque zone aurai leur architecture et leur ressource propre. Exemple: En enfer tout ce qui est minerai et coter ange tout ce qui est nature. Je rêve, mais je voyais bien un système de PNJ et de quête grâce au nouveau MOD dispo sur minecraft.fr. Peut être même un système de guerre entre factions. (enfin je reste réaliste, je suis pas programmateur) Sinon juste les deux cité ange et démons, on leur donnerai un nom à chacune. Je suis pas admin, je peut pas mettre sa en place comme sa; Donc j'ai envie de m'investir à fond pour réaliser ce projet titanesque qui est de transformer minecraft en MMO. Connaissez-vous des gens sur Minefield ? Personne, mais j'adore mais j'adore faire connaissance. ^^ Es-tu déjà aller sur un serveur multi. Si oui, lequel ? Aucun, c'est mon tout premier. Présentation irl : Voilà, alors je met le tableau: Gros métaleux bourrin ! J'adore les mangas, pas les truc genre naruto, bleach etc ... plutôt les bon vieux BERSERK et les Sun Ken Rock (tout deux +16). Avec plus de 500 et quelques mangas dans ma bedroom (Hé Hé, multilingue avec sa) Je peut me vanter d'être un put*** de fan. Au niveau vidéo-ludique je suis pas en reste. Street fighter II, premier jeu. Je continue sur ma lancé avec Mortal kombat.(qui ma donner mon gout pour le gore) Sinon actuellement je suis a fond sur minecraft et rappelz. J'ai également une Xbox360 sur laquelle je m'éclate en forge sur halo reach et en butant du ricain sur black ops. Niveau étude j'ai arrêter en 5 éme me disant "je serai mieux à faire les cours a domicile, au moins je pourrai faire le No-life". Une fois mes 16 ans en poche je me dis "tient si je me trouver du fric" Je décide alors de faire un CAP en boucherie. (on en revient à Mortal Kombat ^^) Alors oui c'est bien beau de trancher dans d'la bidoche mais avoir un patron sur l'dos c'est pas l'top. Allez hop, je vais bosser avec mon pére ! Et c'est partie pour étre éleveur bovin-viande (on reste dans l'théme) Au moin j'ai pas de contrainte j'organise mon travail comme sa m'chante et en plus je travail chez moi. Par contre c'est au niveau temps libre que sa cogne un peu. Agriculteur c'est tout les jours, les vaches faut que sa mange ! Mais sa me permet quand mémé de jouer à minecraft 6 heure par jour. "Bon, c'est bien beau sa mais sinon ta pas un truc plus intéressant que ta vie a nous raconter." A sa je répond, "Si ! Écoutez moi bien ! Oui, vous, les rôliste." J'ai étais administrateur de plus d'une vingtaine de forums de RP. Je faisai plus de 20 pages par jours de RP. J'aurai méme pu faire un roman rien qu'avec l'histoire de Masashi Kumoketsu "Le nuage ensanglanté" qui comporter plus de 40 pages ren que pour le chapitre "Prophétie". Vous l'aurais surement remarquer depuis bien longtemps, mais j'adore écrire au clavier. Pire j'aime encore plus forger, éditer , crafter.. appeler sa comme vous voulez mais j'adore construire (mes lego s'en rappels ^^) On ce rejoint plus bas pour une intro de RP. Rp - Votre personnage : •La fin de ma vie et le début d'une autre.• Depuis son enfance, il avait vécu beaucoup de choses, allant de l’amour pour une femme, à la terreur d’être encerclé par des Creeper. La vie étant ce qu’elle est, il a, tout comme son père avant lui, cultivé une terre vierge, élevé ses enfants dans la terreur certaine d’être un jour tué par l’une de ses créatures incontrôlables qui sévissaient la nuit. Car il n’y avait nulle loi, nul roi qui pourrait empêcher ses monstres de tuer. Il espérait qu’un jour, un grand seigneur viendrait pour les protéger, lui, sa famille et ses compatriotes. Les années passèrent, la trentaine approchait, et il désespérait de plus en plus. Ici dans cet aride désert on ne vit pas, on survit. Nous perdons tout ce qui nous est cher. Maintenant, tout espoir est anéanti. Les naufragé ont trouvé refuge à travers les infinies étendues de sable.On pensait cet endroit prospère il se révèle abominable. Toute vie humaine périra un jour ou l’autre, c’est évident. Mais pas ici, pas comme cela; Plutôt sauter dans de la lave. Je n’ose plus sortir ni regarder par la fenêtre. J’ai peur de ce qui pourrait se tenir devant moi, quelque carnage peut-être. Plus personne n’a de quoi vivre pénurie de nourriture, pénurie de ressources, d'outil... Tout