Bonjour,
Présentation:
- Prénom: Cédric
- Pseudo: Ardios
- Age: 17 ans
- Localisation: France - Lorraine
- Situation: Lycée Génie de l'Électronique et Technique
- Hobbies: Soirées, jeux-vidéo, pratiquant la musculation à rythme régulier. Je joue également du synthétiseur depuis l'âge de 8 ans.
Mes disponibilités:
- Semaine: Assez aléatoire, tout dépend de mes études et de mon bon vouloir.
- Fin de semaine: Je serais dans 90% des cas sur mon ordinateur, ce qui laisse penser que je serais très présent sur minefield dans ces cas là.
Autres:
- Je possède un micro: Oui.
- J'ai un minimum d'ancienneté sur Minecraft: Oui, j'ai débuté minecraft en version "Bac à sable", et j'ai pu goûter aux "joies" de la version Alpha.
- Mes créations: Malheureusement je ne suis pas un grand fan de screenshot, ayant par le passé créé bons nombres de choses sur divers serveurs, anglophones pour la plupart.
Mes motivations à rejoindre le serveur Minefield:
- Pour tout vous dire, j'ai déjà eu affaire à bons nombres de serveurs francophones. Aucun ne m'a plu. Pourquoi? Manque de Roleplay, assurément. Mais le grief est également une peste qui ronge bons nombres de serveurs sur minecraft. M'étant bien renseigné à votre sujet, j'ai pu constater que votre politique était strict et sérieuse, en plus de ça, la mise en place d'un système économique est tout bonnement ce qu'il manquait à Minecraft pour en faire un excellent jeu! Également grand fan de l'époque médiéval, je ne peux que me réjouir de votre serveur, doté en plus de ça d'une histoire propre à lui même.
Histoire de mon personnage:
Dix siècles durant que la forteresse tiendra, jusqu'à la venue du fléau... J'allais alors, chevalier de l'écorce, sous les ordres de l'Empereur Keptus, devoir protéger les miens, en ce jour.
Ce jour là, j'allais regagner l'honneur de ma famille. Mais tout d'abord, laissez-moi vous compter mon récit... Mère avait donné de sa vie pour que je vienne au monde... Je ne sais rien d'elle, simplement qu'elle était belle et gracieuse. Elle avait servi à plusieurs reprises de modèle pour des peintres célèbres, comme Ral Mesoth... Père, était alors lieutenant sous les ordres de Sir Langoe. Nombreuses sont les batailles qu'il gagnait, il était un gouverneur d'armée de choix, descendant d'une noble famille de soldats. Mais le décès de sa bien aimée l'avait changé, à jamais... Alors qu'on le décrivait comme strict, droit, et bon, il allait petit à petit rentrer dans une spirale qui finira par causer sa perte. Ce jour là, il était saoul, tellement saoul qu'il ne savait même plus ce qu'il faisait. Il fallu trois hommes pour le maîtriser, et le ramener au cachot, le temps que l'on décide de la sentence qu'il allait subir. Le lendemain, il fut relevé de ses fonctions. Cela ne l'avais point attristé, il ne cessait de penser à mère, j'avais alors quatre ans, et je comprenais qu'il était triste... On le retrouva noyé, dans la mare de la place public.
J'étais alors orphelin, et été alors hébergé par un couple qui, ne pouvait malheureusement procréer. Ils me traitaient bien, très bien même, leur amour pour moi me rendait plus fort. C'est alors qu'aux alentours de mes treize ans, je repensais à l'honneur passée de ma famille. Je ne cessais de dire à Théos, mon père adoptif, que plus tard je rejoindrais l'armée pour regagner notre gloire perdue. Ce que je fis, cinq ans plus tard, je voyageai jusqu'en Messirond, contrée sous le règne de l'Empereur Keptus, et me présenta alors comme volontaire. J'étais gringalet, juste bon à "nourrir les mouches" me disait les autres soldats. Je ne me plaisais pas dans l'armée, j'étais rejeté de tous... Alors j'eus décidé d'utiliser les dernières pièces de mon héritage pour me faire recruter chez un des plus coûteux groupe de mercenaires de la région, mais également un des meilleurs; les Larnas. Là bas, ils m'acceptaient comme j'étais, et tout était bien sérieux que l'armée, chose que je n'aimais pas, mais je faisais avec. Ces nombreuses années en tant que mercenaire me dotèrent d'une expérience hors du commun, et j'avais fais connaître le groupe des Larnas dans tout le royaume, contre mon gré. Le groupe fut alors sectionné, les meilleurs d'entre nous avaient eu le prestige d'être désigné en tant que soldats dans l'armée, le Royaume manquant alors cruellement de militaires. J'allais alors prendre ma revanche sur le passé, sept ans plus tard, et finir ce que mon père n'avait pu.
