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[Accepté] "Grand pas le nain" par Golgothe3000


Golgothe3000
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Bonsoir bonjour messieurs les modérateurs et administrateurs.

 

 

Je Me présente, IRL mon p'tit nom c'est Maxime, et je suis fan absolu de Minecraft et du grand N. Je suis sur votre serveur depuis un peu moins d'un mois, et j'adore votre serveur, tout (ou presque) y est beau et la communauté et sympa. Je vais vous Exposer rapidement le pourquoi du pourquoi je veux devenir voyageur:

 

-Le bleu foncé c'est classe.

 

-J'ai toujours rêvé de monter une poule... non y'a pas de double sens pourquoi?

 

-J'aime rouler ma bosse, loin de la capital et de son air pollué! En plus les gens son pince sans rire je vous raconte pas...

 

Voilà, il y a peu de raison à dire vrai, parce que mon optique à long terme n'est pas vraiment de devenir voyageur, j'ambitionne de devenir marchand, et de me trimbaler avec mon barda dans toutes les villes et d'y faire mon marché. Et puis faut pas se mentir.... Pour faire du profit Muahahah, le capitalisme c'est bien mangez en!

 

 

Passage plutôt rapide je l'accorde, mais bon, Je voyais pas trop quoi ajouter... Ne voyez pas ça comme un manque de motivation, c'est juste que maintenant avec la révolution des fourches, qui est d'ailleurs une très bonne chose, ôtes pas mal d'attrait au poste de voyageur. Mais ça reste sympa d'avoir son nom en bleu sombre!

 

Je vais vous parlez un peu du projet dans lequel je me suis embringué. Je travail actuellement sur le chantier de la majestueuse et pharaonique cité naine de Galianör. Tout les jours je suis dessus et je me défonce pour que ça aboutisse, j'y ai ma maison, pas grande, mais ma maison. Je suis fier d'appartenir à cette petite communauté de cinglés décérébrés, et j'espère que ça va donner quelques choses de grand.

 

 

 

 

Maintenant, place au RP!

 

 

 

 

 

Je suis né nain dans de sombres montagnes loin des verts champs accueillants de Minefield. Un environnement rude et froid ou les nains luttent contre la nature et les gobelins pour survivre. Mes parents, deux membres de la castes des mineurs, m'ont inculqués les valeur de la mine, l'amour du minerai et le sens du devoir envers mes frère nain. Un jour, je devais avoir à peine 40 ans, l'un des amis de mon père vint nous annoncer qu'un coup de grisou avait eu raison de lui et de son équipe de mineurs. Ma mère et moi avons beaucoup pleuré, nous avons mis des semaines à nous en remettre. Suite à cela, nous sommes tombé dans le dénuement le plus total, Ma mère, atteinte d'un maladie respiratoire chronique ne pouvait travailler, et moi, je n'avais que 40 ans, pas l'age de travailler honnêtement en somme.

 

Je passais dix années terribles, dans le Thaig (ville naine) de notre clan, je faisais la manche dans la rue et ma mère officiait de temps en temps comme lavandière pour les nobles et leur familles. Très vite, la faim et le froid devinrent des amis proches. Au terme de ces dix années, ma mère mourut, de désespoir, de chagrin, de faim et de froid. Notre maison tombé en ruine me fut retiré, et je m'enfonçais encore plus dans la misère. Les repas devinrent de plus en plus maigre, et le froid de plus en plus mordant. Je touchais presque mes soixante ans, j'avais passé vingt ans dans les rues du Thaig de mes ancêtre, à faire la manche et à rapiner de ci de là une pomme ou une miche de pain.

 

Je touchais presque mes soixante ans, et au vu de ma réputation dans la cité, la majorité ne m'apporterais pas l'emploie. Je n'avais pas trente six solutions. La misère sur le Thaig de mes ancêtres, sans espoir de salut. ou le froid la solitude et l'oubli dans des terres étrangères, remplit d'humain... Mais un petit espoir de vivre mieux.

 

Je partais donc, vers le sud, avec dans ma besace un bout de fromage nain au lait de taupe, et un vieux quignon de pain rassis, dur comme de la pierre. Et pour unique arme, une hache de bucheron émoussé. Je parcourais le monde, les prairies ensoleillés et les forêt profondes de dizaines de contrées. Mes rencontres avec les humains étaient souvent peu amical, Les humains n'aiment qu'eux, les nains aussi. La plupart de mes haltes dans des villages finissaient en bagarre de taverne, en tabourets brisés et patron mort.