le monde connaît son sort : périr. Le manque se resserre sur nous comme un étau Morose, j’aventure mon regard au dehors, il fallait s’y attendre, nous finirons tous ainsi; On transporte un nouveau corps, blanc, immobile, dénué de vie. Un râle au loin se fait entendre. Cri de désespoir, cri de douleur, une âme de plus vient de se faire prendre. A son zénith, le soleil brille, éclaire impassible dans le ciel. Devant la frénésie qui ravage nos terres. Lui qui est source de vie, source d’espoir. On se meurt, on ne peut croire que tout s’arrangera d’un bloc. Promesses tenues, promesses perdues, promesses espérées, promesses réalisées. Vie en décadence, vie vécue.On s’y accroche, le lien fini par se briser. Abandonnés dans les déserts du monde, on ne pense plus à ces pauvres naufragé Qui ne cherchent à présent que le repos. Ils sont oubliés, meurent sans dernière pensée. Aucune âme qui vive, aussi insensée soit-elle, ne sort pas, quoi qu’il arrive. Mais je le sens, on m’appelle. C’est à la fois sage et puissant, doté d’incomparables capacités Il peut mette fin à notre misère en un instant, c’est pour cela que je dois le rencontrer. Peut m’importe, je me rends. Je ne sais où, sans que les choses ne se corsent. Mes jambes avancent seules, je ne suis plus maître de moi-même. Elles me transportent comme un animal avec ses petits dans sa gueule. Peu à peu, je me sens devenir blême. Derrière moi, le village est caché par le sable qui partout tournoie. Il ne me reste qu’à continuer. J’avance, j’ai peur toutefois. Ma vieille carcasse supporte mal le rythme soutenu auquel je progresse. Mais je continue tant bien que mal. Quand soudain, tout cela cesse.Je tombe à terre, les mains enfouies dans le sable chaud,ne me relève pas. Je préfère attendre et écouter les échos de ma vie passer. Une voix me dit de me lever,me tend la main. Dois-je l’accepter ou bien refuser ? Quoi qu’il advienne, je suivrai mon chemin. J’attrape d’un geste vif la main de cet inconnu. Est-ce lui qui s’est montré si persuasif et m’a donné une force que je n’avais jamais connue ? Vêtu d’une ample cape noire il m’apparaît mystérieux. Mais il le faut, je veux le voir et lui parler sur un ton sérieux. Il ôte sa capuche, dévoile sa figure,une imposante chevelure noir qui parmi nous ferait parjure. Tout comme sa très pale peau ferait fuir du monde. Malgré cela, la noirceur de son regard attire toute mon attention sur ce curieux personnage. Le vent se lève, il se fait tard, on ne reste pas si longtemps debout à mon âge. Ses yeux si vivants pétillent, comme je n’en avais jamais vu auparavant. Ils luisent, scintillent, je reste coi, j’attends. D’une voix calme et sage, il m’adresse la parole. Je sens se raviver en moi une part de courage je sais que je dois jouer un rôle. Il exhala alors ce qui ressemblait à un soupir et releva sa capuche. C'est alors qu'il m'informa de son nom, résonant comme un déchirement, Crusher. Un nom qui en dis long sur son caractère. Je lui demande de me venir en aide ainsi qu'a mon village. C'est avec un grand sourire qu'il me refusa tout aide de sa par. Énervé et surpris de cette réponse, je poussa une gueulante. Rien n'y fait Crusher reste immobile, le regard plongeant dans mon âme. "Je ne suis pas là pour aider les autres." Qu'il me dis. "Je survie !" Je compris alors que c'était l'un de ses naufragé qui s'était aventuré dans le désert. Il me demanda plutôt de l'aider à finir la construction de son abri non loin de là. Voyant une lueur au loin il m'explique que c'est un repaire pour éviter de ce perdre. Une fois sur place, je constata que son abri était bien organiser. il manquer seulement de solidité. Je lui conseilla d'aller chercher du fer en profondeur. C'est ainsi que quatre ans plus tard on ce retrouve au fond d'une grotte étrange recouverte de pierre verdis par la mousse engendré par l'humidité de l'air. "Pourquoi de la pierre travailler dans de tel profondeur ?" Me dirai vous; Car il y à de la vie dans cette endroits insolite ou nul vie ne pourrai si développer. Équiper de nos pioches en fer et de notre épée, on craint de tout perdre à cause d'une mauvaise rencontre. Nous décidâmes de partir. Un imprévu surgit devant nous, une cage bleuté, flamboyant tel un