J'avais participé à de nombreuses batailles, c'était quelque chose de fréquent dans le royaume. Mais j'avais su montrer ma valeur à plusieurs reprises, développant diverses tactiques pour vaincre l'ennemi lorsque cela semblait impossible. L'empereur m'attribua très bientôt le rang de Chevalier de l'Ecorce, qui était un des rangs les plus élevés dans la hiérarchie militaire que l'on pouvait attribuer à un étranger des terres. C'était en quelque sorte, mon âge d'or. J'avais alors ma propre armure, ma propre demeure, j'avais enfin réussi à faire quelque chose de ma vie. Les citoyens de la ville me considérait comme l'un des leurs, il en était de même pour moi.
C'est alors que le Fléau surgit d'outremer, surgissant de nul part, dévastant les contrées une par une. Quelle était cette folie? Autrefois Théos m'avait conté une vieille légende, parlant d'une armée ténébreuse, qui sortait des entrailles de la terre, tout les dix siècles... Jour pour jour, la Forteresse de Gastria fut achevée, et c'est là bas que se jouerait notre destinée...
"Aux armes !" les guerriers entiers du royaume étaient regroupés dans la forteresse, je retrouvai alors d'anciens camarades, qui avaient autrefois fait partie des Larnas. "Nous combattrons côte à côte aujourd'hui, le destin de tout un peuple... De notre peuple, est entre vos mains, soldats !" Ce fut les derniers mots de l'Empereur, puisse-t-il reposer en paix, à jamais.
Alors que le Fléau s'avançaient au loin, nous étions prêts... Aujourd'hui, j'allais regagner l'honneur de ma famille. La bataille fut rude, l'ennemi jaillissait de nul part, toujours plus nombreux... Nous perdions la bataille, l'Empereur le savait, je le voyais, brandissant sa lame écarlate... Il savait qu'il allait mourir, mais il ne cédait pas, non... Il n'a pas cédé. Alors que je le vis disparaitre dans la horde ennemi, j'ai su, que tout était perdu... J'allais mourir sans avoir regagner mon honneur passé... Je continuais à me battre vaillement, puis, ce fut le noir.
Je me réveillais, à l'arrière d'un calèche, un étrange homme barbu accueillit mon réveil en me lançant d'étranges grimaces :"Ohhh ! Il est réveillé ! Il est réveillé monseigneur !" , "Haha ! Je te l'avais dis Kornuse ! Il est comme son père ! Solide comme le roc ! Pardonne-moi, je ne me suis pas présenté, je suis Fendol, noble de New Stendel. J'ai connu ton père autrefois... Il était brave." Alors que je retrouvais mes esprits, il poursuivit : "... Je vais te ramener à la ville, je peux essayer de t'aider à reconstruire ta vie... Après tout ce qu'à fait ton père pour moi, je lui doit bien ça!" "Escusez-moi mais... Comment m'avez-vous trouvé?" "Tu as eu de la chance garçon ! Tu gisais à quelques mètres de la forteresse, baignant dans le ruisseau !" Ma chute avait dû me précipiter dans le ruisseau à proximité du fort, et le courant a fait le reste, je présume... "Tu étais de la bataille?" "Oui..." "Oh, navré pour ce qui c'est passé là bas..." Le reste du trajet fut plus calme, la bataille avait l'air d'avoir bouleversé Fendol, même s'il le cachait... Il devait en savoir plus que moi sur ce "Fléau". "Nous voilà au village !" Reprit alors Fendol. "Je vais t'emmener jusqu'au conseil, le gouverneur est un vieil ami à moi, je pense qu'il peut t'aider..." "Merci bien, monsieur Fendel" "Oh, pas de ça entre nous, appelle-moi Fend !"
La calèche se stoppa net, devant l'ambassade de New Stendel.
Garde: "Suivez moi, s'il vous plaît."
Thorgrin: "Bonjour, étranger ! Tu es certainement l'homme dont Fendel ne cesse de nous parler?"
Ardios: "Ma foi, fort bien monseigneur."
Spaceman: "Nous avons longuement étudié votre cas Ardios, vous semblez bon, mais vous sentez-vous capable de demeurer dans nos contrées sans que reproche vous soit fait?"
Ardios: "J'en suis capable, monseigneur."
Alors que l'on entendait des murmures dans la salle, un profond silence s'en suit, puis, les conseillers se levèrent...
- ....
Le sort de mon récit est entre vos mains à présent.