Tout d'abord bonjour !
Informations IRL :
J'ai 16 ans, je suis lycéen en seconde générale et j'aspire à passer en section scientifique,
j'habite à Paris.
Moi et Minecraft :
Je joue à minecraft depuis environ un mois, j'ai une plutôt bonne, bien qu'incomplète, connaissance du jeu et joue tout les jours au moins deux heures.
Je jouais la plupart du temps en solo, j'aime beaucoup me construire des habitations de types différents et aimerait ajouter à cela un univers RP et des personnes avec qui cohabiter.
Minefield :
J'ai visité votre serveur à maintes reprises et aimerai le rejoindre car je trouve l'architecture sublime et le jeu dans une large communauté plus qu'intéressant.
L'histoire de mon personnage :
J'ai 24 ans, et suis fils d'agriculteur, j'ai vécu dans le sud jusqu'à maintenant.
Dans mon pays, la guerre faisait rage. Elle a éclaté le jour de mes 21 ans, on en parlait beaucoup mais cela me paraissait lointain, en effet, je n'avais jamais vu aucun guerrier dans ma région depuis le début de cette guerre.
Tout se passait bien chez moi, ma soeur venait de se marier, elle allait partir pour la ville, mon père travaillait toujours à nos cultures, et, quant à ma mère elle vaquait à ses propres occupations, je ne lui parlais pas souvent. Notre situation économique était correcte et la saison chaude.
Un soir que nous étions à table, autour d'un succulent rôti de porc, mon père, qui finissait de ranger ses outils, entra en trombe dans la pièce et nous cria à ma mère ma soeur et moi d'aller nous cacher à la cave. Ma mère et ma soeur y coururent mais je restais là, je demandai des explications à mon père, mais il refusa de me répondre, et, entendant des bruits de pas dans la cour, me poussa dans le placard de l'entrée. 5 hommes entrèrent, en regardant par la fente de la serrure, je les reconnurent, je ne pouvais pas me tromper après le nombre de fois que Jean, mon voisin, me les avait décrit, c'était des soldats ennemis, je n'entendais pas ce qu'ils disaient, mais je les voyais, ils se dispersèrent dans la maison pendant que l'un d'eux tenait mon père. L'un deux revint avec ma soeur et ma mère. Ils mirent ma famille au grand complet à genoux, et leur coupèrent la tête, je ne pu supporter cet affreux spectacle, je courus hors de ma cachette, sorti de la maison, courus de toutes mes forces sur la route, avec les soldats à mes trousses, puis, une main m'agrippa, me souleva, puis plus rien.
Je me réveille, il fait jour, grand soleil et l'air est doux, j'ouvre les yeux, je suis sur un cheval, je lève la tête, un visage familier me sourit, c'est Jean, mon voisin, il me fait signe de regarder devant lui, je tourne la tête et émerveillé, j'aperçois une magnifique cité...
Merci,
Sachasai