soleil ce dressait devant nous. Soudain, apparu un être entourer d'une lueur obscure,, nous envoya dans, ce que l'on nommera dans un futur proche, le Nether. Tout semblé être fait de chair humaine et de sang coaguler. des énorme dirigeable blanc semblable à des fantômes tacheter le plafond de cette immense caverne. L'homme qui nous à transporter dans ce monde réapparu devant nous. Il nous dit alors d'une voix mortuaire, "Si vous voulez retourner dans votre monde vous devrez nous obéir." Crusher refusa net sa proposition. Quand à moi je lui demanda ce qu'il voulait de nous. Il nous demanda de le suivre. C'est alors que je vit en contrebas de la jeter sur laquel nous nous tenions, Des hommes tentaient de récupérer un minerai jaunâtre accrocher au plafond. "Vous devrez collecter ce minerai pour nous. Et dans une dixaine d'années vous serez libre." Le grincement de dents de Crusher en disait long.On avais pas le choix, alors on c'est exécuter. Tel une prison nous avions des tenus identique avec chacun un numéro au dos. Je portais le numéro huit et Crusher le neuf. Les années passèrent, notre vie avec. Au bout de la dixième année, il nous ont dis. "Nous avons eux ce que nous voulions, vous êtes libres." Des cris de joies pouvais s'entendre dans l'écho de la caverne jusqu'au moment ou: "Mais vous devrez vous entre tuez si vous voulez sortir. Le dernier debout sera libre." L'étonnement et la tension se ressentait dans l'air. "Pourquoi me demandez-vous ?! Car il n'y à qu'un seul passage et que seul une personne peut passer. Nous, nous avons d'autre moyens, pour vous c'est le seul." C'est à ce moment là que je compris que ce n'était pas le hasard qui nous avez fait nous rencontrez et tomber dans cette endroit. Car c'est à ce moment que Crusher sauta sur l'homme pour lui arracher la gorge avec ses dents. Sa ne servit à rien car ses être sont immortel. Ils capturèrent Crusher pour l'envoyait au fond d'un trou équiper d'une muselière. "Vous avez un mois pour vous préparez, après vous devrez combattre." Les semaines passèrent et Crusher s'entrainer dans sont trou et ce muscler de jours en jours. La fin du mois arriva nous nous étions tous entrainer. Cela na servit à rien, au moment ou ils ont relâcher Crusher, j'ai sentit la terre frissonner a tel point sont désire de meurtre et de survie était grande. Je ne le reconnaissais plus, cette personne ressemblant plus à une créature de la nuit qu'a un homme, cette "chose" indéfinissable qui semblait être né pour tuez. Que c'est il bien passer dans ce trou ? Je ne l'ai jamais su. Il donnèrent le départ, en un battement de cœur tout le monde s'entre-tuez. Des membres volez, le sang giclez. En moin de deux il ne restez que cinq homme debout . Parmi lesquels, moi et Crusher. L'un deux attaqua Crusher, il répliqua avec un coup de tète dans le sternum, lui coupant le souffle le temps que Crusher lui arrache la jugulaire à main nue. Les deux autres s'entre tuèrent à coup de poings. L'heure fatidique à sonné Crusher s'avance vers moi, je n'avais qu'une craintes, c'était d'être seul avec lui. "Tu ne veut pas que je te tue ?! Alors tue moi avant !" Ceci sont les dernier mots que j'entendis. Cette histoire n'est pas fini, car le principal reste la survie de Crusher. Il le libérèrent et il ce retrouva dans un nouveau monde totalement inconnu. La peau de ses joues devait être encore plus sèche que le sables sur lequel il marchait, son crâne lisse faisait penser à celui d'un squelette et au-dessus de son nez décharné aux cavités béantes, on distinguait une lueur rouge là où aurait dû être ses pupilles. Il n'avait rien d'un homme, c'était une créature, un mort-vivant. Avec un instinct devenue primaire il observer cette plage d'un air surpris, voyant des arbres au loin.Tout à coup, un homme apparût alors, venant de la droite et marchant d'un pas nonchalant, aristocratique. Il vint regarder par dessus son épaule, un sourcil plus haut que l'autre. Il dit alors: "Bonjour et bienvenue à Minefield !" Dsl pour les fautes de grammaires, je suis super nul là dedans. J'admire votre engouement et votre professionnalisme quand à l'organisation du serveur et a sont bien être, franchement, chapeau !
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