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Alderney

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    Magenyard
  1. Bonjour, si je suis ici, c'est afin, comme le nom l'indique, d'accéder au rang social de citoyen. Avant d'ajouter quoi que ce soit, je met ici le lien vers ma candidature de paysans, où le début de mon rp se trouve. http://www.minefield.fr/forum/post89685.html?hilit=magenyard#p89685 A propos de moi donc,je m'appelle Julien, j'ai 16 ans, je vis actuellement a Paris, et j'entre prochainement en 1ère ES . Cela fait maintenant 1 mois et demi que je suis sur minefield (depuis le 10 Mai en faite), et je me sens très bien sur ce serveur, et bien accueilli par ceux a qui j'ai eu l'occasion de parler. A propos de moi dans le jeu maintenant: Depuis que ma candidature de paysans a été accepter, j'ai parcourus les terres de Stendel et ai finalement été accueillis dans la ville de Boréalis, où j'ai à présent emménagé. Mon nom en jeu: Magenyard Mon pseudo sur le site: Alderney A présent les construction auxquelles j'ai participé: Ma maison vu de devant L'intérieur du rez-de-chaussé Encore le rez-de-chaussé Le sous-sol aménagé Encore le sous-sol Voici le toit d'un projet auquel j'ai participé, visant a augmenter la production de divers plantes ou autres pour Boréalis. Ici des cactus 1er sous-sol, ou sera récolté blé, malte,... 1er sous-sol encore, on peut voir les rampes de torche visant a remplacer la lumière naturelle. 2ème sous-sol, ici sont récoltés les champignon, grace a un ingénieu système visant a les faire se propager. Il y a 4 rangés de ce genre dans ce sous-sol, je n'en montre qu'une puisque les trois autres sont semblables. Ma maison se trouve sur Stendel, le projet lui, sur Nimps. Et pour finir ma candidature, voici la suite de mon rp, achevé aujourd'hui même: Le lendemain de mon acceptation dans les rangs de paysans de ces terres, je fis la connaissance d’un personnage pour le moins étrange : un nain. D’après ce que j’avais entendu dire, les nains sur (ou plutôt dans) ces terres, aimaient beaucoup les galeries interminables dans la roche, ainsi que tout les métaux précieux que renfermaient les profondeurs des entrailles du monde. Pourtant ce nain ci n’avait que faire des minerais et de la pierre. Ce nain-ci aimait la verdure, le bois, et les jolies maison sans prétention. Ce nain ci, c’était Dafilus ! Je lui narrais mon histoire, ou plutôt les quelques semaines qui me revenaient en tête, et lui me narrait la sienne. Depuis l’age de 11 ans, Dafilus rêvait de quitter ses galeries. Il en avait souvent parlé a ses amis, sa famille, mais tous étaient abasourdie par ses paroles. Devant l’incompréhension de tous, il avait un jour quitté les siens pour tenter de trouver un endroit où il serait accueilli avec joie, et était finalement arrivé sur les terres de Stendel. Le soir même, nous trouvions une taverne et décidions de nous remplir le ventre comme jamais aucun de nous ne l’avait fait. Malheureusement durant cette nuit, je fus victime d’un malaise. Apparemment les effets de mon séjour dans les sous-sols étaient encore tres présent. Contraint de m’allonger, je fus donc mis au repos pour toute une semaine. Alors que je devais rester en ville, Dafilus parti en quête de son « Paradis », comme il nommait si bien l’endroit ou il voudrait un jour s’installer. Chaque soir il revenait en ville, me narrant ses découvertes, décrivant chaque construction, chaque habitant, chaque petite chose qui avait retenu son attention. Et puis un jour, il revint plus exciter que jamais. Il avait découvert ce fameux « Paradis » . C’était en faite une ville, ou plutôt une archipel sur laquel se trouvait une ville, du nom de Boréalis. Il me la décrivit du mieu qu’il le pouvait, puis m’expliqua comment m’y rendre, et m’annonça qu’il se rendrait la-bas dès demain, et que dès que je serai parfaitement rétabli, je pourrai le rejoindre. Trois jours passèrent avant que je ne puisse enfin quitter la ville. De nouveau libre de tout mouvement, je partais vers le Nord, en quête de Boréalis, l’archipel des Boréales. Un jour de marche, et je fus a destination, immédiatement accueilli par Dafilus, qui s’empressa de me présenter au maire Gloryflix. Apres une petite conversation sur qui