 

Malgré ces désagrément, je m'enrichis, et vit maintes merveilles, naturel ou érigées de la mains des hommes. Mais chaque fois Je repoussais le moment de l'installation, je me disais, je suis jeunes, je n'ai que 70, 80, ou 90 ans. Je passais mon chemin, laissant souvent derrière moi un ou deux bâtards, des dettes dans les cercles de jeux et des ardoises dans les tavernes.

 

Mes pérégrinations me menèrent finalement dans un lieu enchanteur, très peuplé, Mais remplit de construction magnifiques et massives comme peuvent les admirer les nains. Mes voyages avaient réussit, au fur et à mesure, a développés chez moi une sorte d'indulgence envers les humains, ces grands idiots nombriliste, qui n'était d'ailleurs différent de nous que par quelques dizaines de centimètres. Je décidais donc finalement de me poser, je touchais les 100 ans, l'age pour un nain de prendre femme, mine, et maison.

 

Quelques jours après mon, arrivé, alors que je faisait de la reconnaissance au sud ouest, de la contré, à la recherche de montagne ou installer ma mine. Je le vis, Le dragon de Galianör, gardien des porte. Je m'approchais lentement, bouche bée devant un ouvrage aussi titanesque. Une nain portant un madrier sur l'épaule sortit de la mine, et me fixa un instant.

 

« Désolé M'sieur, mais le chantier est interdit au visiteur, aussi nain soit il. »

 

Je restais un instant sans réagir, je pensais, Bon dieu c'est colossal, je veux vivre ici et maintenant.

Je ne pus dire qu'une chose entre deux suffocation sourde.

 

« Vous embauchez? »

 

 

Le Nain fixa le pauvre hère que j'étais.

 

 

« Suis moi bon-nain »

 

 

Cet ouvrier s'appelait Belaron, il m'accueillit gentiment, il me parla de la cité, de leurs chefs, nous descendions des escaliers, nous croisions d'autre, nain, il saluait joyeusement Belaron et moi, je découvrais les merveilles de la cité de Galianör que j'avais déjà adopté, La salle des pilier finit de me clouer le cœur au granit de ces montagnes, j'avais trouvé un chez moi.

 

Belaron me conduit jusqu'au palais royale, encore en construction. Au milieu de la poussière et du vacarmes du chantiers, il me mena à quatre nains assis à une table de fortune qui discutais vigoureusement. L'un d'eux était le plus grand nain que j'ai jamais vu, il portait une barbe finement taillé, et paraissait maigre par rapport à ses compagnon, son regard inquisiteur me mis très mal à l'aise, Belaron me le présenta comme Eyce Œil d'Aigle, le deuxième, un nain très petit, et très costaud, me jaugea avec bienveillance, son regard au contraire de celui de Eyce me rassérénera, C'était Galaoud Souverain et ingénieur de Galianör. Le Troisième Un nain roux à l'accent des montagnes de l'est me sera jovialement la main et me souhaita un bon séjour dans la cité en travaux. Le quatrième resta de marbre, il avait les jambes étendu sous la table, et les bras croisé, son unique œil valide me transperçais la chair et on aurait dit qu'il soupesé mon âmes. Il finit par décrocher un sourire et me salua de la tête, c'était Bohem. Je n'oublierais jamais cette instant.

 

 

J'avais découvert l'endroit ou je voulais vivre et mourir, maintenant, je devais me battre pour qu'il ait une existence. Je me levais chaque matin pour travailler encore plus que la veille, bien sûr, je continuais quand j'en avais le temps mes voyages à travers Minefield, je découvrais des choses magnifiques. L'arbre maison d'Hypérion, Le port de Torcuba, ses filles, et son rhum. Je farfouillé partout dans Nevah, et je commencer à connaître les chemins de Minefield comme les lignes de ma mains, Mais il y à toujours plus à découvrir.

 

Galianör avance, J'avance avec elle, je ne la quitterais jamais, c'est ma ville, j'aimerais toujours voyager, découvrir, mais elle restera Mon port d'attache, à jamais je l'espère...

 

La suite de l'histoire reste à écrire, et vous pouvez la changer.

 

Merci de votre attention et à la prochaine! ^^

 

P.S: désolé pour les fautes, c'est affreux je sais...

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Bonjour !

 

J'ai l'honneur de t'annoncer que ta candidature est acceptée !

Que le Bambou te protège et le Dieu Panda te surveille : être voyageur implique de grandes responsabilités. Montre l'exemple, soit courtois, aide ton prochain.

 

À bientôt peut-être ! Bon jeu à toi !

 

Origine_chan

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