Bonjour a tous je m’appelle sang78200 IG je joue à minecraft depuis décembre et j'ai fais de très belle construction sans screen malheureusement ne sachant pas la touche.
IRL je m'appelle Evan
J'ai 14 ans je les est eu le 22 juillet
j'adore le sport la musique l'ordi tout le monde sans doute...
je suis aller sur d'autre serveur sans voir des joueur avec du fairplay sans entraide (c’était moche a voir).
je veux aller sur minefield pour pouvoir discuter construire et surtout m'amuser sans être insulter.
Maintenant ce que je déteste le Rp:
Des flammes, des cris, un étrange bruit venu de nulle part, une lumière bleutée qui disparait aussi rapidement qu'elle est arrivée, puis le chaos. Au milieu d'Apocalypse, je n'ai plus aucun souvenir.
Après avoir perdu connaissance, je me suis réveillé au milieu d'une plaine qui semble avoir été épargnée par la guerre.
Comment suis-je arrivé ici? Je l'ignore. Dans ma poche un petit carnet illisible annoté dans une langue que je suis incapable de lire.
A ma ceinture, une épée particulièrement ancienne et pourtant forgée dans un métal qui semble venir du futur.
Dans une ville, un vendeur m'a regardé comme si je venais d'ailleurs. A la vue de l'arme, il n'a cessé de répété que cela n'était pas possible, qu'elle n'existait pas. J'ai cru que j'étais encore tombé sur un fou, marqué par la guerre.
Plus tard, lorsque je suis revenu dans cette même cité, une femme en larme m'avoua que javais prit pars a la guerre et que je me nommais sang78200 qu'il avait disparu. Hurlant de rage, l'homme serait parti durant la nuit ne cessant de répéter que ce qui n'avait été pas encore forgé, ne pouvait avoir vécu. Suis-je une erreur du temps ? Un paradoxe projeté à une époque de grande peine ?
A mi chemin entre le passé et le futur, je me retrouve dans un présent qui m'est étranger. Mon instinct de survie m'a poussé à rejoindre des mercenaires qui m'ont accueilli comme si j'étais des leurs depuis de nombreuses années.
Parfois, il se rit de moi en me traitant d'originale. Autant leur donner raison, j'ai choisi de m'établir dans une maison sur pilotis au milieu d'une ville de sable.
Pourtant lorsque l'heure de se battre arrive, l'humour fait place au respect. Sous mes aspects d'homme de science, je manie l'épée avec la rage du désespoir, comme si j'avais perdu toute ma famille, mais aussi tous ceux de mon espèce. Parfois je me plais à ne pas vouloir retrouver la mémoire, je ne sais pas si j'aurai le courage de faire face à la vérité.
J'ai lue et j'accepte les règles.