j’étais, d’où je venais, on m’autorisa a loger dans un appartement. Durant deux semaines, je fis ce que je pouvais pour me rendre utile a la ville, et un jour, le maire me prit a part pour m’annoncer que j’étais officiellement accepté et que je pouvais dès a présent prendre mes affaires pour emménager dans une maison a part entière. C’était une petite maison, principalement en bois, dans laquelle j’étais déjà sur de me plaire. En voyant l’intérieur, je compris tout de même qu’un certain travail m’attendait pour la rendre de nouveau habitable. L’ancien propriétaire avait été du genre… négligent. Je remarquais rapidement qu’elle était plutôt bien placée dans la ville. Proche de la boulangerie et de la forge, mais surtout, proche de la future taverne de Dafilus, encore en construction. Je me dis que les soirs ou je serai complètement saoul, je n’aurai pas a marcher bien longtemps avant de rencontrer mon matelas, a condition bien sur de trouver la poignée de la porte… Merci d'avance a vous, et bonne journée
  2. Bien le bonjour, cela fait bientôt un mois que je suis inscrit sur le site de minefield, et une semaine que je parcours ses terres. Le serveur étant très plaisant, je me décide a soumettre ma candidature au rang de paysans. j'espère n'oublier aucun détail dans cette dernière. Description IRL: Prénom: Julien Age: 16 ans Localisation: Paris Caractère: Réservé, ambitieux mais modeste, peu rancunier, asser mature (encore heureux) Nom minecraft: Magenyard Nom sur le site minefiel: Alderney Au sujet des projets futurs: Je compte m'associer avec un ami pour créer un commerce stable et prospert une fois le rang adéquat atteint et la license acheté. (C'est pas très grandiose c'est vrai mais je découvre encore le serveur) Role-play: Cela fait déjà un bout de temps que je parcours les rues, à mendier ma nourriture pour survivre. Il n’en a pas toujours été ainsi (du moins c’est ce dont j’essaye de me convaincre). Il y a de cela une semaine, je me suis réveillé dans une caverne souterraine, seul, avec pour seul compagnie un mal de crâne atroce. Comment suis-je arrivé ici ? Je ne le sais pas moi-même. Mon dernier souvenir remonte à mon réveil dans cette caverne. Ce dont je me souviens, c’est que mon mal de tête persistait, et en tâtant mon crâne, je sentis une bosse. Peut-être avais-je été agressé, puis emprisonner sous terre. Je me souviens avoir cherché une sortie… en vain. Pris dans cette prison inconnue de tous, la panique m’a très vite gagné, mais le coup que j’avais reçut finit par avoir raison d’elle, et je m’évanouis. Lorsque je me réveillais, je pensais la fin toute proche, mais j’avais tort. Je me trouvais apparemment allongé dans un lit, dans une chambre. Je n’eus pas le temps de me demander ce que je faisais ici qu’un homme entrait dans la pièce et m’examinait. Après plusieurs minutes qui me parurent interminable, il s’assit et prit enfin la parole : - Comment vous sentez-vous ? -Plutôt bien, mais j’irai encore mieux lorsque je saurai ce que je fais ici. -Un mineur vous a retrouvé hier, dans les souterrains alors qu’il cherchait quelques banalités précieuses avec ses collègues. Vous étiez inconscient, mal en point et en sous-nutrition. Vous avez été remonter d’urgence et conduit dans mon cabinet. Cela remonte à deux jours. -Votre cabinet ? J’en conclus que vous êtes médecin. Comment vous appelez vous ? -Pour le moment c’est votre nom qui m’importe, et vos souvenirs. -Je me nomme Magenyard. En ce qui concerne mes souvenirs, le dernier remonte à mon réveil dans cette grotte. -Bon, j’imagine que votre mémoire reviendra progressivement. Ecoutez, maintenant que vous êtes réveiller et que vous tenez sur vos jambes, vous devez libérer cette chambre, d’autres en ont besoin. Je vais vous donner un peu d’argent. Vous êtes nouveau par ici, n’est-ce pas ? Je vous suggère vivement de rejoindre Nouvelle-Azur, et de demander un entretient qui vous permettra peut être de devenir un paysans de ces terres immenses -J’ai du mal à saisir mais je tacherai de comprendre en chemin, merci. Je pense n’avoir omis aucun détail, à présent vous connaissez tout ce qu’il reste de mon histoire, ainsi que le motif de ma présence ici. Le dernier mot vous revient.
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